Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
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lundi 7 août 2017

Raï : Nos appels à la commémoration du centenaire du Grand Liban « restent sans réponse »

Raï : Nos appels à la commémoration du centenaire du Grand Liban

 « restent sans réponse »

OLJ 27-6-2017 
Le patriarche maronite Béchara Raï a regretté, hier, que tous ses appels à la création d'un comité national pour la célébration du centenaire de la proclamation du Grand Liban restent, à ce jour, « sans réponse ».

Lors d'une réunion tenue avec des recteurs des universités catholiques du Liban, le prélat a rappelé que « le patriarcat maronite se considère comme le premier concerné historiquement par la commémoration du premier centenaire de la proclamation du Grand Liban ». Et le patriarche Raï de préciser qu'il a publié, il y a trois ans, une feuille de route devant conduire à une commémoration nationale, le 1er septembre 2020. Pour lui, cette feuille de route devait constituer « un plan de travail pour le président qui devait être élu en mai 2014 ».

« Depuis l'élection du président Michel Aoun, a-t-il dit, toutes les préoccupations se sont concentrées sur l'élaboration d'une nouvelle loi électorale et les prochaines élections qui auront lieu dans un an, et il ne restera plus que 14 mois pour préparer le centenaire », a-t-il déploré. Et d'espérer que la réunion d'hier « pavera la voie à un travail culturel et national commun non seulement avec les universités catholiques, mais aussi avec les autres établissements scolaires et universitaires au Liban, ainsi que toutes les composantes culturelles ».

Le prélat a enfin souhaité la coopération avec l'ambassade de France, dans ce cadre, puisque « la France, a-t-il dit, est un partenaire essentiel dans l'édification du Grand Liban ».

À signaler que les recteurs de l'Université Sainte-Famille de Batroun, sœur Hilda Chélala, de l'Université Saint-Joseph, Salim Daccache, de l'Université de Louaïzé, Walid Moussa, de l'Université antonine, Germanos Germanos, de l'Université Saint-Esprit de Kaslik, Georges Hobeika, ainsi que de l'Université La Sagesse, Khalil Chalfoun, étaient présents à cette réunion.

lundi 26 juin 2017

Raï : Nos appels à la commémoration du centenaire du Grand Liban « restent sans réponse »

Raï : Nos appels à la commémoration du centenaire du Grand Liban

 « restent sans réponse »

OLJ 27-6-2017 
Le patriarche maronite Béchara Raï a regretté, hier, que tous ses appels à la création d'un comité national pour la célébration du centenaire de la proclamation du Grand Liban restent, à ce jour, « sans réponse ».


Lors d'une réunion tenue avec des recteurs des universités catholiques du Liban, le prélat a rappelé que « le patriarcat maronite se considère comme le premier concerné historiquement par la commémoration du premier centenaire de la proclamation du Grand Liban ». Et le patriarche Raï de préciser qu'il a publié, il y a trois ans, une feuille de route devant conduire à une commémoration nationale, le 1er septembre 2020. Pour lui, cette feuille de route devait constituer « un plan de travail pour le président qui devait être élu en mai 2014 ».

« Depuis l'élection du président Michel Aoun, a-t-il dit, toutes les préoccupations se sont concentrées sur l'élaboration d'une nouvelle loi électorale et les prochaines élections qui auront lieu dans un an, et il ne restera plus que 14 mois pour préparer le centenaire », a-t-il déploré. Et d'espérer que la réunion d'hier « pavera la voie à un travail culturel et national commun non seulement avec les universités catholiques, mais aussi avec les autres établissements scolaires et universitaires au Liban, ainsi que toutes les composantes culturelles ».

Le prélat a enfin souhaité la coopération avec l'ambassade de France, dans ce cadre, puisque « la France, a-t-il dit, est un partenaire essentiel dans l'édification du Grand Liban ».

À signaler que les recteurs de l'Université Sainte-Famille de Batroun, sœur Hilda Chélala, de l'Université Saint-Joseph, Salim Daccache, de l'Université de Louaïzé, Walid Moussa, de l'Université antonine, Germanos Germanos, de l'Université Saint-Esprit de Kaslik, Georges Hobeika, ainsi que de l'Université La Sagesse, Khalil Chalfoun, étaient présents à cette réunion.