Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
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vendredi 21 juillet 2017

EGYPTE - Vives réactions après la mort d'un copte placé en garde à vue dans un commissariat de police


 
Le Caire (Agence Fides) – Des centaines d’égyptiens appartenant à la communauté copte se sont rassemblés spontanément devant le commissariat de police du district de Manshiet Nasser, au Caire, pour manifester leur colère après que la nouvelle de la mort d’un copte qui y était retenu en garde à vue se soit diffusée.
Le copte tué, Jamal Kamal Aweidah, avait 40 ans et travaillait dans le domaine de l’émission des permis de conduire. Il avait été arrêté le 19 juillet par la police après avoir été dénoncé pour fraude et corruption liées à son activité professionnelle. Son frère s’était immédiatement rendu au commissariat de police pour le rencontrer mais il ne lui a pas été possible de le voir. Dix heures après l’arrestation, s’est répandue la nouvelle de la mort de Jamal Kamal Aweidah. Les fonctionnaires de police du commissariat ont tenté de faire passer la mort pour un suicide mais contre eux a immédiatement été lancée l’accusation de tortures, lesquelles auraient finalement provoqué la mort de l’homme, une thèse qui est soutenue par les membres de la famille de Jamal Kamal Aweidah. Les autorités judiciaires ont disposé l’autopsie du corps de la victime. Au cours du mois de décembre dernier, des agents de police avait été inculpés d’avoir torturé à mort un copte catholique dénommé Magdy McCain. (GV) (Agence Fides 21/07/2017)

mardi 28 juin 2016

Au moins cinq personnes ont été tuées et 15 autres blessées lundi dans une série d'attentats-suicides perpétrée par des kamikazes dans un village de l'est du Liban, proche de la frontière syrienne.

Une série d'attentats suicide menés par plusieurs kamikazes a coûté la vie à au moins cinq personnes lundi 27 juin dans un village à majorité chrétienne de l'est du Liban, une région troublée en raison de sa proximité avec la Syrie en guerre.
Plus tôt dans la journée, le village avait déjà été la cible d'une série d'attaques menées par quatre kamikazes qui avaient fait cinq morts et 15 blessés.
Quelques heures plus tard, dans la soirée, le village était de nouveau frappé par trois attaques suicide commises par des kamikazes à moto, selon une source sécuritaire. Il y a "de nombreux blessés", a déclaré la Croix-Rouge libanaise à la télévision libanaise LBC.
Ces attaques sont survenues quelques heures après que le groupe État islamique (EI) a revendiqué un attentat suicide perpétré en Jordanie à la frontière syrienne, ayant fait sept morts et 13 blessés mardi.
Attentats simultanés
Les premières attaques du matin se sont produites selon le même mode opératoire : kamikazes et attentats simultanés. Une méthode typique des organisations jihadistes comme l'EI et Al-Qaïda. "Le premier assaillant a frappé à la porte de l'une des maisons, mais face à la méfiance des habitants, il a déclenché sa ceinture explosive", a indiqué une source militaire.
Alertés, les habitants se sont rassemblés sur les lieux, à une centaine de mètres de l'église, et c'est à ce moment là que les trois autres kamikazes sont entrés en action, a-t-elle ajouté. Elle a précisé que chaque ceinture contenait deux kilos d'explosifs et des boulons.
Le maire d'Al-Qaa, Bachir Matar, a indiqué que deux des kamikazes s'étaient fait exploser lorsque "les habitants se sont réunis pour soigner les blessés". "Nous avons poursuivi le quatrième assaillant et tiré sur lui avant qu'il ne se fasse sauter".
"Idéologie terroriste et obscurantiste"
Cette attaque a été condamnée par le mouvement chiite libanais Hezbollah, très présent dans la Bekaa et dont les hommes combattent aux côtés du régime syrien de Bachar al-Assad contre les rebelles et les jihadistes. "Ce crime est un acte de l'idéologie terroriste et obscurantiste qui se répand dans la région et menace le Liban et toutes ses composantes", a déclaré cette organisation.
Pour le Premier ministre libanais Tammam Salam, cette opération montre "les plans funestes visant le Liban et les risques qui menacent le pays". Le chef de l'armée, le général Jean Kahwaji, a de son côté rendu hommage à al-Qaa et aux autres villages frontaliers qui "représentent la première ligne de défense du Liban face au terrorisme".
La coordonnatrice spéciale de l'ONU pour le Liban, Sigrid Kaag, a "condamné" cette attaque et appelé la communauté internationale à "améliorer les capacités de l'armée libanaise face aux défis sécuritaires, dont les menaces terroristes".
Avec AFP

Au moins cinq personnes ont été tuées et 15 autres blessées lundi dans une série d'attentats-suicides perpétrée par des kamikazes dans un village de l'est du Liban, proche de la frontière syrienne.

Une série d'attentats suicide menés par plusieurs kamikazes a coûté la vie à au moins cinq personnes lundi 27 juin dans un village à majorité chrétienne de l'est du Liban, une région troublée en raison de sa proximité avec la Syrie en guerre.
Plus tôt dans la journée, le village avait déjà été la cible d'une série d'attaques menées par quatre kamikazes qui avaient fait cinq morts et 15 blessés.
Quelques heures plus tard, dans la soirée, le village était de nouveau frappé par trois attaques suicide commises par des kamikazes à moto, selon une source sécuritaire. Il y a "de nombreux blessés", a déclaré la Croix-Rouge libanaise à la télévision libanaise LBC.
Ces attaques sont survenues quelques heures après que le groupe État islamique (EI) a revendiqué un attentat suicide perpétré en Jordanie à la frontière syrienne, ayant fait sept morts et 13 blessés mardi.
Attentats simultanés
Les premières attaques du matin se sont produites selon le même mode opératoire : kamikazes et attentats simultanés. Une méthode typique des organisations jihadistes comme l'EI et Al-Qaïda. "Le premier assaillant a frappé à la porte de l'une des maisons, mais face à la méfiance des habitants, il a déclenché sa ceinture explosive", a indiqué une source militaire.
Alertés, les habitants se sont rassemblés sur les lieux, à une centaine de mètres de l'église, et c'est à ce moment là que les trois autres kamikazes sont entrés en action, a-t-elle ajouté. Elle a précisé que chaque ceinture contenait deux kilos d'explosifs et des boulons.
Le maire d'Al-Qaa, Bachir Matar, a indiqué que deux des kamikazes s'étaient fait exploser lorsque "les habitants se sont réunis pour soigner les blessés". "Nous avons poursuivi le quatrième assaillant et tiré sur lui avant qu'il ne se fasse sauter".
"Idéologie terroriste et obscurantiste"
Cette attaque a été condamnée par le mouvement chiite libanais Hezbollah, très présent dans la Bekaa et dont les hommes combattent aux côtés du régime syrien de Bachar al-Assad contre les rebelles et les jihadistes. "Ce crime est un acte de l'idéologie terroriste et obscurantiste qui se répand dans la région et menace le Liban et toutes ses composantes", a déclaré cette organisation.
Pour le Premier ministre libanais Tammam Salam, cette opération montre "les plans funestes visant le Liban et les risques qui menacent le pays". Le chef de l'armée, le général Jean Kahwaji, a de son côté rendu hommage à al-Qaa et aux autres villages frontaliers qui "représentent la première ligne de défense du Liban face au terrorisme".
La coordonnatrice spéciale de l'ONU pour le Liban, Sigrid Kaag, a "condamné" cette attaque et appelé la communauté internationale à "améliorer les capacités de l'armée libanaise face aux défis sécuritaires, dont les menaces terroristes".
Avec AFP

Au moins cinq personnes ont été tuées et 15 autres blessées lundi dans une série d'attentats-suicides perpétrée par des kamikazes dans un village de l'est du Liban, proche de la frontière syrienne.

Une série d'attentats suicide menés par plusieurs kamikazes a coûté la vie à au moins cinq personnes lundi 27 juin dans un village à majorité chrétienne de l'est du Liban, une région troublée en raison de sa proximité avec la Syrie en guerre.
Plus tôt dans la journée, le village avait déjà été la cible d'une série d'attaques menées par quatre kamikazes qui avaient fait cinq morts et 15 blessés.
Quelques heures plus tard, dans la soirée, le village était de nouveau frappé par trois attaques suicide commises par des kamikazes à moto, selon une source sécuritaire. Il y a "de nombreux blessés", a déclaré la Croix-Rouge libanaise à la télévision libanaise LBC.
Ces attaques sont survenues quelques heures après que le groupe État islamique (EI) a revendiqué un attentat suicide perpétré en Jordanie à la frontière syrienne, ayant fait sept morts et 13 blessés mardi.
Attentats simultanés
Les premières attaques du matin se sont produites selon le même mode opératoire : kamikazes et attentats simultanés. Une méthode typique des organisations jihadistes comme l'EI et Al-Qaïda. "Le premier assaillant a frappé à la porte de l'une des maisons, mais face à la méfiance des habitants, il a déclenché sa ceinture explosive", a indiqué une source militaire.
Alertés, les habitants se sont rassemblés sur les lieux, à une centaine de mètres de l'église, et c'est à ce moment là que les trois autres kamikazes sont entrés en action, a-t-elle ajouté. Elle a précisé que chaque ceinture contenait deux kilos d'explosifs et des boulons.
Le maire d'Al-Qaa, Bachir Matar, a indiqué que deux des kamikazes s'étaient fait exploser lorsque "les habitants se sont réunis pour soigner les blessés". "Nous avons poursuivi le quatrième assaillant et tiré sur lui avant qu'il ne se fasse sauter".
"Idéologie terroriste et obscurantiste"
Cette attaque a été condamnée par le mouvement chiite libanais Hezbollah, très présent dans la Bekaa et dont les hommes combattent aux côtés du régime syrien de Bachar al-Assad contre les rebelles et les jihadistes. "Ce crime est un acte de l'idéologie terroriste et obscurantiste qui se répand dans la région et menace le Liban et toutes ses composantes", a déclaré cette organisation.
Pour le Premier ministre libanais Tammam Salam, cette opération montre "les plans funestes visant le Liban et les risques qui menacent le pays". Le chef de l'armée, le général Jean Kahwaji, a de son côté rendu hommage à al-Qaa et aux autres villages frontaliers qui "représentent la première ligne de défense du Liban face au terrorisme".
La coordonnatrice spéciale de l'ONU pour le Liban, Sigrid Kaag, a "condamné" cette attaque et appelé la communauté internationale à "améliorer les capacités de l'armée libanaise face aux défis sécuritaires, dont les menaces terroristes".
Avec AFP

mardi 15 septembre 2015

ASIE/SYRIE - Quatre chrétiens parmi les victimes des attentats djihadistes perpétrés à Hassakè


Jtk

Début du message transféré :

Expéditeur: Fides News Fr <fidesnews-fr@fides.org>
Date: 15 septembre 2015 13:43:26 UTC+

ASIE/SYRIE - Quatre chrétiens parmi les victimes des attentats djihadistes perpétrés à Hassakè
Hassakè (Agence Fides) – Quatre chrétiens font partie de la vingtaine de victimes provoquée par deux attentats suicides perpétrés le 14 septembre à Hassaké, dans la province de Jézirah, au nord-est du pays. C'est ce que confirment des sources locales de l'Eglise syro-catholique contactées par l'Agence Fides. Les victimes chrétiennes appartenaient toutes à une même famille. Les deux attentats terroristes, revendiqués par le prétendu « Etat islamique », ont été perpétrés en ayant recours à des voitures piégées dans deux zones de la ville. Dans un cas, l'objectif de l'action terroriste était le quartier général des milices kurdes, qui s'opposent dans la région aux miliciens du prétendu « Etat islamique ». Le second attentat a été en revanche perpétré dans une zone contrôlée par l'armée syrienne.
Hassakè avait subi une attaque massive de la part des miliciens du prétendu « Etat islamique » à la fin du mois de juin. A cette occasion, l'offensive djihadiste avait provoqué également la fuite de milliers de chrétiens, en grande partie revenus chez eux après la reconquête de la ville de la part des milices kurdes et de l'armée syrienne. Les deux attentats d'hier confirment que, dans certains quartiers et faubourgs de la ville, sont encore présents des groupes djihadistes, prêts à soutenir de l'intérieur de nouveaux assauts du prétendu « Etat islamique » contre la ville. (GV) (Agence Fides 15/09/2015)

mercredi 2 septembre 2015

Pour la Chredo, la spécificité des chrétiens d’Orient est niée par la Conférence sur les minorités | La-Croix.com - France

Pour la Chredo, la spécificité des chrétiens d'Orient est niée par la Conférence sur les minorités | La-Croix.com - France

Pour la Chredo, la spécificité des chrétiens d'Orient est niée par la Conférence sur les minorités

La Coordination des chrétiens d'Orient en danger (Chredo) a regretté mercredi 2 septembre que la conférence sur les minorités victimes de violences au Moyen-Orient organisée mardi 8 septembre à Paris, où elle sera présente comme observateur, « nie la spécificité des chrétiens d'Orient », victimes selon elle d'un « génocide ».
Une soixantaine d'États seront représentés lors de cette réunion présidée par la France et la Jordanie, de même que de nombreuses ONG et toutes les grandes agences de l'ONU.
« Celle conférence est un acte politique important, dans le contexte de persécution et d'accélération de l'exode des chrétiens d'Orient qui ne sont plus que 3 % alors qu'ils représentaient dans les années 1950 entre 15 et 20 % des populations » de la région, affirme dans un communiqué la Chredo, un collectif de religieux et d'ONG confessionnelles ou laïques. Mais la coordination basée à Paris estime que « cette conférence sacrifie au "politiquement correct" au détriment de la réalité du terrain, puisque son libellé, "les victimes des violences ethniques et religieuses", ne vise pas explicitement le génocide des chrétiens ». « Leur spécificité est niée puisqu'ils sont présentés comme des "victimes" parmi d'autres de simples "violences" et pas de crimes contre l'humanité ou de génocide », poursuit la Chredo.
Le collectif juge en outre que « la Turquie n'a pas sa place à la conférence de Paris », qui selon lui servira à ce pays « de tribune pour se dédouaner et regagner une crédibilité internationale alors qu'elle continue son double jeu » à l'égard de mouvements djihadistes, dont Daech.

Une manifestation prévue le 7 septembre devant l'ambassade de Turquie

La Chredo a d'ailleurs appelé à une manifestation la veille, lundi 7 septembre, devant l'ambassade de Turquie à Paris.
S'adressant le 27 mars au Conseil de sécurité de l'ONU à New York, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, avait estimé que la communauté internationale devait tout faire pour permettre le retour chez elles des minorités du Moyen-Orient fuyant les groupes djihadistes.
» Lire aussi : Laurent Fabius : « La protection des chrétiens d'Orient est une tradition pour la France »
Il avait évoqué le sort non seulement des chrétiens d'Orient, mais aussi des Yézidis du Kurdistan irakien ou des Kurdes de Kobané (Syrie).
Il ne reste qu'environ 400 000 chrétiens en Irak, contre environ 1,4 million en 1987. Pour Laurent Fabius, c'est la conséquence d'une « entreprise barbare d'éradication ethnique et religieuse ».