Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
Affichage des articles dont le libellé est agressions antichretiennes. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est agressions antichretiennes. Afficher tous les articles

jeudi 20 avril 2017


ATTENTAT - Au moins 25 personnes ont été tuées et 60
 autres blessées ce dimanche matin dans l'explosion 
d'une bombe lors d'une messe dans la ville de Tanta, 
au nord du Caire. Une deuxième explosion a eu lieu 
quelques heures plus tard, près de l'église Mar Morcos
 à Alexandrie faisant au moins 6 morts. Ces événements
 interviennent 19 jours avant la visite du pape François en Egypte.

Une deuxième église visée
View image on Twitter
11:35 AM - 9 Apr 2017 Au moins 25 personnes ont été tuées ce
 dimanche matin dans des explosion visant deux églises
 coptes d'Egypte où s'étaient rassemblés des Chrétiens pour
 le dimanche des Rameaux. La première explosion a visé 
l'église de Tanta, ville située à 120 km au nord du Caire. 
L'explosion a eu lieu durant la messe, vers 10 heures, 
alors que la communauté chrétienne copte célébrait le 
dimanche des Rameaux. La déflagration a également 
fait une soixantaine de blessées, selon un communiqué 
du ministère de la Santé. "L'explosion a eu lieu aux 
premiers rangs, près de l'autel, durant la messe", a
 précisé à l'AFP le général Tarek Atiya, adjoint du
 ministre de l'Intérieur en charge des médias.Des 
images diffusées par la chaîne de télévision privée 
Extra news montraient le sol et les murs blancs 
de l'église couverts de sang, ainsi que des bancs
 en bois déchiquetés. Le gouverneur de Gharbiya,
 le général Ahmad Deif, a indiqué à la chaîne de 
télévision égyptienne Nile News que les services
 de sécurité avaient ratissé la zone de l'église 
pour s'assurer qu'il n'y avait pas d'autres engins
 à proximité. D'après lui, il n'y a pas encore 
d'informations sur la nature de l'attaque. 
"Soit une bombe a été placée dedans, soit
 quelqu'un s'est fait exploser", a-t-il déclaré.
Une deuxième explosion a eu lieu quelques 
heures après, près d'une église à Alexandrie.
   "Explosion à l'église Mar Morcos à Alexandrie
 ... des blessés", indiquait  la télévision d'Etat dans
 un bandeau, alors que le pape copte Tawadros 
II y  assistait en début de journée aux célébrations
 de la fête des Rameaux, selon  une page 
officielle Facebook de l'Eglise copte orthodoxe.
 La télévision égiyptienne fait état de 6 morts
 et d'une vingtaine de blessés mais ce bilan n'est
 pas confirmé.L'explosion d'Alexandrie a été 
attribuée par la télévision à un kamikaze. L'origine
 de celle de Tanta n'a pas encore été déterminée
 et il n'y a pas eu de revendication pour le
 moment. Voici les premières photos de l'église
 de Tanta
:http://www.lci.fr/international/egypte-deux-eglises-coptes-visees-par-des-explosions-au-moins-25-morts-2044441.html

dimanche 9 avril 2017

Égypte : deux explosions près de deux églises coptes, au moins 28 morts

, le 
Mis à jour le 09/04/2017 à 13h17

Un attentat à la bombe près d’une église copte, au nord du Caire, a fait au moins 22 morts et 59 blessés, dimanche 8 avril, à trois semaines de la visite du Pape. Une deuxième explosion, encore près d’une église, à Alexandrie, a fait 6 morts.

Ces explosions meurtrières intervienent au moment où la communauté chrétienne célèbre la semaine sainte qui débute aujourd’hui avec la fête des Rameaux.
La communauté copte d’Égypte a une nouvelle fois été prise pour cible par des terroristes. Dimanche 8 avril, au moment de la messe des Rameaux, au moins 22 personnes ont été tuées par un attentat qui aurait également blessé une soixantaine de fidèles présents dans l’église Mar Girgis de Tanta, une ville au nord du Caire.
Il n’y a pas encore d’informations précises sur la nature de l’attaque. « Soit une bombe a été placée dedans, soit quelqu’un s’est fait exploser », a indiqué le gouverneur de Gharbiya (delta du Nil), le général Ahmad Deif. Selon lui « l’explosion a eu lieu à l’intérieur de l’église ». Les services de sécurité ont ratissé la zone de l’église pour s’assurer qu’il n’y avait pas d’autres engins explosifs dans les environs.

Deuxième explosion à Alexandrie

Une deuxième explosion a eu lieu dimanche près d’une église en Egypte, dans la ville d’Alexandrie, ont indiqué des médias étatiques, quelques heures après un attentat contre une église à Tanta. Au moins 6 personnes ont été tuées. Le pape copte Tawadros II y assistait en début de journée aux célébrations de la fête des Rameaux, selon une page officielle Facebook de l'Eglise copte orthodoxe.

L’ombre de Daech

Ces explosions interviennent, à moins de trois semaines d’une visite du pape François prévue les 28 et 29 avril en Égypte, alors que la branche locale de Daech a appelé à poursuivre les attaques contre « tout infidèle ou apostat en Égypte et partout ». Le groupe djihadiste avait déjà revendiqué l’attaque suicide de décembre dernier, qui avait tué 29 personnes en pleine célébration, dans deux églises coptes au Caire.
L’attaque du Caire a relancé les appels à durcir la lutte contre la mouvance djihadiste en Égypte, en particulier dans le Sinaï où elle a mené une série d’attaques sanglantes contre les forces de sécurité.

Les coptes, victimes de l’islamisme

Les coptes-orthodoxes d’Égypte représentent la communauté chrétienne la plus importante et la plus ancienne du Moyen-Orient – 10 % des 92 millions d’Égyptiens. Ils dénoncent régulièrement les discriminations à leur égard aussi bien de la part des autorités que de la majorité musulmane.
Lors de leur visite ad limina à Rome début février, les évêques égyptiens avaient exposé au souverain pontife quelques-unes de leurs difficultés dans un contexte politique et économique tendu en Égypte : montée de l’islamisme entraînant des tensions régulières sur la construction ou la rénovation d’églises, persistance du djihadisme dans le Sinaï. Ces derniers temps, plusieurs chrétiens ont été tués dans le nord de la péninsule contraignant de nombreuses familles à fuir leurs domiciles.
En août 2013, des partisans de l’ancien président, l’islamiste Mohamed Morsi, renversé par l’armée, avaient aussi incendié des dizaines d’églises et de propriétés coptes après une répression policière qui a coûté la vie à des centaines de manifestants islamistes au Caire.
Rodrigue Arnaud Tagnan (avec AFP)

http://www.la-croix.com/Monde/Afrique/Egypte-nouvel-attentat-sanglant-contre-Eglise-copte-2017-04-09-1200838247

mercredi 29 mars 2017

Début d’un retour des coptes dans le Nord Sinaï et démenti de l’Evêque copte orthodoxe d’al Arish concernant de nouvelles attaque

EGYPTE - Début d’un retour des coptes dans le Nord Sinaï et démenti de l’Evêque copte orthodoxe d’al Arish concernant de nouvelles attaque contre des prêtres
 
Al Arish (Agence Fides) – Un certain nombre de familles coptes ayant fui en février le Nord du Sinaï et en particulier la ville d’al-Arish, chef-lieu du gouvernorat, après la série de violences et d’assassinats s’étant abattue sur la communauté chrétienne locale commence à retourner chez elles. Hier, Dimanche 26 mars, la nouvelle du début d’un contre exode des chrétiens du Nord Sinaï a été confirmé par l’Evêque copte orthodoxe d’al-Arish et du Sinaï du Nord, C. Kosman. L’Evêque a également indiqué qu’à al-Arish, des Messes sont célébrées chaque jour et que les prêtres se déplacent librement en ville, bien que bénéficiant de la protection assurée par les forces de sécurité. Il a démenti les rumeurs – ayant circulé ces jours derniers sur Internet – d’une présumée « chasse aux prêtres » mise en œuvre par des groupes terroristes dans le chef-lieu du gouvernorat, confirmant que la situation générale relative à la sécurité commence à se normaliser.
Selon des sources locales, plus de 300 familles chrétiennes avaient quitté précipitamment al-Arish en février, après la série de sept homicides s’étant abattue à compter de fin janvier sur les chrétiens coptes dans le Sinaï du Nord (voir Fides 23, 24 et 27/02/2017). La majorité des évacués avait trouvé refuge dans la ville d’Ismaïlia, à 120 Km à l’est du Caire. Au cours de ces semaines, ont été également enregistrées des prises de position significatives d’institutions islamiques à propos de la nouvelle spirale de violence s’étant abattue sur les coptes égyptiens. La Maison de la fatwa, organisme égyptien présidé par le grand mufti d’Egypte et chargé de diffuser des lignes directrices et de résoudre doutes et controverses sur l’application des préceptes coraniques, a diffusé un communiqué visant à condamner la série d’homicides, soulignant que la campagne orchestrée par des groupes djihadistes à l’encontre des chrétiens autochtones vise explicitement à saboter l’unité nationale. Les porte-parole d’al-Nur, parti salafiste ultraconservateur, avaient, eux aussi, exprimé publiquement leur condamnation des meurtres ciblés de chrétiens coptes ayant eu lieu dans le nord du Sinaï, réaffirmant qu’ils allaient « à l’encontre des enseignements de l’islam ».
Le Sinaï du Nord est, depuis des années, l’épicentre des opérations violentes perpétrées par des groupes djihadistes contre l’armée, les forces de police et la population civile.
Lorsque la série d’assassinats de chrétiens dans le Sinaï du Nord avait déjà commencé, de soi-disant affiliés égyptiens du prétendu « Etat islamique » avaient diffusé un message vidéo dans lequel ils revendiquaient la nouvelle campagne de violences ciblées contre les coptes, qualifiés par les djihadistes de « proie préférée ». Le message en question exaltait la figure d’Abu Abdullah al-Masri, le jeune responsable de l’attentat suicide du 11 décembre dernier contre l’église de Botrosiya, sise à l’intérieur du complexe d’édifices ecclésiastiques adjacent à la Cathédrale copte orthodoxe du Caire, qui avait fait 29 morts. (GV) (Agence Fides 27/03/2017

mardi 17 janvier 2017

En Égypte, les agresseurs islamistes d’une femme copte échappent à la justice

La Croix -, le 
Les autorités judiciaires égyptiennes ont décidé de ne pas ouvrir de procès à propos du cas de Suan Thabet. Cette femme copte de 70 ans avait été agressée et humiliée par des islamistes, en mai 2016, dans un village égyptien.

En mai 2016, Suan Thabet, une femme copte âgée, avait été rouée de coups, dénudée en public et traînée dans les rues du village Karm, dans la province de Minya, en Égypte, par des agresseurs musulmans.
Mis en colère par une rumeur de relation amoureuse entre une musulmane et le fils, chrétien, de cette femme, ils avaient incendié sept maisons et magasin avant de se présenter au domicile du jeune homme. C’est en tentant de s’interposer que cette femme avait été agressée. Huit interpellations avaient eu lieu quelques jours après cette agression, et la victime avait identifié trois personnes comme faisant partie de ses agresseurs.
Mais le parquet local a décidé, samedi 14 janvier, de classer l’affaire pour « manque de preuves ». La femme âgée, interrogée par une chaîne de télévision copte basée aux États-Unis, a indiqué qu’elle et sa famille n’étaient pas retournées chez eux après l’attaque, ayant reçu des menaces.
L’université Al-Azhar du Caire avait rapidement condamné ces violences, et le patriarche copte-orthodoxe Tawadros II avait appelé « à faire preuve de contrôle de soi et de sagesse, pour préserver la paix sociale ».
Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi avait lui-même fait appel aux ministères compétents afin que les responsables des violences de Karm, survenues quelques jours seulement après la rencontre entre le pape François et l’imam d’Al-Azhar, soient rapidement identifiés et punis.

Gauthier Vaillant avec cath.ch

lundi 11 juillet 2016

EGYPTE - Quatre maisons attaquées et incendiées à Kom el Loofy dans le cadre de violences sectaires contre les coptes



Expéditeur: Fides News Fr <fidesnews-fr@fides.org>
Date: 9 juillet 2016 13:56:48 UTC+3
violence

AFRIQUE/EGYPTE - Quatre maisons attaquées et incendiées à Kom el Loofy dans le cadre de violences sectaires contre les coptes
Samalut (Agence Fides) – Quatre maisons appartenant à des familles coptes ont été attaquées par quelques 300 fanatiques islamistes dans le village de Kom el Loofy, non loin de la ville de Samalut, en Haute Egypte. L'assaut a eu lieu après que se soit propagée la rumeur d'un projet de construction d'une nouvelle église dans la zone et ce malgré les démentis du propriétaire des terrains sur lesquels aurait dû être construit le lieu de culte, démentis qui avaient également été communiqués à la police. Aux violences sectaires du début de semaine, a suivi une tentative de conciliation inspirée par les autorités locales.
Le Diocèse copte orthodoxe de Samalut a cependant contesté dans ce cas la praxis des rencontres de réconciliation, imposées de facto par les forces de sécurité, soulignant la nécessité de poursuivre les comportements criminels en application de la loi en vigueur, et faisant remarquer que, souvent, les victimes de violences sectaires demeuraient dans leur condition de partie offensée sans qu'aucune justice ne soit faite. Entre temps, selon des sources égyptiennes consultées par l'Agence Fides, les représentants locaux de la Maison de la Famille égyptienne, organisme de liaison interreligieux institué voici quelques années comme instrument visant à prévenir et à mitiger les oppositions sectaires, ont lancé une collecte de fonds afin de financer la réparation des maisons attaquées par les fanatiques. (GV) (Agence Fides 09/07/2016)

mardi 28 juin 2016

Au moins cinq personnes ont été tuées et 15 autres blessées lundi dans une série d'attentats-suicides perpétrée par des kamikazes dans un village de l'est du Liban, proche de la frontière syrienne.

Une série d'attentats suicide menés par plusieurs kamikazes a coûté la vie à au moins cinq personnes lundi 27 juin dans un village à majorité chrétienne de l'est du Liban, une région troublée en raison de sa proximité avec la Syrie en guerre.
Plus tôt dans la journée, le village avait déjà été la cible d'une série d'attaques menées par quatre kamikazes qui avaient fait cinq morts et 15 blessés.
Quelques heures plus tard, dans la soirée, le village était de nouveau frappé par trois attaques suicide commises par des kamikazes à moto, selon une source sécuritaire. Il y a "de nombreux blessés", a déclaré la Croix-Rouge libanaise à la télévision libanaise LBC.
Ces attaques sont survenues quelques heures après que le groupe État islamique (EI) a revendiqué un attentat suicide perpétré en Jordanie à la frontière syrienne, ayant fait sept morts et 13 blessés mardi.
Attentats simultanés
Les premières attaques du matin se sont produites selon le même mode opératoire : kamikazes et attentats simultanés. Une méthode typique des organisations jihadistes comme l'EI et Al-Qaïda. "Le premier assaillant a frappé à la porte de l'une des maisons, mais face à la méfiance des habitants, il a déclenché sa ceinture explosive", a indiqué une source militaire.
Alertés, les habitants se sont rassemblés sur les lieux, à une centaine de mètres de l'église, et c'est à ce moment là que les trois autres kamikazes sont entrés en action, a-t-elle ajouté. Elle a précisé que chaque ceinture contenait deux kilos d'explosifs et des boulons.
Le maire d'Al-Qaa, Bachir Matar, a indiqué que deux des kamikazes s'étaient fait exploser lorsque "les habitants se sont réunis pour soigner les blessés". "Nous avons poursuivi le quatrième assaillant et tiré sur lui avant qu'il ne se fasse sauter".
"Idéologie terroriste et obscurantiste"
Cette attaque a été condamnée par le mouvement chiite libanais Hezbollah, très présent dans la Bekaa et dont les hommes combattent aux côtés du régime syrien de Bachar al-Assad contre les rebelles et les jihadistes. "Ce crime est un acte de l'idéologie terroriste et obscurantiste qui se répand dans la région et menace le Liban et toutes ses composantes", a déclaré cette organisation.
Pour le Premier ministre libanais Tammam Salam, cette opération montre "les plans funestes visant le Liban et les risques qui menacent le pays". Le chef de l'armée, le général Jean Kahwaji, a de son côté rendu hommage à al-Qaa et aux autres villages frontaliers qui "représentent la première ligne de défense du Liban face au terrorisme".
La coordonnatrice spéciale de l'ONU pour le Liban, Sigrid Kaag, a "condamné" cette attaque et appelé la communauté internationale à "améliorer les capacités de l'armée libanaise face aux défis sécuritaires, dont les menaces terroristes".
Avec AFP

Au moins cinq personnes ont été tuées et 15 autres blessées lundi dans une série d'attentats-suicides perpétrée par des kamikazes dans un village de l'est du Liban, proche de la frontière syrienne.

Une série d'attentats suicide menés par plusieurs kamikazes a coûté la vie à au moins cinq personnes lundi 27 juin dans un village à majorité chrétienne de l'est du Liban, une région troublée en raison de sa proximité avec la Syrie en guerre.
Plus tôt dans la journée, le village avait déjà été la cible d'une série d'attaques menées par quatre kamikazes qui avaient fait cinq morts et 15 blessés.
Quelques heures plus tard, dans la soirée, le village était de nouveau frappé par trois attaques suicide commises par des kamikazes à moto, selon une source sécuritaire. Il y a "de nombreux blessés", a déclaré la Croix-Rouge libanaise à la télévision libanaise LBC.
Ces attaques sont survenues quelques heures après que le groupe État islamique (EI) a revendiqué un attentat suicide perpétré en Jordanie à la frontière syrienne, ayant fait sept morts et 13 blessés mardi.
Attentats simultanés
Les premières attaques du matin se sont produites selon le même mode opératoire : kamikazes et attentats simultanés. Une méthode typique des organisations jihadistes comme l'EI et Al-Qaïda. "Le premier assaillant a frappé à la porte de l'une des maisons, mais face à la méfiance des habitants, il a déclenché sa ceinture explosive", a indiqué une source militaire.
Alertés, les habitants se sont rassemblés sur les lieux, à une centaine de mètres de l'église, et c'est à ce moment là que les trois autres kamikazes sont entrés en action, a-t-elle ajouté. Elle a précisé que chaque ceinture contenait deux kilos d'explosifs et des boulons.
Le maire d'Al-Qaa, Bachir Matar, a indiqué que deux des kamikazes s'étaient fait exploser lorsque "les habitants se sont réunis pour soigner les blessés". "Nous avons poursuivi le quatrième assaillant et tiré sur lui avant qu'il ne se fasse sauter".
"Idéologie terroriste et obscurantiste"
Cette attaque a été condamnée par le mouvement chiite libanais Hezbollah, très présent dans la Bekaa et dont les hommes combattent aux côtés du régime syrien de Bachar al-Assad contre les rebelles et les jihadistes. "Ce crime est un acte de l'idéologie terroriste et obscurantiste qui se répand dans la région et menace le Liban et toutes ses composantes", a déclaré cette organisation.
Pour le Premier ministre libanais Tammam Salam, cette opération montre "les plans funestes visant le Liban et les risques qui menacent le pays". Le chef de l'armée, le général Jean Kahwaji, a de son côté rendu hommage à al-Qaa et aux autres villages frontaliers qui "représentent la première ligne de défense du Liban face au terrorisme".
La coordonnatrice spéciale de l'ONU pour le Liban, Sigrid Kaag, a "condamné" cette attaque et appelé la communauté internationale à "améliorer les capacités de l'armée libanaise face aux défis sécuritaires, dont les menaces terroristes".
Avec AFP

Au moins cinq personnes ont été tuées et 15 autres blessées lundi dans une série d'attentats-suicides perpétrée par des kamikazes dans un village de l'est du Liban, proche de la frontière syrienne.

Une série d'attentats suicide menés par plusieurs kamikazes a coûté la vie à au moins cinq personnes lundi 27 juin dans un village à majorité chrétienne de l'est du Liban, une région troublée en raison de sa proximité avec la Syrie en guerre.
Plus tôt dans la journée, le village avait déjà été la cible d'une série d'attaques menées par quatre kamikazes qui avaient fait cinq morts et 15 blessés.
Quelques heures plus tard, dans la soirée, le village était de nouveau frappé par trois attaques suicide commises par des kamikazes à moto, selon une source sécuritaire. Il y a "de nombreux blessés", a déclaré la Croix-Rouge libanaise à la télévision libanaise LBC.
Ces attaques sont survenues quelques heures après que le groupe État islamique (EI) a revendiqué un attentat suicide perpétré en Jordanie à la frontière syrienne, ayant fait sept morts et 13 blessés mardi.
Attentats simultanés
Les premières attaques du matin se sont produites selon le même mode opératoire : kamikazes et attentats simultanés. Une méthode typique des organisations jihadistes comme l'EI et Al-Qaïda. "Le premier assaillant a frappé à la porte de l'une des maisons, mais face à la méfiance des habitants, il a déclenché sa ceinture explosive", a indiqué une source militaire.
Alertés, les habitants se sont rassemblés sur les lieux, à une centaine de mètres de l'église, et c'est à ce moment là que les trois autres kamikazes sont entrés en action, a-t-elle ajouté. Elle a précisé que chaque ceinture contenait deux kilos d'explosifs et des boulons.
Le maire d'Al-Qaa, Bachir Matar, a indiqué que deux des kamikazes s'étaient fait exploser lorsque "les habitants se sont réunis pour soigner les blessés". "Nous avons poursuivi le quatrième assaillant et tiré sur lui avant qu'il ne se fasse sauter".
"Idéologie terroriste et obscurantiste"
Cette attaque a été condamnée par le mouvement chiite libanais Hezbollah, très présent dans la Bekaa et dont les hommes combattent aux côtés du régime syrien de Bachar al-Assad contre les rebelles et les jihadistes. "Ce crime est un acte de l'idéologie terroriste et obscurantiste qui se répand dans la région et menace le Liban et toutes ses composantes", a déclaré cette organisation.
Pour le Premier ministre libanais Tammam Salam, cette opération montre "les plans funestes visant le Liban et les risques qui menacent le pays". Le chef de l'armée, le général Jean Kahwaji, a de son côté rendu hommage à al-Qaa et aux autres villages frontaliers qui "représentent la première ligne de défense du Liban face au terrorisme".
La coordonnatrice spéciale de l'ONU pour le Liban, Sigrid Kaag, a "condamné" cette attaque et appelé la communauté internationale à "améliorer les capacités de l'armée libanaise face aux défis sécuritaires, dont les menaces terroristes".
Avec AFP

mardi 21 juin 2016

Fwd: [Agence Fides] Newsletter Fides del 20-06-2016



Expéditeur: Fides News Fr <fidesnews-fr@fides.org>
Date: 20 juin 2016 13:44:44 UTC+

ASIE/SYRIE - Trois morts dans l'attentat suicide perpétré contre une assemblée religieuse organisée à Qamishli en présence du Patriarche de l'Eglise orthodoxe syriaque

Qamishli (Agence Fides) – Trois personnes ont trouvé la mort dans l'attentat suicide perpétré hier au cours d'une assemblée religieuse organisée à Qamishli, dans le nord de la Syrie, pour commémorer ce qu'il est convenu d'appeler le génocide assyrien de 1915, mis en œuvre par l'armée ottomane. Selon des sources locales de Fides, l'auteur de l'attentat a cherché à entrer dans la salle où les personnes étaient réunies mais a été arrêté par les forces de sécurité locales et s'est fait exploser au moment de son arrestation. La rencontre voulait célébrer le massacre de 1915 connu également sous le nom de massacre de Sayfo, accompli par l'armée ottomane au cours de la première guerre mondiale. Selon les estimations des historiens, les victimes assyriennes de ce massacre furent au nombre de 250.000 environ même si certaines sources indiquent le chiffre de 750.000. A la cérémonie était notamment présent le Patriarche de l'Eglise orthodoxe syriaque, Ignace Ephrem II. La sécurité était assurée par les forces de sécurité Sotoro, milices chrétiennes nées dans le nord-est de la Syrie. L'attentat, qui n'est pas le premier dans la ville de Qamishli, n'a pas été revendiqué.
Le Patriarche a également présidé le 19 juin à Qamishli un événement au cours duquel a été inauguré un monument commémorant le génocide assyrien.
La ville de Qamishli, à majorité kurde, est actuellement divisée en deux, une partie étant contrôlée par les milices kurdes et l'autre par l'armée syrienne. (PA) (Agence Fides 20/06/2016

lundi 8 février 2016



Expéditeur: Fides News Fr <fidesnews-fr@fides.org>
Date: 8 février 2016 13:56:01 UTC+

AFRIQUE/EGYPTE - Disparition d'une jeune copte de 18 ans et manifestations contre la plaie des enlèvements ciblés visant les chrétiens
Minya (Agence Fides) – Plus de 150 chrétiens coptes ont participé à un sit-in organisé hier soir, 7 février, devant le siège de l'administration provincial de Minya, afin de sensibiliser les autorités et lkkes forces de police au cas d'une jeune copte de 18 ans, disparue depuis quelques jours. Les membres de la famille de la jeune fille, résidant dans la ville de Samalot, sont convaincus qu'elle a été enlevée. La jeune fille avait depuis peu obtenu un équivalent de baccalauréat technique et il n'existe aucune raison pour penser à un éloignement volontaire de sa part.
Les enlèvements ciblés de chrétiens continuent à représenter une plaie pour la communauté copte dans de nombreuses zones d'Egypte. Déjà, différents appels ont été adressés par des organisations chrétiennes aux autorités égyptiennes, y compris au Président Abdel Fattah al-Sisi, afin que soient prises des mesures adéquates pour lutter contre ce phénomène (voir Fides 08/07/2014). Il s'agit habituellement d'enlèvements éclair suivis de demandes de rançons calibrées sur les possibilités économiques des familles des personnes enlevées. Mais, dans différents cas, les enlèvements se sont conclus par la mort des otages. (GV) (Agence Fides 08/02/2016

lundi 24 août 2015

ASIE/IRAQ - Institution d’un comité ad hoc contre les abus et les violences contre les chrétiens



Début du message transféré :

Expéditeur: Fides News Fr <fidesnews-fr@fides.org>
Date: 24 août 2015 14:08:52 UTC+3
ASIE/IRAQ - Institution d'un comité ad hoc contre les abus et les violences contre les chrétiens
Bagdad (Agence Fides) – Un comité ad hoc des forces de sécurité a été institué dans le but de recueillir des informations et de prendre des mesures concrètes à propos des violences et abus ciblés subis par les chrétiens en Irak et en particulier dans la capitale. C'est ce qu'indiquent des sources irakiennes consultées par l'Agence Fides. Le comité a été institué à l'initiative du Premier Ministre, Haydar al-Abadi, et vise à lutter en particulier contre l'augmentation du nombre des enlèvements de personnes et des expropriations abusives de maisons et de terrains qui, au cours de ces derniers mois, ont eu pour cibles les chrétiens irakiens, dans le cadre d'un acharnement ciblé. Les responsables du Comité ont déjà rendu visite au Patriarcat chaldéen à Bagdad pour rencontrer S.B. Louis Raphaël I Sako et commencer à recueillir des données et informations utiles à propos des abus subis par les chrétiens. En particulier, la première étape consiste à recenser les biens immobil ier soustraits abusivement aux familles chrétiennes, recueillant les titres de propriété et indiquant les personnes, les groupes et les organismes collectifs qui bénéficient actuellement des immeubles expropriés illégalement. Les Paroisses et les communautés chrétiennes pourront également fournir au comité de sécurité des informations concernant des cas de chrétiens enlevés, y compris les indices utiles pour identifier les auteurs de ses enlèvements.
Au cours de ces derniers mois, tant à Bagdad que dans d'autres villes irakiennes, les cas d'habitations et de terrains soustraits illégalement à leurs légitimes propriétaires chrétiens au travers de la production de faux documents légaux rendant de facto impossible leur récupération de la part de leurs propriétaires se sont multipliés. Le phénomène a pu prendre pied également grâce à des connivences et à des couvertures fournies par des fonctionnaires corrompus et malhonnêtes. En outre, à Bagdad, entre la fin du mois de juin et le début du mois de juillet, quatre chrétiens irakiens ont été enlevés et deux d'entre eux retrouvés sans vie par la police, alors même que leurs familles avaient payé la rançon exigée par leurs ravisseurs. Le 13 juillet dernier, le Patriarche de Babylone des Chaldéens avait adressé un appel public aux autorités politiques et institutionnelles du pays, demandant au gouvernement davantage de protection contre les bandes de délinquants qui portent attein te aux biens et aux personnes. (GV) (Agence Fides 24/08/2015)

ISIS ‘Beheading, Raping, Selling’ Christians - Obama Stands By

ISIS 'Beheading, Raping, Selling' Christians - Obama Stands By

ISIS IS 'BEHEADING, RAPING, SELLING' CHRISTIANS WHILE OBAMA DOES NOTHING, JUSTICE GROUP ASSERTS

genocide
The American Center for Law and Justice is urging President Barack Obama to defend Christians who are suffering intense persecution from Islamic State terrorists, especially by naming an ambassador to fill the vacant mission of Special Envoy to Promote Religious Freedom of Religious Minorities in the Near East and South Central Asia.
The ACLJ has drafted a petition appealing to the Obama Administration to act swiftly to stop the genocide of Christians and other minorities in the Middle East. The petition has already garnered more than 93,000 signatures.
The organization reminds the administration that ISIS is "beheading, raping, and selling Christians" and that hundreds of thousands of Christians have been forced to flee or die. But while ISIS tracks down Christians for sale and slaughter, the Obama Administration and other Western leaders stand by idle.
For more than a year, the justice group states in an article on Thursday, "President Obama has failed to appoint an Ambassador to lead a Special Envoy to Promote Religious Freedom of Religious Minorities in the Near East and South Central Asia."
"While Christians and other religious minorities are decimated in that region, the Obama administration leaves this vital position unfilled. This is why the ACLJ has urged them to fill this spot and will continue to do so," it said.
Just this week, in fact, the Catholic relief agency Aid to the Church in Need announced that "Christians have become a form [of] currency in this tragedy." They report that many Arab Christians are being abducted and held for ransom as a means of funding ISIS.  One priest's family managed to scrape together the $120,000 ransom put on his head, but once they paid the sum, they were mailed his cut-up body parts in a box, the ACLJ notes.
The Islamic State has seized significant territory across Iraq and Syria, and for more than a year now has been heavily targeting Christians and other religious minorities.
"Despite President Obama's insistence that there is no need for greater U.S. involvement with ISIS," the letters states, "these jihadists continue to gain more influence, money, and power.  Every day, we see new accounts of Christians & Yazidis begin captured, women being enslaved, and mass murders being committed by ISIS."
"If this is not the kind of evil that our government is established to stop, then one must ask what is," the ACLJ said. "This evil must be stopped."
When the Obama Administration when it intended to appoint a special envoy to protect religious minorities in the Middle East and South Central Asia—even though Congress passed legislation over a year ago creating the post—the White House responded that it does not know.
"We have no personnel announcement to make at this time," said Alistair Baskey, a spokesman for the White House's National Security Council told CNSNews.com in response to queries as to when the post will be filled and why there has been such a long delay in filling the position.
Follow Thomas D. Williams on Twitter @tdwilliamsrome



samedi 22 août 2015

Destruction du monastère de Mar Elian : la douleur du père HilalRadio Vatican

Destruction du monastère de Mar Elian : la douleur du père HilalRadio Vatican
21/8/2015-Destruction du monastère de Mar Elian : la douleur du père Hilal

Bulldozer en train de détruire le monastère - AP
(RV) Entretien - C'est une nouvelle tragédie pour les chrétiens de Syrie : des membres de l'Etat islamique ont détruit un monastère dans la ville d'Al-Qaryatayn, au-sud-est de Homs et au nord-ouest de Damas. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, le monastère de Mar Elian, construit il y a 1500 ans, a été rasé à coup de bulldozer comme on peut le voir sur une vidéo des islamistes mise en ligne sur internet. On estime qu'environ 1400 syriaques orthodoxes et 400 catholiques assyriens vivaient à Al-Qaryatain avant de tomber aux mains de l'EI.
Le père jésuite Ziad Hilal, qui est basé à Homs, connait bien ce monastère. Ce prêtre syrien évoque, depuis Londres où il est actuellement en études, son attachement au monastère de Mar Elian et ses inquiétudes face à la présence des djihadistes dans la région de Homs. Il est interrogé par Cyprien Viet

Après la destruction du monastère et l'enlèvement de plusieurs dizaines de chrétiens par les terroristes, l'Œuvre d'Orient publie une déclaration du patriarche syriaque catholique. Mgr Younan interpelle l'Occident face à des « aberrations commises par des barbares qui se réclament d'Allah et de la religion de la miséricorde »



vendredi 21 août 2015

Le monastère syrien de Saint-Elian (Ve siècle) détruit par Daech | La-Croix.com - Monde

Le monastère syrien de Saint-Elian (Ve siècle) détruit par Daech | La-Croix.com - Monde
21/8/2015-Le monastère syrien de Saint-Elian (Ve siècle) détruit par Daech
Daech a détruit un monastère syriaque catholique du Ve siècle dans le centre de la Syrie, a rapporté vendredi 21 août l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
« L'EI a détruit hier (jeudi) le monastère de Saint-Elian à al-Qaryataïne », localité de la province de Homs capturée par les djihadistes le 5 août. « Au moyen de bulldozers, ils ont détruit le monastère sous prétexte que les gens y adoraient un (autre) dieu que Dieu », a indiqué Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire.
Le patriarche syrien-catholique Ignace Youssef III Younan a publié une déclaration vendredi 21 août, s'alarmant des « horreurs à n'en plus finir » commises par Daech. « Le prêtre qui desservait (le monastère de Saint-Elian, NDLR), le P. Jacques Mourad est toujours enlevé depuis trois mois, sûrement par ces mêmes terroristes qui se réclament de la religion de la miséricorde et commettent toutes sortes d'absurdités, au nom de leur Allah !, écrit-il. J'essaie de communiquer avec notre administrateur du diocèse de Homs, car nous craignons pour les dizaines de familles prises en otage, mais sans succès ! »

« Jusqu'à quand le monde dit "civilisé" gardera-t-il un silence hypocrite ? »

« Jusqu'à quand le monde dit "civilisé" gardera-t-il un silence hypocrite, quand tout le monde est au courant des horreurs commises par ces barbares ?, poursuit le patriarche. Comment un pays qui se dit défenseur des droits de l'homme ferme-t-il les yeux devant des aberrations telles que décapiter, confiner en esclavage et violer enfants et femmes ?… Est-ce ça la démocratie ? En somme, nous devons le crier à haute voix : nous craignons Daech, parce que nous avons été abandonnés et nous n'avons pas les moyens de nous défendre comme c'est le cas au Liban ».
Daech a posté sur Internet des photos du monastère et celles de bulldozers opérant des destructions de parties du lieu. Le monastère, qui porte le nom d'un saint de Homs martyrisé par les Romains pour avoir refusé d'abandonner le christianisme, était un lieu de pèlerinage et de dialogue entre les religions à al-Qaryataïne, elle-même symbole de coexistence entre chrétiens et musulmans.
Le jour de la capture d'al-Qaryataïne, Daech a enlevé au moins 230 personnes, dont des dizaines de chrétiens. Selon l'Observatoire, 48 d'entre elles ont été relâchées et 110 ont été conduites vers le bastion de Daech à Raqqa (nord). Le sort des 70 autres reste inconnu.
En mai, un prêtre syriaque catholique du monastère, le P. Jacques Mourad, avait été enlevé par trois hommes masqués, au lendemain de la prise par Daech de la ville antique de Palmyre, proche de cette localité.
» Lire aussi : En Syrie, la communauté locale se mobilise pour la libération du P. Mourad



mercredi 25 décembre 2013

Au moins 44 morts dans des attentats à Bagdad, en Irak


25/12/2013-Au moins 44 morts dans des attentats à Bagdad, en Irak


Une explosion à la voiture piégée a tué au moins douze personnes près d'une église, à Bagdad, mercredi 25 décembre.

Au moins quarante-quatre personnes ont été tuées dans de nouvelles violences en Irak, mercredi 25 décembre, dont trente-cinq dans un attentat contre un marché du sud de Bagdad. « Deux bombes ont explosé dans un marché de Dora, tuant trente-cinq personnes et en blessant cinquante-six », a indiqué Saad Maan, le porte-parole du ministère de l'intérieur, qui a insisté sur le fait que le marché était visé, et non une église.

Des premières informations de sources sécuritaires avaient annoncé qu'une église à proximité avait été la cible de l'attaque. « La zone visée est une zone où cohabitent musulmans et chrétiens », a souligné M. Maan. Une majorité de chrétiens figurent cependant au nombre des victimes. Le patriarche chaldéen, Louis-Raphaël Sako, a souligné que l'attaque « visait un lieu pauvre près de l'église à Dora ». Le quartier de Dora avait déjà été la cible jeudi d'un attentat antichiite, où au moins vingt personnes avaient été tuées.
Mercredi, un autre attentat à la bombe a tué une personne et en a blessé trois autres, toujours dans le sud de Bagdad. Au nord de Bagdad, une bombe a explosé sous les gradins d'un stade de football, tuant quatre personnes, dont deux policiers, et en blessant onze. A Tikrit, dans le nord de l'Irak, des hommes armés ont abattu trois policiers. Et sur une route entre Kirkouk et Touz Khourmatou, une personne a été tuée et sept autres blessées par l'explosion de plusieurs bombes.
L'année 2013 a été noire pour l'Irak, qui a renoué avec des niveaux de violences proches de ceux de 2008. Plus de six mille sept cents personnes ont été tuées depuis le début de l'année dans le pays, selon un bilan compilé par l'Agence France-presse. Octobre y a été le mois le plus meurtrier depuis avril 2008, selon des chiffres officiels publiés vendredi 1er novembre à Bagdad. Ils font état de neuf cent soixante-quatre personnes tuées dans une spirale de violences sanglantes. Sur les huit premiers jours de décembre uniquement, plus de personnes sont mortes dans des violences que sur l'ensemble du mois en 2012.
Les autorités irakiennes se disent particulièrement inquiètes de la résurgence de groupes liés à Al-Qaida, enhardis par le conflit en Syrie voisine, et accusent des insurgés sunnites liés au réseau extrémiste de la plupart des attentats.


Envoyé de mon Ipad 

mardi 24 décembre 2013

Soeur Hatun a parlé avec 218 chrétiennes violées et torturées par les islamistes : Observatoire de l'islamisation


24/12/2013- Soeur Hatun a parlé avec 218 chrétiennes violées et torturées par les islamistes

dogan.jpgUn témoignage exceptionnel de Hatun Dogan, soeur orthodoxe turque, qui tint une conférence à Vienne le 10 décembre dernier sur la réalité des Chrétiens en Turquie, Irak et Syrie.
Des discriminations officielles dans le système scolaire turc aux persécutions en Irak, où on apprend que le sang des Chrétiens collecté lors de sacrifices est revendu en Arabie Saoudite afin que les islamistes se lavent les mains avec du sang sacrifié pour Allah...
Voir sa biographie Wikipedia


Envoyé de mon Ipad 

samedi 19 octobre 2013

Abbas Ibrahim affirme que les évêques enlevés en Syrie vont bien


olj.com | 19/10/2013 | 10h16
Le directeur général de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, a affirmé samedi que les deux évêques enlevés en Syrie se portaient bien, soulignant  qu’il déployait tous les efforts nécessaires en vue de leur libération.

Le général Ibrahim, qui se trouve à Istanbul pour accueillir les neuf pèlerins libanais libérés la veille, a indiqué à la chaine LBC que son récent voyage en Belgique était lié à ce dossier.
Les évêques Boulos Yazigi (grec-orthodoxe) et Youhanna Ibrahim (syrien-orthodoxe) ont été enlevés il y a plusieurs mois en Syrie. Aucune nouvelle concernant leur sort n’a filtré depuis.

vendredi 16 août 2013

Burning of Virgin Mary Monastery in DeirMawas, Minya, Bishop Tadros Monastery in Fayoum and Sohag Diocese’s services building.
Brotherhood supporters continue to demolish and burn Atfih Diocese in Giza [Greater Cairo], a large number of churches in Minya [Upper Egypt], Fayoum, Assiut, Suez, Arish [Sinai], Luxor [south Egypt], the Bible Society headquarters in Cairo, and the Franciscan school in Suez.
Sohag Diocese burnt and destroyed

Sohag (Egypt), 14 August /MCN/ by Nader Shukri

A number of Islamists broke into the St. George Diocese in Sohag and set fire to the church. Fire trucks arrived too late, after the fire had consumed the building.

H.G. Bishop Bakhoum stated that MB supporters had stormed the church, setting fire to the services building and looting all its contents, in addition to assaulting the priests who were inside.

Speaking to MCN, eyewitnesses said police forces and firefighters arrived late at the scene, while a number of MB supporters hijacked a fire truck to prevent it from putting the flames.

Vehicles transporting armed MB groups were seen by eyewitnesses, as they threatened to attack Copts and unarmed citizens on the streets.

Several other governorates in Upper Egypt have witnessed attacks on Copts and churches, after security forces broke up Brotherhood sit-ins at Rabaa el-Adaweya and Nahda squares. In Fayoum, the Friends of the Bible Association headquarters was burned, while MB supporters opened fire on a nuns’ school in BeniSuef, and Archangel Michael’s Church in Assiut was besieged. Meanwhile, several villages in Minya have also witnessed attacks targeting Copts’ houses and churches..
Two churches attacked in Assiut and Wasta, army protects Two Saints Church in Alexandria
Egypt, 14 August /MCN/ by Nader Shukri

The Muslim Brotherhood and other Islamist current supporters assaulted the Archangel Michael Church in Assiut [Upper Egypt], on Wednesday, as well as properties of citizens and Christians in the area.

Security was able to gain control of the situation in the two streets, Namees and Gomhuriya, after clashes with MB supporters around the governorate’s central building.

In Wasta City, BeniSuef [Upper Egypt], Father AngelosMaqar, priest of St. George Church in the village, reported, “Militants hurled stones at the church, breaking its windows.”

In Alexandria, “Troops secured the church and closed the streets leading to it in case of any violence,” said Joseph Malak, lawyer for the families of Two Saint Church bombing victims.

“At the same time, Christian youth went out to several areas to protect the churches, including the church of Maximous and Damadious in Street 45, SidiBeshr.”

He added there are now violent clashes between security forces and Islamists at al-Qa’ed Ibrahim Mosque.

Churches in Egypt had canceled morning masses, especially in the provinces of Minya, Assiut and Fayoum, and closed their doors in anticipation of any violence that would target the congregations.

It is worth mentioning that Brotherhood supporters have been rioting throughout Egyptian governorates since security forces broke up the sit-in at Rabaa el-Adaweya Square in Nasr City, Cairo. The sit-in was dismantled at 6.00 am on Wednesday morning.

Attacks are focused on police stations, churches and Christian homes, particularly in the Upper Egypt governorates, such as Minya. Islamists broke into Virgin Mary and St. Abraam Monastery in Delga village. They set fire to three churches and six services buildings, and marched in the village chanting against the Copts, surrounding their homes and assaulting them with stones, as security was completely absent.

The crowd also set fire to a church services building of St. Mina the Wondrous Church in the south of the province, and attacked the Evangelical Baptist church in BeniMazar.

The Islamists also besieged churches in Samalout and Mallawi, and set fire to two churches in the Fayoum governorate [southwest of Cairo] and attacked Coptic homes and burned churches in Suez.
Greek Church and two Coptic schools in Suez burned
Suez (Egypt), 14 August /MCN/ by Nader Shukri

A number of Muslim Brotherhood and GamaatIslamiyya extremists burned down the ancient Greek Church on Paradise Street in the Suez governorate, in addition to a monastery and a school. They also set fire to the Franciscan school on el-Geish Street.

Governorates throughout Egypt have witnessed attacks on Copts and churches, after security forces broke up Brotherhood sit-ins at Rabaa el-Adaweya and Nahda squares. In Fayoum, the Friends of the Bible Association headquarters was burned, while MB supporters opened fire on a nuns’ school in BeniSuef, and Archangel Michael’s Church in Assiut was besieged. Meanwhile, several villages in Minya have also witnessed attacks targeting Copts’ houses and churches.
Islamists storm St. Mary and St. Abraam Monastery in Upper Egypt, burn three churches and six buildings inside
Minya (Egypt), 14 Augut /MCN/

Islamists attacked St. Mary and St. Abraam Monastery in Delga village, Minya [Upper Egypt]. The crowd stormed the monastery and set fire to three churches and six services buildings inside.

Supporters of former President Mohamed Morsi have been rioting throughout Egyptian governorates since security forces broke up the sit-in at Rabaa el-Adaweya and Nahda squares. The sit-in was dismantled at 6.00 am on Wednesday morning.

Attacks are focused on police stations, churches and Christian homes, particularly in the Upper Egypt governorates, such as Minya.

The crowd also set fire to a church services building of St. Mina the Wondrous Church in the south of the province, and attacked the Evangelical Baptist church in BeniMazar. Islamists also besieged churches in the cities of Samalout and Mallawi.

Father SelwanesLotfi, priest of St. Mary and St. Abraam Church told MCN, “The Islamists set fire on the monastery, which includes three churches. They stormed the monastery, setting areas on fire as they went, including the historical St. Mary Church, St. George Church and St. Antony Church.”

Witnesses said the house of Fr. Angelous, also a priest of the church, was burnt. They blamed the absence of security forces for the current deteriorating situation witnessed in the village, and noted that a state of panic dominates the Copts of the village due to the siege imposed on their houses by the Islamists.

Christians of the area called on security authorities to intervene and prevent a potential massacre.

Islamists marched to St. Mary Church in DeirMawas, chanting against Copts and H.H. Pope Tawadros II. They assaulted the church with stones, breaking glass and windows of the building, and attacked a Coptic-owned shop.

A witness told MCN that the march was organized to protest the breakup of the Rabaa el-Adaweya and Nahda squares demonstrations. They attacked all that was owned by Copts.

Security forces prevented an attempt to storm the village of Beni Ahmed and attack its Coptic residents, exchanging fire with Islamists. The Coptic residents of the villages of Rida, BeniMazar and Maghagha faced consecutive attacks from Morsi supporters, who opened fire indiscriminately on Christian homes.

Islamists threw Molotov cocktails at the Evangelical church in Abu Helal, south Minya, burning the church and its services building.

A witness said that masked people on motorcycles used automatic weapons and birdshot on St. Mina’s Orthodox Church, and then threw Molotov cocktails at the Evangelical church.

Pastor Samir Sadek, head of Minya's Evangelical Synod, told MCN that a number of extremists attacked the church. He rebuked the absence of the security forces, praising the role performed by the residents who exerted their efforts to contain the fire. He signaled that the fire trucks failed to reach to the church due to the narrow street.

The crowd also set fire to a tourist ferry owned by the Coptic Evangelical Authority and another owned by Coptic businessman Samuel ThabetZaki.
MB supporters surround Virgin Mary Church in Qena
Qena (Egypt), 14 August /MCN/

A number of Brotherhood supporters surrounded the Virgin Mary Church in West Qena [southern Egypt], locking worshipers inside the church. This attack is one of the organized violent measures taken by the MB and Islamic movements, which have increased significantly after security forces broke up the sit-ins at Rabaa el-Adaweya and Nahda squares.

Speaking to MCN, H.G. Bishop Kyrillos, Nag Hammadi’s bishop, said he learned of MB gatherings headed to Abu Tesht, which is about 35 kilometers from Nag Hammadi, to attack the local diocese.

He added he had contacted security forces to protect Copts’ places of worship and their properties.

“Dozens of MB supporters and GamaatIslamiyya surrounded the Virgin Mary’s Church in Qena,” explained a security source to MCN, pointing out that church officials had to close its doors for fear of being attacked by extremists.

The city of Qena has witnessed widespread riots by Islamists, while police forces used tear gas to disperse demonstrators who attempted to storm the Qena governorate office, while other Islamist groups surrounded the court building in Qena, which was evacuated of its employees.
Islamists demolish and burn Coptic diocese in Atfih amid security’s absence
Giza (Egypt), 14 August /MCN/ by Nader Shukri

Islamists looted, demolished and burned Atfih Coptic Diocese in the Giza governorate [Greater Cairo], during a lack of full security forces.

Hundreds besieged the diocese, setting fire to the building, looting its contents and have now begun to destroy the remaining structure.

The Copts were able to smuggle Fr. Makorious, priest of the diocese’s church, during the attack.

The Church called upon the military to intervene and protect the Copts and diocese in Atfih. Violence in the city is quickly escalating as news spread of the death of an Atfih Islamist during the military’s break-up of the Brotherhood sit-in in Rabaa el-Adaweya Square in Cairo, this morning.