Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

dimanche 30 décembre 2018

SYRIE - Commentaire positif du Vicaire apostolique d’Alep à la décision américaine de retrait de sa présence armée


Alep (Agence Fides) – « Nous sommes toujours contents lorsque des forces et des groupes armés étrangers se retirent, abandonnent le terrain et laissent aux syriens la responsabilité et la liberté d’affronter et de résoudre leurs propres problèmes ». C’est en ces termes que S.Exc. Mgr Georges Abou Khazen OFM, Vicaire apostolique d’Alep pour les catholiques de rite latin, commente la décision du Président américain, Donald J. Trump de lancer – malgré les résistances du Département de la Défense – le retrait des forces militaires américaines présentes en Syrie.
L’Evêque franciscain fait remarquer que « dans tous les cas il existe des inconnues : qu’en sera-t-il maintenant des kurdes ? Quelles seront les prétentions de la Turquie vis-à-vis d’eux ? Les Etats-Unis – remarque le Vicaire apostolique d’Alep dans un entretien accordé à l’Agence Fides – abandonnent maintenant les kurdes après s’en être servis. Nous ne savons pas ce que ce choix pourra comporter pour eux ».
Entre temps, la Russie, la Turquie et l’Iran visent à fournir un appui et une couverture internationale à la création d’un Comité constitutionnel chargé de donner à la Syrie une nouvelle Constitution et de lancer sous l’égide de l’ONU une réforme institutionnelle qui stabilise la fin du conflit et implique des groupes d’opposition au sein des processus politiques. La première session du Comité en question pourrait avoir lieu au début de l’an prochain, selon les vœux exprimés par les Ministres des Affaires étrangères turc, russe et iranien lors de leur réunion du 18 décembre à Genève – malgré les réserves de l’Envoyé spécial de l’ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura, démissionnaire – concernant la possibilité de faire partir à court terme un processus constitutionnel véritablement inclusif. « Y compris en ce qui concerne l’hypothèse du Comité pour la nouvelle Constitution – remarque le Vicaire apostolique d’Alep – les positions et les intentions des Etats-Unis n’étaient pas claires. On ne parvenait pas à comprendre si et de quelle manière les Etats-Unis auraient été disposés à appuyer le processus de reconstruction nationale. Le retrait des troupes américaines de Syrie pourrait clarifier la situation y compris à ce niveau ».
Le Président américain, Donald J. Trump, a signé le 11 décembre dernier l’Iraq and Syria Genocide Relief and Accountability Act of 2018, loi qualifiant de génocide la série de crimes perpétrée au cours de ces dernières années par des groupes djihadistes à l’encontre de chrétiens et yézidis en Irak et en Syrie, engageant l’Administration américaine à fournir assistance humanitaire aux groupes de victimes des violences et à poursuivre les responsables et les exécutants de ces crimes. La norme en question permet de faire partir l’assistance financière américaine en direction de projets humanitaires, de stabilisation et de reconstruction destinés aux minorités religieuses en Irak et en Syrie et a été accueillie avec enthousiasme par des représentants des Eglises au Proche-Orient. A ce propos, le Vicaire apostolique d’Alep pour les catholiques de rite latin exprime des considérations différentes : « L’Irak et la Syrie – indique-t-il dans l’entretien précité – constituent des pays qui pourraient être riches. Nous n’avons pas besoin des ressources financières d’autrui. Nous avons besoin de la paix. Aux autres, nous demandons de ne pas fomenter les guerres. Avec la paix, la condition, y compris économique, de l’ensemble de la population, chrétiens compris, pourra s’améliorer. C’est pourquoi nous prions afin que ce Noël apporte la paix à toute la Syrie, comme il l’a porté voici deux ans à la ville d’Alep ». (GV) (Agence Fides 20/12/2018)

jeudi 20 décembre 2018

Promulgation par le Président des Etats-Unis de la loi sur le « génocide des chrétiens » au Proche-Orient

Washington (Agence Fides) – 

Le Président Donald J. Trump a signé hier l’Iraq and Syria Genocide Relief and Accountability Act of 2018, loi qui qualifie de génocide la série de crimes perpétrés au cours de ces dernières années par des groupes djihadistes à l’encontre de chrétiens et de yézidis en Irak et en Syrie, engageant l’administration à fournir une assistance humanitaire à des groupes de victimes des violences et à poursuivre les responsables et les exécuteurs matériels des faits.
 Lors de la cérémonie de la signature, étaient notamment présents l’Archevêque chaldéen d’Erbil, S.Exc. Mgr Bashar Warda, le Chevalier suprême des Chevaliers de Colomb, Carl Anderson, l’Ambassadeur des Etats-Unis près le Saint-Siège, Callista Gingrich, et S.Exc. Mgr Timothy Broglio, Ordinaire militaire pour les Etats-Unis d’Amérique.
La loi lance une assistance financière américaine destinée à des projets humanitaires, de stabilisation et de reconstruction en faveur des minorités religieuses en Irak et en Syrie. L’assistance peut être mise en œuvre au travers d’instruments et d’organisme dépendant directement de l’administration fédérale ou par l’intermédiaire d’autres organisations, y compris de nature ecclésiale et religieuse.
Le document permet en outre au Département d’Etat de conduire des enquêtes pénales et de procéder à l’arrestation d’individus identifiés comme membres présumés de groupes djihadistes afin de punir ou de prévenir des actes de violence à l’encontre des minorités religieuses
Le Président américain en personne, après avoir signé la nouvelle loi, a confirmé l’engagement de l’administration américaine à mettre en œuvre également les procédures engageant les organes ad hoc à poursuivre les responsables des crimes.
La Chambre des Représentants avait, le 27 septembre dernier, approuvé à l’unanimité le projet de loi HR 390
Précédemment le même texte avait reçu le soutien unanime du Sénat.
La signature de la loi de la part du Président Trump est le résultat de l’activité de pressions déjà conduites sous l’administration Obama par des organisations américaines telles que les Cavaliers de Colomb, le cartel In Defense of Christians, le Family Research Council, la Commission pour l’éthique et la liberté religieuse de la Convention des Baptistes du Sud, l’initiative Wilberforce du XXI° siècle, le Centre pour la liberté religieuse de l’Institut Hudson.

A l’occasion de la signature, des moyens de communication américains ont retransmis les paroles référées au représentant Chris Smith par l’Archevêque chaldéen d’Erbil, S.Exc. Mgr Bashar Warda, selon lequel « les chrétiens en Irak sont encore au bord de l’extinction et la HR 390 est vitale pour notre survie. Son application doit être complète et rapide sans quoi l’aide qu’elle prévoit arrivera trop tard pour nous ».
La Commission des Etats-Unis sur la liberté religieuse internationale (USCIRF), organisme fédéral indépendant et politiquement transversal institué par le Congrès, a fait les éloges du Président Trump qui a finalement promulgué la loi.
 « Dans ce projet de loi, nous lançons également le message selon lequel les responsables de ces crimes, y compris le génocide, n’échapperont pas à la justice » a affirmé le Vice-président de l’USCIRF, Kristina Arriaga.

L’acte législatif permettant aux groupes motivés par la foi religieuse de recevoir des aides financières de la part des Etats-Unis modifie en partie la précédente politique du Département d’Etat et de l’Agence américaine pour le Développement international, qui utilisaient principalement les Nations unies en vue de la distribution de fonds dont les canaux étaient considérés comme neutres du point de vue religieux.
Le 25 octobre 2017, le Vice-président américain, Michael Pence, avait annoncé ce changement dans les procédures utilisées par la politique américaine en matière de financements destinées aux urgences humanitaires (voir Fides 27/11/2017). « ».
 « Nous ne nous remettrons plus seulement aux Nations unies pour aider les chrétiens persécutés et les minorités » avait déclaré Michael Pence, indiquant que les agences fédérales « travailleront aux côtés des groupes de foi et des organisations privées pour aider ceux qui sont persécutés à cause de leur foi ».
Précédemment, le Patriarche de Babylone des Chaldéens, S.B. Louis Raphaël I Sako, non encore créé Cardinal, avait fait remarquer que « au cours de ces dernières années, au Proche-Orient, les chrétiens ont enduré des injustices, des violences et le terrorisme. Cependant, cela a été le cas aussi pour leurs frères irakiens musulmans et pour ceux d’autres fois religieuses. Il ne faut pas séparer les chrétiens des autres parce que de cette manière, la mentalité sectaire est alimentée ». (GV) (Agence Fides 12/12/2018)


Iraq and Syria Genocide Relief and Accountability Act of 2017
This bill directs the Department of State to provide assistance to entities taking specified criminal and judicial actions against individuals who are suspected of committing genocide, crimes against humanity, or war crimes in Iraq since January 2014 or in Syria since March 2011.
The State Department shall encourage foreign governments to identify and prosecute individuals who are suspected of committing such crimes, including members of foreign terrorist organizations operating in Iraq or Syria.
The Department of Justice shall review existing criminal statutes concerning genocide, crimes against humanity, and war crimes to determine:
  • the extent to which U.S. courts have jurisdiction over such crimes where the perpetrators or victims are U.S. nationals, residents, or persons present in a U.S. territory;
  • current statutes that would apply to such conduct and whether additional statutory authorities are necessary; and
  • the extent to which the absence of criminal statutes defining the crimes or granting jurisdiction impede their prosecution in U.S. courts.
The State Department shall identify:
  • threats of persecution, genocide, crimes against humanity, and war crimes against members of Iraqi or Syrian religious or ethnic groups that are minorities in Iraq or in Syria with respect to whom the Islamic State of Iraq and Syria (ISIS) has committed such crimes in Iraq or Syria since January 2014, or who are members of other persecuted religious or ethnic groups;
  • humanitarian, stabilization, and recovery needs of these individuals; and
  • assistance provided by the United States, the U.N., and other entities, including faith-based entities.
Aliens who are, or were, a national and a resident of Iraq or Syria, and who share common characteristics that identify them as targets of persecution on account of membership in a religious or ethnic minority in that country: (1) are deemed to be of special humanitarian concern to the United States; and (2) shall be eligible for priority-2 processing under the refugee resettlement priority system.

The Foreign Operations, Export Financing, and Related Programs Appropriations Act, 1990 is amended to extend: (1) refugee set-asides for nationals of the former Soviet Union, Estonia, Latvia, or Lithuania; and (2) the period of eligibility for status adjustment from a parolee who was denied refugee status to a lawfully admitted permanent resident for certain aliens from the former Soviet Union, Estonia, Latvia, Lithuania, Vietnam, Laos, or Cambodia.

mardi 11 décembre 2018

EMIRATS ARABES UNIS - Déclarations du Vicaire apostolique d’Arabie méridionale sur le prochain voyage du Pape, « un pas historique pour le dialogue entre chrétiens et musulmans et pour la paix »

Abu Dhabi (Agence Fides) – « La première visite du Pape François dans la péninsule arabique constitue un moment clef pour le dialogue entre musulmans et chrétiens ». C’est ce que déclare à l’Agence Fides S.Exc. Mgr Paul Hinder, Vicaire apostolique d’Arabie méridionale, région qui comprend les Emirats arabes unis, Oman et le Yémen. « Nous accueillons le Pape avec un cœur ouvert et nous prions avec les mots de Saint François d’Assise : Seigneur, fais de nous un instrument de Ta paix. Nous espérons que la visite apostolique constituera un pas important sur le chemin du dialogue entre musulmans et chrétiens et qu’elle contribuera à la compréhension réciproque et à la paix au Proche-Orient » indique Mgr Hinder.
Le 6 décembre, le Saint-Siège a annoncé que le Pape effectuera une visite de trois jours aux Emirats arabes unis du 3 au 5 février 2019. La visite fait suite à l’invitation lancée par le cheick Mohammed bin Zayed Al Nahyan, Prince héritier d’Abu Dhabi et vice commandant des forces armées des Emirats arabes unis, afin que le Pape participe à la rencontre interreligieuse sur la « fraternité humaine ». En annonçant la visite du Pape, le Prince héritier a déclaré dans un tweet que « le Pape est un symbole de paix, de tolérance et de promotion de la fraternité. Nous attendons avec trépidation cette visite historique au travers de laquelle nous chercherons le dialogue et la coexistence pacifique entre les peuples ».
La visite, indique le Vicaire apostolique, constitue également une réponse à l’invitation adressée au Pape François par la petite communauté catholique vivant aux Emirats arabes unis. Mgr Hinder a exprimé sa gratitude au gouvernement des Emirats arabes unis et a indiqué qu’une commission spéciale a été créée, commission qui est en contact étroit avec le gouvernement et s’occupera de la gestion de tous les aspects du pèlerinage du Pape.
La célébration de la Messe aura lieu le 5 février dans une zone publique d’Abu Dhabi. « Il s’agit d’un geste de courtoisie que nous apprécions et reconnaissons » a déclaré le Vicaire apostolique, se référant au gouvernement.
La visite du Pape François sera la première d’un Souverain Pontife dans la péninsule arabique. Le thème choisi par le Vicariat apostolique d’Arabie méridionale pour la visite est tiré de la Prière attribuée à Saint François d’Assise : « Seigneur, fais de moi un instrument de Ta paix ». La visite intervient également au cours de l’année marquant le VIII° centenaire de la rencontre entre Saint François d’Assise et le sultan Malik Al-Kamil en Egypte en 1219. (SD) (Agence Fides 11/12/2018)

mercredi 5 décembre 2018

Quand les patriarches catholiques d’Orient plaident pour l’égalité des chrétiens avec les musulmans

droits des chretiens d-Orient

COMMUNAUTÉS
Le congrès des prélats s’est tenu cette année à Bagdad.
Fady NOUN | OLJ le 4-12-2018
04/12/2018
La réunion « pour la première fois en Irak » (à Bagdad) du Conseil des patriarches catholiques d’Orient (CPCO) est « le signe parlant de la solidarité des patriarches catholiques orientaux avec ce pays, de leur liens avec ses chrétiens, un encouragement au retour des déplacés dans leurs villages et villes d’origine, et un message de refus de tout fanatisme, de tout extrémisme et de volonté de consolidation des valeurs de la vie commune ». Tel est le message central publié vendredi soir à l’issue de la rencontre à Bagdad du CPCO.
Le Conseil des patriarches catholiques d’Orient a tenu son congrès du 26 au 30 novembre au siège du patriarcat chaldéen à Bagdad, en présence des patriarches chaldéen, Louis Raphael Sako ; maronite, Béchara Raï ; copte-catholique, Ibrahim Ishak Sedrak ; grec-catholique, Youssef Absi ; syriaque-catholique, Ignace Joseph III Younan ; arménien-catholique, Krikor Bedros XX ; et de Mgr William Hanna Shomaly, évêque auxiliaire, représentant le patriarche des latins de Jérusalem, ainsi que de Mgr Alberto Ortega Martin, nonce apostolique en Jordanie et en Irak.
Le conseil s’est également félicité, dans son communiqué, de l’audience que le président irakien Barham Saleh a accordé à ses membres, ainsi que de la visite qu’il a rendu au Premier ministre nouvellement désigné, Adel Abdel Hadi.
Avec ces deux personnalités officielles, « des sujets intéressant l’Irak et le Moyen-Orient ont été soulevés » qui répondent aux aspirations du CPCO : égalité civique de tous les habitants d’un pays en droits et en devoirs (égalité civique) sur la base de la citoyenneté, et le retour des populations déplacées en Irak. Les patriarches citent également, parmi ces aspirations, l’instauration d’un État civil, soit l’État du droit et des institutions, et le respect de toutes les croyances, sans discrimination. Les patriarches se sont dit « satisfaits de ce qu’ils ont reçu comme assurance que les chrétiens ne sont pas une minorité mais une composante essentielle de la population de l’Irak ». Ils ont décidé de tenir leur prochain congrès au Caire, du 25 au 29 novembre 2019, à l’invitation du patriarche des coptes-catholiques.


Pensée ténébreuse
Dans leur communiqué final, les patriarches se sont engagés à « agir en commun dans le but d’assurer (aux jeunes Irakiens) les conditions nécessaires à leur maintien sur leur terre ».Ils l’ont fait en réponse « aux défis et difficultés qu’ils endurent dans la situation actuelle du Moyen-Orient, à l’origine d’une hémorragie humaine qui menace leur avenir et toute la présence chrétienne au Moyen-Orient ».
La réunion de Bagdad s’était inscrite, d’emblée, dans le sillage de l’assemblée spéciale du synode des évêques « Les jeunes et le discernement vocationnel » qui s’était tenue à Rome, en novembre dernier

 Restez attachés à vos patries. Participez à leur édification. Nous sommes un petit nombre, mais nous sommes sel, lumière et levain. Nous sommes l’Église des martyrs », a encore lancé le CPCO aux jeunes chrétiens d’Irak et, par eux, à tous les jeunes chrétiens des pays du Moyen-Orient. « Édifiez vos patries aux côtés de tous vos concitoyens, participez aux souffrances et aux sacrifices de tous, pour leur progrès et leur prospérité. Faites l’histoire de vos patries aux côtés de vos concitoyens, quelles que soient les difficultés humaines ou circonstancielles que vous affrontez », a encore affirmé le CPCO, se félicitant de « l’atmosphère positive qui a commencé à prévaloir en Irak et qui s’est manifestée par l’élection d’un nouveau président et d’un nouveau Premier ministre, soulignant en particulier la nécessité d’extirper la pensée ténébreuse prônée par le groupe État islamique des esprits et des discours ».
« L’Irak est notre pays, c’est là que nous avons notre histoire, notre civilisation et notre culture », a encore lancé le communiqué, qui a ensuite adressé de paroles d’encouragement et des appels à l’endurance aux chrétiens de Syrie, du Liban (en souhaitant la formation d’un gouvernement au plus vite et au retour dans leur patrie des déplacés syriens), de Palestine, de Jordanie et d’Égypte.
En conclusion, les patriarches orientaux ont insisté sur le respect des libertés religieuses, citant à ce propos le pape émérite Benoît XVI affirmant : « La paix et la justice dans ce monde ne se réaliseront pas si nous ne respectons les libertés religieuses de tous. »

Lire aussi
l Orient -Le jour du 4-12-2018
https://www.lorientlejour.com/article/1146619/quand-les-patriarches-catholiques-dorient-plaident-pour-legalite-des-chretiens-avec-les-musulmans.html