Le pape François a lancé un appel pressant dimanche 2 juin
lors de l'Angélus aux responsables de prises d'otages en Syrie pour
qu'ils fassent preuve d'"humanité".
Au terme de la prière de l’angélus, dimanche 2 juin 2013, le pape François
a exprimé « sa vive préoccupation » face à « la persistance du conflit
qui, depuis plus de deux ans, enflamme la Syrie et affecte en
particulier la population civile qui aspire à la paix dans la justice et
la compréhension ». Cette situation de guerre, souligne-t-il, « a de
tragiques conséquences : mort, destruction, dommages économiques et
environnementaux considérables, mais aussi la plaie des enlèvements. »
Tout en déplorant ces faits, il a exprimé sa solidarité et dit prier pour les personnes enlevées et leurs familles. « Je fais appel à l’humanité des ravisseurs afin qu’ils libèrent les victimes », a-t-il précisé alors qu’on est toujours sans nouvelles de Mgr Yohanna Ibrahim, évêque syrien-orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos Yaziji, évêque grec-orthodoxe de la ville, kidnappés fin avril à Kafar Dael, près d’Alep, de retour de la frontière turque où ils s’étaient rendus pour négocier la libération du P. Michael Kayyal et du P. Maher Mahfouz, enlevés le 9 février.
Dans le monde, a poursuivi le pape « il y a tellement de situations de conflit, mais il y a aussi de nombreux signes d’espérance. (…) Je voudrais encourager les récents pas accomplis, dans différents pays d’Amérique latine, vers la réconciliation et la paix. (…) Accompagnons-les de nos prières. »
(Radio Vatican) Manœuvres diplomatiques
autour de la Syrie Tout en déplorant ces faits, il a exprimé sa solidarité et dit prier pour les personnes enlevées et leurs familles. « Je fais appel à l’humanité des ravisseurs afin qu’ils libèrent les victimes », a-t-il précisé alors qu’on est toujours sans nouvelles de Mgr Yohanna Ibrahim, évêque syrien-orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos Yaziji, évêque grec-orthodoxe de la ville, kidnappés fin avril à Kafar Dael, près d’Alep, de retour de la frontière turque où ils s’étaient rendus pour négocier la libération du P. Michael Kayyal et du P. Maher Mahfouz, enlevés le 9 février.
Dans le monde, a poursuivi le pape « il y a tellement de situations de conflit, mais il y a aussi de nombreux signes d’espérance. (…) Je voudrais encourager les récents pas accomplis, dans différents pays d’Amérique latine, vers la réconciliation et la paix. (…) Accompagnons-les de nos prières. »
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