Arabes du Christ
" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
lundi 5 mars 2018
آخر أسقف ماروني في دمشق؟ هل ستجد شخصاً تسلّمه مفتاح الكاتدرائية؟”
lundi 29 janvier 2018
Une chapelle du XIXe siècle à Issy-les-Moulineaux acquise par le diocèse maronite de France
La chapelle d’Issy-les-Moulineaux redevient… une chapelle
La chapelle Saint-Sauveur, reconvertie en espace culturel depuis 2004, sera « reconsacrée » ce samedi par l’église maronite, qui rassemble des catholiques originaires du Liban. Un événement qu’ils attendent avec impatience.L’événement est rare. Ce samedi, à Issy-les-Moulineaux, la chapelle Saint-Sauveur, déconsacrée en 2004 et reconvertie en espace culturel, redeviendra très officiellement… un lieu de culte. Une « cérémonie de reconsécration » a lieu à 18 heures. L’édifice sera désormais tenu par l’église maronite, cette communauté de catholiques originaires, pour beaucoup, du Liban, et qui l’a racheté à l’AP-HP (Assistance publique - Hôpitaux de Paris).
« C’est un merveilleux cadeau, je suis au ciel »
« Je ne voulais pas mourir avant de revoir cette chapelle utilisée comme chapelle ! »
samedi 23 septembre 2017
Le couvent historique de Mar Aboun sera restauré et rendu à la vie monastique
Le couvent historique de Mar Aboun sera restauré et rendu à la vie monastique
samedi 22 juillet 2017
Raï à l’ouverture des JMJM : « La valeur du Liban est dans son ouverture au monde »
Raï à l’ouverture des JMJM : « La valeur du Liban est dans son ouverture au monde »
vendredi 3 juin 2016
Maronites et Moyen Orient: « Regardons Marie pour recevoir la grâce de l’humilité » – ZENIT – Francais
JTK
dimanche 29 mai 2016
Fwd: Maronites en France
Expéditeur: Société de Presse France Catholique <francecatholique.mail@message-business.com>
Date: 28 mai 2016 22:36:29 UTC+
La lettre de France Catholique
Monachisme maronite en France
28 mai 2016par Vincent AUCANTELe monachisme est aux origines de la spiritualité maronite. Depuis saint Maron, l'ermite syrien qui vivait sans abri sur une colline au nord d'Alep, les moines sont un élément essentiel de l'Église maronite. Le monachisme maronite a été réformé au XVIIe siècle et on voit apparaitre les ordres monastiques sur le modèle des ordre latins, et qui sont placés directement sous l'autorité pontificale. Plusieurs de ces ordres sont aujourd'hui présents en France. À Lyon Suresnes ou Paris, les entretiens que ces relligieux libanais nous ont accordés, dressent, avec leurs similtudes et leurs différences, un portrait du monachisme maronite et de son évolution, ainsi que du rôle qu'il peut tenir et tient au cœur de la France. Ils nous font entrevoir également la très difficile situation du Liban confronté à une arrivée de réfugiés sans commune mesure avec celle que connaît aujourd'hui l'Europe.
Vous appartenez à l'Ordre antonin maronite et vous êtes le curé de paroisse maronite de Lyon. Quelle est la mission de votre ordre ? La principale mission de l'Ordre antonin maronite est le dialogue interreligieux, notamment avec l'islam et les Druzes. Notre tout premier (...)
lire en ligneL'ordre libanais maronite
28 mai 2016par Vincent AucanteMoine libanais maronite, supérieur de la maison Saint Charbel à Suresnes, destinée au religieux libanais étudiant en France, le P. Aboud Chewan est également curé de la récente paroisse maronite de Suresnes.
Quelles sont les origines de l'Ordre libanais maronite ? L'Ordre libanais maronite a été fondé en 1695. Initialement, c'était un ordre contemplatif dont les moines faisaient vœu de pauvreté et de chasteté. Ils demeuraient en communauté, et leur vie était partagée entre la prière et (...)
lire en ligneCongrégation maronite de la Sainte Famille
28 mai 2016Enseignant-Chercheur à l'Institut catholique de Paris et à l'université Saint-Joseph de Beyrouth, sœur Yara Matta revient pour nous sur les relations interreligieuses au Liban.
Quelle est la vocation de la Congrégation maronite de la Sainte Famille ?La Congrégation a été fondée en 1895 par le Patriarche Hoyek. Elle a eu dès le début pour vocation principale l'éducation de la jeune fille libanaise, en vue d'édifier et de consolider la famille. La (...)
lire en ligneCongrégation maronite des sœurs antonines
28 mai 2016par Vincent AucanteMère Marie Touma est à la tête d'un foyer d'étudiantes en quête de sens.
Quelle est l'origine de votre Congrégation ?Les sœurs de la Congrégation étaient initialement un ordre de moniales de droit pontifical, fondé au début du XVIIIe siècle. Elles vivaient recluses dans leurs monastères, se consacrant à la prière et au travail, suivant en tout leur (...)
lire en ligne
vendredi 6 mai 2016
LIBAN - Nouvelle prise de position des Evêques maronites sur la situation libanaise
vendredi 6 septembre 2013
Le roi Abdallah appelle à la conservation de l’identité chrétienne arabe historique | Patriarcat latin de Jérusalem
Le roi Abdallah appelle à la conservation de l'identité chrétienne arabe historique
AMMAN – (Agence Petra 4-09-2013) - Dans une allocution prononcée le 3 septembre 2013 lors de l'ouverture de la conférence sur « Les défis qui affrontent les Chrétiens arabes », le roi Abdallah II de Jordanie a soutenu que « les défis et les difficultés conjointes que nous – chrétiens et musulmans – affrontons, exigent que nous concertions les efforts, que nous procédions à une étroite coopération, afin de pouvoir les surmonter, et de parvenir à un consensus sur un code de discipline qui réunit mais qui ne divise pas. »
« Notre région, poursuivait-il, fait face à un cycle de violence, de luttes inter-communautaires et idéologiques, dont nous avions depuis longtemps mis en garde contre les conséquences néfastes qui engendrent des formes de conduite tout à fait étranges à notre héritage humanitaire et civique, lequel repose sur les principes de la raison, de la réconciliation, de la tolérance, et de l'acceptation de l'autre. »
Le roi a répété son appui à tout effort visant « à conserver l'identité chrétienne arabe historique, ainsi que le droit à la liberté du culte, basée sur la crainte de Dieu et sur la charité, exprimée encore à travers l'initiative 'A Common Word' ».
Le monarque jordanien a également appelé les participants « à renforcer le processus de dialogue inter-religieux, et à approfondir les liens communs entre les adeptes des trois religions », faisant allusion notamment à nombreuses initiatives lancées par la Jordanie, telles que « le message d'Amman », l'initiative « A Common Word », la Semaine d'entente mondiale, qui vont toutes dans le même sens.
« Nous sommes fiers de signaler que la Jordanie constitue un modèle caractérisé en matière de coexistence et de fraternité entre musulmans et chrétiens. Les chrétiens arabes sont les plus proches à comprendre l'Islam et ses réelles valeurs. Ils sont de plus invités à défendre l'Islam dans cette conjoncture où il traverse beaucoup d'injustices, en raison notamment de l'ignorance d'aucun à saisir le joyau de l'Islam, qui appelle à la tolérance, à la modération, à l'éloignement de toutes formes extrémisme et d'isolationnisme. »
« La ville de Jérusalem qui fait face, très malheureusement, à la plus scandaleuse forme de judaïsation est un vif témoignage, et ce depuis 14 siècles, de la profondeur de la fermeté des relations fraternelles islamo-chretiennes, renforcée par la Charte de Omar, recommandée encore par notre grand-père le Shérif Hussein ben Ali, suivie très fidèlement par mon père le feu roi Hussein ; je m'engage à suivre la même voie. »
« Nous avons le droit de défendre l'identité arabe de la ville de Jérusalem, de la sauvegarde des sanctuaires islamiques et chrétiens. Les chrétiens arabes, en revanche, devraient adhérer à leur identité arabe. Nous avons tous le devoir de déjouer toutes les pratiques visant à les faire évincer ou à les marginaliser. »
« Je souhaite enfin à tous les participants beaucoup de succès, je souhaite qu'ils parviennent à des recommandations pratiques qui feront l'objet de nos consultations avec les dirigeants arabes et la communauté internationale pour y justement assurer le soutien nécessaire. »
« Salaam aleikoum »
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dimanche 21 avril 2013
vendredi 19 avril 2013
L’Eglise maronite dénonce la campagne du Futur contre le Patriarche Raï
19/4/2013-L'Eglise maronite dénonce la campagne du Futur contre le Patriarche Raï
Un éminent prélat a exprimé la stupéfaction des évêques maronites au sujet du timing de la campagne lancée par le Courant du futur contre le patriarche Béchara Raï.
En effet, la déclaration du député Farid Makari, selon laquelle le chef de l'Eglise maronite est devenu un ambassadeur itinérant défendant le régime syrien, est intervenue mercredi lors d'une interview sur la chaine d'alMoustaqbal, au moment même où Saad Hariri rendait visite au patriarche à son hôtel en France. Lors de cette rencontre, l'ancien Premier ministre n'a pas tari d'éloge à l'encontre du primat qu'il a couvert des mots les plus flatteurs.
Les milieux du patriarcat maronite sont convaincus que les propos de Makari ne sont pas le fruit d'une initiative personnelle mais d'une répartition des rôles au sein du Courant du futur, sinon, le parti de Hariri aurait publié un communiqué pour se désolidariser des positions de Makari.
Et les milieux de Bkerké de poursuivre: «Qui parmi les députés du Courant du futur était-il contre la Syrie pour se permettre de donner des leçons au Patriarche? Si Mgr Raï met en garde contre les répercussions du printemps arabe sur les chrétiens de la région, c'est parce qu'il porte en lui les soucis et les préoccupations des chrétiens d'Antioche et de tout l'Orient. Aussi, est-il inadéquat de dire qu'il a été élu pour représenter seulement les chrétiens du Liban. En revanche, certains collègues de Makari, qui ont été élus en tant que représentants de Zahlé, Akkar et d'autres cazas, se trouvent en permanence à la frontière libano-syrienne, voire au-delà, et sont impliqués jusqu'au cou dans les événements en Syrie, alors que leur devoir est tout autre.»
L'évêque souligne que «dans la forme, l'attaque du Courant du futur contre le patriarche est justifiée par ses propos sur le printemps arabe, qui a éclaté à l'origine contre des régimes dictatoriaux, mais qui pourrait ouvrir la voie à l'extrémisme musulman.
«Mais dans le fond, ajoute le prélat, Mgr Raï est ciblé pour des raisons électorales. Tout ce qui se passe et pourrait se produire est directement lié à la loi électorale et à la dernière réunion des pôles maronites à Bkerké, au cours de laquelle la loi de 1960 a été enterrée. Cette réunion a montré à l'opinion publique chrétienne que le patriarche a chamboulé les règles du jeu et a sapé les intérêts de ceux qui appuient la loi de 1960.»
source: mediaramalb
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À Tucuman en Argentine, l’Église maronite cherche son avenir | À La Une | L'Orient-Le Jour
-19-4-2013-À Tucuman en Argentine, l'Église maronite cherche son avenir | À La Une | L'Orient-Le Jour
La conférence épiscopale annuelle de l'Église maronite dans les deux Amériques (Canada, États-Unis, Mexique, Brésil et Argentine) s'est ouverte hier dans un hôtel de Tucuman (Argentine), en présence du nouvel évêque de France et d'Europe pour les maronites, Nasser Gemayel, et des représentants des ordres religieux maronites, l'ordre libanais maronite, les mariamites, les antonins et les missionnaires libanais, qui sont en fait une congrégation relevant de Bkerké plutôt qu'un ordre, alors que les trois autres relèvent de l'autorité du Vatican. L'un des objectifs de ces rencontres est de permettre aux évêques et supérieurs généraux d'ordres maronites de se revoir, puisqu'en temps normal, chacun est aux affaires de son diocèse ou de son ordre. Et c'est une joie réelle de voir l'exubérance, les embrassades et les tapes dans le dos marquant ces retrouvailles.Nous sommes dans le nord-est de l'Argentine, une région au climat subtropical, avec des hivers froids et des étés pluvieux. Il fait chaud. Un ciel d'azur immaculé pèse sur le paysage plat, avec une chaîne de montagnes à l'horizon qui promet, et où nous visiterons samedi une abbaye bénédictine.
(Pour mémoire : Raï et Kirchner discutent en Argentine du problème des réfugiés syriens)
Qui a dit que la viande argentine est la meilleure du monde ? Vraiment, tout est relatif. À Buenos Aires d'où nous venons, comme à Tucuman, le côté gastronomique de l'hospitalité orientale n'a pas perdu ses droits, que ce soit dans les hôtels où la délégation patriarcale est reçue, ou aux repas et dîners donnés en son honneur. Car tout le monde veut recevoir le patriarche. Et l'on se surprend à devoir fuir les repas, les sandwiches au pain de mie, les bonbons et les petits-fours, plutôt qu'à les rechercher.
Hier, dans l'avion qui nous transportait de Buenos Aires à Tucuman, dans le bus, à table, dans les cafétérias des hôtels, beaucoup commentaient les récentes nominations promulguées par Bkerké la veille : celles d'Antoine Torbey (56 ans) de l'ordre maronite libanais, comme évêque en titre du diocèse Saint-Maron à Sydney (Australie), où il succède à Aad Abi Karam, atteint par la limite d'âge, et celle de Habib Chamiyé (57 ans), un religieux mariamite, nommé administrateur apostolique du diocèse Saint-Charbel, en Argentine, où il succède à Mgr Charbel Merhi, atteint lui aussi par la limite d'âge. Les deux religieux recevront l'onction épiscopale le 25 mai, à Bkerké, avant d'entrer en fonctions. Les nominations sont l'un des moments forts dans la vie de l'Église, puisqu'elles déterminent les rapports que tissent entre eux les ordres religieux et le siège patriarcal, et le « poids » de chaque ordre religieux par rapport aux autres. Pour respecter l'équilibre, certains des ouvriers de la vigne sont parfois sacrifiés. Il en est ainsi : les uns sèment, d'autres moissonnent, et les consolations doivent venir de plus haut.
Énormes défis
À l'ordre du jour de la session annuelle, qui se prolongera jusqu'à samedi, figurent sept points. Le premier porte sur « les défis de la présence maronite hors des diocèses existants », et donc de la « création de nouvelles missions et de la construction de nouvelles églises ». Ce défi est énorme, et c'est pourquoi la question figure en tête de l'ordre du jour. Comme ne cesse de le répéter le patriarche Raï, l'Église maronite de la diaspora a dépassé de loin, en nombre, celle du Liban.
(Pour mémoire : Des propos prêtés à Raï créent la polémique)
Pour faire face à ce défi, l'Église maronite doit adopter une stratégie en deux temps : il s'agit en effet et de trouver les ressources pastorales nécessaires pour suivre les maronites dans leur pays d'émigration et, dans un second temps, de s'efforcer de les convaincre de maintenir avec le Liban un lien légal, celui de la nationalité d'origine.
Le second point à l'ordre du jour est étroitement lié au premier : il porte sur « les vocations sacerdotales et religieuses ». Au cours d'un point de presse avec des journalistes de la presse écrite et de la télévision de Tucuman, le patriarche avait insisté, le matin même, sur ce besoin pastoral, précisant que pour le moment, les principales vocations sacerdotales et religieuses viennent du Liban, dont le réservoir humain n'est pas inépuisable, et l'on ne voit pas encore poindre des vocations de cet ordre dans les communautés maronites de l'émigration, exception faite des États-Unis, dont les deux évêques Gregory Mansour et Robert Chahine sont natifs des USA. Notons au passage l'absence totale de congrégations féminines maronites dans les pays d'Amérique latine, alors que les besoins y sont criants.
De tous les pays d'émigration, l'Argentine est l'un des plus « difficiles », que l'ancienne présence libanaise s'y est « diluée » et qu'en l'absence de nouvelles vagues d'émigration, le parler libanais s'y est presque complètement perdu.
Les autres points à l'ordre du jour de la session sont : les rapports entre le siège patriarcal et les ordres religieux maronites, une questions délicate qui demande doigté et coordination, en particulier au sein de l'émigration ; les JMJ de Rio cet été, où une participation massive de la jeunesse maronite émigrée est souhaitée ; les rapports avec la Fondation maronite dans le monde, qui a pris en charge le volet civil des liens entre les émigrés chrétiens en général, et maronites en particulier, et l'État libanais (nous en reparlerons) ; l'organisation de pèlerinages au Liban et enfin l'organisation d'un congrès maronite au Liban, un projet aux contours encore trop vagues pour en parler qui concernerait les grands noms de la diaspora maronite et qui, pour cette raison même, ne fait pas l'unanimité.
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