Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
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mercredi 1 mai 2013

Shimon Peres a invité le pape François en Israël | La-Croix.com

http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Shimon-Peres-a-invite-le-pape-Francois-en-Israel-2013-04-30-954685
Les chrétiens de Palestine écrivent au pape pour protester contre l'extension du mur de sécurité israélien

L'ancien prix Nobel de la Paix, aujourd'hui chef de l'État d'Israël, a été longuement reçu par le pape ce mardi 30 avril. Âgé de 90 ans, Shimon Peres effectue une tournée italienne qui l'a conduit successivement, ce mardi 30 avril à 11 heures auprès du pape, puis du président italien Giorgio Napolitano et du nouveau président du conseil Enrico Letta, sans oublier une visite mercredi 1er mai à Assise, où il sera fait citoyen d'honneur.
« Le Vatican a un rôle important à jouer dans la stabilité du Moyen-Orient et je suis certain que cette visite bénéficiera à la fois à l'État d'Israël et à la cause de la paix » a déclaré Shimon Peres peu avant son départ.
Il a invité ce matin le pape à se rendre en visite d'État à Jérusalem : « Je vous attends à Jérusalem. Pas seulement moi mais tout le peuple d'Israël », a déclaré le chef de l'État au pape. « Les papes se rendent volontiers en Terre Sainte », a commenté le P. Federico Lombardi, directeur de la salle de Presse du Saint-Siège, ajoutant : « Cette demande a été accueillie naturellement avec joie et disponibilité ». Mais aucun projet concret n'est encore envisagé.

L'« importante question de Jérusalem » évoquée par le pape François et Shimon Peres

Parmi les thèmes abordés durant l'entretien de Shimon Peres avec le pape, qui a duré trente minutes en présence d'un interprète, puis avec le secrétaire d'État, le cardinal Tarcisio Bertone, le communiqué final mentionne « une prompte reprise des négociations entre Israéliens et Palestiniens, afin que, les deux parties se rendant disponibles pour des décisions courageuses, et avec le soutien de la communauté internationale, on puisse arriver à un accord respectueux des légitimes aspirations des deux peuples et contribuer ainsi résolument à la paix et à la stabilité dans la région. » L'« importante question de Jérusalem » a également été évoquée, ainsi que « le conflit qui afflige la Syrie, souhaitant une solution politique, qui privilégie la logique de la réconciliation et du dialogue. »
Shimon Peres s'est déclaré attentif aux bonnes relations entretenues par le cardinal Bergoglio avec le grand rabbin de Buenos Aires, prélude à ses yeux à la qualité des relations du pape avec Israël. Il a offert au pape une bible dédicacée avec ces mots, inspirés du Livre des Rois (1., 2-3) signés de lui : « A sa Sainteté le pape François, afin que vous puissiez prospérer en tout ce que vous faites et où que vous alliez. » Par ailleurs, le communiqué final du Saint-Siège note « les progrès notables réalisés par la Commission bilatérale engagée dans l'élaboration d'un accord sur les questions d'intérêt commun, dans l'attente d'une conclusion rapide. » Au « Corriere della Sera », le président Peres avait confié, la veille de son départ : « 99 % des négociations avec le Vatican ont été conclues positivement. » Reste la question du Cénacle, sur le Mont Sion à Jérusalem, où les chrétiens veulent être autorisés à célébrer. « Un compromis apparaît possible » a confirmé le président de l'État d'Israël.

Une lettre ouverte adressée au pape par la communauté chrétienne des environs de Bethléem

C'est dans ce contexte que la communauté palestinienne chrétienne des environs de Bethléem (Cisjordanie) a adressé lundi 29 avril une lettre ouverte au pape François protestant contre une décision israélienne de bâtir un mur de sécurité qui va séparer Bethléem de la ville de Jérusalem au profit de colonies. « Nous sommes menacés de voir la plupart de nos terrains confisqués par l'occupant militaire israélien qui a déjà commencé à construire le fameux mur annexant la terre palestinienne chrétienne », écrivent les représentants de la ville chrétienne de Beit Jala, près de Bethléem. Ils accusent les autorités israéliennes de vouloir « séparer Bethléem et les régions avoisinantes de Jérusalem et de nos lieux saints ». La justice israélienne s'est prononcée la semaine dernière en faveur de la construction du mur de séparation dans la vallée palestinienne de Crémisan, près de Bethléem. Dans un communiqué, l'Assemblée des évêques catholiques de Terre Sainte a dénoncé « une décision injuste qui nous place devant le fait accompli. »


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mardi 30 avril 2013

Terre Sainte: Mur de séparation: lettre ouverte des Palestiniens chrétiens au Pape François - Le blog de Père Patrice Sabater


29/4/2013-Terre Sainte: Mur De Séparation: Lettre Ouverte Des Palestiniens Chrétiens Au Pape François


JERUSALEM, 29 avril 2013 (AFP)La communauté palestinienne chrétienne des environs de Bethléem (Cisjordanie) a adressé lundi une Lettre ouverte au Pape François protestant contre une décision israélienne de bâtir un mur de sécurité qui va séparer Bethléem de la ville de Jérusalem au profit de colonies.
"Nous sommes menacés de voir la plupart de nos terrains confisqués par l'occupant militaire israélien qui a déjà commencé à construire le fameux mur " annexant la terre palestinienne chrétienne ", écrivent les représentants de la ville chrétienne de Beit Jala, près de Bethléem, dans une lettre au pape obtenue par l'AFP.
Les signataires accusent les autorités israéliennes de vouloir "séparer Bethléem et les régions avoisinantes de Jérusalem et de nos lieux saints".
"Votre sainteté, votre élection nous a apporté l'espérance que les choses changeraient. Nous avons encore espoir", poursuit la missive envoyée au moment où le pape s'apprête à recevoir cette semaine le président israélien Shimon Peres –"un des principaux auteurs de la politique israélienne de colonisation en Palestine occupée", selon le texte.
La justice israélienne s'est prononcée la semaine dernière en faveur de la construction du mur de séparation dans la vallée palestinienne de Crémisan, près de Bethléem. Une commission spéciale d'appel, statuant sur les confiscations de terre, a rejeté les recours présentés par les propriétaires fonciers de Crémisan et par la Société Saint-Yves de Jérusalem, une association catholique de défense des droits de l'Homme qui représentait les religieuses d'un couvent salésien également affectées par le tracé du mur.
Depuis plus d'un siècle, les Palestiniens chrétiens de Beit Jala, à proximité de Bethléem en Cisjordanie occupée, cultivent les coteaux de Crémisan, célèbres pour leur vignoble –qui produit le vin de messe de Terre Sainte– et leur communauté monastique salésienne.
 Mais la construction de la barrière israélienne, que les Palestiniens ont baptisée "mur de l'Apartheid", doit séparer Bethléem, Beit Jala et les villages voisins de la vallée de Crémisan qui va basculer du côté israélien de la clôture.
Les Palestiniens de la région sont convaincus que le tracé du mur a pour objectif de les spolier de leurs terres. Ils accusent Israël d'avoir programmé l'annexion des zones limitrophes de Bethléem afin de séparer cette ville palestinienne de Jérusalem, distante de seulement cinq kilomètres. La plainte des agriculteurs de Crémisan, un vallée pittoresque de 170 hectares, remontait à 2006. Les plaignants n'ont plus comme seul recours que de saisir la Cour suprême israélienne.
Dans un avis rendu le 9 juillet 2004, la Cour internationale de justice (CIJ) a jugé la barrière illégale et exigé son démantèlement, de même que l'Assemblée générale de l'ONU. Israël excipe de raisons sécuritaires pour justifier sa construction.
"Construire le mur dans la région de Bethléem (…) est une attaque contre le tissu social palestinien et la présence palestinienne chrétienne", a affirmé à l'AFP Nabil Chaath, un dirigeant de l'OLP et du Fatah (nationaliste).
"Séparer Bethléem de Jérusalem pour la première fois dans l'Histoire, spolier les Palestiniens, la plupart chrétiens, de leurs terres pour bâtir et étendre des implantations coloniales, des murs et des check-points israéliens, est un crime cruel qui diminue encore les chances de paix basée sur deux Etats (palestinien et israélien)", a estimé M. Chaath.
Source : AFP et LPJ.org
Le 29 avril 2013 Rencontre, à Rome, entre le Pape François
et le Patriarche de Jérusalem, Mgr Fouad TWAL (Avril 2013)


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