Aoun au Vatican : « Le Liban restera l'exemple le plus fort de l'avenir de l'Orient »
16/03/2017
Le président de la République Michel Aoun est arrivé hier à midi à Rome. Il s'agit, rappelons-le, de la première rencontre officielle du président avec le pape, ainsi que de sa première visite officielle en Europe.
Aussitôt arrivés à l'aéroport international de Rome, le président, la Première dame et la délégation qui les accompagne ont été accueillis par le nonce apostolique, Mgr Francesco Canalini, représentant le pape François, Mgr Christophe Kassis du Saint-Siège, le chargé d'affaires du Liban au Vatican, Albert Samaha, le chargé d'affaires près l'ambassade du Liban en Italie, Karim el-Khalil, le vicaire patriarcal auprès du Saint-Siège, l'évêque François Eid, et le vicaire patriarcal grec-catholique auprès du Saint-Siège l'archimandrite Mtanios Haddad, et des représentants des ordres et des clergés libanais accrédités à Rome.
Sur place, M. Aoun a exprimé sa joie d'être à Rome, insistant sur l'importance qu'il accorde à sa réunion avec le pape au vu de « la solidité des relations qui lient le Liban dans toutes ses composantes communautaires à l'Église et à la papauté ». « Le Saint-Siège occupe une place particulière dans le cœur des Libanais, parce que ses responsables ont toujours été aux côtés du Liban, dans les périodes sombres de son histoire », a ajouté le président.
Et de poursuivre : « Les Libanais, toutes communautés religieuses confondues, ont toujours été rassurés parce qu'ils savent que le pape s'intéresse de près à eux, qu'ils sont présents dans ses prières, qu'il tient à leur union et qu'il œuvre pour la préservation de leur territoire. »
Le président de la République a affirmé qu'il transmettra au pape François « un message d'amour de la part de tous les Libanais, ainsi que l'assurance que le Liban a retrouvé sa vitalité et qu'il est sur la bonne voie, celle de l'union ». « Le Liban cherche à se réapproprier son rôle dans la région et dans le monde, en tant qu'espace de rencontre et de respect de la différence et de la variété, dans un monde où le besoin de prendre le chemin de la paix devient de plus en plus pressant », dira aussi le chef de l'État au pape.
Il a par ailleurs estimé que « les chrétiens d'Orient, qui connaissent aujourd'hui des circonstances difficiles dans une région, à la fois berceau du christianisme et de l'islam, voient dans cette visite une lueur d'espoir qui confirme que le Liban restera toujours l'exemple le plus fort de l'avenir de l'Orient et du monde ».
M. Aoun s'entretiendra également avec le secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin. Il entamera son séjour par une messe en l'église Saint-Maron au Collège maronite à Rome. L'office sera présidé par l'évêque François Eid, vicaire patriarcal auprès du Saint-Siège. Le chargé d'affaires du Liban au Vatican, Albert Samaha, donnera ensuite une réception en l'honneur du chef de l'État, à laquelle assisteront, entre autres, des Libanais installés à Rome.
Signalons qu'avant son départ, M. Aoun a signé les décrets des dernières nomination sécuritaires approuvées en Conseil des ministres.
Aussitôt arrivés à l'aéroport international de Rome, le président, la Première dame et la délégation qui les accompagne ont été accueillis par le nonce apostolique, Mgr Francesco Canalini, représentant le pape François, Mgr Christophe Kassis du Saint-Siège, le chargé d'affaires du Liban au Vatican, Albert Samaha, le chargé d'affaires près l'ambassade du Liban en Italie, Karim el-Khalil, le vicaire patriarcal auprès du Saint-Siège, l'évêque François Eid, et le vicaire patriarcal grec-catholique auprès du Saint-Siège l'archimandrite Mtanios Haddad, et des représentants des ordres et des clergés libanais accrédités à Rome.
Sur place, M. Aoun a exprimé sa joie d'être à Rome, insistant sur l'importance qu'il accorde à sa réunion avec le pape au vu de « la solidité des relations qui lient le Liban dans toutes ses composantes communautaires à l'Église et à la papauté ». « Le Saint-Siège occupe une place particulière dans le cœur des Libanais, parce que ses responsables ont toujours été aux côtés du Liban, dans les périodes sombres de son histoire », a ajouté le président.
Et de poursuivre : « Les Libanais, toutes communautés religieuses confondues, ont toujours été rassurés parce qu'ils savent que le pape s'intéresse de près à eux, qu'ils sont présents dans ses prières, qu'il tient à leur union et qu'il œuvre pour la préservation de leur territoire. »
Le président de la République a affirmé qu'il transmettra au pape François « un message d'amour de la part de tous les Libanais, ainsi que l'assurance que le Liban a retrouvé sa vitalité et qu'il est sur la bonne voie, celle de l'union ». « Le Liban cherche à se réapproprier son rôle dans la région et dans le monde, en tant qu'espace de rencontre et de respect de la différence et de la variété, dans un monde où le besoin de prendre le chemin de la paix devient de plus en plus pressant », dira aussi le chef de l'État au pape.
Il a par ailleurs estimé que « les chrétiens d'Orient, qui connaissent aujourd'hui des circonstances difficiles dans une région, à la fois berceau du christianisme et de l'islam, voient dans cette visite une lueur d'espoir qui confirme que le Liban restera toujours l'exemple le plus fort de l'avenir de l'Orient et du monde ».
M. Aoun s'entretiendra également avec le secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin. Il entamera son séjour par une messe en l'église Saint-Maron au Collège maronite à Rome. L'office sera présidé par l'évêque François Eid, vicaire patriarcal auprès du Saint-Siège. Le chargé d'affaires du Liban au Vatican, Albert Samaha, donnera ensuite une réception en l'honneur du chef de l'État, à laquelle assisteront, entre autres, des Libanais installés à Rome.
Signalons qu'avant son départ, M. Aoun a signé les décrets des dernières nomination sécuritaires approuvées en Conseil des ministres.
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