Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

samedi 4 juin 2016

Mgr Pascal Gollnisch invité de RFI dimanche 5 juin.


03/06/2016
Emission « Religions du monde » de Geneviève Delrue.
Cette émission accueillera Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’Œuvre d’Orient, qui viendra discuter de son livre, « Chrétiens d’orient : résister sur notre terre ». 
Ce livre sorti le 28 avril 2016 donne des clés pour comprendre l’actualité et la situation des Chrétiens d’Orient.
Cette interview sera suivie d’un décryptage de la pensée salafiste par un jeune intellectuel dominicain, ancien normalien et élève de Science Po, Frère Adrien Candiard
Il s’appuiera sur son livre «  Comprendre l’islam/ou plutôt pourquoi on  n’y comprend rien », et développera la pensée du théologien Ibn Taymiyya, la grande référence des salafistes.

http://www.oeuvre-orient.fr/2016/06/03/mgr-pascal-gollnisch-invite-de-rfi-dimanche-5-juin/

Une pétition réclame la reconnaissance du génocide des chrétiens d'Orient | Valeurs actuelles

Une pétition réclame la reconnaissance du génocide des chrétiens d'Orient | Valeurs actuelles

Une pétition réclame la reconnaissance du génocide des chrétiens d'Orient | Valeurs actuelles

Société. Dans une pétition, déjà signée par près de 20 000 signataires, CitizenGO demande au ministre des Affaires étrangères de présenter au Parlement français une résolution reconnaissant le génocide des chrétiens d'Orient. Ils réclament également que cette résolution soit présentée par la France à l'Organisation des Nations-Unies.
"Tous les régimes sanglants, à travers les siècles, ont en général, cherché à dissimuler leur violence. Mais concernant DAESH, la violence est mise en avant. Pire, c'est leur support de communication: décapitations, torture, amputations, viols, mise en esclavage. Le tout filmé et diffusé dans les médias et sur les réseaux sociaux". Ainsi commence une pétition, mise en ligne par CitizenGO et adressée au ministre des Affaires étrangères. Déjà signée par près de 20 000 personnes, elle réclame la reconnaissance du génocide des chrétiens d'Orient : "Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères, Nous vous prions de bien vouloir présenter au Parlement français, conformément à l'article 34-1 de la Constitution de la République, une Résolution reconnaissant, au nom du peuple français, le génocide des chrétiens et des autres minorités, génocide actuellement en cours en Orient. Nous vous demandons également, de présenter une Résolution, au nom de la France, auprès de l'Organisation des Nations-Unies".
CitizenGO demande à Jean-Marc Ayrault d'accéder à leur requête, en tant que père et grand père : "Si vous ne le faites pas en tant que chrétien ; si vous ne le faites pas en tant que français ; si vous ne le faites pas non plus en tant que personne humaine ; faites-le en tant que père et grand-père. Sinon, un jour ou l'autre, un de vos petits-enfants vous demandera: comment as-tu pu laisser faire ça ?" Plusieurs personnalités ont déjà signé la pétition, notamment Frigide Barjot, Jean-Frédéric Poisson (Député et président du Parti chrétien-démocrate), Ludovine de la Rochère (présidente de La Manif pour tous), Monseigneur Dominique Rey (Evêque de Fréjus-Toulon), ou encore le collectif Sens commun (LR).


JTK

vendredi 3 juin 2016

Marie dans lIslam




Marie dans l’islam


Le Bundestag a adopté une résolution qualifiant de « génocide » le massacre de près de 1,5 million d’Arméniens

Maronites et Moyen Orient: « Regardons Marie pour recevoir la grâce de l’humilité » – ZENIT – Francais

Maronites et Moyen Orient: « Regardons Marie pour recevoir la grâce de l'humilité » – ZENIT – Francais

Maronites et Moyen Orient: « Regardons Marie pour recevoir la grâce de l'humilité »

Le pape salue les maronites des États-Unis et les autres pèlerins de langue arabe


JTK

jeudi 2 juin 2016

Syrie: les États-Unis et leurs alliés lancent une bataille pour isoler Daech de la Turquie

Syrie: les États-Unis et leurs alliés lancent une bataille pour isoler Daech de la Turquie


Syrie: les États-Unis et leurs alliés lancent une bataille pour isoler Daech de la Turquie
Plusieurs milliers de combattants syriens appuyés par les États-Unis ont lancé une offensive pour reprendre à l'État islamique la poche de Manbij, au nord de la Syrie.
INFOGRAPHIE - Appuyés par des commandos américains, des combattants kurdes et arabes avancent en direction de Manbij, dernier point de passage des djihadistes vers la Turquie à partir du nord de la Syrie.


Objectif: Manbij, dernier point de sortie des djihadistes vers la Turquie puis l'Europe. Depuis mardi, plusieurs milliers de combattants syriens appuyés par les États-Unis ont lancé une offensive pour reprendre à l'État islamique la poche de Manbij, au nord de la Syrie. Il s'agit d'une zone clé que les djihadistes utilisent comme une base logistique pour assurer la circulation des combattants venant d'Europe ou y repartant, via la Turquie.
De discrets préparatifs avaient démarré, il y a plusieurs semaines, à l'instigation d'un petit contingent de forces spéciales américaines qui aident les combattants syriens. Pour cette opération, qui devrait durer plusieurs semaines, les commandos américains se tiendront toutefois à distance de la ligne de front, ont précisé des responsables américains à l'agence Reuters. Ils seront couverts par l'aviation de la coalition internationale qui a effectué 18 frappes aériennes en 24 heures.
Si la neutralisation du couloir de Manbij est indispensable pour tarir les allées et venues de volontaires étrangers en Syrie, l'opération est sensible. Politiquement d'abord. La Turquie voisine ne tient pas à la voir conduite par les forces kurdes des unités YPG, alliées des Américains contre Daech dans le nord de la Syrie. D'où le recours à des Arabes syriens qui formeront les 4/5ème des combattants anti-djihadistes enrôlés dans les Forces démocratiques syriennes (FDS).
«Après la prise de Manbij, l'accord est que les YPG ne resteront pas (…). Vous aurez des Arabes syriens occupant la terre traditionnelle arabe syrienne», a souligné un responsable américain, bien conscient des craintes turques. Ankara s'oppose à ce que Manbij soit contrôlée par ses ennemis kurdes et l'a clairement signifié à son allié américain. Par conséquent, les combattants kurdes se contenteront de chasser Daech de Manbij avant de s'en retirer, selon la planification initiale de cette opération.

300 militaires des forces spéciales américaines

Priver Daech de cette poche aidera à isoler encore un peu plus les djihadistes et affaiblira leur capacité à livrer des armes à leur fief de Raqqa, plus à l'est, menacé lui aussi d'une intervention américaine épaulée par ses alliés kurdes et arabes.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, des raids de la coalition conduite par les États-Unis ont tué quinze civils, dont trois enfants, près de Manbij. Depuis mardi, plusieurs villages auraient été repris par les forces kurdo-arabes, qui ne seraient plus qu'à une quinzaine de kilomètres de leur objectif. Le président Barack Obama a autorisé 300 militaires des forces spéciales à opérer sur le terrain à partir de deux lieux tenus secrets en Syrie.
Le 24 mai, les Forces démocratiques syriennes avaient déjà lancé une offensive appuyée par les États-Unis contre Raqqa. Depuis, elles avancent lentement face à Daech, et n'ont pas enregistré de gains stratégiques. Avec cette offensive sur Manbij, c'est donc un deuxième front que l'alliance kurdo-arabe pro américaine a ouvert en Syrie contre l'État islamique qui contrôle de larges portions du territoire, à l'ouest du pays.
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Les  USA ont créé un monstre ,Daech, dont ils ne savent plus quoi en faire , suite a ses degats incontrolables .
JTK

mardi 31 mai 2016

« L’enseignement catholique francophone au Moyen-Orient est menacé » - La Croix

« L'enseignement catholique francophone au Moyen-Orient est menacé » - La Croix

« L'enseignement catholique francophone au Moyen-Orient est menacé »


L'Œuvre d'Orient, qui fête ses 160 ans, a organisé avec le Centre Sèvres un colloque sur « l'enseignement catholique au Moyen-Orient et la francophonie ». Délégué national adjoint de l'Œuvre d'Orient, Michel Petit de la Perelle, ne cache pas ses inquiétudes pour l'avenir.
La Croix : Que représente l'enseignement catholique au Moyen-Orient ?
Michel Petit de la Pérelle : Un formidable vecteur de la francophonie ! Au Liban, 325 écoles catholiques – dont 250 entièrement francophones – gérées par une trentaine de congrégations, scolarisent 250 000 élèves, soit plus de la moitié des petits Libanais : 40 % d'entre eux sont musulmans.
En Égypte, 177 écoles catholiques scolarisent 150 000 élèves, parmi lesquelles 50 délivrent leur enseignement en français. À côté des deux grands collèges de garçons – celui des jésuites, et celui des Frères des écoles chrétiennes au Caire – une foule d'écoles de filles enseignent le français aux Egyptiennes. La Terre sainte accueille, elle, 50 établissements dont 35 francophones sur le territoire du Patriarcat latin. Et en Turquie, on trouve encore six écoles catholiques de congrégations (dont 3 gérées par les Frères des écoles chrétiennes) à Istanbul et Izmir : les élèves sont à 97 % musulmans. Quant à la Syrie, nous n'avons plus d'informations fiables sur la situation.
La contribution de ces écoles catholiques n'est-elle pas aussi citoyenne ?
Michel Petit de la Pérelle : Si bien sûr, ces établissements sont avant tout des lieux précieux pour éduquer au vivre-ensemble, au dialogue interreligieux, à la citoyenneté. Grâce à leur enseignement de qualité, à l'implication des religieux et religieuses qui les gèrent, ils jouent un rôle important pour la place de la femme, le développement personnel des enfants, l'apprentissage du respect mutuel.
D'ailleurs, les familles musulmanes ne s'y trompent pas et elles sont nombreuses à vouloir y inscrire leurs enfants, y compris les responsables politiques quelle que soit leur étiquette… Tous connaissent les valeurs défendues par ces écoles et savent que la liberté de conscience y est respectée.
La France est-elle consciente de l'importance de ce secteur pour la francophonie ?
Michel Petit de la Pérelle : Dans le discours, oui, mais dans la réalité, c'est plus compliqué. Beaucoup de ces établissements ont des difficultés financières : parce que les États n'ont plus d'argent et ne les subventionnent que de manière symbolique, et parce que les familles – frappées par la crise – ne peuvent plus payer. Pour le moment, les congrégations se débrouillent : les établissements élitistes de centre-ville font vivre cinq ou six écoles dans la montagne libanaise ou en Haute-Egypte. Mais la situation n'est pas viable dans la durée.
> À lire aussi : Les écoles chrétiennes en Terre sainte en « crise budgétaire »
En outre, l'homologation comme établissement francophone coûte cher et les instituts culturels français n'apportent plus la même aide qu'avant pour former les enseignants en français.
Quelles solutions imaginer à l'avenir pour préserver ce réseau ?
Michel Petit de la Pérelle : Pendant ce colloque, nous avons étudié plusieurs pistes. Des réseaux privés se créent, comme le réseau Barnabé par lequel des écoles françaises aident celles de Terre sainte, ou Francophonia-Liban. L'Œuvre d'Orient, dont c'est la mission initiale, apporte aussi une contribution, mais elle n'est qu'une goutte d'eau par rapport aux besoins.
Il faut donc le reconnaître : l'avenir restera un gros point d'interrogation. Ce secteur est menacé sans un engagement fort des instances chargées de la francophonie. Or, pour le moment, celles-ci, comme le quai d'Orsay, observent tout ceci avec beaucoup de détachement. C'est très préoccupant.
À lire aussi : Au Moyen-Orient, la guerre prive d'école près de 14 millions d'enfants
Propos recueillis par A-B.H.



JTK

dimanche 29 mai 2016

46% des Français en faveur de l'accueil des migrants mais 62% s'il s'agit de Chrétiens d'Orient | Atlantico.fr

Les Arabes chrétiens, pas juste victimes - SudOuest.fr

Les Arabes chrétiens, pas juste victimes - SudOuest.fr

Les Arabes chrétiens, pas juste victimes

Les Arabes chrétiens, pas juste victimes
La récente interview de Mgr Pascal Gollnisch dans « Sud Ouest » (mardi 3 mai) rappelle opportunément combien le sort des chrétiens d'Orient demeure préoccupant, non seulement en Irak et en Syrie, mais également au Liban, en Palestine, voire en Égypte où leur situation pourrait être affectée, quand elle ne l'est pas déjà, par l'exode massif de leurs coreligionnaires irakiens et syriens. Elle témoigne également des difficultés du vivre-ensemble dans des pays qui ne connaissent pas la laïcité, en tout cas telle qu'on l'entend et la pratique en France. Ces chrétiens vivent des temps difficiles, et Mgr Gollnisch a raison de le souligner.
Mais il convient de rappeler, avec la même force, que ces Arabes chrétiens - nom qu'ils se donnent eux-mêmes, l'expression « chrétiens d'Orient », de même que le terme de « minorité », ayant été « inventés » par les puissances européennes, et singulièrement la France, au XIXe siècle pour justifier leurs ingérences au Levant, qui était alors sous domination ottomane - n'ont pas toujours été des victimes même s'ils étaient des dhimmis, c'est-à-dire des protégés (du pouvoir musulman, arabe d'abord, ottoman ensuite), assujettis à ce titre à un impôt spécifique, la jizya, et à de nombreuses contraintes d'ordres matériel et symbolique.
Ils ont joué un rôle politique, économique et culturel important, parfois pionnier, à différents moments de l'histoire du Moyen-Orient. Leurs relations avec leurs compatriotes musulmans ont connu des hauts et des bas, mais ont souvent été marquées par la coopération et le respect mutuel. Les identités communautaires, longtemps fluides, ne se sont fixées et durcies, et avec elles les relations entre communautés, qu'à partir de la seconde moitié du XIXe siècle puis la création des États contemporains à la suite du démembrement de l'Empire ottoman par les accords Sykes-Picot (1916).
Les Arabes chrétiens émigrent beaucoup aujourd'hui, chassés par les exactions de Daesh, qui, rappelons-le, touchent aussi les non-chrétiens comme les Yézidis, ou dans l'espoir d'une vie meilleure pour eux et leurs enfants. Mais, contrairement à une idée reçue, ils ne sont pas moins nombreux actuellement qu'au début du siècle dernier. Ils sont même plus nombreux aujourd'hui en chiffres absolus, selon Bernard Heyberger (1) : 10 millions, contre à peine 2 millions vers 1900. Ce qui a changé, c'est la proportion des chrétiens par rapport aux musulmans, qui s'est effondrée depuis un siècle pour différentes raisons liées au différentiel des taux de natalité, à l'émigration, aux conflits (Liban, Israël-Palestine, Irak, Syrie), aux politiques des pouvoirs autoritaires arabes perçues comme discriminatoires à leur égard par les chrétiens, comme c'est le cas des Coptes d'Égypte.
Sans remonter trop loin dans l'Histoire, rappelons néanmoins quelques vérités avérées, aussi bien à l'intention de ceux parmi nos compatriotes qui les ignoreraient de bonne foi qu'à celle des djihadistes et autres porteurs de discours de haine et d'exclusion qui ne voient dans les chrétiens arabes que des « mécréants ». Ce sont des intellectuels chrétiens, du Liban, de Syrie, d'Égypte, qui ont été à l'origine de la Nahda (« éveil », « renaissance »), ce moment des Lumières arabes du XIXe siècle, aux côtés de réformateurs musulmans comme Jamal al-Dîn al-Afghani et Mohammed Abdou.
Ils militaient alors pour une identité arabe transcommunautaire, affranchie de la religion. Certains d'entre eux, tels les Libanais Nassif al-Yâzigi et Boutros al-Bustani, ont même redonné ses lettres de noblesse à la langue arabe. Plus tard, ce sont encore des chrétiens, syriens et palestiniens notamment, qui ont été à l'avant-garde du nationalisme arabe et du panarabisme, idéologies qui se voulaient supra-communautaires et séculières. Et même si une majorité des chrétiens libanais s'est engagée dans la douteuse guerre dite civile qui a ravagé leur pays de 1975 à 1989, cet apport des Arabes chrétiens à l'histoire du Moyen-Orient ne saurait être oublié.
La situation des Arabes chrétiens aujourd'hui appelle à un devoir de solidarité mais qui doit inclure, de manière égale, toutes les victimes, quelles que soient leur religion ou ethnie, de la violence qui sévit dans leurs pays. Mais il faut également sortir du discours victimaire qui fait de ces chrétiens des agents passifs de leur marginalisation, et d'abord en leur rendant leur identité, celle d'Arabes chrétiens et non pas de « chrétiens d'Orient » en laquelle, de toute façon, ils ne se reconnaissent pas.
(1) « Les Chrétiens au Proche-Orient. De la compassion à la compréhension », Manuels Payot, 2013, 160 p.
L'appellation dans laquelle ils se reconnaissent est celle d'Arabes chrétiens


JTK

Fwd: Maronites en France


Expéditeur: Société de Presse France Catholique <francecatholique.mail@message-business.com>
Date: 28 mai 2016 22:36:29 UTC+

La lettre de France Catholique

Monachisme maronite en France

28 mai 2016
par Vincent AUCANTE
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Le monachisme est aux origines de la spiritualité maronite. Depuis saint Maron, l'ermite syrien qui vivait sans abri sur une colline au nord d'Alep, les moines sont un élément essentiel de l'Église maronite. Le monachisme maronite a été réformé au XVIIe siècle et on voit apparaitre les ordres monastiques sur le modèle des ordre latins, et qui sont placés directement sous l'autorité pontificale. Plusieurs de ces ordres sont aujourd'hui présents en France. À Lyon Suresnes ou Paris, les entretiens que ces relligieux libanais nous ont accordés, dressent, avec leurs similtudes et leurs différences, un portrait du monachisme maronite et de son évolution, ainsi que du rôle qu'il peut tenir et tient au cœur de la France. Ils nous font entrevoir également la très difficile situation du Liban confronté à une arrivée de réfugiés sans commune mesure avec celle que connaît aujourd'hui l'Europe.
Vous appartenez à l'Ordre antonin maronite et vous êtes le curé de paroisse maronite de Lyon. Quelle est la mission de votre ordre  ? La principale mission de l'Ordre antonin maronite est le dialogue interreligieux, notamment avec l'islam et les Druzes. Notre tout premier (...)
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L'ordre libanais maronite

28 mai 2016
par Vincent Aucante
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Moine libanais maronite, supérieur de la maison Saint Charbel à Suresnes, destinée au religieux libanais étudiant en France, le P. Aboud Chewan est également curé de la récente paroisse maronite de Suresnes.
Quelles sont les origines de l'Ordre libanais maronite  ? L'Ordre libanais maronite a été fondé en 1695. Initialement, c'était un ordre contemplatif dont les moines faisaient vœu de pauvreté et de chasteté. Ils demeuraient en communauté, et leur vie était partagée entre la prière et (...)
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Congrégation maronite de la Sainte Famille

28 mai 2016
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Enseignant-Chercheur à l'Institut catholique de Paris et à l'université Saint-Joseph de Beyrouth, sœur Yara Matta revient pour nous sur les relations interreligieuses au Liban.
Quelle est la vocation de la Congrégation maronite de la Sainte Famille  ?La Congrégation a été fondée en 1895 par le Patriarche Hoyek. Elle a eu dès le début pour vocation principale l'éducation de la jeune fille libanaise, en vue d'édifier et de consolider la famille. La (...)
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Congrégation maronite des sœurs antonines

28 mai 2016
par Vincent Aucante
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Mère Marie Touma est à la tête d'un foyer d'étudiantes en quête de sens.
Quelle est l'origine de votre Congrégation  ?Les sœurs de la Congrégation étaient initialement un ordre de moniales de droit pontifical, fondé au début du XVIIIe siècle. Elles vivaient recluses dans leurs monastères, se consacrant à la prière et au travail, suivant en tout leur (...)
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