Arabes du Christ
" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
lundi 27 mars 2017
اسرائيل تعمل على انهاء الوجود المسيحي في سوريا والعراق ولبنان والاردن ومصر
samedi 25 mars 2017
الراعي في قداس عيد البشارة: عندما يحرر المسؤولون الإدارة من قبضة السياسيين يستطيعون تعطيل عمليات الفساد والهدر
mercredi 22 mars 2017
Le Liban, « nation la plus généreuse du monde » ? - Scarlett HADDAD - L'Orient-Le Jour
Réfugiés syriens
Les conditions de vie des déplacés syriens au Liban étant l'un des principaux sujets étudiés dans le cadre de ce master, la quinzaine d'étudiants (appartenant à plusieurs nationalités : libanaise, espagnole, française, allemande, vénézuélienne, pakistanaise et bangladaise) qui a participé à la rencontre était particulièrement motivée. Il faut dire aussi que Mouïn Merhebi a tout fait pour mettre les jeunes à l'aise. La petite équipe du ministère, payée par le PNUD puisque ce ministère d'État, comme les cinq autres, n'est pas prévu dans le budget public, était mobilisée pour l'accueil et la logistique, et très vite le débat a été entamé.
Diplômé de l'AUB, M. Merhebi s'exprime en anglais, n'hésitant pas, cependant, à placer quelques phrases en français, USJ oblige. Il commence par affirmer que le Liban est la nation « la plus généreuse du monde », en raison du nombre de déplacés étrangers qu'elle accueille et qui représentent actuellement un peu moins de 50 pour cent de la population. Il précise que son ministère est aussi en charge des Palestiniens (surtout ceux venus de Syrie) et des Irakiens. Son rôle est à la fois de mettre en place une politique globale du gouvernement à l'égard de ce dossier et d'organiser la coordination entre les différents ministères concernés par ce dossier (Santé, Affaires sociales, Éducation et Enseignement supérieur, Intérieur et Affaires étrangères).
Selon le ministre, le gouvernement a adopté le point de vue que lui-même défend depuis plusieurs années sur la nécessité d'enregistrer les déplacés syriens. Certaines parties politiques y étaient opposées, notamment au sein du cabinet Mikati (2011-2013), considérant qu'il s'agissait d'une façon détournée de leur donner un statut officiel, d'où la décision d'alléger les frais d'enregistrement auprès de la Sûreté générale pour l'obtention de permis de séjour. Pour M. Merhebi, il s'agit d'une démarche indispensable si l'État veut avoir affaire à des chiffres précis. Mais il continuera à y avoir des clandestins, auxquels il faut ajouter le problème que posent les nouveau-nés syriens et la nécessité de leur octroyer des papiers. Ils seraient autour de 300 000. À cet égard, le ministre relève qu'il est difficile de vérifier les liens de parenté. Procéder à des tests ADN serait extrêmement coûteux pour le Liban (chaque test coûte 600 dollars).
Toutefois, parmi le million et demi de déplacés dont on parle officiellement, il faut compter quelque 200 000 travailleurs syriens qui ont amené leurs familles au Liban, dit-il.
Député du Akkar, M. Merhebi, voyant comment les soldats du régime syrien traitaient les civils, fut l'un des premiers à appeler à l'accueil des déplacés syriens à Wadi Khaled. Toutefois, au fil du temps et en l'absence quasi totale d'infrastructures, cette présence est devenue pesante, surtout que la communauté internationale presse le Liban de fournir aux déplacés de meilleures conditions de vie et même du travail alors que de nombreux Libanais vivent sous le seuil de pauvreté et sont au chômage.
(Lire aussi : Le Liban appelé à rejoindre l'Organisation internationale pour les migrations)
L'« avarice » de la communauté internationale à l'égard des réfugiés
Était-ce donc une erreur d'accueillir ces déplacés ? Le ministre est catégorique : « Non, il fallait préserver leurs vies. Même s'ils étaient des Israéliens pourchassés par une armée, je les aurais accueillis ! » Il raconte comment il voyait les enfants se cacher des tirs derrière les vaches. Ces images insupportables sont gravées dans sa mémoire. Mais en même temps, le souci de préserver la vie des déplacés syriens ne doit pas être en contradiction avec l'intérêt du Liban. Ainsi, il déplore qu'aujourd'hui, selon les statistiques, les déplacés vivent en moyenne avec deux dollars par jour alors que de nombreux habitants du Akkar vivent avec 1,5 dollar par jour.
Sur le rôle des pays du Golfe, M. Merhebi indique que l'Arabie saoudite accueille près d'un million de déplacés syriens. Mais, rappelle-t-il, la situation économique des pays du Golfe n'est plus la même qu'il y a quelques années. il n'empêche : « Nous demandons à tous les pays, arabes et autres, de nous aider dans la gestion de la présence des déplacés syriens », car le poids est trop lourd pour le Liban.
Pour donner un exemple, 8 % des maisons du Akkar ont de l'eau courante. De même, la production électrique du Liban est destinée à fournir 12 heures de courant à 4 millions de Libanais. C'est dire qu'aujourd'hui, les Libanais et les Syriens se disputent les faibles services de l'État. Il faut donc établir un plan pour trouver des solutions équitables pour les déplacés mais aussi pour les Libanais. C'est sur ce volet que planche actuellement son ministère qui se prépare à participer à la conférence de Bruxelles les 4 et 5 avril, dans la lignée de la conférence de Londres en février 2016.
Et d'épingler la communauté internationale pour son « avarice » à l'égard des réfugiés. Sauf que sur le point de savoir pourquoi cette communauté a été plus généreuse avec la Jordanie qu'avec le Liban, il répond que c'est un peu la faute du Liban qui n'a pas soumis des projets bien étudiés et cohérents. Selon lui, au sein du gouvernement précédent, chaque ministre a voulu placer un projet concernant son ministère et le résultat n'a pas convaincu les donateurs.
Concernant le retour chez eux des déplacés, M. Merhebi souligne qu'en principe, nul n'empêche un Syrien souhaitant rentrer chez lui de le faire. Mais il préfère que ce retour relève de la responsabilité de l'ONU, car, selon lui, les Libanais ne veulent pas être responsables d'un éventuel massacre. Le gouvernement libanais n'a pas de prise sur le cours des événements en Syrie, tout comme il ne peut même pas demander au Hezbollah de retirer ses troupes de Syrie. D'autre part, en cas de problème humanitaire, le Liban ne peut pas fermer ses frontières, même si la souveraineté nationale est en jeu.
Toujours est-il que la priorité libanaise est aujourd'hui à la sécurité, insiste le ministre, qui conclut en appelant les jeunes à faire des pétitions pour demander à leurs gouvernements respectifs d'aider le Liban. « Nous sommes noyés sous les problèmes du quotidien, leur dit-il. Nous avons besoin de votre regard neuf et de vos idées », avant de proposer une coopération entre son ministère et les universités du pays.
Pour mémoire
Mouïn Merhebi : Pour en finir avec la marginalisation du Akkar
https://www.lorientlejour.com/article/1042166/le-liban-nation-la-plus-genereuse-du-monde-.html
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En Irak, les fantômes de Qaraqosh la chrétienne
En Irak, les fantômes de Qaraqosh la chrétienne
REPORTAGE - Sécurisée par des paramilitaires, la ville est en ruine. Une partie de ses anciens habitants espèrent pouvoir se réinstaller dans les prochains mois.
Quatre mois après sa délivrance du joug de l'État islamique,
Qaraqosh, ex-capitale de 50.000 habitants des chrétiens de la plaine de la Ninive, reste une ville fantôme. Une cité sans femmes, ni enfants, ni vieillards. Une cité déserte parcourue par quelques poignées d'hommes en armes, les miliciens chrétiens des unités paramilitaires. Aucune famille ne s'est, pour l'instant réinstallée. Seuls quelques épiciers et cafetiers tiennent boutique pour satisfaire une clientèle de paramilitaires chrétiens qui effectuent des rotations. Ils dorment sur place une semaine, puis rejoignent leur domicile au Kurdistan irakien ou à Kirkouk.
«Qaraqosh était vivante et joyeuse avant sa ...
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mardi 21 mars 2017
Recension - Jean VIARD, Quand la Méditerranée nous submerge
Recension - Jean VIARD, Quand la Méditerranée nous submerge, - Réfugiés, terrorisme, islam, quartiers, populisme… Editions de l’Aube
Recension: Grégoire III Laham, Ne nous laissez pas disparaître !
Recension: Grégoire III Laham, Ne nous laissez pas disparaître !
- Un cri au service de la paix. Entretiens avec Charlotte d’Ornellas.
Recension: Mgr Pascal Gollnisch, Chrétiens d’Orient- Résister sur notre terre. Publié le 21 mars 2017 par Patrice Sabater
Recension: Mgr Pascal Gollnisch, Chrétiens d’Orient- Résister sur notre terre.
À la rencontre des chrétiens d'Orient - Le Journal International
À la rencontre des chrétiens d'Orient
« Raconter l'Orient dans sa part de cruauté et sa part de bonté », tel est le défi de Pascal Maguesyan. Journaliste de longue date et amateur de photographie, il sillonne les terres du Proche et du Moyen-Orient depuis plus de dix ans et prend la plume pour témoigner. Dans Chrétiens d'Orient, ombres et lumières, publié en 2013, il livre le récit de ses voyages et ses rencontres. Le Journal International l'a rencontré.
« En Orient, tout est affaire de religion. »
Lecteur audioIsraël-Palestine : « une prison à ciel ouvert »
Escales turque et arménienne
« Ayse Gunaysu est une femme turque très engagée pour le combat pour les droits civiques en Turquie. La première fois que je me suis rendu en Turquie, j'ai rencontré cette femme à Istanbul. Elle me prit les mains et me demanda pardon […] pour ce que les Turcs avaient fait aux Arméniens. Je me suis me suis un peu libéré. » (Pascal Maguesyan)
Des « charniers de pierres »
Égypte : l'éveil de la société civile
À mon Orient bien-aimé
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samedi 18 mars 2017
Fwd: Alerte Google – Récapitulatif quotidien
Date: 17 mars 2017
Le président libanais réserve sa première visite européenne au papeLe président libanais chrétien Michel Aoun a été reçu jeudi par le pape ... Le principal allié de l'ex-général Aoun, le Hezbollah, combat en Syrie aux ...
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رسالة من صيدنايا ، جميل شاهين
vendredi 17 mars 2017
ASIE/LIBAN - Audience du Pape au Président libanais
ASIE/LIBAN - Audience du Pape au Président libanais et requête d'une plus ample représentation politique des chrétiens non maronites du pays Beyrouth (Agence Fides) – En ce jeudi 16 mars, le Pape François a reçu en audience, au Palais apostolique, le Président libanais, Michel Aoun. Au cours de sa visite au Vatican, le Chef de l'Etat libanais a également rencontré le Secrétaire d'Etat de Sa Sainteté, S.Em. le Cardinal Pietro Parolin, et d'autres officiels du Saint-Siège. Il s'agissait du premier voyage du Président Aoun en Europe après son élection à la tête de l'Etat libanais le 31 octobre dernier.
Par ailleurs, mardi dernier, des Evêques et membres éminents d'Eglises chrétiennes présentes au Liban aux côtés de l'Eglise maronite se sont rencontrés au siège de l'Eparchie chaldéenne de Beyrouth, signant conjointement un appel au Président Aoun et aux forces politiques libanaises dans lequel ils demandaient la garantie d'une représentation adéquate au sein des institutions politiques et administratives de leurs propres communautés. A ladite réunion, ont participé des représentants de l'Eglise chaldéenne – y compris S.Exc. Mgr Michel Kassarji – de l'Eglise catholique de rite latin – dont le Vicaire apostolique, S.Exc. Mgr Cesar Essayan OFM Conv. – et des Eglises assyrienne, syriaque catholique, copte catholique, syro-orthodoxe et copte orthodoxe. En particulier, le document signé par les participants et consulté par l'Agence Fides indique que les Eglises représentées n'appuieront aucune nouvelle loi électorale – question actue llement au centre du débat politique libanais – qui ne prévoirait pas au moins trois sièges parlementaires réservés aux représentants de communautés chrétiennes non maronite. Les signataires de l'appel ont également annoncé des initiatives et des mobilisations communes visant à obtenir que les membres de leurs communautés respectives ne fassent pas l'objet de discriminations dans la distribution des sièges et des charges au sein des institutions politiques et administratives libanaises.
Déjà en mai dernier (voir Fides 11/05/2016), le Patriarche d'Antioche des Syriaques, S.B. Ignace Youssef III Younan, et le Patriarche syro-orthodoxe, Ignace Ephrem II, avaient signé un document commun contenant la requête de garantir aux membres de ces deux communautés chrétiennes une plus grande présence dans les bureaux et les charges publiques, en évitant des discriminations explicites ou occultes de quelque genre que ce soit. Dès janvier (voir Fides 22/01/2016), les deux Patriarches précités avaient soumis cette même requête à leurs interlocuteurs dans le cadre de consultations qu'ils avaient menées conjointement auprès des responsables des différentes forces politiques nationales, dans le cadre de la paralysie électorale et de la vacance de la Présidence de la République qui caractérisaient le moment.
Selon le système institutionnel libanais, la fonction de Président de la République est réservé à un chrétien maronite. (GV) (Agence Fides 16/03/2017)