Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

vendredi 25 janvier 2013

Benoît XVI assure de sa proximité les chrétiens du Moyen-Orient | La-Croix.com-25/1/2013

Recevant, le 25 janvier, les membres de la Commission mixte internationale pour le dialogue théologique entre l'Église catholique et les Églises orientales, le pape s'est félicité de l'avancée de ses travaux, qui portent notamment sur « la communion et la communication existant entre les Églises durant les cinq premiers siècles de l'histoire chrétienne ». Il a souhaité un renforcement des liens entre l'Église catholique et les Églises orientales, « notamment à travers les avancées du dialogue théologique ».

Plus largement, Benoît XVI a évoqué, à nouveau, les difficultés et les souffrances des communautés chrétiennes d'Orient. 

Il a assuré « tous les fidèles du Moyen-Orient » de sa « proximité spirituelle » et de sa prière, « afin que cette terre, si importante aux yeux de Dieu dans son plan de salut, puisse être conduite, par le dialogue constructif et la coopération, vers un avenir de justice et de paix durable ».

http://www.la-croix.com/Religion/Urbi-Orbi/Rome/Benoit-XVI-assure-de-sa-proximite-les-chretiens-du-Moyen-Orient-_NP_-2013-01-25-903648


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Benoît XVI a confié les méditations du Vendredi Saint à de jeunes Libanais | La-Croix.com

Benoît XVI a confié les méditations du Vendredi Saint à de jeunes Libanais - Ce choix est un nouveau signe de l'attention portée par le pape au Liban

De jeunes Libanais lors de la rencontre avec Benoît XVI, le 15 septembre 2012 à Bkerké.

François-Xavier Maigre

De jeunes Libanais lors de la rencontre avec Benoît XVI, le 15 septembre 2012 à Bkerké.

Cette année, Benoît XVI a décidé de confier à des jeunes Libanais la rédaction des méditations du chemin de Croix au Colisée, qui se déroulera le soir du Vendredi saint, le 29 mars 2013. Selon le site d'informations religieuses italien Chiesa, ces jeunes ont participé à la veillée de prière à Beyrouth, lors du voyage de Benoît XVI au Liban, mi-septembre 2012. Ce choix du pape est un nouveau signe de l'attention qu'il porte à ce pays, symbole d'un Moyen-Orient multiconfessionnel.

Déjà, en 2012, Benoît XVI avait fait appel à des laïcs pour concevoir les méditations de son Chemin de croix au Colisée. Les auteurs avaient été Danilo et Anna Maria Zanzucchi, membres des Focolari.

Par le passé, Jean-Paul II avait, lui aussi, confié ces méditations à des laïcs – dont des journalistes – mais aussi à des représentants d'autres confessions chrétiennes, tels que le patriarche orthodoxe Bartholomeos Ier de Constantinople ou la religieuse protestante Minke de Vries.

F. M., avec I.Media

http://www.la-croix.com/Religion/Urbi-Orbi/Rome/Benoit-XVI-a-confie-les-meditations-du-Vendredi-Saint-a-de-jeunes-Libanais-_NP_-2013-01-25-903591


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jeudi 24 janvier 2013

« Le discours des communautés chrétiennes au Proche-Orient en période de crise », aujourd’hui à l’USJ | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

Colloque Le Centre de recherches et de publications de l'Orient chrétien (Cerpoc), de la faculté des sciences religieuses de l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, organise, à partir d'aujourd'hui jeudi et jusqu'au samedi 26 janvier, un colloque international autour du « discours des communautés chrétiennes au Proche-Orient en période de crise ».
L'inquiétude des chrétiens de l'Orient arabe quant à leur sort, leur quête d'un rôle national et leur attachement à la liberté de la culture et de la pensée sont les trois piliers de ce colloque qui se penchera sur l'état de grande confusion qui règne au niveau des positions des autorités chrétiennes religieuses référentielles politiques et culturelles vis-à-vis du mouvement du printemps arabe et de ses conséquences dans certains pays.

Il faut rappeler que depuis la clôture du dossier de la « question orientale », suite à la chute de l'Empire ottoman, et avec le début des mandats, les chrétiens de l'Orient arabe ont fait face aux situations les plus critiques qu'ils aient connues dans l'histoire moderne et contemporaine. Ce dossier a été clos lorsque les affrontements idéologiques entre les partisans de la création d'un État nationaliste, ceux du nationalisme laïc, d'une part, et les partisans de la restauration de l'islam politique, de l'autre, n'ont pu mener à la cristallisation d'une conception de gouvernement viable, accepté par la majorité des composantes des territoires ottomans et qui acquirent ultérieurement leur indépendance.
Suite à la création des États nationaux au Moyen-Orient sous le mandat et à la promulgation de Constitutions inspirées de Lois fondamentales européennes, les chrétiens sont entrés efficacement dans le champ politique et national, aux côtés des forces musulmanes locales ayant adopté le libéralisme. Mais cette expérience s'est soldée par un échec lamentable. En fait, ceux qui ont joué un rôle politique de premier plan dans ces pays appartenaient à une classe politique aisée représentée par le parti al-Wafd et le Parti national en Égypte, le parti « al-'Ahd », le Parti national, le parti de la Renaissance et les chefs des tribus en Irak, le Bloc national et les grands hommes d'affaires en Syrie. Mais à cette classe libérale manquait un programme politique et national qui lui conférait une certaine crédibilité et qui renforçait la citoyenneté et la démocratie. Son action politique était surtout marquée par une lutte pour le pouvoir et par l'incapacité des gouvernements successifs à gérer, d'une façon efficace, les affaires publiques, la fraude électorale, la corruption, ainsi que par les intérêts personnels qui l'emportaient sur l'intérêt public.
Des régimes militaires s'y sont ainsi substitués. Ils choisirent l'orientation socialiste antioccidentale en s'opposant à cette classe libérale et à certains milieux chrétiens marqués par l'image du colonialisme, en particulier à l'issue de la défaite de 1967. Le Liban est resté le seul pays à avoir maintenu un système qui ralliait, d'une manière complexe et fragile, les principes de l'État national et le système confessionnel qui, lui, était à la base de toutes les crises vécues au Mont-Liban sous la domination ottomane. Cependant, l'identité du Liban est restée floue, reflétant à la fois la méfiance d'une grande partie des chrétiens vis-à-vis de leur environnement islamique arabe et leur ouverture à l'Occident et à sa culture, ainsi que la méfiance des musulmans vis-à-vis de l'Occident et leur adhésion à leur environnement et à ses causes.
Sous les régimes militaires autoritaristes qui ont accusé une large incapacité à faire face aux défis régionaux et internationaux et à améliorer leurs situations internes, tout en réussissant dans l'exercice d'un contrôle inflexible des sociétés, le monde arabe a commencé à connaître une renaissance des courants islamistes modérés et fondamentalistes en même temps. Ces courants se renforcèrent en particulier, en même temps que l'apprivoisement total de la résistance palestinienne en dehors de la Palestine, qui se présentait comme l'héritière du dernier mouvement révolutionnaire nationaliste et de la révolution islamique en Iran. Ces courants se sont présentés comme substituts aux régimes autoritaristes, brandissant le slogan : « L'islam est la solution ». Quant aux milieux chrétiens, ils adoptèrent une multitude de positions. Des voix chrétiennes s'étaient ainsi élevées pour s'opposer à la tyrannie, surtout dans les pays de la diaspora, mais la majorité avait préféré se soumettre au fait accompli, tout comme la majorité des concitoyens musulmans.
Cependant, cette position n'a pas tout à fait conféré aux chrétiens l'égalité, la sécurité et la stabilité qu'ils souhaitaient, du moins en Irak et en Égypte. En Égypte, les coptes ont continué à sentir qu'ils étaient des citoyens de seconde classe, et leurs églises et quelques-unes de leurs institutions ont continué à être les cibles, par intermittence, d'attaques attribuées aux salafistes. Certains coptes immigrés accusaient explicitement le régime d'en être le principal bénéficiaire, prenant ces attaques comme excuse pour échapper aux réformes démocratiques et maintenir une politique d'oppression. En Irak, les chrétiens ont connu des mouvements de grande migration pendant la guerre entre l'Irak et l'Iran, et après la nationalisation de vastes terrains qu'ils possédaient dans la plaine de Ninive puis, suite à la première guerre déclenchée au Golfe, lorsque le pouvoir a annoncé « la campagne de la foi » et la transformation du parti Baas en mouvement islamiste. Cependant, la grande tragédie des chrétiens d'Irak a commencé en 1992 quand ils ont été livrés au terrorisme tantôt sous prétexte d'avoir fait un compromis avec l'armée américaine, tantôt pour se venger des injustices infligées aux musulmans dans d'autres pays, et parfois sans aucune raison. Il en résulta qu'au moins un demi-million de chrétiens irakiens quittèrent le pays.
Aujourd'hui, c'est le sort de l'ensemble de la communauté chrétienne du Moyen-Orient qui soulève des inquiétudes. Ainsi, en Égypte, 42 000 coptes auraient quitté le pays depuis le succès de la révolution du « 12 Janvier ». Les événements de Syrie ont provoqué une anarchie croissante qui menace tout le monde y compris les chrétiens qui se trouvent pris entre la brutalité du régime et une révolution dont personne ne sait sur quoi elle va déboucher.
L'Exhortation apostolique, signée par le pape Benoît XVI en septembre dernier au Liban, rappelle aux chrétiens qu'ils bénéficient des mêmes droits et devoirs que leurs concitoyens.
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Un nouveau patriarche arménien pour Jérusalem | Patriarcat latin de Jérusalem

Nourhan Manougian

JERUSALEM – (AFP) L'archevêque Nourhan Manougian, 65 ans, a été élu 97ème patriarche arménien apostolique (orthodoxe) de Jérusalem, un des cinq custodes des lieux saints, a appris l'AFP jeudi auprès de la communauté arménienne dans la Ville sainte.

Sa Béatitude Nourhan 1er Manougian, qui était grand sacristain de la fraternité monastique arménienne de Jérusalem, de facto le numéro deux chargé du protocole, succède à Torkom II Manougian, décédé le 12 octobre à l'âge de 93 ans.

Il dirigera les communautés arméniennes orthodoxes d'Israël, des Territoires palestiniens et de Jordanie.

A l'issue de deux sessions de vote, mercredi et jeudi, Nourhan Manougian a été élu par 17 voix contre 15 au "locum tenens" (suppléant), l'archevêque Aris Shirvanian, qui remplaçait temporairement le patriarche décédé. Deux des 34 membres de la fraternité monastique se sont abstenus, a précisé une source arménienne.

Le nouveau patriarche arménien de Jérusalem est né à Alep (Syrie) en 1948. Ordonné prêtre à Jérusalem en 1971, il a fait des études à Genève avant d'exercer son ministère aux Etats-Unis, à New York et au Texas.

Il est revenu à en 1999 à Jérusalem où il été élu grand sacristain de la fraternité monastique arménienne.

Le nouvel élu doit être approuvé par Israël et le roi de Jordanie.

L'Eglise arménienne orthodoxe se partage la garde des lieux saints avec l'Eglise grecque orthodoxe et l'Eglise latine (catholique romaine), les plus importantes, ainsi que les Eglises syriaque et copte.

Le nombre des Arméniens vivant à Jérusalem est évalué aujourd'hui à 2.000. Selon des estimations, ils étaient 16.000 en 1948, au moment de la création de l'Etat d'Israël. Présente en Terre sainte depuis le 5e siècle, cette communauté cultivée, industrieuse et commerçante vit dans l'un des quatre quartiers de la Vieille Ville de Jérusalem.

Sources : AFP

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Terre Sainte: Point de vue du Patriarche sur les élections en Israël et en Jordanie - Le blog de Père Patrice Sabater

Terre Sainte: Point De Vue Du Patriarche Sur Les Élections En Israël Et En Jordanie. Benjamin Netanyahu, affaibli après les élections en Israël le 22 janvier, a tendu hier la main au centriste Yaïr Lapid, en promettant d'accorder la priorité au social mais il pourrait être obligé aussi de lâcher du lest sur la question palestinienne. Les Jordaniens quant à eux ont voté mercredi 23 janvier pour choisir les membres d'un Parlement aux pouvoirs élargis. Le nouveau Parlement choisira le premier ministre et gérera les affaires courantes, des pouvoirs qui étaient auparavant réservés au roi Abdallah II.La politique étrangère et les questions de sécurité restent sous le contrôle du roi. Les premiers résultats sont attendus aujourd'hui.Interview avec le Patriarche latin de Jérusalem, Mgr Fouad Twal.>1/ Que pensez-vous du résultat des législatives en Israël Je veux d'abord souligner un principe. Nous respectons totalement la liberté du peuple  israélie de choisir les hommes politiques en qui il a confiance pour diriger le pays. Nous espérons que l'alliance déjà annoncée entre le Likoud-Beïtenou (droite) du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le nouveau parti centriste Yesh Atid  de Yaïr Lapid, soit franchement un pas en avant vers plus d'entente, vers une solution de paix que tous attendent. Nous espérons qu'il s'agisse là d'un vrai progrès. Avez-vous un message à faire passer aux élus Je souhaite aux dirigeants qui sont élus avec leur programme, qu'ils prennent en considération deux réalités qu'ils ne doivent ni éviter et encore moins omettre. Je rappelle d'une part qu'il y a un Etat qui s'appelle Palestine et d'autre  part qu'il existe un peuple palestinien. Au début de cette nouvelle année, je redis nos souhaits et nos prières pour plus de paix passant par plus de justice et de confiance mutuelles.Les élections en Jordanie sont-elles un test pour le régime.Nous avons toujours dit que le régime jordanien avait entamé des réformes avant et pendant le « Printemps arabe ». Il a su contenir les manifestations qui auraient pu dégénérer et conduire au pire. Il est vrai que les Frères Musulmans ont boycotté ces élections dans un but clair et net de faire tomber le régime. Malgré ce boycott de l'opposition islamiste, plus de la moitié des électeurs jordaniens se sont rendus hier aux urnes, conscients de leurs droits et leurs devoirs. On estime pour ces législatives un taux de participation de 56,5 % des 2,3 millions d'électeurs inscrits. Il s'agit là de citoyens qui ont à cœur le bien pour leur pays.Je forme l'espoir que les Frères Musulmans repensent leur politique et montent dans le bon train en prenant leurs responsabilités. Je dois dire que nous admirons la patience du Roi qui arrive à écouter et à faire face aux  mécontentements. Dans un contexte régional, social et économique troublé, comment la Jordanie continue de faire face ..Des milliers de syriens arrivent dans le pays et il faut dire que la Jordanie affronte des manques en matière d'électricité, d'eau et de carburant. De plus la vie devient chère. Le pays accueille toujours plus de réfugiés qui du Nord commencent à se déplacer vers le Sud du pays. Certains apportent  leurs savoir-faire et constituent une bonne main d'œuvre  mais beaucoup d'autres sont blessés, fatigués et malades. Je veux donner un mot de gratitude pour l'armée jordanienne qui a mis à la disposition des réfugiés toutes ses infrastructures pour accueillir tous ces malheureux. La situation en Syrie nous afflige et dans