Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

dimanche 3 février 2013

1er février 2013 - Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) a estimé hier que plus de 223 000 réfugiés syriens profitent de la protection et de l’aide du gouvernement libanais, des Nations unies ou d’ONG. Le communiqué de l’Agence onusienne précise que quelque 155 000 de ces réfugiés sont inscrits à l’UNHCR, sans compter quelque 67 000 autres qui attendent d’être inscrits. Le texte constate que le rythme d’arrivée de nouveaux réfugiés au Liban est soutenu, la plupart venant de Homs, d’Edleb, de Damas et d’Alep. L’UNHCR continue d’inscrire 1 500 réfugiés environ par jour, dans ses quatre centres répartis sur tout le territoire libanais, ajoute le communiqué. Les réfugiés inscrits se répartissent ainsi dans les différentes mohafazats (ndlr: circonscriptions administratives) : 76 803 au Liban-Nord, 59 411 à la Békaa et 19 176 à Beyrouth et au Liban-Sud.
 http://www.chretiensdorient.com/article-le-nombre-de-refugies-syriens-au-liban-a-depasse-les-223-000-selon-l-onu-114949625.html     lire la suite: le nombre des refugies syriens atteint 223.000

Chrétiens Orient- delitement d'une societe


Objet: Alerte Google - Chrétiens Orient

 Les Chrétiens d'Orient du VIIème au XIIIème siècle - Les clés du ...
Le Proche-Orient est le berceau de naissance du christianisme : il a accueilli la prédication du Christ, a vu se fonder les premières Églises, a (...)
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Chrétiens d'Orient: délitement d'une société | L'information en ...
Chaque famille chrétienne d'Orient fait aujourd'hui l'expérience du départ d'une famille voisine, d'un proche, d'un fils, dont personne ne pourrait jurer qu'il va un ...
info.catho.be/2013/.../chretiens-dorient-delitement-dune-societ...

L’islam dans les Constitutions des pays du monde musulman

L'islam dans les Constitutions des pays du monde musulman

Alors que l'Égypte et la Tunisie réécrivent leur Constitution et cherchent quelle place y donner à l'islam, « La Croix » fait le point sur les formulations actuellement existantes et leurs conséquences pratiques.
QUELLES SONT LES FORMULATIONS LES PLUS COURANTES ?

« Quasiment tous les pays du monde arabo-musulman, sauf le Liban qui est pluriconfessionnel, font référence à l'islam dans leur Constitution, constate Jean-Philippe Bras, professeur de droit public à l'université de Rouen.
Mais on distingue deux groupes :
ceux qui se bornent à faire de l'islam la religion d'État, comme au Maghreb,
et ceux qui, comme au Moyen-Orient, font de la charia, en plus, une ou la source du droit. »

- L'islam est même « religion du peuple et de l'État » en Mauritanie. Et l'État lui-même est « islamique » en Afghanistan, en Iran, à Bahreïn, au Pakistan ou au Yémen.
Hormis le Liban, la Syrie est finalement le seul pays du monde arabe dont la Constitution ne fait pas de l'islam la religion d'État (toutefois, le droit musulman y constitue une source de la législation et le chef de l'État doit être musulman).
-Et en dehors du monde arabe, c'est aussi le cas de l'Indonésie, de la Gambie, de l'Ouzbékistan, et même du Soudan (mais le texte voté en 2005 fait référence aux peines corporelles prévues par le Coran). -Quant à la Turquie, l'Azerbaïdjan et à quelques États africains comme le Burkina Faso, le Mali, le Sénégal ou le Tchad, ce sont des États explicitement séculiers.

Quelles sont les conséquences de ces mentions ?

Elles diffèrent d'un pays à l'autre, indique Nathalie Bernard-Maugiron, codirectrice de l'Institut d'études de l'islam et des sociétés du monde musulman, spécialiste de droit contemporain des pays arabes, et auteur d'une étude sur « La place de la charia dans la hiérarchie des normes » (1).
-Dans la plupart des cas, elles n'ont pas d'effets concrets sur l'organisation du pouvoir ou des institutions qui fonctionnent sur le modèle d'une séparation plus ou moins absolue de l'État et de la religion. « Dans le monde arabe, on ne trouve guère que l'Arabie saoudite pour affirmer que le roi tire son pouvoir du Coran et de la Sunna, qui s'imposent à lui et où un comité de grands oulémas participe à l'exercice du pouvoir. »
-En Iran, République islamique, le pouvoir politique est même exercé par le clergé chiite.

Aux yeux de la chercheuse, ces références visent surtout à « se réapproprier le référent religieux pour renforcer la légitimité du régime ».
En pratique, elles ont surtout conduit à une « administration de la religion par l'État et à une fonctionnarisation des imams », note Jean-Philippe Bras.
Autre conséquence : à l'exception de quelques pays, telle l'Égypte, qui reconnaissent explicitement d'autres religions (chrétienne, juive), les citoyens sont considérés a priori comme musulmans.

Quelles sont les autres mentions de l'islam ?

Certains textes réservent les plus hautes fonctions à des musulmans : au président de la République dans plusieurs pays, à l'héritier du trône au Qatar.
- En Jordanie, au Koweït et à Oman, le souverain doit être « de père et de mère musulmans ». « Même si les autres Constitutions ne l'imposent pas expressément, il demeure qu'en pratique la candidature et plus encore l'élection d'un non-musulman est difficilement imaginable », relève par ailleurs Nathalie Bernard-Maugiron.
- Enfin, d'autres pays – Yémen, Égypte – prévoient la prestation d'un serment religieux pour le président de la République, voire les ministres ou les parlementaires. Sans toutefois que cela empêche des non-musulmans d'accéder à ces fonctions.

Enfin, la référence à l'islam est souvent utilisée pour conditionner l'exercice de droits et libertés : le respect des droits de l'homme (en Arabie saoudite), de l'égalité entre l'homme et la femme (en Égypte, Bahreïn ou en Iran) se fait « conformément » ou « sans préjudice des principes de la charia islamique ».
- En Iran et en Arabie saoudite, l'islam oriente également la politique étrangère, qui doit rechercher l'unification de la communauté musulmane (la oumma).

Enfin, certaines institutions islamiques traditionnelles – comme l'aumône ou les peines corporelles prévues par le Coran pour quelques infractions comme le vol, la consommation de vin ou l'apostasie au Soudan – sont parfois mentionnées. « Mais dans la plupart des pays, on n'en est plus là », affirme Jean-Philippe Bras.

Quelles sont les références à la charia ?

Elles sont extrêmement variées. Une dizaine d'États n'y font aucune référence dans leur Constitution : Algérie, Maroc, Tunisie (où, après d'âpres débats, elle ne devrait pas figurer dans le nouveau texte) mais aussi Mali, Niger, Tchad, Indonésie ou encore Turquie.
À l'inverse, en Arabie saoudite, le Coran et la Sunna (la tradition) font office de Constitution, en vertu de la loi fondamentale adoptée par le roi en 1993. Une vingtaine d'autres lui confèrent une valeur normative mais sans toujours préciser sa place par rapport aux autres normes.

- En Iran, la charia prévaut même sur les dispositions constitutionnelles.
- Dans d'autres pays (Émirats arabes unis, Bahreïn ou Koweït), la charia est « une » des sources principales de la législation.
- En Syrie, c'est le fiqh (jurisprudence islamique) qui joue ce rôle, et en Irak « l'islam »…
- Enfin, en Égypte, au Yémen, à Oman ou au Soudan, les principes de la charia sont « la » source principale de la législation.

Par ailleurs, d'autres Constitutions se réfèrent à la charia dans des domaines précis : droit des successions, mariage, divorce, etc. Problème : la plupart de ces textes ne précisent pas de quels principes il s'agit, ni à quelle école juridique il convient de se référer pour les identifier, ni même à qui revient la tâche d'apprécier la conformité de la loi à la charia. L'Égypte représente une exception puisqu'une Cour constitutionnelle a été chargée de ce contrôle, qu'elle a exercé de façon très moderniste, adoptant une conception très restrictive du concept de « principes de la charia ».

Pour cette raison, la nouvelle Constitution égyptienne soumise au référendum en décembre 2012 par le président Mohamed Morsi, qui laisse inchangé l'article 2 sur le rôle de la charia dans la législation, explicite en revanche son contenu dans un article 219 visant clairement à « contrecarrer l'interprétation moderniste de l'article 2 qu'avait adoptée la Haute Cour constitutionnelle », estime Nathalie Bernard-Maugiron.

Si les constituants ont généralement espéré contrebalancer la montée de l'opposition islamiste par la promotion d'un « islam officiel », sans portée juridique réelle, l'arme est à double tranchant, reconnaît la chercheuse : « Les mouvements radicaux de l'islam politique vont en effet l'invoquer eux aussi pour fonder leur contestation du pouvoir. » « Avec la prise du pouvoir de certains partis islamistes, les juges vont peut-être se sentir pousser des ailes pour interpréter plus directement la charia, notamment en droit de la famille », souligne Jean-Philippe Bras.

Anne-Bénédicte HOFFNER

(1) Publiée dans La Charia aujourd'hui, usages de la référence au droit islamique, sous la direction de Baudouin Dupret, Éd. La Découverte, 2012, 301 p., 26 €.

* En Egypte la Constitution controversée défendue par les islamistes au pouvoir a été approuvée par près de 64 % des votants au terme d'un référendum entaché, selon l'opposition, d'irrégularités.

Source:La Croix -http://www.la-croix.com/Religion/Spiritualite/L-islam-dans-les-Constitutions-des-pays-du-monde-musulman-_NP_-2013-02-01-906436-
1/2/2013



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samedi 2 février 2013

Assemblée générale de la Fondation maronite dans le monde à Bkerké | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

La Fondation maronite dans le monde a tenu hier son assemblée générale au siège patriarcal de Bkerké, en présence du cardinal Béchara Raï. Ce dernier a de nouveau pris fait et cause pour la mission de la Fondation, créée par le patriarche Sfeir et l'ancien ministre Michel Eddé, qui consiste à maintenir le lien légal entre les émigrés et la mère patrie, et à encourager les Libanais d'origine à inscrire leurs mariages et leurs enfants dans les chancelleries libanaises.
S'adressant aux membres de l'assemblée, le patriarche a affirmé : « Il est indispensable que tous les Libanais conservent leur identité d'origine et leurs papiers, puisque le système politique libanais repose sur les données démographiques. Sauvegarder notre identité libanaise revient donc à sauvegarder notre patrie et notre formule politique. Cela permettra à notre présence de continuer d'avoir un poids. Le Liban doit jouer un rôle à la fois comme facteur de stabilité et de paix dans la région, et comme modèle de convivialité pour le monde arabe, dans l'ouverture à la démocratie, à la modernité et aux valeurs. C'est là le rôle du Liban, un rôle que musulmans et chrétiens doivent jouer, car nous avons une seule culture et une seule civilisation. (...) Je le dis donc aux émigrés, en préservant votre nationalité d'origine, c'est le sol libanais que vous préservez pour vous-mêmes et vos enfants. »
« Votre travail est à la dimension de l'histoire, a encore dit le patriarche, et je sais les obstacles auxquels vous vous heurtez ; car il en est qui ne réalisent pas l'importance de ce que vous faites. » « La Fondation maronite dans le monde rend service aussi bien à l'Église qu'au Liban », a-t-il insisté.
Un déjeuner a ensuite été donné en l'honneur des membres et des personnalités proches de la Fondation, en présence notamment des ministres de l'Intérieur, Marwan Charbel, de l'Énergie et de l'Eau, Gebran Bassil, et de la Justice, Chakib Cortbaoui.

Voyage en Amérique latine
Par ailleurs, le patriarche a reçu hier l'ambassadeur du Brésil, Alfonso Massao, accompagné de l'évêque maronite du Brésil, Edgar Madi, venus parler de la visite que le chef de l'Église maronite doit effectuer au Brésil, au printemps.
« Je représente le ministère brésilien des Affaires étrangères à São Paulo, a affirmé le diplomate. Cette ville est le centre de gravité de la présence maronite au Brésil. Notre pays compte quelque 10 millions d'habitants d'origine libanaise. »
L'ambassadeur du Brésil a annoncé qu'il avait soumis au palais Bustros trois projets d'accord portant sur l'octroi de visas prolongés (5 ans) aux hommes d'affaires et touristes libanais se rendant au Brésil, l'élimination des frais de visas pour les détenteurs de passeports spéciaux et diplomatiques et enfin le renforcement du dialogue politique entre les deux pays. Et d'annoncer qu'il organisera prochainement une exposition sur la présence libanaise au Brésil.

Brésil et Paraguay
Pour sa part, Mgr Madi devait affirmer : « Nous travaillons avec les ambassadeurs du Brésil et du Paraguay pour préparer cette visite nationale et pastorale en Amérique du Sud. La colonie libanaise au Brésil est la plus importante du monde, et les maronites au Brésil ne viennent pas seulement du Liban. Il en est qui sont d'origine syrienne. Ils vont pouvoir toucher du doigt, grâce à cette visite, la première d'un patriarche maronite au Brésil, que leur Église s'intéresse à leur sort et qu'ils peuvent renouer avec leurs racines libanaises. »

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ZENIT - Arméniens Catholiques de France : Mgr Jean Teyrouz évêque

http://www.zenit.org/article-33351?l=french
ARMÉNIENS CATHOLIQUES DE FRANCE : MGR JEAN TEYROUZ ÉVÊQUE-1/2/2013

Le pape Benoît XVI a nommé, ce samedi 2 février 2013, Mgr Jean Teyrouz évêque pour les Arméniens catholiques de France.

Il était jusqu'à présent évêque titulaire de Mélitène des Arméniens et évêque de la Curie patriarcale.

Le pape avait accepté la démission de Mgr Grégoire Ghabroyan qui était évêque de l'Éparchie de Sainte-Croix de Paris depuis 1984.

Mgr Grégoire Ghabroyan est nommé Administrateur apostolique jusqu'à la prise de possession canonique de son successeur.

« Eparchie », pour les Eglises orientales, est synonyme de « diocèse ».

Agé de 71 ans, Mgr Teyrouz est originaire d'Alep (Syrie).

Séminariste au Grand séminaire de Rome, il a étudié la philosophie puis la théologie à l'Université pontificale Grégorienne de Rome et la sociologie à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth.

Il a été ordonné prêtre de l'Institut patriarcal de Bzommar (Liban) le 24 décembre 1965.

Il a ensuite exercé différents ministères : dans l'enseignement à Alep et au Liban et en paroisse, au Liban.

Économe interne et autres charges au Couvent Notre-Dame de Bzommar, il a été également vice-recteur puis recteur du petit séminaire.


Curé au Venezuela, d'avril à octobre 1982, il est rentré au Liban, chargé de plusieurs associations de pastorale des jeunes, notamment du mouvement scout.

Ordonné évêque titulaire de Mélitène des Arméniens et auxiliaire du diocèse patriarcal de Beyrouth, le 25 mars 2001.
 Il a été élu évêque de la Curie patriarcale, le 7 octobre 2007.

L'accord préalable écrit de l'éditeur est nécessaire pour toute reproduction des informations de ZENIT.



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