Une plainte aurait été déposée contre sœur Agnès-Mariam de la Croix pour escroquerie et bloquée par le régime
mardi 22 novembre 2011 - 02h14, par Le régime syrien est aux abois. Lâché par la Ligue arabe, soumis aux pressions occidentales et régionales, notamment turques, Bachar Al-Assad recourt à certains Chrétiens de services - et des Services - pour le défendre médiatiquement en Europe. Mais la supercherie ne passe pas. Des voix s’élèvent d’ores et déjà pour demander aux autorités de sanctionner ces religieux, et ceux qui placent le Centre Catholique d’information, au Liban, au service du dictateur syrien.
Encore sous le choc provoqué par la politique contre-nature prônée par le Patriarche maronite Béchara Raï, qui ne cesse de défendre le régime syrien et le Hezbollah et de contredire les principes historiques de l’Eglise fondés sur la souveraineté du Liban et son indépendance, les Libanais ont assisté, ébahis, à la transformation du Centre Catholique d’Information, à Beyrouth, en une agence de presse favorable au régime de Bachar Al-Assad.
Le Centre Catholique d’Information, bras médiatique du Patriarcat, a ainsi accueilli, samedi 19 novembre, Sœur Agnès-Mariam de la Croix, une religieuse d’origine palestinienne installée en Syrie depuis le début des années 1990, et qui est devenue une porte-parole du régime tournée vers l’Occident chrétien, dans l’objectif de peser sur les opinions publiques, en multipliant les mensonges et en concentrant ses interventions sur les « menaces » potentielles ou virtuelles qui pourraient viser les Chrétiens d’Orient au lendemain de la chute du régime du Baas en Syrie. Mais en réalité, cette religieuse n’est qu’une opportuniste protégée par le régime qui s’en sert comme caution chrétienne. Elle avait déjà « littéralement mis la main » sur le couvent Saint Jacques de Qâra qu’elle préside et restaure depuis 1993, avec le soutien du régime. Selon des sources proches de l’Eglise à Rome, l’évêché Melkite Catholique, propriétaire du couvent Saint Jacques (Mar Yacoub), aurait déjà porté plainte contre la « religieuse usurpatrice » pour tenter de récupérer ses biens. Mais en vain ; le régime syrien a bloqué la plainte. Le résultat est que la religieuse est réduite au rang « d’esclave médiatique de Bachar Al-Assad ».
Voici en vidéo quelques extraits de la conférence de presse, diffusée par la télévision syrienne, la télévision OTV (de Michel AOun), et Al-Manar (du Hezbollah)
Dans cette vidéo, Sœur Agnès-Mariam affirme avoir effectué une tournée en Syrie, en compagnie de « journalistes indépendants venus de plusieurs pays européens, arabes et américains, pour prendre connaissance des faits réels sur le terrain ». Selon son constat, « la délégation (comprenant Thierry Meyssan et Marc Georges notamment), s’est rendue dans les régions sensibles et visité les hôpitaux où elle a vérifié ce que les agents de sécurité et des militaires avaient subi comme actes terroristes ».
Selon la religieuse-usurpatrice, « les journalistes détiennent les vrais noms des gens qui ont été assassinés, décapités, blessées et mutilés sans que ces derniers sachent pourquoi. Ces mêmes victimes font l’objet d’une machination diabolique en montant leurs photos et séquences pour les exploiter via des médias tendancieux pour dire à la fin qu’ils étaient victimes des actes des forces de sécurité et de l’armée ».
La religieuse-journaliste-reportrice affirme que « le Centre Catholique d’Information - qui a sponsorisé son périple - dispose de plus de 800 tués, tous des forces de sécurité, au moment où un pseudo-centre de droit de l’homme syrien, se trouvant à Londres, gonfle tous les jours le bilan des morts sans être capable de fournir leurs noms ». Elle ajoute que « certains médias enfoncent les gens dans la tromperie et la duperie et ceci est inacceptable, car il existe une déontologie de travail dans le monde de la presse, mais malheureusement cette éthique professionnelle n’existe plus chez ces médias qui annoncent des nouvelles inexistantes sur le terrain. Ces médias tentent de nous faire comprendre qu’il existe en Syrie uniquement deux composantes : la première, constituée de méchants, c’est-à-dire l’armée et les forces de sécurité, appelées aussi Chabiha, et la deuxième, ce sont les manifestants pacifiques comme les agneaux revendiquant la liberté, la démocratie et les droits de l’homme », a encore ajouté, la religieuse, non sans ironie.
Mais les propos de la religieuse, qui n’est ni journaliste ni politicienne, perdent leurs valeurs et leur crédibilité, puisque non seulement ses liens avec le régime ne sont plus un secret pour personne, mais surtout, parce que sa conférence de presse a été cautionnée par un prêtre libanais ,connu pour ses « liens avérés avec les Services syriens du temps d’Emile Lahoud, l’ancien président libanais nommé par Damas entre 1998 et 2007 ».
Ce prêtre, assis à la tribune du Centre Catholique d’Information, est également connu au Liban pour ses faiblesses devant l’argent, et à l’étranger, pour les mauvais souvenirs que ses aventures en tous genres avaient laissé. Celui qui est devenu président de la Commission épiscopale pour les médias, l’instance du Patriarcat qui supervise le Centre Catholique d’Information, avait en effet déjà été évincé de la direction d’une importante institution caritative au Liban pour des pratiques qualifiées pour le moins « d’opaques » ! Ceux qui l’ont connu se souviennent certainement de ses passages à l’étranger et des scandales qu’il a gravés dans leur mémoire (…). D’autres n’auront pas non plus oublié son séjour « tumultueux » dans un autre pays lointain et les ravages qu’il y a causés.
Les téléspectateurs ont également été scandalisés, samedi, par Agnès-Mariam qui était flanquée d’une brochette de personnes controversées, autoproclamées journalistes, comme Thierry Meyssan (Réseau Voltaire), Marc Georges, proche de Dieudonné Mbala Mbala (qui avait soutenu Kadhafi et Ahmadinedjad), et l’américain Webster Griffin Tarpley, (selon lequel les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis étaient un complot interne et/ou sioniste). Ces personnalités ont la particularité d’être liées au réseau Voltaire, mis à la disposition de l’Iran, de la Syrie et du Hezbollah depuis au moins cinq ans pour diffuser leur politique dans le monde.
Les journalistes qui ont accompagné la religieuse sont venus d’Italie, de Belgique, de France, d’Espagne, des Etats-Unis, ainsi que des Libanais et des Algériens. Ils ont eu aussi mis l’accent sur le fait que « l’objectivité exige de dire que les groupes armés sont derrière les actes terroristes ciblant l’armée et les forces de l’ordre pour affaiblir le régime syrien ». Unanimement, ils ont affirmé avoir visité les villes de Homs, Banias, Tartous, et autres, mais ils n’ont jamais vu l’armée tirer sur la population et tuer le peuple. Par contre, ils assurent avoir vu des gangs armés et cagoulés qui tuaient les militaires. Ils ont aussi vu des snipers. Sans doute, les prières de la religieuses ont protégé la délégation des snipers ! Le célèbre Marc Georges affirme avoir parlé avec les soldats blessés et que les seules manifestations rencontrées étaient des marches de soutien au régime et non de l’opposition. « Les seuls martyrs que nous avions vus étaient des soldats et non des civils. Les chaines comme al-Jazzera, al-Arabiya et la BBC parlent comme celui qui répète une récitation qui n’a aucune relation avec la réalité », a-t-il conclu.
Selon nos sources, le Vatican s’apprête à se saisir du dossier de la religieuse et du prêtre, deux cas particuliers qui viennent s’ajouter aux affaires qui secouent l’Eglise maronite depuis l’arrivée du Patriarche Raï à sa tête.
Pour toutes ces raisons, des voix s’élèvent déjà à Rome pour demander au Saint Siège d’interdire au Centre Catholique d’Information de contribuer au mensonge d’Etat et de défendre la dictature syrienne.
Parmi ceux qui ont connu le président de la Commission épiscopale pour les médias, et qui sont au courant de ses aventures à l’étranger, estiment que « ce religieux n’a du titre que l’habit, et encore, quand il le met ! Selon eux, « le prêtre semble inconscient que celui qui a une maison en verre ne doit pas lancer les cailloux chez les voisins ».
Ils regrettent qu’il soit devenu, avec la religieuse syrienne, la honte de la chrétienté.
Exclusif : Syrie : comment le régime de Bachar Al-Assad exploite-t-il ...
Encore sous le choc provoqué par la politique contre-nature prônée par le Patriarche maronite Béchara Raï, qui ne cesse de défendre le régime syrien et le ...
www.mediarabe.info/spip.php? article2068
http://souriahouria.com/2011/11/27/le-regime-syrien-expulse-le-pere-paolo-dall%E2%80%99oglio-fondateur-de-la-communaute-%C2%AB-al-khalil-%C2%BB/
Lire aussi les antécédents de Sœur Agnès-Mariam de la Croix
Syrie : le régime s’emploie à donner une dimension islamique à la contestation (7 mai 2011).
Syrie : le régime a érigé le "mensonge" en religion d’Etat / Après les "égarements" du Patriarche maronite d’Antioche et de tout l’Orient, Bechara Raï, comment s’étonner encore des mensonges des curés et des bonnes sœurs ? (30 septembre 2011).
Pour comprendre le réseau Voltaire, lire aussi :
pour en savoir un peu plus sur Thierry Meyssan, sur son imagination très fertile et sur ses capacités illimitées à développer des thèses on ne peut plus crédibles (17 février 2008).
Le portrait de Thierry Meyssan et de son réseau Voltaire, dressé par « Valeurs Actuelles » le 13 septembre 2002)
Stefano B.C (Rome)
Le Centre Catholique d’Information, bras médiatique du Patriarcat, a ainsi accueilli, samedi 19 novembre, Sœur Agnès-Mariam de la Croix, une religieuse d’origine palestinienne installée en Syrie depuis le début des années 1990, et qui est devenue une porte-parole du régime tournée vers l’Occident chrétien, dans l’objectif de peser sur les opinions publiques, en multipliant les mensonges et en concentrant ses interventions sur les « menaces » potentielles ou virtuelles qui pourraient viser les Chrétiens d’Orient au lendemain de la chute du régime du Baas en Syrie. Mais en réalité, cette religieuse n’est qu’une opportuniste protégée par le régime qui s’en sert comme caution chrétienne. Elle avait déjà « littéralement mis la main » sur le couvent Saint Jacques de Qâra qu’elle préside et restaure depuis 1993, avec le soutien du régime. Selon des sources proches de l’Eglise à Rome, l’évêché Melkite Catholique, propriétaire du couvent Saint Jacques (Mar Yacoub), aurait déjà porté plainte contre la « religieuse usurpatrice » pour tenter de récupérer ses biens. Mais en vain ; le régime syrien a bloqué la plainte. Le résultat est que la religieuse est réduite au rang « d’esclave médiatique de Bachar Al-Assad ».
Voici en vidéo quelques extraits de la conférence de presse, diffusée par la télévision syrienne, la télévision OTV (de Michel AOun), et Al-Manar (du Hezbollah)
Dans cette vidéo, Sœur Agnès-Mariam affirme avoir effectué une tournée en Syrie, en compagnie de « journalistes indépendants venus de plusieurs pays européens, arabes et américains, pour prendre connaissance des faits réels sur le terrain ». Selon son constat, « la délégation (comprenant Thierry Meyssan et Marc Georges notamment), s’est rendue dans les régions sensibles et visité les hôpitaux où elle a vérifié ce que les agents de sécurité et des militaires avaient subi comme actes terroristes ».
Selon la religieuse-usurpatrice, « les journalistes détiennent les vrais noms des gens qui ont été assassinés, décapités, blessées et mutilés sans que ces derniers sachent pourquoi. Ces mêmes victimes font l’objet d’une machination diabolique en montant leurs photos et séquences pour les exploiter via des médias tendancieux pour dire à la fin qu’ils étaient victimes des actes des forces de sécurité et de l’armée ».
La religieuse-journaliste-reportrice affirme que « le Centre Catholique d’Information - qui a sponsorisé son périple - dispose de plus de 800 tués, tous des forces de sécurité, au moment où un pseudo-centre de droit de l’homme syrien, se trouvant à Londres, gonfle tous les jours le bilan des morts sans être capable de fournir leurs noms ». Elle ajoute que « certains médias enfoncent les gens dans la tromperie et la duperie et ceci est inacceptable, car il existe une déontologie de travail dans le monde de la presse, mais malheureusement cette éthique professionnelle n’existe plus chez ces médias qui annoncent des nouvelles inexistantes sur le terrain. Ces médias tentent de nous faire comprendre qu’il existe en Syrie uniquement deux composantes : la première, constituée de méchants, c’est-à-dire l’armée et les forces de sécurité, appelées aussi Chabiha, et la deuxième, ce sont les manifestants pacifiques comme les agneaux revendiquant la liberté, la démocratie et les droits de l’homme », a encore ajouté, la religieuse, non sans ironie.
Mais les propos de la religieuse, qui n’est ni journaliste ni politicienne, perdent leurs valeurs et leur crédibilité, puisque non seulement ses liens avec le régime ne sont plus un secret pour personne, mais surtout, parce que sa conférence de presse a été cautionnée par un prêtre libanais ,connu pour ses « liens avérés avec les Services syriens du temps d’Emile Lahoud, l’ancien président libanais nommé par Damas entre 1998 et 2007 ».
Ce prêtre, assis à la tribune du Centre Catholique d’Information, est également connu au Liban pour ses faiblesses devant l’argent, et à l’étranger, pour les mauvais souvenirs que ses aventures en tous genres avaient laissé. Celui qui est devenu président de la Commission épiscopale pour les médias, l’instance du Patriarcat qui supervise le Centre Catholique d’Information, avait en effet déjà été évincé de la direction d’une importante institution caritative au Liban pour des pratiques qualifiées pour le moins « d’opaques » ! Ceux qui l’ont connu se souviennent certainement de ses passages à l’étranger et des scandales qu’il a gravés dans leur mémoire (…). D’autres n’auront pas non plus oublié son séjour « tumultueux » dans un autre pays lointain et les ravages qu’il y a causés.
Les téléspectateurs ont également été scandalisés, samedi, par Agnès-Mariam qui était flanquée d’une brochette de personnes controversées, autoproclamées journalistes, comme Thierry Meyssan (Réseau Voltaire), Marc Georges, proche de Dieudonné Mbala Mbala (qui avait soutenu Kadhafi et Ahmadinedjad), et l’américain Webster Griffin Tarpley, (selon lequel les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis étaient un complot interne et/ou sioniste). Ces personnalités ont la particularité d’être liées au réseau Voltaire, mis à la disposition de l’Iran, de la Syrie et du Hezbollah depuis au moins cinq ans pour diffuser leur politique dans le monde.
Les journalistes qui ont accompagné la religieuse sont venus d’Italie, de Belgique, de France, d’Espagne, des Etats-Unis, ainsi que des Libanais et des Algériens. Ils ont eu aussi mis l’accent sur le fait que « l’objectivité exige de dire que les groupes armés sont derrière les actes terroristes ciblant l’armée et les forces de l’ordre pour affaiblir le régime syrien ». Unanimement, ils ont affirmé avoir visité les villes de Homs, Banias, Tartous, et autres, mais ils n’ont jamais vu l’armée tirer sur la population et tuer le peuple. Par contre, ils assurent avoir vu des gangs armés et cagoulés qui tuaient les militaires. Ils ont aussi vu des snipers. Sans doute, les prières de la religieuses ont protégé la délégation des snipers ! Le célèbre Marc Georges affirme avoir parlé avec les soldats blessés et que les seules manifestations rencontrées étaient des marches de soutien au régime et non de l’opposition. « Les seuls martyrs que nous avions vus étaient des soldats et non des civils. Les chaines comme al-Jazzera, al-Arabiya et la BBC parlent comme celui qui répète une récitation qui n’a aucune relation avec la réalité », a-t-il conclu.
Selon nos sources, le Vatican s’apprête à se saisir du dossier de la religieuse et du prêtre, deux cas particuliers qui viennent s’ajouter aux affaires qui secouent l’Eglise maronite depuis l’arrivée du Patriarche Raï à sa tête.
Les Libanais s’interrogent « pourquoi la conférence de presse n’a pas été organisée au siège du syndicat des journalistes, ou du syndicat des rédacteurs ? Pourquoi l’Eglise et ses institutions cherchent-elles à s’impliquer dans un conflit qui n’est pas le leur, et soutenir de surcroît une dictature qui a littéralement détruit le Liban sur la tête de ses habitants durant 15 ans, avant de l’occuper et de le vassaliser quinze autres années ? »
Pour toutes ces raisons, des voix s’élèvent déjà à Rome pour demander au Saint Siège d’interdire au Centre Catholique d’Information de contribuer au mensonge d’Etat et de défendre la dictature syrienne.
Parmi ceux qui ont connu le président de la Commission épiscopale pour les médias, et qui sont au courant de ses aventures à l’étranger, estiment que « ce religieux n’a du titre que l’habit, et encore, quand il le met ! Selon eux, « le prêtre semble inconscient que celui qui a une maison en verre ne doit pas lancer les cailloux chez les voisins ».
Ils regrettent qu’il soit devenu, avec la religieuse syrienne, la honte de la chrétienté.
Assad affirme qu'il combattera jusqu'à la mort les forces étrangères Elle a affirmé que "le Centre catholique de l'information a entre les mains le nom de 500 personnes qui ont été tuées et égorgées et dont les corps ont été ... www.almanar.com.lb/french/ |
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Encore sous le choc provoqué par la politique contre-nature prônée par le Patriarche maronite Béchara Raï, qui ne cesse de défendre le régime syrien et le ...
www.mediarabe.info/spip.php?
http://souriahouria.com/2011/11/27/le-regime-syrien-expulse-le-pere-paolo-dall%E2%80%99oglio-fondateur-de-la-communaute-%C2%AB-al-khalil-%C2%BB/
Lire aussi les antécédents de Sœur Agnès-Mariam de la Croix
Syrie : le régime s’emploie à donner une dimension islamique à la contestation (7 mai 2011).
Syrie : le régime a érigé le "mensonge" en religion d’Etat / Après les "égarements" du Patriarche maronite d’Antioche et de tout l’Orient, Bechara Raï, comment s’étonner encore des mensonges des curés et des bonnes sœurs ? (30 septembre 2011).
Pour comprendre le réseau Voltaire, lire aussi :
pour en savoir un peu plus sur Thierry Meyssan, sur son imagination très fertile et sur ses capacités illimitées à développer des thèses on ne peut plus crédibles (17 février 2008).
Le portrait de Thierry Meyssan et de son réseau Voltaire, dressé par « Valeurs Actuelles » le 13 septembre 2002)
Stefano B.C (Rome)