Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

samedi 25 octobre 2014

Alerte Google - Chrétiens d'Orient



Envoyé de mon Ipad 

Objet: Alerte Google - Chrétiens d'Orient

Google
Chrétiens d'Orient
Mises à jour quotidiennes 25 octobre 2014
ACTUALITÉS
Des hommes en trop
Que le secours des chrétiens d'Orient ne dépende plus que d'organisations caritatives, principalement catholiques, accable l'aveuglement de la ...
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Radio Vatican
Mgr Twal appelle les diocèses à investir en Terre Sainte
(ndlr : la réunion des cardinaux et patriarches orientaux qui s'est tenue au Vatican le lundi 20 octobre pour évoquer la situaton des chrétiens d'Orient).
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Corse Net Infos
Amitié Corse et Nord Africaine
... voulu cette conférence il y a maintenant bien neuf mois, sans rapport donc avec les plus récentes persécutions dont souffrent les Chrétiens d'Orient.
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C'est arrivé cette semaine David Abiker – 25/10/14
Xo (23 octobre)Auteur de Des hommes en trop : les chrétiens d'Orient , éd. Fayard (3 septembre) 4/ L'art contemporain : buzz ou business ?
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La Vie
Mgr Sako sanctionne des religieux ayant fui l'Irak
... en marge du consistoire consacré aux chrétiens d'Orient. "Les prêtres qui ont fui sans aucun document canonique encouragent les autres à partir, ...
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Midi Libre
L'Eglise dans le Gard aujourd'hui : "Une histoire d'amour"
N. G. : On prie beaucoup, oui vraiment beaucoup, dans les paroisses, pour les chrétiens d'orient, persécutés. I. d'A. : Ce qui me fait réagir, et je l'ai vu ...
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Le Niçois
Nicolas Sarkozy : « La religion à la maison, pas au guichet »
Dans le même ordre d'idée, je n'accepte pas que les chrétiens d'Orient soient martyrisés en Irak, en Egypte, en Syrie où ailleurs. La question de la ...
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crif (Communiqué de presse)
"Au nom de la foi"
... les yézidis, les Turkmènes, les shabaks, mènent la guerre aux chiites, chassent les Chrétiens d'Orient ancrés sur cette terre depuis deux millénaires ...
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"Si je t'oublie, Jérusalem", par le card. Etchegaray
... devant le pape François et les cardinaux réunis en consistoire, lundi 20 octobre, sur la situation des chrétiens d'Orient et l'aide à leur apporter.
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WEB
L'appel du pape pour les chrétiens d'Orient
À l'occasion du consistoire convoqué ce lundi 20 octobre au Vatican pour traiter de différentes Causes de canonisation, François a appelé la ...
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Chrétiens d'Irak : L'Œuvre d'Orient et l'AED réclament la sécurisation de Qaraqosh
Directeurs respectifs de L'Œuvre d'Orient et d'Aide à l'Église en détresse (AED), Mgr Pascal Gollnisch et Marc Fromager sont retournés en Irak.
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Pour que vivent les chrétiens d'Orient
MOBILISATION - Une manifestation à Paris ce dimanche a rassemblé environ 200 personnes en soutien aux Chrétiens d'Orient persécutés.
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Actualité des chrétiens d'Orient
RCF
Détails de l'émission. Depuis le Kurdistan Irakien, Mgr Pascal Gollnisch directeur de l'Œuvre d'Orient explique la raison de la visite d'une délégation ...
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Chrétiens d'Orient, entre islamisme et sionisme. Avec Elias Moutran chez les Non-Alignés.
Description : Elias Moutran, avocat libanais et militant pan-arabe de longue date, nous brosse un tableau général de la situation dramatique du ...
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Pour que vivent les chrétiens d'Orient
Pour que vivent les chrétiens d'Orient24/10/14 - 09 H 22Hussein Malla/ASSOCIATED PRESSEn juin dernier, cet enfant chrétien irakien a été déplacé ...
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Irak : l'AED et L'Œuvre d'Orient réclament la sécurisation de Qaraqosh
Avec une aide de 4 millions d'euros pour 125 000 réfugiés chrétiens irakiens. Ils réclament que le soutien international aux gouvernements kurde et ...
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Nous ne pouvons nous résigner à penser à un Moyen-Orient sans les chrétiens
Mgr Parolin s'est en revanche montré prudent sur le dilemme des chrétiens d'Orient, partagés entre rester et émigrer, en mettant d'abord en avant la ...
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Pour que vivent les chrétiens d'Orient
Pour que vivent les chrétiens d'Orient. France 12 minutes ago la-croix 0. Read The Rest at la-croix. Comments. Loading... Please Insert Your Name ...
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Mgr M. Khairallah à l'Œuvre d'Orient, La question des réfugiés syriens au Liban | L'Œuvre d'Orient

Mgr M. Khairallah à l'Œuvre d'Orient, La question des réfugiés syriens au Liban | L'Œuvre d'Orient

http://www.oeuvre-orient.fr/2014/10/22/mgr-m-khairallah-loeuvre-dorient-question-refugies-syriens-au-liban/
Mgr M. Khairallah à l'Œuvre d'Orient, La question des réfugiés syriens 
22/10/2014

"Nous resterons les messagers de la paix et de la réconciliation. Nous n'avons qu'à aimer tout le monde, à pardonner à tout le monde. Nous avons depuis très longtemps dépassé la psychose de la peur, nous n'avons pas peur."

Mgr Mounir Kayrallah

Mgr Mounir Kayrallah

De passage à l'Œuvre d'Orient Mgr Mounir Khairallah nous confie son souci du nombre de réfugiés syriens au Liban.

« Nous souffrons actuellement, non seulement le diocèse mais tout le Liban, du poids des réfugiés syriens, en nombre impensable et très lourd pour que le Liban puisse les accueillir.

Cela pose des problèmes :

  • au niveau social,
  • au niveau économique,
  • au niveau humanitaire
  • et humain aussi.

Nous sommes tous démunis devant ce gros problème, que ce soit le gouvernement, l'administration de l'État, ou l'Église ; nous nous sentons vraiment dépassés par ce problème.

Nous voulons bien accueillir, et nous le faisons, ce sont nos frères, mais nous ne savons pas comment nous y prendre. Ces gens-là trouvent un travail, assez discret certes mais ils travaillent, mais en même temps ils prennent le travail de nos jeunes, de notre population. Donc c'est vraiment malheureux de le dire mais c'est un problème. Toutes les puissances occidentales et les Nations Unies essayent de nous aider à contrer ce problème mais je crois que la dimension est telle que tout le monde se sent démuni, nous ne savons pas quoi faire.

Mais nous gardons toujours une espérance très forte que la tempête qui passe actuellement par tout le Moyen Orient, la tempête de haine, de guerre, de sauvagerie, commises par les intégristes de tout bord, c'est une tempête qui fait payer tous nos pays très cher mais c'est une tempête qui passera.

Nous resterons les messagers de la paix et de la réconciliation, nous resterons les témoins du Christ sur la Terre du Christ et nous n'avons qu'à aimer tout le monde, à pardonner à tout le monde.

Une fois cette tempête passée, nous aurons à reconstruire nos pays à travers l'engagement que nous prenons dans les patries d'où nous sommes originaires.

Les chrétiens sont originaires de cette terre qui a connu les trois religions monothéistes, mais surtout qui a connu le Christ incarné homme pour nous sauver par sa mort et sa résurrection.

C'est un témoignage que nous sommes toujours prêts à donner, même si le prix est parfois très cher à payer.

Nous avons depuis très longtemps dépassé la psychose de la peur, nous n'avons pas peur. Seul Jésus Christ Sauveur qui reste parmi nous, nous aidera et nous encouragera à continuer notre témoignage sur sa terre à Lui, cette Terre Sainte.

Je voudrais  dire un grand merci à l'œuvre d'Orient et je suis reconnaissant avec mon Église pour tout ce qu'a fait et ce que fait toujours l'œuvre d'Orient, depuis sa fondation en 1856, pour les Églises d'Orient et les chrétiens d'orient. Je la connais depuis 1978 lorsque j'étais prêtre étudiant à Paris et je continue à cheminer avec cette Œuvre en étant vraiment un ami et en essayant de parler autour de moi de ce que fait vraiment l'œuvre d'orient. Déjà dans mon diocèse tout le monde sait combien l'œuvre d'orient nous est proche, moralement, spirituellement et aussi matériellement.

Mon diocèse est un petit diocèse au Liban, un diocèse à dimension humaine, mais qui est réputé pour être le diocèse des Saints, puisque les saints du Liban sont originaires et ont leurs tombes dans le diocèse. Le diocèse ne souffre pas de manque de prêtres, ni de manque de séminaristes, Dieu merci ! C'est une grâce, ça l'a toujours été et c'est encore actuel et nous considérons que c'est un don de Dieu que des jeunes répondent vraiment à la vocation, qu'ils répondent au ministère. Nous avons des vocations de prêtres diocésains, mais aussi des vocations monastiques, ce qui fait la joie de la population.
Nous sommes actuellement, dans le diocèse de Batroun, dans une démarche synodale, pour deux ans, et qui aura pour objectif d'appliquer le synode patriarcal maronite qui a été retenu pour notre Église maronite à travers le monde entre 2003 et 2006. Cet objectif nous aidera à renouveler notre engagement, spirituel avant tout, notre engagement au service de notre Église, de notre peuple.

Envoyé de mon Ipad 

Syrie : comment (sur)vit-on aujourd’hui à Damas ? | L'Aide à l'Eglise en Détresse

Syrie : comment (sur)vit-on aujourd'hui à Damas ? | L'Aide à l'Eglise en Détresse
SYRIE : comment (sur)vit-on aujourd'hui à Damas ?

Les habitants de Damas entament leur quatrième année de guerre. Comment vivent-ils  aujourd'hui ? Peuvent-ils sortir de chez eux ? Comment affrontent-ils l'angoisse de la guerre au quotidien ? Mgr Samir Nassar, archevêque maronite de Damas, a répondu aux questions de l'AED dans une interview du 22 octobre.

 AED : Excellence, la guerre en Syrie dure maintenant depuis plus de trois ans déjà. Comment les gens vivent-ils dans une telle situation ?

Mgr Nassar : Les problèmes augmentent. L'économie est morte. Les gens n'ont pas de travail. L'inflation galope. Notre monnaie se déprécie massivement par rapport au dollar. Chacun s'appauvrit lentement. Les gens ont épuisé toutes leurs économies. Tout le monde a besoin d'aide. En tant qu'Église, nous tentons de soutenir autant de familles que possible. Actuellement, il s'agit d'environ 300 à 400 familles chrétiennes. Le problème est de leur faire parvenir de l'aide. Ce n'est pas sans danger. Il y a un risque réel de se faire attaquer ou enlever, mais nous devons vivre avec, car sinon, nos gens partiront. Déjà maintenant, il nous a fallu fermer trois paroisses parce que les fidèles étaient partis. Donc, si nous n'apportons aucune aide au peu de gens qui restent, il n'y aura plus d'Église à Damas. Dieu soit loué, l'Aide à l'Église en détresse est là pour nous soutenir durant ces années difficiles.

AED : l'État syrien est-il encore capable d'accorder de l'aide, quelle qu'elle soit ?

Non. Les gens sont livrés à eux-mêmes. Mais comme je le disais précédemment, même ceux qui ont un travail s'appauvrissent à cause de l'inflation très élevée. Mais il n'y a pratiquement plus de travail. Bien sûr, les personnes âgées sont le plus durement touchées. Jusqu'à présent, elles étaient aidées par leurs familles. Mais celles-ci non n'ont plus rien non plus. Nous essayons donc d'intervenir. Nous avons un programme qui aide les personnes âgées à recevoir leurs médicaments.

AED : comment faut-il s'imaginer la vie quotidienne dans une région en crise ?

Voyez-vous, nous vivons notre quatrième année de guerre. Au début, tout le monde avait peur des combats, des bombes, des roquettes. Maintenant, nous nous y sommes habitués. La vie doit continuer. On essaie évidemment d'être très prudent. Il vaut mieux rester dans la maison que dans la rue. À Damas, vous pouvez mourir de diverses manières, par exemple sous les coups de feu de tireurs embusqués ou à cause de l'explosion d'une voiture piégée. Evidemment, il y a aussi les obus. Bien sûr, quand on est blessé, on peut aussi mourir parce qu'on manque de médicaments. Les hôpitaux n'ont plus assez de médicaments. L'impact d'un obus peut tuer sur le coup trois ou quatre personnes et en blesser peut-être trente ou quarante, dont une dizaine mourront ensuite parce qu'elles n'auront pas pu être suffisamment soignées. Et bien entendu, vous pouvez aussi mourir de malnutrition. Si vous êtes diabétique par exemple, et que vous devez respecter un certain régime alimentaire mais que vous ne le recevez pas, vous mourrez aussi plus rapidement. Mais même en dehors de cela, les circonstances de vie sont mauvaises. Nous avons deux millions d'enfants qui ne vont plus du tout à l'école. De nombreux établissements scolaires sont détruits. Ceux qui sont encore debout sont totalement surpeuplés. Les classes se composent maintenant d'environ soixante élèves. Le niveau d'éducation s'en ressent.

AED : qu'en-est-il de l'approvisionnement en nourriture ? Peut-on acheter quelque chose lorsqu'on a de l'argent ou n'y a-t-il simplement rien à acheter ?

Certes, on peut acheter des choses, surtout des conserves. Mais ce qui manque, ce sont les produits frais comme les légumes, le fromage et la viande. Le problème, c'est aussi qu'à cause de la chaleur, l'été, il faut conserver les denrées périssables au frais. Nous avons malheureusement un problème avec l'alimentation électrique. Voilà pourquoi nous mangeons principalement des conserves ou des denrées de longue conservation, comme le riz ou les lentilles.

AED : avez-vous l'impression que la guerre et la détresse ont approfondi la foi de vos fidèles ?

Oui. Il y a un retour à la foi. Les gens prient beaucoup plus. Les églises restent ouvertes longtemps Beaucoup de fidèles s'y réunissent et y passent souvent des heures entières à prier en silence. En fait, ils n'ont plus rien d'autre que leur foi. On se retrouve dans un cul-de-sac en attendant la mort. À la fin de chaque messe, on se dit adieu parce qu'on ne sait pas si on se reverra le lendemain. C'est une ambiance résignée. On se résigne à son sort. C'est donc une situation très difficile. En ce moment, nous en tant qu'Église assurons moins d'activités pastorales que surtout sociales et tentons d'atténuer la détresse des gens. C'est bien tout ce qu'on a pour l'instant. Il n'y a sinon aucune autre aide. En fait, la famille constitue la seule institution intacte. C'est la famille qui aide, partage et soutient. L'identité familiale est extrêmement marquée. Sans la famille, ce serait le désastre total.

AED : avez-vous des chiffres au sujet du nombre de vos fidèles qui ont quitté la Syrie ?

Non. Nous ne disposons d'aucune statistique. Mais nous nous rendons compte que le nombre de sacrements administrés s'amenuise d'année en année, et ce d'une manière massive. En 2012, il y avait encore plus de baptêmes et de mariages qu'en 2013. Par contre, le nombre d'enterrements augmente. Nous devons maintenant agrandir notre cimetière. Avant, nous avions des projets pour une garderie d'enfants ou une école, aujourd'hui, nous projetons l'extension de notre cimetière chrétien.

Depuis le début de la guerre en mars 2011, l'Aide à l'Église en Détresse a transmis une aide s'élevant au total à 4,15 millions d'euros à la population de Syrie et aux réfugiés syriens dans les pays voisins. Rien qu'en 2014, les victimes de guerre et réfugiés de Syrie ont jusqu'à présent été soutenus par des aides d'urgence d'un montant total de 1.234.700 euros.



Envoyé de mon Ipad 

vendredi 24 octobre 2014

Le patriarche chaldéen sanctionne 12 prêtres et moines ayant quitté l’Irak sans accord de leurs supérieurs | La-Croix.com

Le patriarche chaldéen sanctionne 12 prêtres et moines ayant quitté l'Irak sans accord de leurs supérieurs | La-Croix.com

Un mois après avoir rappelé à l'ordre les prêtres et religieux ayant quitté l'Irak sans en avoir demandé et obtenu l'autorisation de la part de leurs supérieurs, le patriarche de Babylone des chaldéens, S. B. Louis Sako, a mis à exécution ses menaces de mesures disciplinaires.

Dans un décret publié mercredi 22 octobre, il annonce que, « conformément au droit canonique et aux règles de la vie religieuse », « six moines et six prêtres diocésains qui ont quitté leurs diocèses et communautés religieuses en Irak pour émigrer et se transférer à l'étranger sans l'accord de leurs supérieurs, acceptant des charges pastorales auprès des communautés chaldéennes de la diaspora » sont suspendus « de l'exercice du ministère sacerdotal ».

La publication du décret a été précédée par les consultations ad hoc du synode permanent de l'Église chaldéenne et de la Congrégation pour les Églises orientales et fait suite à « de nombreux ultimatums et tentatives, malheureusement stériles » de la part des précédentes autorités de l'Église et des communautés religieuses, afin de freiner un phénomène déplorable, qui a fait scandale parmi les fidèles de l'Église chaldéenne, rapporte l'agence vaticane Fides. 

 « Avant d'être ordonné, le prêtre promet d'offrir toute sa vie à Dieu et à l'Église, explique encore Mgr Sako. Il s'agit d'une offrande qui se base sur l'obéissance sans aucune réserve aux supérieurs. » Pour les moines, par ailleurs, « les vœux sont absolus : chasteté, obéissance et pauvreté ».

 « Nous avons des exemples lumineux de prêtres de nos jours, qui nous donnent des leçons de foi éloquentes », poursuit le décret qui cite encore les P. Hana Qasha et Ragheed Ganni, ainsi que Mgr Paulus Faraj Rahho, tués ces dernières années, ainsi que les cas des prêtres enlevés qui sont restés dans le pays et de ceux qui, après avoir été chassés de leurs maisons, ont suivi leurs fidèles, partageant leur condition d'évacués.



Envoyé de mon Ipad 

Alerte Google - patriarche maronite



Google
patriarche maronite
Mises à jour quotidiennes 24 octobre 2014
ACTUALITÉS
Une délégation de la Fondation maronite dans le monde accompagnera le patriarche Raï en ...
La délégation accompagnera le patriarche tout au long de sa visite ... Elle coordonnera son action avec l'évêque maronite d'Australie, Antoine Torbey, ...
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Ils ont dit
Le patriarche maronite a raison de rejeter cette prorogation non démocratique, qui est imposée par les circonstances, du fait du blocage de l'élection ...
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WEB
Une délégation de la Fondation maronite dans le monde accompagnera le patriarche Raï en ...
La délégation accompagnera le patriarche tout au long de sa visite ... Elle coordonnera son action avec l'évêque maronite d'Australie, Antoine Torbey, ...
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le patriarche Raï en Australie
Une délégation de la Fondation maronite dans le monde accompagnera le patriarche Raï en Australie. 23 octobre 2014 Commentaires fermés.
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Moyen-Orient : le temps des décisions courageuses est venu

Plaidoyer de Mgr Auza à l'ONU

Anne Kurian

ROME, 23 octobre 2014 (Zenit.org) - Face au terrorisme, « le temps est venu de prendre des décisions courageuses » pour « protéger les populations du génocide, des crimes de guerre, du nettoyage ethnique, des crimes contre l'humanité et de toutes les formes d'agression injuste », déclare le Saint-Siège à la communauté internationale.

Mgr Bernardito Auza, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations-Unies à New York, est intervenu à l'occasion du débat public du Conseil de sécurité sur le thème de « La situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne », le 21 octobre 2014.

L'archevêque a souligné le rôle du Saint-Siège qui « a toujours suivi la situation au Moyen-Orient avec beaucoup d'intérêt et de préoccupation », a « toujours plaidé en faveur de négociations et d'un dialogue entre les parties concernées » et a « toujours essayé de faire tout son possible pour aider les victimes de la violence ».

Il a évoqué la réunion des nonces apostoliques présents dans les pays du Moyen-Orient qui a eu lieu au Vatican du 2 au 4 octobre derniers ainsi que le consistoire du 20 octobre sur le même sujet.

Le Saint-Siège a exprimé son souhait que les Nations Unies renforcent le cadre juridique international afin de « protéger les populations du génocide, des crimes de guerre, du nettoyage ethnique, des crimes contre l'humanité et de toutes les formes d'agression injuste ».

Face au terrorisme, « le temps est venu de prendre des décisions courageuses » pour « protéger les groupes ethniques et religieux », a-t-il insisté en condamnant « les violations et sévices graves commis par l'"État islamique" autoproclamé en Irak et en Syrie ».

Il a appelé à nouveau « tous les chefs religieux de la région, et partout dans le monde, à jouer un rôle de premier plan dans la promotion du dialogue interreligieux et interculturel, en dénonçant rapidement toute justification de la violence par la religion, et en éduquant chacun à la compréhension et au respect mutuels ».

Puis Mgr Auza a précisé la position du Saint-Siège sur chaque région du Moyen-Orient, en commençant par la question israélo-palestinienne, préconisant « une solution reposant sur deux États, avec le soutien vigoureux des organes compétents de l'ONU et de l'ensemble de la communauté internationale ».

Il faut en effet prendre en compte « le droit des Palestiniens à avoir leur propre État, souverain et indépendant, et le droit des Israéliens à la paix et à la sécurité ».

Sur « la terrible situation en Syrie », le Saint-Siège a appelé « toutes les parties à cesser toute violation du droit humanitaire international et des droits humains fondamentaux, et ​​la communauté internationale à aider les parties à trouver une solution ».

Mgr Auza a demandé « la solidarité internationale » pour le Liban, « gravement touché par la crise syrienne et par la présence massive de réfugiés », exhortant le pays « à trouver le plus rapidement possible une solution à la vacance de la présidence de la République ».

Il a réaffirmé le soutien du Saint-Siège « à un Liban souverain et libre », qui est un « message, un signe plein d'espoir en raison de la coexistence des différents groupes qui le composent ».

Avec une traduction de Constance Roques