Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

dimanche 6 janvier 2013

Raï : Les Libanais ne méritent pas de vivre sous la menace des armes | Dernières Infos | L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com//news/article.php?id=794992-6/1/2013
Raï : Les Libanais ne méritent pas de vivre sous la menace des armes

Le patriarche maronite libanais Mgr Béchara Raï a affirmé au cours de son homélie de dimanche que les "Libanais méritent de vivre en sécurité et non pas sous la menace des armes". "Les armes doivent être sous le contrôle des institutions militaires et sécuritaires constitutionnelles", a-t-il déclaré. Mgr Raï a également souligné l'importance du dialogue politique au niveau national. "Les Libanais méritent un gouvernement capable et actif", a-t-il conclu.

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Pour les Coptes d'Egypte, un premier Noël sous un pouvoir islamiste | À La Une | L'Orient-Le Jour

6/1/2013
Pour les Coptes d'Egypte, un premier Noël sous un pouvoir islamiste 

Les Coptes orthodoxes d'Egypte célèbrent lundi leur premier Noël sous un pouvoir issu des Frères musulmans, dans un climat d'inquiétude face à la montée en puissance de l'islam politique, en dépit des assurances des autorités."Je ne me sens pas vraiment en sécurité", assure Ayman Ramzi, résumant le sentiment grandissant dans cette communauté chrétienne, la plus nombreuse du Moyen-Orient et l'une des plus anciennes, qui se rassemblera dimanche soir pour la messe de minuit avant de célébrer Noël lundi. Ayman, 38 ans, évoque la multiplication des déclarations "hostiles" dans certains milieux islamistes radicaux, même si le chef de l'Etat, Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, a promis d'être "le président de tous les Egyptiens".

 Une fatwa diffusée depuis plusieurs jours sur des sites internet par une association proche des fondamentalistes salafistes, "le comité légitime pour les droits et la réforme", dont fait partie le numéro deux de la confrérie des Frères musulmans Khairat al-Chater, demande ainsi de ne pas adresser des voeux aux Coptes à l'occasion de leurs fêtes.Tout récemment, le journal indépendant al-Watan a donné la parole à un responsable salafiste, Hicham al-Achri, présenté comme le fondateur d'une "Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice".

Ce fondamentaliste souhaite aller à la rencontre des Coptes devant leurs églises pour les encourager à se convertir à l'islam et réclame que les chrétiennes portent le foulard islamique.

 "Je suis vraiment consternée par la multiplication de déclarations réactionnaires de ce genre", déclare Madonna Nagi, étudiante copte de 23 ans, qui s'indigne aussi de la multiplication des déclarations dans la presse ou de personnalités islamistes, pointant du doigt les chrétiens comme les instigateurs de la récente vague de contestation de M. Morsi.

Depuis son élection en juin, le président a promis à plusieurs reprises de garantir les droits et l'égalité de tous les citoyens, sans distinction de religion, et a adressé ses félicitations au nouveau patriarche copte, Tawadros II, intronisé en novembre.

 Mais ces propos n'ont pas suffi  à rassurer les Coptes, qui représentent 6 à 10% des quelque 83 millions d'Egyptiens.

 Beaucoup d'entre eux parlent désormais de l'exil, citant l'exemple de proches ou de voisins.

"Ma soeur a peur pour l'avenir et elle est partie aux Etats-Unis avec ses enfants, mais je ne veux pas quitter mon pays", affirme Raymond Faez, 38 ans. Cet employé d'une compagnie aérienne évoque toutefois un "malaise général" au sein de la communauté chrétienne.

 A Choubra, quartier populaire du Caire où vivent de nombreux chrétiens, des commerçants évoquent des lettres de menaces portant la signature d'islamistes radicaux adressées à la veille de Noël. "Ces lettres, nous en recevons depuis des années", affirme d'un air résigné Morkos Rouchdi, un boutiquier.

 Comme du temps de l'ex-président Hosni Moubarak, la charia reste la "source principale de la législation", et selon ses détracteurs, la nouvelle Constitution adoptée en décembre pourrait ouvrir la voie à des interprétations radicales de cette loi islamique.

 Les Coptes sont présents à travers tout le pays, avec des concentrations plus fortes en Moyenne-Egypte. On les trouve également dans toutes les catégories sociales, des pauvres éboueurs du Caire ("zabbaline") aux grandes familles patriciennes.

 Déjà très peu représentés dans les instances gouvernementales et la haute fonction publique, ils redoutent de se voir davantage marginalisés. Ils déplorent également une législation très contraignante pour l'édification des églises, alors que la construction de mosquées est plus libre.

 De nombreux affrontements, parfois meurtriers, entre chrétiens et musulmans ou avec les forces de l'ordre, ont jalonné la transition depuis la chute de Hosni Moubarak en février 2011.

 Mais la communauté n'était pas épargnée du temps de l'ancien président. Dans la nuit du 1er janvier 2011, un attentat non revendiqué a fait 23 morts à la sortie d'une église copte d'Alexandrie, après la messe du Nouvel An.


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L'opposition refuse la "solution politique" proposée par Bachar al-Assad | L'Orient-Le Jour

6/1/2013
L'opposition refuse la "solution politique" proposée par Bachar al-Assad
La Coalition de l'opposition syrienne a rejeté dimanche la "solution politique" proposée par Bachar al-Assad lors d'un rare discours du président, refusant toute initiative prévoyant le maintien en place de son régime.

"Nous avons dit lors de la formation de la Coalition que nous souhaitions une solution politique, mais l'objectif pour les Syriens est de le sortir (du pays) et ils ont déjà perdu pour cela plus de 60.000 martyrs (...) ils n'ont pas fait tous ces sacrifices pour permettre le maintien du régime tyrannique", a déclaré à l'AFP son porte-parole, Walid al-Bounni joint par téléphone.

Selon lui, le discours de M. Assad s'adresse principalement "à la communauté internationale car il est clair qu'il y a de véritables efforts (au niveau international) pour aboutir à une solution politique reprenant les exigences du peuple syrien (qui souhaite) la fin de la tyrannie et à sa tête le régime du clan Assad", a-t-il poursuivi.

M. Bounni a encore accusé M. Assad "d'écarter toute possibilité de dialogue avec les forces révolutionnaires (...) il veut dialoguer avec des interlocuteurs qu'il a choisis et refuse toute initiative reprenant les aspirations du peuple syrien et conduisant au final à son départ et au démantèlement de son régime".

Dans son premier discours public en sept mois, M. Assad a appelé à un "dialogue national" pour sortir de 21 mois de conflit, pour lequel il a affirmé ne pas avoir trouvé jusqu'à présent de "partenaire", refusant de négocier avec "des gangs qui prennent leurs ordres de l'étranger".

La Coalition a de son côté posé comme condition sine qua non à tout dialogue le départ du chef d'Etat contesté depuis près de deux ans.



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Le plan pour une "solution politique" proposé par Bachar al-Assad | L'Orient-Le Jour

Le plan pour une "solution politique" proposé par Bachar al-Assad
Le président Bachar al-Assad a présenté dimanche une "solution politique" pour mettre fin au conflit qui déchire la Syrie depuis plus de 21 mois et qui a fait, selon l'ONU, plus de 60.000 morts.
Ce plan prévoit trois étapes. En voici les principaux axes, qui devraient être prochainement présentés officiellement par le gouvernement afin d'être inscrits dans une "Charte nationale" qui sera rédigée par toutes les parties, avant d'être soumise à référendum:

Etape 1:

- Les pays armant les "terroristes" s'engagent à arrêter de les financer. Arrêt des opérations "terroristes" pour permettre le retour des réfugiés.

- L'armée syrienne met aussitôt fin à ses opérations, tout en conservant le droit de répliquer en cas de menace contre la sécurité nationale.

- Mise en place d'un mécanisme permettant de surveiller l'engagement des parties, notamment en ce qui concerne le contrôle des frontières.

Etape 2:

- Tenue, sous l'égide du gouvernement, d'une conférence de dialogue national auquel participeront toutes les forces.

- Rédaction d'une Charte nationale défendant la souveraineté de la Syrie, son unité et son intégrité territoriale, et rejetant l'ingérence, le terrorisme et la violence.

Cette charte doit ensuite être soumise à un référendum.

- Organisation d'élections législatives suivies de la formation d'un gouvernement élargi à toutes les composantes de la société, conformément à la Constitution, en charge de faire appliquer la Charte nationale (sans évoquer d'élection présidentielle).

Etape 3:

- Formation d'un gouvernement conformément à la Constitution.

- Tenue d'une conférence nationale de réconciliation et amnistie générale pour toutes les personnes détenues en raison des événements.

- Reconstruction des infrastructures.



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Tunisie: un prédicateur salafiste interdit aux musulmans de réveillonner - Monde - TF1 News

http://lci.tf1.fr/monde/afrique/tunisie-un-predicateur-salafiste-interdit-aux-musulmans-de-7747842.html
Tunisie: un prédicateur salafiste interdit aux musulmans de réveillonner
Tunis (Archives).

Les Tunisiens privés de réveillon ? Ce'est ce qu'aimerait le Cheikh Béchir Ben Hassine, prédicateur salafiste, qui appelle les Musulmans à ne pas célébrer le passage en 2013 dans un prêche diffusé sur sa page Facebook.
 
"Fêter Noël et le Nouvel an est une hérésie et ceux qui y sacrifient parmi les musulmans commettent un haram", a-t-il prévenu. "Les décorations et les bûches sont permises pour les catholiques mais les musulmans ne doivent pas les vendre", a-t-il insisté, mettant en garde contre des attaques éventuelles de commerces ou de pâtisseries par ses partisans. "Partager les fêtes des mécréants ou même leur adresser des voeux à l'occasion est un grand péché, voire un kofr (acte de mécréant)", a affirmé le prédicateur, dont la fatwa autorise cependant l'échange de voeux avec les non-musulmans pour les occasions sans connotation religieuse. Et pour finir : "Joyeux Noël et bonne année, c'est du haram", a-t-il répété, dénonçant "un honteux suivisme de l'occident" de la part des Tunisiens musulmans.

Cadeaux et pâtisseries
 
Béchir Ben Hassan est l'une des principales figures du salafisme dit "scientifique", une fraction non-violente de ce courant radical de l'islam sunnite, contrairement au "salafisme jihadiste" qui prône la violence. Lundi, des dépliants ont été distribués pour dissuader les Tunisiens de réveillonner, versets coraniques et hadiths (paroles de Mahomet) à l'appui.

Pourtant, si les décorations sont rares dans le centre de Tunis, les commerces ont été pris d'assaut pour l'achat de cadeaux et des pâtisseries traditionnelles, incontournables jusque dans les petits villages.



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