Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

mardi 29 janvier 2013

La richesse spirituelle des Maronites pour le monde entier


Méditations du Chemin du Croix du Colisée
Anita Bourdin
ROME, 28 janvier 2013 (Zenit.org) - Benoît XVI confie les méditations du Chemin de Croix au Colisée pour le Vendredi Saint, 29 mars, au cardinal patriarche maronite Boutros Béchara Rai. Deux jeunes Libanais rédigeront les méditations des 14 stations de la Via Crucis sous sa conduite.
Traditionnellement, le Chemin du Croix du Colisée est transmis en mondovision, à 21 h 15 le vendredi saint, en présence de Benoît XVI qui s'adresse à la foule au terme de la célébration.
Le geste du pape manifeste sa volonté de prolonger les fruits son voyage au Liban de septembre 2012 et de faire partage à toute l'Eglise les richesses spirituelles de l'Eglise maronite

Benoît XVI demande au patriarche Raï de rédiger les méditations du chemin de croix au Colisée | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

29/1/2013- Les textes des 14 stations du chemin de croix au Colisée seront préparés, cette année, par le patriarche Béchara Raï, a annoncé hier une dépêche du Vatican.
« Le Saint-Père, en mémoire de son récent voyage au Liban (14-16 septembre) et pour inviter toute l'Église à inclure dans sa prière le Moyen-Orient, ses problèmes et les communautés chrétiennes vivant sur ses terres, a invité, par le biais du cardinal-secrétaire d'État Tarcisio Bertone, le patriarche Raï à rédiger les textes pour la Via Crucis du vendredi saint au Colisée », a indiqué un communiqué daté de Rome.
Les textes des 14 stations du chemin de croix « seront préparés par le patriarche », a-t-il précisé.
Le chemin de croix, suivi dans la nuit par des dizaines de milliers de personnes dans ce lieu symbolique de Rome où de premiers chrétiens avaient été martyrisés, a lieu chaque année deux jours avant Pâques, pour marquer la crucifixion de Jésus. Il est un moment fort de l'Église : les textes, les thèmes, les auteurs sont soigneusement choisis et significatifs des principales préoccupations de l'Église et du pape.

La guerre en Syrie et le drame des chrétiens d'Orient, qui sont nombreux à quitter leurs pays d'origine, préoccupent au plus haut point Benoît XVI et l'Église.
L'an dernier, deux laïcs avaient rédigé les méditations du chemin de croix. Il s'agissait d'un couple d'Italiens, Danilo et Anna Maria Zanzucchi, du mouvement Focolari.

Pour mémoire
Au cœur du vendredi saint, le chemin de croix




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Le mufti Kabbani jette l’anathème sur tout « responsable musulman qui soutient le mariage civil » | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/798298/Le_mufti_Kabbani_jette_l%27anatheme_sur_tout_%3C%3C+responsable_musulman_qui_soutient_le_mariage_civil+%3E%3E.html
Le mufti Kabbani jette l'anathème sur tout « responsable musulman qui soutient le mariage civil » | Politique Liban | L'Orient-Le Jour-29/1/2013
Mariage civil
Il semblerait que la distribution par Dar el-Fatwa, il y a quelques jours, de prêches du vendredi dénonçant la légalisation du mariage civil n'était qu'un préambule à la position officielle de l'autorité sunnite, rendue publique hier par le mufti de la République, cheikh Mohammad Rachid Kabbani, qui a affirmé que « tout responsable musulman qui approuve la légalisation du mariage civil est considéré comme apostat et traître à la religion musulmane ». « Il ne sera ni lavé, ni mis dans un linceul et ne recevra pas les prières à sa mort, ni ne sera enterré dans les tombes des musulmans », a-t-il ajouté, à l'issue d'une réunion extraordinaire portant sur le mariage civil à Dar el-Fatwa, en présence de prélats et de ulémas. « Il est de notre devoir de nous opposer à ces tentatives de nous éloigner de notre religion par le biais de slogans qui prônent la réforme », a-t-il déclaré. Les propos du mufti Kabbani, qui a qualifié le mariage civil de « microbe », a suscité une vive réaction sur Internet et les réseaux sociaux. Les internautes se sont empressés d'exprimer leur désaccord face à cette déclaration qui pourrait faire tomber à l'eau définitivement le projet de loi pour légaliser le mariage civil.

Le débat sur le mariage civil avait récemment gagné en ampleur au Liban, après que Khouloud Sukkarieh et Nidal Darwiche, un jeune couple chiite et sunnite, s'est symboliquement marié civilement et a officiellement demandé au ministère de l'Intérieur de reconnaître son union, une première au Liban.
Par ailleurs, le président et le Premier ministre libanais s'étaient répondu dimanche par tweets interposés sur la polémique. Le président Michel Sleiman s'est prononcé dimanche matin sur son compte Twitter « pour répondre à l'évolution et aux aspirations du peuple et pour préparer des lois appropriées sur la question du mariage civil ». « Des dignitaires s'opposent au mariage civil mais cela ne change rien à mes convictions et à ma quête pour aiguiller le train sur les bons rails », a-t-il expliqué. Après avoir rencontré M. Sleiman, le Premier ministre Nagib Mikati a répondu dans la nuit. « Les circonstances actuelles ne permettent pas d'aborder de nouveaux sujets controversés qui divisent », a-t-il écrit en arabe. « Je pense que la question du mariage civil ne peut pas être traitée du haut vers le bas », a-t-il ajouté en anglais, en évoquant la nécessité d'un consensus entre « toutes les parties prenantes du pays ».
Force est de noter que l'ancien président Élias Hraoui avait proposé en 1998 une loi similaire qui avait été acceptée par le gouvernement mais retirée devant une levée de boucliers des autorités religieuses. Et si les autorités chrétiennes ne se sont pour l'instant pas prononcées sur le débat actuel, les autorités sunnites ont été claires.
Pour mémoire
Civil ou religieux

L'avant-premier « mariage civil » au Liban d'un point de vue légal

Entre Sleiman et Mikati... pas de « mariage civil »






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lundi 28 janvier 2013

Le synode des évêques de l’Église chaldéenne s’est ouvert à Rome | La-Croix.com


Benoît XVI a convoqué le synode des évêques de l'Église chaldéenne à partir du lundi 28 janvier, en vue de l'élection d'un nouveau patriarche. La réunion de cette Église principalement irakienne, avec une importante diaspora aux États-Unis, ne se tient pas à Bagdad pour des raisons de sécurité. Mgr Jacques Ishaq, 74 ans, évêque émérite d'Erbil (Kurdistan irakien), a assuré la transition de son administration depuis décembre 2012.
Les 17 évêques présents à Rome viennent de Bagdad, Kirkouk ou Mossoul, mais aussi de la diaspora d'Amérique du Nord ou d'Europe, et représentent la diversité de cette communauté irakienne, dense de plus d'un million de fidèles. Ils vont élire un nouveau patriarche de Babylone, après la démission du Patriarche Emmanuel III Delly, figure historique des chrétiens d'Orient, le 19 décembre 2012, pour raisons d'âge et de santé. Avant la guerre, cette Église comptait plusieurs centaines de milliers de fidèles dans le pays et 150 000 dans la diaspora. Aujourd'hui, après un exode massif, les proportions sont presque inversées.

« Un chef pour voir l'avenir »

Cette Église chaldéenne, l'une des douze Églises orientales catholiques, que la tradition fait remonter à l'apôtre Thomas, se situe aujourd'hui à un tournant de son histoire. Dans un Moyen-Orient où les chrétiens sont inquiets pour leur avenir, les défis sont nombreux : Comment prendre part à la reconstruction de la société irakienne toujours marquée par la violence ? Faut-il s'exiler ou rester ? « Nous avons besoin d'un chef qui nous aide à voir l'avenir, et qui rapproche les gens entre eux », estimait il y a quelques jours l'évêque de Kirkouk, Mgr Louis Sako, qui appelle de ses vœux un patriarche apte à rassurer une communauté fragilisée.
L'intervention anglo-américaine en Irak, en mars 2003, avait imposé le choix d'une personnalité de compromis, à même de conduire l'Église chaldéenne dans cette période de turbulences. C'est ainsi que le cardinal Emmanuel Delly avait été élu en décembre 2003 pour être un patriarche « de transition », dans une Église en proie à des divisions internes, sur fond de rivalités entre communautés du Proche-Orient et diaspora.
Depuis dix ans, la minorité chrétienne n'a cessé de faire l'objet de menaces et d'attentats perpétrés par des groupes islamistes. Bon nombre de ses membres ont été enlevés ou assassinés. Plus de la moitié des chaldéens irakiens ont ainsi émigré vers le Liban, la Jordanie, la Syrie, mais aussi l'Amérique du Nord, l'Australie et l'Europe. Aujourd'hui, plus de 20 000 chaldéens vivent en France, pour la plupart en région parisienne (Val-d'Oise et Seine-Saint-Denis) où ils s'intègrent et tentent de préserver leur culture et leurs rites.
L'Église chaldéenne est la branche catholique de l'Église d'Orient qui avait refusé le concile d'Éphèse en 431. Le patriarche Jean Simon Soulaka, élu en 1551, fut reconnu par Rome comme patriarche des chaldéens. Mais l'union ne fut définitive qu'en 1830, lorsque Pie VIII confirma dans sa fonction le patriarche Jean Hormizd II avec le titre de patriarche de Babylone des chaldéens.


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لقاء صلاة في القبيات من أجل وحدة الكتائس - ميشال حلاق - النهار Priere pour l'unite chretienne a kobayat

لقاء صلاة في القبيات من أجل وحدة الكتائس - ميشال حلاق - النهار

27 كانون الثاني 2013 الساعة 10:36

ميشال حلاق

"النهار"

بدعوة من رعيّة سيّدة الانتقال – القبيّات الضهر المارونيّة وخادمها الخوري نسيم قسطون، عقد لقاء صلاة بمناسبة ختام أسبوع الصلاة من أجل وحدة الكنائس تحت عنوان "ماذا يطلب منّا الربّ؟" وشارك فيه كهنة موارنة وأورثوذوكس ورهبان وراهبات وجمعيّات ومؤمنون من رعايا منطقة الدريب\ عكار .
الخوري قسطون، افتتح اللقاء بكلمة قال فيها :
"قد شئنا، في هذه الرعيّة أن نكرّر، دعوتنا إلى كلّ الكهنة الموارنة والأورثوذوكس والكاثوليك في منطقة الدريب لمشاركة الجماعات الرهبانيّة الرجّاليّة والنسائيّة فيها إضافة إلى الجمعيات الرسوليّة والكشفيّة والإنسانيّة ومؤمني الرعايا، في صلاةٍ مستوحاة من التّراثَين الأنطاكي السّرياني المارونيّ والأنطاكي البيزنطي، لإيماننا بأنّ تراثنا الأنطاكي المشترك هو من المكوّنات الأساسيّة لوحدتنا المأمولة، لما تتشارك به كنائسنا على مستويات الليتورجيّا والإيمان".

وتوجه بالشكر لكلّ من لبى الدعوة ولكلّ من" سيشترك معنا بالرّوح لتعذّر مشاركته بالجسد". كما شكر كلّ من عمل من أجل إنجاح هذا اللقاء وتنظيمه. 



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