Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

mardi 23 avril 2013

Enlevement de deux eveques en Syrie



Expéditeur: Le Veilleur de Ninive <noreply@blogger.com>
Date: 23 avril 2013 

    
                                                         Mar  Grégorios Ibrahim                                                Mgr. Boulos Yazigi
Nous apprenons à l'instant, que les deux Evêques orthodoxes d'Alep   
  • Monseigneur Boulos Yazigi, Métropolite grec orthodoxe d'Alep et frère du Patriarche grec orthodoxe d'Antioche, Jean X. 
  • Monseigneur Grégorios Hanna Ibrahim, Métropolite syrien-orthodoxe d'Alep et d'Iskandaroun. 
ont été enlevés par des éléments de Forsat al-Nosra sur le chemin d'Alep. Mgr. Ibrahim s'était rendu en voiture dans une zone près de la frontière turque tenue par les rebelles pour ramener Mgr. Yazigi qui revenait de Turquie, où il était allé négocier la libération des deux prêtres pris en otage au début du mois de février 2013.  

Selon les informations qui nous sont parvenues, tous deux se trouveraient dans la région de Kfar Da'el. Les terroristes ont été identifiés comme étant des combattants "Chichans" *

Les preneurs d'otages ont tué le chauffeur et l'accompagnateur. Que Dieu ait leur âme et leur réserve le place des élus. 

Quant aux preneurs d'otages et assassins d'innocents, qu'ils cessent de penser que leur Dieu est un criminel ordonnant de tuer des ....infidèles....Dieu ne peut être comme ils le décrivent et le pensent.

Quant au monde chrétien, il ne peut plus assister placidement à l'assassinat des fragiles, les plus petits de ses frères. 

Tout chrétien a le devoir de se mettre sur un chemin de purification intérieure, de rompre avec les systèmes bourgeois en place, avec les instruments de propagande, pour se libérer de tout attachement, afin de pouvoir marcher vers la défense de la foi enseignée par le Christ, et la protection des plus menacés de ses frères en Christ.  Tout le reste n'est que balivernes, mirages et illusions humaines. 

Le Veilleur de Ninive.

Proche-Orient: Patriarcat grec-melkite catholique... le Patriarche rencontre le Pape François - Le blog de Père Patrice Sabater

Proche-Orient: Patriarcat Grec-Melkite Catholique... Le Patriarche Rencontre Le Pape François

Patriarcat grec-melkite catholique

d'Antioche et de tout l'Orient

d'Alexandrie et de Jérusalem

Premier entretien du Pape François et du Patriarche Gregorios III 

Gregorios III : « Apporter la paix et ancrer les Chrétiens sur leurs terres,

témoins de Foi et d'Espérance »

 « Nous sommes venus vous apporter l'hommage affectueux de notre Eglise grecque-mekite catholique et de ce Proche-Orient sanglant dont les peuples vivent un Chemin de Croix continu. Pour tous nous demandons votre prière constante »

C'est par ces mots qu'a débuté, le 18 avril dernier, le long entretien en tête-à-tête entre S.B. Gregorios III, Patriarche d'Antioche et de tout l'Orient, d'Alexandrie et de Jérusalem et le Pape François qui recevait, pour la première fois depuis son élection le Patriarche.

Gregorios III était accompagné des Archimandrites T.R.P. Mtanios Haddad et T.R.P. Sleiman Abou Zeid. Après les présentations d'usage, le Saint-Père et le patriarche se sont isolés pour un entretien d'une demi-heure au cours duquel de très nombreux sujets ont été abordés et de nombreuses questions soulevées.

Sa Béatitude a « remercié le Pape François pour ses appels réitérés à la paix au Proche-Orient et tout particulièrement en Syrie » comme il a souhaité que le Saint-Père « prenne l'initiative pour trouver le chemin qui mène à la paix sur des bases solides. Car cette situation de crise risque de fragiliser encore plus la stabilité régionale et la paix dans le monde comme la présence chrétienne en Orient, singulièrement en Terre Sainte. » 

Pour faire face à la crise en Syrie, Gregorios III, a demandé au Saint-Père de « réunir autour de lui les Pasteurs de l'Eglise de Syrie pour trouver ensemble les moyens de d'apporter la paix et d'ancrer les Chrétiens sur leurs terres pour qu'ils soient pour tous des témoins de Foi et d'Espérance. »

Le Patriarche a aussi exprimé l'espoir de voir le Pape François réunir autour de lui – et de manière régulière – les Patriarches des Eglises catholiques d'Orient « pour renforcer et soutenir toutes les initiatives pour la paix, encourager l'œcuménisme et le dialogue islamo-chrétien… »

Gregorios III a invité le Saint-Père à se rendre au Proche-Orient qui « a besoin de la présence du Pape et de sa bénédiction » rappelant combien « le Pape François connaît bien cette région et ses problèmes à travers sa profonde connaissance de sa diaspora en Argentine et tout particulièrement dans son ancien diocèse de Buenos-Aires. »

Le Patriarche a annoncé la prochaine visite du Saint-Synode de l'Eglise grecque-melkite catholique au Saint-Père dont cet entretien n'était que le prélude.

http://www.chretiensdorient.com/article-proche-orient-patriarcat-grec-melkite-catholique-le-patriarche-rencontre-le-pape-fran-ois-117297218.html

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lundi 22 avril 2013

Entretien du pape François et du patriarche Gregorios III

Prochaine visite du Saint-Synode de lEglise grecque-melkite catholique

ROME, 20 avril 2013 (Zenit.org) -

Patriarcat grec-melkite catholique

d'Antioche et de tout l'Orient

d'Alexandrie et de Jérusalem

Premier entretien du Pape François et du Patriarche Gregorios III

Gregorios III : « Apporter la paix et ancrer les Chrétiens sur leurs terres, témoins de Foi et d'Espérance »

« Nous sommes venus vous apporter l'hommage affectueux de notre Eglise grecque-mekite catholique et de ce Proche-Orient sanglant dont les peuples vivent un chemin de croix continu. Pour tous nous demandons votre prière constante »

C'est par ces mots qu'a débuté, le 18 avril dernier, le long entretien en tête-à-tête entre S.B. Gregorios III, patriarche d'Antioche et de tout l'Orient, d'Alexandrie et de Jérusalem et le pape François qui recevait, pour la première fois depuis son élection le patriarche.

Gregorios III était accompagné des Archimandrites T.R.P. Mtanios Haddad et T.R.P. Sleiman Abou Zeid. Après les présentations d'usage, le Saint-Père et le patriarche se sont isolés pour un entretien d'une demi-heure au cours duquel de très nombreux sujets ont été abordés et de nombreuses questions soulevées.

Sa Béatitude a « remercié le pape François pour ses appels réitérés à la paix au Proche-Orient et tout particulièrement en Syrie » comme il a souhaité que le Saint-Père « prenne l'initiative pour trouver le chemin qui mène à la paix sur des bases solides. Car cette situation de crise risque de fragiliser encore plus la stabilité régionale et la paix dans le monde comme la présence chrétienne en Orient, singulièrement en Terre-Sainte. »

Pour faire face à la crise en Syrie, Gregorios III, a demandé au Saint-Père de « réunir autour de lui les pasteurs de l'Eglise de Syrie pour trouver ensemble les moyens de d'apporter la paix et d'ancrer les Chrétiens sur leurs terres pour qu'ils soient pour tous des témoins de Foi et d'Espérance. »

Le Patriarche a aussi exprimé l'espoir de voir le Pape François réunir autour de lui – et de manière régulière – les patriarches des Eglises catholiques d'Orient « pour renforcer et soutenir toutes les initiatives pour la paix, encourager l'œcuménisme et le dialogue islamo-chrétien… »

Gregorios III a invité le Saint-Père à se rendre au Proche-Orient qui « a besoin de la présence du Pape et de sa bénédiction » rappelant combien « le Pape François connaît bien cette région et ses problèmes à travers sa profonde connaissance de sa diaspora en Argentine et tout particulièrement dans son ancien diocèse de Buenos-Aires. »

Le patriarche a annoncé la prochaine visite du Saint-Synode de l'Eglise grecque-melkite catholique au Saint-Père dont cet entretien n'était que le prélude


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الرئيس السوري الأسد يشيد بمساهمة البطريرك الماروني وعون وفرنجية والارمن في تعزيز البعد المشرقي المسيحي - Le president syrien fait l'eloge des chretiens du Liban

--- وأشاد الرئيس السوري بكل من العماد ميشال عون والنائب سليمان فرنجية والبطريرك الماروني بشارة الراعي، لافتاً الانتباه الى أن «هؤلاء القادة لديهم روح وطنية ورؤية واسعة وفكر عميق». 

وتوقف الأسد عند العلاقة مع عون، قائلاً: نسجل له أنه خاصمنا بشرف وصالحنا بشرف، وما يعطي المزيد من المصداقية لمواقف العماد عون حيال الأزمة السورية أنه لم يكن في الماضي من أصدقائنا، بل على العكس كنا على خصومة شرسة معه، وبالتالي فإن مقاربته لما يجري عندنا تكتسب من هذه الزاوية أهمية خاصة، أما النائب سليمان فرنجية فشهادتي فيه مجروحة، وهو صديقي وأخي. 

وأشاد
 وتكريس ارتباطهم بنسيج هذه المنطقة، كما أثنى على مواقف البطريرك الراعي «الذي يضيء الدرب». ولم يفت الأسد الثناء على دور الأرمن في لبنان وسوريا، قائلاً: إذا كان الإسلام يربطنا بالأكراد، وإذا كانت الهوية العربية تربطنا بالمسيحيين، فإن الأرمن نجحوا في أن يصنعوا روابط وطيدة بالمجتمع الذي يتواجدون فيه، وأن يتحولوا الى جزء عضوي منه. 

وفي معرض حديثه عن الوفاء، أشار الى أن الأرمن لم يغادروا لبنان عندما كان يمر في محنة، وهم لا يغادرون سوريا برغم أزمتها، مشيراً الى أنه يلتقي مع الوزير فرنجية في قوله إن الخيانة أصبحت وجهة نظر. 
http://www.lebanondebate.com/details.aspx?id=128537&utm_source=Daily+Newsletter&utm_campaign=6075f7a270-_4_22_2013&utm_medium=email


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L’Église maronite au défi de la mondialisation | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

Ils se sont réunis trois jours durant à San Miguel de Tucuman, une magnifique province de ce pays du bout du monde dont vient le pape François, pour... se connaître, prendre la mesure des nouveaux venus, faire le point, mettre en commun leurs rêves et leurs projets, faire la lumière sur les obstacles qui entravent leurs efforts – dont beaucoup viennent de leurs propres limites –, apprendre à travailler ensemble, ce qu'on pense qu'ils savent déjà... mais pas toujours.
Le nouveau pape François en sait quelque chose, lui qui est fils de cette Argentine où se tient la conférence épiscopale maronite (et si c'est un hasard, c'en est un heureux). Les éditions Magnificat viennent de publier du pape les grandes lignes d'une retraite ignacienne qu'il a prêchée... à des évêques (« Amour, Service et Humilité »). Il y parle des craintes, peurs et appréhensions qui paralysent les évêques, et tout travailleur pastoral. Partant de l'épisode évangélique où les apôtres dans la barque, ballottée par les vagues et près de couler, voient le Christ s'approcher d'eux marchant sur la mer, il note que Jésus répond à leur reproche – « Tu ne te soucie pas de ce qu'on coule? » – par un autre reproche : « Pourquoi avez-vous peur ? Comment n'avez-vous pas la foi ? »
La peur est mauvaise conseillère. Elle travaille contre la foi. Le pape en donne quelques exemples : la peur d'être taxé d'autoritarisme, la peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas réussir, la peur de confronter une situation difficile avec « décision et fermeté » avant qu'elle ne se transforme en un « épouvantable scandale », la peur de faire preuve de compassion, la peur d'être téméraire, le risque d'être pusillanime...
Oui, Bergoglio, comme continuent de l'appeler ses intimes, sait mieux que quiconque comment l'esprit du monde s'infiltre dans l'esprit d'un homme de Dieu et le laisse sans fruits. Comment au vin enivrant de la foi chrétienne se mélange l'eau des calculs humains, au point de le rendre insipide, imbuvable...
Car on a tendance à oublier que ces évêques, ces supérieurs généraux, sont des êtres humains. Ils ont beau tendre à la sainteté, ils ont beau y aspirer de toutes leurs forces, sous leurs dehors parfois de rudesse, certains se sont résignés à ne la saluer que de loin.
Leurs inquiétudes sont d'autant plus grandes que le Liban est lui-même ballotté ; et qu'à mesure que les mois et les années passent, on se rend compte qu'il n'est plus possible de vivre comme avant. Les épreuves politiques actuelles, les armes illégales, la mentalité théocratique qui s'est infiltrée dans la société libanaise, la culture de l'impunité et celle de la dépendance servile, la guerre en Syrie, le poids des réfugiés, en sont autant de preuves.
Pourtant, on aurait tort de croire que le seul risque que court l'Église maronite vient du facteur politique, de l'impossibilité de retrouver le portefeuille des Affaires étrangères, ou de nommer tel ou tel fonctionnaire, ou encore du risque de dispersion et de la baisse de son importance numérique. Certes, toutes ces menaces sont réelles, et certains s'emploient à les relever. Le travail accompli par la Fondation maronite dans le monde, ou celui qui s'accomplit, est sur ce plan exemplaire.

Dissolution
Mais il y a une menace aussi pernicieuse et mortelle que celles qui ont été énumérées plus haut, pour les maronites, c'est celle de la dissolution spirituelle et culturelle, et elle frappe indistinctement tous les chrétiens, et non les seuls maronites, et non les seuls émigrés. Et ce qui est fait pour relever ce défi est nettement insuffisant.
Ce défi est celui de la nouvelle évangélisation dont a parlé Jean-Paul II, et dont François prend la relève avec vigueur. Sur ce plan, le clergé maronite n'est pas très gâté. Certes, il sait servir, prêcher, conseiller, moraliser, plaider, discourir, lever des fonds, bousculer, argumenter... Mais évangéliser ? Il a (presque) tout à apprendre sur ce plan et la question de la formation des prêtres – et peut-être de leur « recrutement » – se pose de toute urgence.
Les premiers auxquels il faudrait s'adresser sont les jeunes. À Buenos Aires, j'ai entendu un prêtre maronite languir après une mission pour laquelle il était venu là et qui n'avait pas avancé en trois ans. Aucun programme adéquat, quelques fidèles, les mêmes, à la messe du matin ou du soir, dans un quartier vide. À Tucuman, j'ai vu un prêtre maronite âgé qui avait « sacrifié » sur place toute sa vie, fidèle au poste, pour rien. Je ne sais si ces voix sont parvenues à la conférence épiscopale. Le patriarche devait y veiller. Il a d'ailleurs souligné l'urgence de s'adresser d'abord aux maronites d'Amérique latine. Car il est trop facile pour la conférence de s'embourber dans les méandres des rapports conflictuels qui s'installent entre le siège patriarcal et les ordres religieux qui le servent ou le desservent, et d'oublier le reste. On se félicite qu'à Suresnes (France), le long « conflit » inutile ait été réglé et que l'ordre libanais maronite qui veille sur cette paroisse ait enfin reçu l'autorisation d'y célébrer baptêmes et mariages, sans plus avoir à envoyer les fidèles rue d'Ulm. Mais le fond du problème n'est pas là. Il n'est pas dans le règlement de questions administratives, ou de détails de procédure, voire dans des questions d'argent, alors que l'essentiel, le Christ ressuscité, attend.
Un nouveau monde émerge, hostile à l'Évangile, et pas seulement aux maronites, ou à l'Église universelle. La mondialisation du modèle culturel séculariste, hédoniste, est un phénomène effrayant. Certes, et grâce à Dieu, il y a des sociétés plus protégées que d'autres contre ce phénomène. Ou disons plus attardées que d'autres à s'attabler à ce banquet d'un monde sans Dieu. Mais n'est-il pas déjà là, entre nos mains et dans nos foyers, et parfois sur nos lèvres, ce cadeau empoisonné ?

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