Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

mercredi 18 mai 2016

Les Syriens chrétiens face au risque de la marginalisation

http://www.la-croix.com/Monde/Moyen-Orient/Les-Syriens-chretiens-face-au-risque-de-la-marginalisation-2016-05-18-1200761063

Les Syriens chrétiens face au risque de la marginalisation


mardi 17 mai 2016

Ne ratez pas : "La fin des chrétiens d'Orient ?" -

Ne ratez pas : "La fin des chrétiens d'Orient ?" -

Ne ratez pas : "La fin des chrétiens d'Orient ?"

Ne ratez pas : "La fin des chrétiens d'Orient ?"
Chaldéens, Coptes, syriaques, Arméniens, maronites… Ils sont les premiers chrétiens de l'histoire. Ils seront aussi sûrement les premiers à disparaître. Persécutés dans tout le Moyen-Orient parce qu'ils sont assimilés à l'Occident qui a adopté leur religion, ils sont devenus les minorités à abattre d'un islam guerrier et intolérant d'obédience djihadiste ou simplement nationaliste. Lâchés par l'Occident qui a toujours préféré pactiser avec les puissants régimes arabes, ils ne sont déjà plus que 11 millions au milieu de 320 millions de musulmans.
Pour retracer leur tragédie, Didier Martiny a choisi de dresser un état des lieux pays par pays. La narration du film pâtit un peu de cet effet catalogue. Mais le panorama éclaire le funeste destin d'une minorité qui, pour surmonter sa faiblesse en nombre, a souvent choisi le mauvais allié (Saddam en Irak, Moubarak en Egypte, Assad en Syrie…) ou n'a pas pu résister à la déferlante génocidaire (les Jeunes-Turcs au début du XXe siècle). Seule lueur d'espoir au milieu de l'océan islamiste qui est en train de submerger la communauté chrétienne d'Orient, la réussite fragile du cas libanais avec ses 43 % de chrétiens, dont l'influence reste protégée par une Constitution écrite par la puissance coloniale d'antan et préservée sous la vigilance des puissances occidentales. Une exception qui confirme la règle éradicatrice et mortifère en vigueur dans le triangle Ankara-Le Caire-Bagdad.
Mardi 17 mai à 20h55 sur Arte. Documentaire de Didier Martiny (2016). 1h26. (Disponible en replay sur Arte+7)


JTK

samedi 14 mai 2016

Info - L’État Islamique veut faire disparaître les chrétiens d’Irak et de Syrie - Riposte-catholiqueRiposte-catholique

Info - L'État Islamique veut faire disparaître les chrétiens d'Irak et de Syrie - Riposte-catholiqueRiposte-catholique
Un article synthétique du Christian Times, édité à New York, sur les risques de disparition des chrétiens du Proche Orient
http://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/eglise-universelle/info-letat-islamique-veut-faire-disparaitre-chretiens-dirak-de-syrie


Info – L'État Islamique veut faire disparaître les chrétiens d'Irak et de Syrie

france2-chiffres-chiffres-chretiens-irak
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Un article synthétique du Christian Times, édité à New York, sur les risques de disparition des chrétiens du Proche Orient…
Les chrétiens d'Irak et de Syrie risquent de disparaître du fait des actions génocidaires que l'État Islamique en Irak et en Syrie (EIIS) leur fait subir. On a signalé que beaucoup d'églises en Syrie et en Irak ont été détruites par le groupe extrémiste musulman. Des millions de fidèles ont été contraints à quitter leurs foyers et ceux qui ne l'ont pas pu ont été tués. Beaucoup de ces églises existaient déjà voici plus de mille ans. Comme l'a souligné Juliana Taimoorazy, directrice générale et fondatrice de l'Iraqi Christian Relief Council, dans un entretien au National Catholic Register,
« en tant que chrétiens d'Orient nous avons beaucoup apporté au christianisme, et en tant que peuple assyrien nous avons beaucoup apporté à l'humanité. Notre histoire remonte à 6 700 ans, et nous avons fondé, entre autres choses, la première bibliothèque au monde. »
L'Église catholique fait partie des groupes religieux qui condamnent l'exode imposé à beaucoup de communautés chrétiennes. […] Le cardinal Timothy Dolan de New York a déclaré, selon le Christian Post, que […] l'on s'inquiète aujourd'hui pour la survie [de ces chrétiens d'Orient]. Cependant, des dirigeants catholiques, comme l'évêque Yousif Habash de l'éparchie syriaque catholique de Notre-Dame-de-la-Délivrance dans le New Jersey, estiment que, même si l'EIIS peut tout prendre aux chrétiens, il y a une chose qu'il ne pourra jamais leur enlever : c'est leur foi. […]
Taimoorazy pense aussi qu'après la question de leur survie, viendra aussi pour eux la nécessité […] de la reconstruction. Le Père Douglas al-Bazi, un prêtre qui a fait l'expérience de la fureur de l'EIIS, a averti l'opinion des dangers à venir, en déclarant […] que le mot "génocide" était une litote. L'État Islamique ne se contente pas de mitonner un événement ponctuel. Il veut changer le cours de l'Histoire en balayant tout un peuple.
Source : The Christian Times – © CH pour la traduction.
Source Christianophobie hebdo
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JTK

jeudi 12 mai 2016

Mgr Sako: «Les Irakiens sont fatigués et perdent patience» - Radio Vatican

Mgr Sako: «Les Irakiens sont fatigués et perdent patience» - Radio Vatican

Mgr Sako: «Les Irakiens sont fatigués et perdent patience»


Mgr Louis Sako, patriarche chaldéen de Bagdad. - REUTERS
(RV) L'Irak est toujours en proie au cycle infernal de la violence. Ce mercredi, un nouvel attentat sanglant a frappé la capitale Bagdad: une voiture piégée a explosé à prximité d'un marché dans le quartier chiite de Sadr City, faisant au moins 86 morts. Mgr Louis Sako lance un nouvel appel pour mettre fin à la «tragédie» qui est en train de se jouer en Irak. Interrogé par nos collègues italiens de Radio Vatican, le patriarche de Babylone des Chaldéens affirme que «la violence est devenue un phénomène quotidien». «Il y a un vide du pouvoir» déplore t-il, soulignant que «le gouvernement n'est toujours pas formé et que le Parlement a échoué».
Par peur de perdre leurs privilèges, de nombreux partis s'opposent au projet du premier ministre, Haïder Al-Abadi, de mettre en place un gouvernement de technocrates.Excédés, des milliers d'Irakiens – partisans du dignitaire chiite Moqtada Al-Sadr pour la plupart – avaient organisé des sit-in et des manifestations qui ont culminé le 30 avril dernier avec l'invasion de la « zone verte » ultrasécurisée de Bagdad et l'occupation durant plusieurs heures du Parlement.
«C'est déjà un miracle si tout fonctionne malgré les explosions et la confusion qui règne mais les Irakiens sont fatigués et perdent patience» observe Mgr Sako qui appelle à «des actions concrètes» pour résoudre cette situation et notamment pour mettre un terme à «la fuite des chrétiens» du pays. Interrogé sur les appels du Pape en faveur de l'Irak et de la Syrie, le patriarche de Babylone des Chaldéens dit sentir le soutien, la proximité du Saint-Père qui se comporte «comme un pasteur, comme un père».
Mgr Sako déplore enfin que les Irakiens ne soient pas écoutés dans la recherche d'une solution, alors que ceux sont eux qui vivent cette violence au quotidien. «Il n'y a aucune vision parce que les pays de la communauté internationale poursuivent leurs propres intérêts, sans prendre en compte ceux de notre peuple» résume-t-il.
(OB-HD, avec AFP)


JTK

À Homs, dans le quartier chrétien ravagé par la guerre


À Homs, dans le quartier chrétien ravagé par la guerre

La Croix -François d’Alançon (à Homs, Syrie), le 11/05/2016 à 11h28 
L’effondrement de l’économie de la ville et l’absence de solution politique empêchent un véritable mouvement de reconstruction du vieux quartier de Homs, en Syrie.

Environ 1 300 familles, dont 800 à 900 familles chrétiennes, seraient de retour dans la vieille ville. Bustan al-Diwan, au cœur de la vieille ville de Homs. Des ouvriers s’affairent à reconstruire un pan de mur dans le jardin de la résidence des jésuites, devant la tombe du père Frans van der Lugt, enlevé le 7 avril 2014 par des hommes armés, avant d’être battu et exécuté de deux balles dans la tête. Dans les bâtiments qui jouxtent la bibliothèque, trois groupes d’enfants suivent les cours de soutien scolaire, assurés chaque jour par une équipe de professeurs. « Depuis six mois, nous sommes en plein chantier pour réparer les dommages causés par les deux obus tombés sur la terrasse et notre centre de formation a repris ses activités », commente le père Michel Daoud.
Tout près, sur la place centrale du quartier al-Hamadiyeh, la communauté orthodoxe a organisé lundi 9 mai un concert pour célébrer le deuxième anniversaire de la fin du siège. « C’était un vendredi, le 9 mai 2014, se souvient le père Zurhri Kazaal, curé de l’église orthodoxe Notre-Dame-de-la-Sainte-Ceinture. Deux jours après le déploiement de l’armée, nous avons célébré la messe dans notre église très sévèrement touchée. »

50 000 chrétiens en 2011, 77 en 2014

À la suite d’un accord entre le gouvernement et les rebelles, près de 2 000 personnes, dont environ 1 800 combattants, avaient été évacués après deux ans de siège. Des habitants du quartier revenus inspecter leurs maisons avaient alors découvert l’ampleur des destructions, dans la fumée des incendies allumés par les rebelles avant leur départ : façades trouées, murs éventrés, vitrines éclatées, murs criblés de balles, rues encombrées de remblais, de décombres et de ferrailles calcinées.
Environ 50 000 chrétiens, répartis entre huit communautés différentes, vivaient dans la vieille ville de Homs avant le début de la guerre en 2011. Ils n’étaient plus que 77 en 2014, à survivre au milieu des ruines, épuisés par deux ans de siège, de bombardements intenses et de disette. Le père Frans van der Lugt refusait de les abandonner. Deux ans plus tard, les combattants ont disparu mais la majorité des familles qui vivaient ici ne sont toujours pas revenues. Même dans une région relativement stable comme celle de Homs, l’effondrement de l’économie et l’absence de solution politique empêchent un véritable mouvement de reconstruction. « Tout le monde est pauvre maintenant,souligne le père Michel Naaman, curé de la cathédrale syriaque catholique.Ceux qui avaient un peu d’argent, surtout les hommes, sont partis. La population trinque mais la prolongation du conflit profite à beaucoup de gens des deux côtés. »

Des rénovations au compte-gouttes

L’ancienne tour de l’Horloge, point focal des manifestations en 2011, a été restaurée. Le Programme de développement des Nations unies (Pnud) a financé l’évacuation de 70 000 tonnes de débris et aidé au retour de quelques artisans et commerçants. Les églises soutiennent les familles désireuses de revenir. L’électricité et l’eau ont été restaurées mais, le soir, les rues restent silencieuses. Environ 1 300 familles dont 800 à 900 familles chrétiennes seraient revenues dans la vieille ville.
Milad Jamal, 36 ans, a rouvert son restaurant Al Bostan, plaque tournante de la communauté chrétienne avant le début des « événements ». « Nous étions les derniers à fermer et nous avons été les premiers à ouvrir, dit-il, regard triste, assis au milieu de quelques rares clients. Plus de la moitié des chrétiens sont partis, déplacés à l’intérieur du pays ou réfugiés à l’étranger. Ceux qui ont trouvé un logement et du travail ne reviendront sans doute pas. Les gens ont peur d’investir quand ils entendent chaque jour des mauvaises nouvelles. »
À Khalidiya, le quartier majoritairement sunnite, toujours sans eau et sans électricité, les échafaudages autour de la coupole nouvellement réparée de la mosquée Khalid ibn al-Walid sont le seul signe de rénovation.

Des localités encore assiégées près de Homs

Drôle de guerre au bord de l’Oronte. Dans les avenues de la ville moderne, la vie continue en dépit de tout dans les avenues encombrées de voitures et de piétons avec les snacks, magasins de vêtements, bijouteries et pâtisseries. En même temps, pas très loin, quelques milliers d’insurgés sont retranchés à Al-Waer, un quartier de 75 000 habitants à l’est de la ville, encerclé depuis trois ans par les forces gouvernementales.
Même situation à Al Rostan et Talliseh, deux localités assiégées au nord de Homs, sans compter cinq villages autour de Kfar Laha à l’est. Le 5 mai, un double attentat-suicide revendiqué par Daech a tué au moins 10 civils à Mukhrarram, une localité à majorité alaouite à l’est de la ville. « Tout le monde reste prudent parce qu’à tout moment, une mauvaise surprise est possible, lâche Milad Jamal. Notre pays, notre quartier et notre maison sont ici mais on ne peut toujours pas se sentir tranquille. »
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La trêve prolongée jusqu’au mercredi 11 mai minuit à Alep
La trêve, ou « régime du silence », selon l’expression du gouvernement de Damas, entre régime et rebelles à Alep, a été prolongée une nouvelle fois de 48 heures, soit jusqu’au 11 mai minuit.
C’est la deuxième fois que la trêve temporaire, instaurée jeudi 5 mai sous l’impulsion des États-Unis et de la Russie, est prolongée dans la ville divisée entre secteur gouvernemental et secteur rebelle. Moscou, allié de Damas, et Washington, qui soutient l’opposition, se sont engagés à « redoubler d’efforts » et ont détaillé leurs engagements pour faire respecter la trêve et relancer le processus de paix. La Russie et les États-Unis, qui coprésident le groupe de soutien international à la Syrie (GISS, 17 pays), pilotent le dossier et le contrôle du cessez-le-feu, instauré sous leur impulsion le 27 février. Depuis que celui-ci avait volé en éclats, fin avril à Alep, 300 personnes ont été tuées.

François d’Alançon (à Homs, Syrie)
http://www.la-croix.com/Monde/Moyen-Orient/A-Homs-dans-le-quartier-chretien-ravage-par-la-guerre-2016-05-11-1200759275

mercredi 11 mai 2016

Pour Raï, les musulmans ne veulent pas vider l’Orient de ses chrétiens - L'Orient-Le Jour

Pour Raï, les musulmans ne veulent pas vider l'Orient de ses chrétiens - L'Orient-Le Jour

Pour Raï, les musulmans ne veulent pas vider l'Orient de ses chrétiens

Le patriarche Raï accueilli dans la salle de la Conférence des évêques de France par Mgr André Vingt-Trois, archevêque de Paris.
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Communautés
Deuxième jour de la visite à Paris du patriarche maronite.
Le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, a réfuté hier l'allégation selon laquelle les musulmans veulent vider la région de ses chrétiens et appelé à faire une distinction entre musulmans et terroristes.
Lors du deuxième jour de sa visite à Paris, Mgr Raï a déclaré, en réponse à des questions des journalistes, que « dans leur esprit citoyen, les vrais musulmans sont attachés au partenariat et à la coexistence avec les chrétiens ». « Les musulmans ne veulent pas vider le Moyen-Orient de ses chrétiens », a-t-il dit, relevant que « les musulmans tiennent autant que les chrétiens à la présence de ces derniers au Moyen-Orient ». Le patriarche maronite a également appelé à « distinguer entre les musulmans et les terroristes, que rien ne lie ». Il a exhorté, à ce sujet, les pays (qu'il n'a pas nommés) qui soutiennent les « extrémistes » à mettre fin à cet appui « pour que les organisations terroristes cessent de commettre des crimes contre l'humanité ». Le patriarche a confié qu'il « prie tous les jours pour que les intégristes reviennent à Dieu et à leur humanité perdue contre une poignée d'argent ou de promesses mensongères et irréalisables ».

Mgr Raï a déploré en outre l'impact négatif des crises régionales sur le Liban. Il a appelé à « mettre le pays à l'écart des conflits et des axes régionaux et internationaux », estimant que le Liban, « exemple de la rencontre des religions et des cultures, ne peut continuer à payer les pots cassés toutes les fois qu'un régime est ébranlé ou qu'une crise éclate ».
Accompagné par l'évêque maronite de Paris, Mgr Maroun Nasser, le patriarche maronite s'était rendu plus tôt dans la journée au siège de la Conférence épiscopale de France où il a été reçu par l'archevêque de Paris, le cardinal André Vingt-Trois. Lors de la réunion tenue avec les membres de la conférence, et qui a porté sur les développements dramatiques au Moyen-Orient, Mgr Raï a évoqué les retombées négatives de l'afflux des réfugiés syriens sur le Liban, estimant que « la poursuite de la guerre expose le Liban à un danger permanent, notamment aux plans économique, sécuritaire, politique et social ». Il a mis l'accent sur la nécessité de « faire cesser les guerres » et de résoudre les conflits « par des moyens pacifistes et politiques », réitérant son refus d'un retour volontaire des déplacés syriens et réclamant même le retour des Palestiniens sur leurs terres.

L'Afrique du Sud
Mgr Raï se rendra mercredi 18 mai en Afrique du Sud pour une visite pastorale de cinq jours, au cours desquels il se réunira avec les responsables paroissiaux et les membres de la diaspora libanaise maronite.
Selon des sources informées, le patriarche compte y inaugurer dimanche 22 mai un bureau de la Fondation maronite dans le monde, que préside l'industriel Nehmat Frem. Le bureau a été créé en coopération avec l'Église maronite de Johannesburg, en vue de pousser les maronites à inscrire leurs enfants sur les registres officiels libanais.
Les mêmes sources indiquent que le patriarche sera reçu jeudi 19 mai au siège de l'ambassade du Liban à Prétoria, alors que la journée du vendredi 20 mai débutera par une visite à la paroisse et à l'école maronites, et sera clôturée par un dîner que des membres de la diaspora donneront en l'honneur du patriarche. Au programme également, une messe que celui-ci célébrera dimanche 22 mai et qui sera suivie d'un déjeuner. À noter enfin que lors de son séjour, le patriarche rencontrera des personnalités officielles.
En juin prochain, Mgr Raï se rendra aux États-Unis où il participera au congrès du NAM (National Apostolate of Maronites). Organisé par l'Association maronite missionnaire, le congrès ouvrira ses travaux à San Francisco, lors de la première semaine de juillet.
Lire aussi
Raï examine avec Hollande les dossiers de la présidentielle et des réfugiés syriens
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JTK

samedi 7 mai 2016

Raï lundi à l’Élysée et mardi au Quai d’Orsay - L'Orient-Le Jour

Raï lundi à l'Élysée et mardi au Quai d'Orsay - L'Orient-Le Jour

Raï lundi à l'Élysée et mardi au Quai d'Orsay

Le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, se rendra demain samedi en France, dans le cadre d'une visite de quatre jours à double caractère paroissial et officiel.
Dimanche, il doit célébrer la messe à Lisieux, à l'occasion de la consécration de l'autel dédié à saint Charbel en la cathédrale Sainte-Thérèse, en présence de l'archevêque maronite de France, Maroun Nasser Gemayel.
Lundi sera une journée politique par excellence pour Mgr Raï qui sera reçu successivement à l'Élysée par le président François Hollande, puis au Palais Bourbon par le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone.
Au programme de la journée également, un entretien avec la directrice générale de l'Unesco, Irina Bokova. L'ambassadeur du Liban à l'Unesco, Khalil Karam, doit donner un déjeuner en son honneur au siège de l'organisation internationale.
En fin d'après-midi, le patriarche donnera une conférence devant le Sénat français sur la situation des chrétiens d'Orient et devra par la suite avoir un entretien avec le président du Sénat, Gérard Larcher.
En cours de soirée, il assistera en la cathédrale Notre-Dame du Liban, à l'occasion du mois marial, à un récital dédié à la Vierge Marie autour du thème « Marie, la voie vers la miséricorde et l'unité entre l'Orient et l'Occident ».
Mardi, Mgr Raï sera reçu au Quai d'Orsay par le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, et tiendra une réunion avec le Conseil des évêques latins de France.


JTK

vendredi 6 mai 2016

LIBAN - Nouvelle prise de position des Evêques maronites sur la situation libanaise



ASIE/LIBAN - Nouvelle prise de position des Evêques maronites sur la situation libanaise
 
Bkerkè (Agence Fides) – Le monde arabe est menacé dans son existence même par des « identités assassines » et les crises et guerres qui bouleversent l’ensemble de la région ont leurs racines profondes dans les « oppositions régionales » et dans les « politiques internationales ». C’est ainsi que les Evêques maronites, réunis au siège patriarcal de Bkerkè pour leur assemblée mensuelle, ont, pour la énième fois, rappelé la dimension mondiale et les facteurs extérieurs qui continuent à alimenter les guerres et autres tragédies humanitaires dans l’ensemble du Proche-Orient.
Au cours de la réunion, qui a eu lieu le 4 mai sous la présidence du Patriarche d’Antioche des Maronites, S.Em. le Cardinal Boutros Bechara Rai, les Evêques maronites ont réaffirmé que l’élection du Président de la République libanaise – charge vacante depuis maintenant près de deux ans à cause des veto croisés des coalitions politiques – est « indispensable pour préserver l’identité constitutionnelle libanaise » et ont également mis en garde contre le danger de la fragmentation sur base sectaire qui bouleversera inévitablement l’actuelle physionomie des nations arabes si la stratégie du « fer et du feu » est encore privilégiée au détriment du dialogue.
Dans le cadre de leur réunion – peut-on lire dans le communiqué final parvenu à l’Agence Fides – les Evêques maronites ont également commenté de manière positive les récentes mesures qui préfigurent la fermeture des « maisons de prostitution » et ont demandé à ce que les enquêtes ouvertes ces derniers temps concernant des cas de corruption soient menées à terme, attendu que les scandales contribuent également à faire en sorte que le Liban semble « un bateau ivre ». (GV) (Agence Fides 06/05/2016)

COMMEMORATION DU GENOCIDE ARMENIEN - Message de Monseigneur Abgar Hovakimian Primat du Canada

COMMEMORATION DU GENOCIDE ARMENIEN
Message de Monseigneur Abgar Hovakimian Primat du Canada


Chers enfants et petits-enfants des Saints Martyrs de notre fervente nation,
Frères et sœurs bien-aimés en Christ,
En ce jour du 101ème anniversaire du génocide arménien, nous exprimons notre gratitude aux politiciens de notre cher Canada, pour leur position de principe, et pour avoir reconnu le 24 avril, comme Journée du Souvenir du génocide arménien !
En tant que descendants des survivants du génocide, nous sommes rassemblés ici et par notre présence, nous prouvons que Notre Seigneur n’abandonne jamais ses disciples. Les Turcs ottomans ont échoué dans leur politique génocidaire visant à anéantir notre nation, et aujourd’hui la République de la Turquie continue de nier ce fait historique.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=125577