Arabes du Christ
" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
dimanche 6 janvier 2013
بابا الاقباط: الفتوى بعدم معايدة الأقباط أمر يمثل "جرحا كبيرا لنا" La Fatwa interdisant de souhaiter la bonne fete aux chretiens est une grande blessure
samedi 5 janvier 2013
Liban : Enième report du dialogue national | À La Une | L'Orient-Le Jour
Liban : Enième report du dialogue national
Le président libanais, Michel Sleiman, a reporté samedi sine die la session du dialogue national qui était prévue lundi, face au refus d'une partie de l'opposition d'y participer.
Selon un communiqué de la présidence, le chef de l'Etat a informé tous les participants au dialogue de sa décision de le reporter sans fixer une nouvelle date.
Le quotidien as-Safir paru samedi a indiqué que M. Sleiman avait pris cette décision à la suite d'un entretien vendredi soir avec le Premier ministre Nagib Mikati et le chef du Parti socialiste progressiste (PSP) Walid Joumblatt, considérés comme centristes.
La plupart des partis de l'alliance du 14 Mars (opposition), hostile au régime de Damas, refusent en effet de participer au dialogue avant la démission du gouvernement, formé en majorité de partis proches du pouvoir syrien.
Le bloc des députés du Futur, pilier du 14 Mars, a réaffirmé jeudi son refus de retourner à la table de dialogue national avant la démission du gouvernement et l'acceptation par le Hezbollah de l'ordre du jour de ce dialogue.
Réuni sous l'égide de son chef, Fouad Siniora, le bloc a publié un communiqué dans lequel il souligne qu'il n'existe "pas d'alternative au dialogue, à condition qu'il s'agisse d'un dialogue fructueux et utile aux Libanais et pas d'une occasion médiatique que le Hezbollah exploite pour couvrir la poursuite de la mise en œuvre de son plan visant à imposer son contrôle sur l'État et la nation par les armes".
Dans un entretien avec l'Orient Le-Jour, le chef du parti des Forces libanaises (FL, opposition), Samir Geagea, a également souligné samedi son rejet d'un dialogue national qui aurait pour finalité de "couvrir les attentats" politiques contre les leaders du 14 Mars.
Le président de la République a récemment intensifié en vain ses efforts afin de ramener tous les partis politiques à la table du dialogue, depuis que le Liban est plongé dans une crise engendrée par l'assassinat le 19 octobre 2012 du chef des renseignements des Forces de sécurité intérieure (FSI) Wissam el-Hassan.
Lire aussi:
Des contacts discrets qui suscitent des interrogations..., l'article de Scarlett Haddad.
Un quartier chrétien touché à Damas | La-Croix.com- 5/1/2013
Un quartier chrétien touché à Damas
Un obus a frappé un quartier chrétien de Damas, samedi 5 janvier, tandis qu'une bombe placée dans une voiture a explosé dans le nord de la capitale, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
L'obus aurait été tiré sur Bab Tourna, quartier chrétien de la Vieille ville. Ce secteur, épargné par les combats, avait été pour la première fois visé à la fin octobre par un attentat à la voiture piégée qui avait fait, de source officielle, 13 morts.
Alors que le quotidien Al-Watan (proche du pouvoir) affirmait dans son édition de vendredi que la ceinture sud de Damas était désormais « sécurisée », de violents combats y ont eu lieu dans la nuit, faisant quatre morts parmi les rebelles.
Selon un premier bilan provisoire de l'OSDH, 16 personnes ont été tuées samedi 5, au lendemain de la mort de 130 autres - dont près de la moitié à Damas et dans sa périphérie. Pour l'ONU, le conflit syrien a fait en 21 mois plus de 60 000 morts.
Envoyé de mon iPad jtk
Raï: "Ce n’est pas du Liban qu’on ouvre le feu sur le monde"
Raï: "Ce n'est pas du Liban qu'on ouvre le feu sur le monde"
Le patriarche maronite Mgr Béchara elRaï a estimé que « les Libanais sont face à un grand défi crucial, celui des élections parlementaires et d'une loi électorale convenable qui répond aux besoins des Libanais ».
Selon lui, « c'est une honte que l'autorité politique au Liban soit incapable de parvenir à une loi électorale qui convient aux aspirations du peuple libanais ». Depuis Bkerké, Raï a averti qu'on ne peut aucunement manipuler le sort du peuple et de l'Etat, et « on ne peut se contenter d'être une paille dans le vent dans ce monde bouillonnant. Le problème des déplacés syriens est le plus grand problème humanitaire, social, politique et national au Liban », a-t-il dit.
Et d'ajouter : « C'est une honte de ne pas réaliser ce qui se passe dans le monde, et c'est une honte que chacun de nous reste attaché à ses propres calculs. L'objectif de tout ce qui a lieu dans notre région est d'appauvrir le monde arabe, de le déchirer, de le détruire, et d'attiser les divisions confessionnelles et sectaires afin de mettre la main sur ses richesses et ses libres décisions ».
Le patriarche maronite a par ailleurs insisté sur une position neutre mais positive du Liban et de toutes ses composantes. « Nous ne pouvons faire partie d'aucun axe régional ou international en conflits, et nous ne devons pas être influencés par une quelconque révolte ni par des réactions toutes azimuts. Nous devons comprendre que le Liban est un facteur de paix et stabilité. Il ne peut aucunement être un point de passage pour les guerres ni un dépôt d'armes. Ce n'est pas à partir du Liban qu'on ouvre le feu sur le monde. Ce n'est pas le Liban que nous connaissons », a-t-il enfin dit.
Joumblatt finit avec Raï ce qu'il avait commencé avec Sfeir | À La Une | L'Orient-Le Jour
Le chef du Front de lutte nationale, le député Walid Joumblatt, s'est rendu hier à Bkerké afin d'annoncer la fin des empiètements druzes sur les terres des chrétiens du village de Brih. Jusque-là, les chrétiens de ce village avaient été les seuls à ne pas avoir bénéficié de la réconciliation entre les deux communautés, scellée en 2001 par l'ancien patriarche Nasrallah Sfeir. Poussés à l'exode pendant la guerre de la Montagne en 1983, ils n'avaient toujours pas récupéré leurs propriétés occupées par les druzes du village.
À l'issue de son entretien avec le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, le député Joumblatt a déclaré que « l'usurpation des terrains de chrétiens à Brih s'est achevée hier (jeudi) ». « Lorsque le patriarche nous a rendu visite au Chouf l'été dernier, nous lui avons promis de soigner la dernière blessure laissée par les incidents douloureux de la Montagne. C'est ce que nous avons entrepris hier à Brih. Désormais, nous tournons la page de la guerre de la Montagne et de ses afflictions », a ajouté le leader druze, souhaitant que « la réconciliation officielle s'effectue prochainement, sous le parrainage du patriarche Raï et du président de la République ».
Parallèlement à cette visite, la destruction de la Maison druze du village se déroulait à Brih, dans une ambiance quelque peu tendue. L'édifice avait été construit en 1989 sur une colline appartenant à la famille chrétienne Adwane. Les travaux de construction de la nouvelle Maison druze viennent d'être achevés, sur un terrain appartenant à la communauté concernée. Cet arrangement n'est pas du goût des membres de cette communauté mais leur porte parole à indiqué lui aussi qu'« ils s'y sont pliés pour touner la page ».
La complexité du dossier du retour des déplacés chrétiens est liée non seulement aux montants des dédommagements à accorder aussi bien aux druzes qu'aux chrétiens lésés, mais surtout à la dimension humaine que ce retour implique.
Réagissant à la déclaration de Walid Joumblatt, le député Alain Aoun a estimé que « les chrétiens de Brih ont prouvé, par leur retour, que la volonté de la coexistence surpasse les douleurs du passé ».
Lire aussi
Geagea à « L'OLJ » : Le dialogue pour couvrir les attentats ? C'est non !
Des contacts discrets qui suscitent des interrogations..., l'éclairage de Scarlett Haddad
Un plan de sauvetage pour mettre un terme au gaspillage..., l'éclairage de Philippe Abi Akl