Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

jeudi 17 janvier 2013

Hommage à l’un des architectes du Liban contemporain | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/796249/Hommage_a_l'un_des_architectes_du_Liban_contemporain.html
Hommage à l'un des architectes du Liban contemporain | Politique Liban | L'Orient-Le Jour-15/1/2013

<le recteur de l'USJ, le père Salim Daccache, s'est félicité de ce que le nom de l'un des fondateurs du Liban contemporain soit associé doublement à l'Université Saint-Joseph, par l'inauguration en 2013 d'un espace qui porte son nom et du fait qu'il fut, en 1920, l'un des plus brillants diplômés de l'École de droit de l'Université, fondée en 1913, mais dont le cursus fut interrompu par la Première Guerre>

C'est à une véritable leçon d'histoire qu'a eu droit hier soir l'auditoire qui assistait à l'inauguration de l'espace « Sélim Takla » sur le nouveau campus de l'innovation et du sport de l'Université Saint-Joseph, rue de Damas.
La cérémonie s'est tenue en présence de son fils, l'ancien ministre Youssef Takla, qui a rendu hommage à son père, l'un des pères fondateurs de l'indépendance de 1943. Étaient présents outre le ministre Sélim Jreissati, représentant les trois présidents, l'ancien ministre Michel Eddé, le recteur de l'USJ, le Pr Salim Daccache s.j., Khalil Karam, vice-recteur de l'USJ aux relations internationales et le Pr Fayez Hage-Chahine, doyen de la faculté de droit.

Prenant la parole au cours de la cérémonie, M. Takla a rendu hommage à un homme qu'il considère comme « l'un des architectes du Liban contemporain », abstraction faite de tout lien filial.

« Les hommes de 1943, à la tête desquels figuraient Béchara el-Khoury et Riad el-Solh, ont agi dans la droite ligne dégagée par les princes Maan à la bataille de Marj-Dabek (1513), qui avait marqué le début de la reconnaissance de l'autonomie du Liban moderne », a affirmé M. Takla, citant un ouvrage qu'il a consacré à la figure de son père.
Et d'ajouter : « Le Liban a connu depuis 1513 divers problèmes, dont les plus amples ont été ceux de 1860 (...), cependant heureuse crise (...) qui devait aboutir au protocole de 1860 qui constitue la première reconnaissance directe de l'autonomie du Liban en droit international. Ce statut, revu en 1864, devait perdurer jusqu'à la prochaine crise internationale due à la Première Guerre mondiale (...). C'est au cours de cette période de stabilité relative que devaient naître et être élevés les hommes qui seront amenés d'abord à prendre en main les destinées du pays sous mandat, puis à réaliser son indépendance.

« L'acte de mandat de 1922 signifiait ipso facto l'accession du Liban à la souveraineté internationale de droit, quoique restreinte en son exercice (...). Mais les pères fondateurs du Liban de 1943 ont-ils fait œuvre durable ou étaient-ils des utopistes chimériques ? Certaines parties de la population libanaise ont considéré, à un moment donné, qu'ils avaient créé un État auquel ils n'avaient pas assuré les chances de survie (...) Mais les États créés en 1919-1920 semblent devoir durer et seule la formule des pères fondateurs semble valable pour le Liban, pourvu que ses gouvernants se rappellent que les crises extérieures, tant internationales que régionales, ont eu d'autant plus d'effet au Liban qu'elles sont survenues au moment de crises intérieures dues à une mauvaise gestion. »
Eddé : un monde hétérogène
Ce que M. Takla avait esquissé, l'ancien ministre Michel Eddé devait l'expliciter en affirmant que les pères fondateurs ont édifié un Liban non suivant un modèle existant ou un schéma constitutionnel livresque, mais à partir de ses « particularités "et" de la réalité de sa société hétérogène, multiculturelle et multireligieuse ».
Mais la viabilité du Liban n'allait pas de soi, estimaient les fondateurs de l'État libanais, conscients avec Riad el-Solh que « l'entente entre chrétiens et musulmans en était la condition nécessaire ».

En termes constitutionnels, cette « entente » devait se traduire par une représentation équilibrée au sommet du pouvoir de toutes les composantes religieuses de la société, un système qu'on a affublé de l'étiquette « confessionnalisme politique » et dont, périodiquement, on entend des voix s'élever pour en réclamer l'abolition. « Mais pourquoi ? », s'interroge M. Eddé pour qui ce système, au contraire, est en passe de devenir un modèle dans un monde qui devient de plus en plus « hétérogène » culturellement et religieusement.

En cent ans, a-t-il souligné à ce propos, les musulmans sont passés de 100 millions à 1,5 milliard répandus dans des pays qui ne sont plus ceux de l'Asie mineure, du bassin méditerranéen ou du Sud-Est asiatique.
Compte tenu de cette hétérogénéité du Liban, Sélim Takla sut habilement contourner lors du congrès d'Alexandrie de 1944 l'ordre du jour portant sur la question de l'unité arabe. C'est au cours de ce congrès qu'il forgea son proverbial « Liban à visage arabe » si contesté et contribua à la création de la Ligue arabe, a rappelé M. Eddé.

Daccache
Pour sa part, le recteur de l'USJ, le père Salim Daccache, s'est félicité de ce que le nom de l'un des fondateurs du Liban contemporain soit associé doublement à l'Université Saint-Joseph, par l'inauguration en 2013 d'un espace qui porte son nom et du fait qu'il fut, en 1920, l'un des plus brillants diplômés de l'École de droit de l'Université, fondée en 1913, mais dont le cursus fut interrompu par la Première Guerre mondiale.


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RENAITRE DANS LA SOUFFRANCE.doc

 Texte confidential

               RENAITRE DANS LA SOUFFRANCE

 

La crise syrienne qui a trop duré a poussé certaines personnes à pratiquer l'enlèvement des individus supposés plus aisés en vue

demander de l'argent en échange de la liberté..

Cette pratique qui se prolifère tous les jours inquiète la famille, lesamis , la paroisse et la population civile restée loin des violences.

Une peur de sortir de chez soi pour aller au travail, à l'école, àl'église s'installe… Sinon en groupe ou accompagné.

Ces personnes libérées se réfugient dans le silence.

 Quelques discrets témoignages ont été recueillis:

 

B.T. 42 ans, père de 5 enfants, marchand de légume enlevé un soir

devant son magasin.. Yeux bandés au coffre de la voiture…vit 4 jours dans une chambre noire sans voir le soleil, mangeant du pain et de l'eau.

B.T. affrontait la mort et passait le temps à prier.. En pensant

à  Jésus  abandonné au Mont d'Olivier…A sa libération B.T. est de plus en plus convaincu par l'importance de la Foi Chrétienne ,Il ne quitte plus l'Eglise et invite à la pénitence et médite l'Ecriture Sainte, le chapelet ne quitte pas sa main.

 

-S.D. 28 ans, plombier:" auparavant j'avais un engagement religieux fragile; l'enlèvement a transformé ma vie: je lis maintenant l'évangile, ne dis plus des gros mots et prie le Rosairedu fond du cœur.

 

-G.S. 31 ans confie: " sous la torture j'ai senti combien sont précieuses  les souffrances du Christ Sauveur.."

 

-A.G. 68 ans: Etant catéchiste pendant huit ans J'ai engagé avec mes ravisseurs des discussions sur  la foi chrétienne  presque tous les jours pendant un mois..

Ils m'écoutaient parler de l'Evangile  sur l'amour du prochain et du pardon et certains prenaient des notes. Ils m'ont parlé  à leur tour de  l'Islam.. Un dialogue fraternel qui a fini par nous rapprocher.

A ma libération ils ont souhaité me revoir pour continuer la discussion....

 

D'autres enlèvements à caractère politique visaient des chrétiens

pro pouvoir ou simple voyageurs. Les kidnappés ont transmis des messages divers:

-"Nous ne sommes pas des terroristes mais des révolutionnaires

  qui cherchent la libération et la démocratie, il faut nous  

  comprendre.." disaient les ravisseurs.

- Ils m'ont demandé de prier pour eux:" nous nous sommes  

 trompés de combat. Nous avons tout perdu pour rien.."

- Regardant son fils torturé devant lui, un père dit: J'ai compris

la souffrance de la Vierge Marie devant la flagellation de son Fils.

-" Malgré ma timidité chronique, j'ai trouvé les paroles pour défendre la Croix et ma Foi.. Marie me soutenait.."

-" Dites aux Chrétiens qu'ils n'ont plus de place dans ce pays et qu'ils doivent partir avant de périr.."

 

Ces confidences circulent à voix basse parmi les chrétiens quivivent dans la peur. Entre le danger de mort et la vie de Foi, un tiraillement  douloureux déchire nos petites communautés Chrétiennes. Toutefois de ce calvaire jaillissent des pointsd'Espérance. De ce grand feu surgit la Foi et le courage prophétique apostolique un peu endormi…

Le nombre des chrétiens est certes en baisse.. Par contre L'Evangile continue à renaître au milieu des souffrances.

Janvier 2013.                                                                                           + Samir NASSAR

(Texte Confidentiel)                                                                       Archevêque Maronite de Damas

 


L'Église copte catholique a élu son nouveau patriarche



Mgr Sidrak succède au patriarche Antonios Naguib

ROME, 16 janvier 2013 (Zenit.org) - Mgr Ibrahim Isaac Sidrak a été élu nouveau patriarche de l'Eglise copte catholique, ce 15 janvier 2013, annonce le site de l'Église en Égypte.

Elu par le synode réuni au Caire depuis le 14 janvier 2013, il succède au cardinal Antonios Naguib.

Mgr Ibrahim Isaac, 57 ans, a été ordonné prêtre en 1980. Il a étudié à puis a été nommé professeur de théologie dogmatique, avant d'être nommé directeur du séminaire jusqu'en 2000. Il a été consacré évêque du diocèse de Minia le 15 novembre 2002.

La proclamation de son élection est attendue pour demain, jeudi 17 janvier. L'élection devra ensuite être confirmée par Benoit XVI.

L'Église copte catholique compte environ 250.000 fidèles en Egypte et en diaspora, sur six diocèses, desservis par quelque 175 prêtres diocésains et une quarantaine de prêtres Franciscains et d'autres religieux.

Selon la tradition, elle a été fondée en Egypte par saint Marc en 68. En 451, à la suite du concile de Chalcédoine, une division se produisit au sein du patriarcat d'Alexandrie sur la question du "monophysisme" (opposé à la doctrine des deux "natures" du Christ, vrai Dieu et vrai homme).

En 1895,

Le pape Léon XIII a rétabli le patriarcat d'Alexandrie pour les coptes catholiques. L'Eglise copte a sa hiérarchie, son rituel et sa langue liturgique, le copte, héritière indirecte de la langue pharaonique.

Fwd: انتخاب بطريرك الأقباط الكاثوليك-'Église copte catholique a élu son nouveau patriarche

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> Mgr Sidrak succède au patriarche Antonios Naguib
> - Mgr Ibrahim Isaac Sidrak a été élu nouveau patriarche de l'Eglise copte catholique, ce 15 janvier 2013, annonce le site de l'Église en Égypte.
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> Mgr Ibrahim Isaac, 57 ans, a été ordonné prêtre en 1980. Il a étudié à puis a été nommé professeur de théologie dogmatique, avant d'être nommé directeur du séminaire jusqu'en 2000. Il a été consacré évêque du diocèse de Minia le 15 novembre 2002.
> La proclamation de son élection est attendue pour demain, jeudi 17 janvier. L'élection devra ensuite être confirmée par Benoit XVI.
> L'Église copte catholique compte environ 250.000 fidèles en Egypte et en diaspora, sur six diocèses, desservis par quelque 175 prêtres diocésains et une quarantaine de prêtres Franciscains et d'autres religieux.
> Selon la tradition, elle a été fondée en Egypte par saint Marc en 68. En 451, à la suite du concile de Chalcédoine, une division se produisit au sein du patriarcat d'Alexandrie sur la question du "monophysisme" (opposé à la doctrine des deux "natures" du Christ, vrai Dieu et vrai homme).
> En 1895,
> Le pape Léon XIII a rétabli le patriarcat d'Alexandrie pour les coptes catholiques. L'Eglise copte a sa hiérarchie, son rituel et sa langue liturgique, le copte, héritière indirecte de la langue pharaonique.
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mercredi 16 janvier 2013

L'OSDH fait état de plus de 48.000 morts en Syrie en 22 mois | Dernières Infos | L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com//news/article.php?id=796492
L'OSDH fait état de plus de 48.000 morts en Syrie en 22 mois
Les violences en Syrie ont fait plus de 48.000 morts, dont plus de 33.000 civils, depuis le début de la contestation contre le régime de Bachar al-Assad il y a 22 mois, a rapporté mercredi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Au moins 33.637 civils ont péri depuis le 15 mars 2011, a précisé l'ONG qui considère aussi comme des civils ceux ayant pris les armes contre les troupes du régime.

Le nombre de soldats tués s'élève à 11.926 et celui des déserteurs à 1.573, a précisé cette ONG, basée en Grande-Bretagne et qui s'appuie sur un large réseau de militants et de sources médicales dans les hôpitaux civils et militaires à travers le pays.

"Il faut ajouter 968 autres personnes tuées dont l'identité n'a pu être établie", affirme le directeur de l'OSDH Rami Abdel Rahmane, ce qui porte le nombre de morts en 22 mois à 48.104.

Mais ces bilans ne comprennent pas les milliers de personnes disparues en détention ni la plupart des morts parmi les "chabbihas" (miliciens pro-régime).

En outre, l'OSDH ne compte pas les combattants étrangers dont la mort est annoncée dans leur pays. En totalisant toutes ces catégories, le nombre pourrait dépasser les 100.000, selon M. Abdel Rahmane.

L'ONU avait fait état le 2 janvier de 60.000 morts.

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