Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

dimanche 9 novembre 2014

Explosion de colère du patriarche contre le torpillage des institutions - Fady NOUN - L'Orient-Le Jour

Explosion de colère du patriarche contre le torpillage des institutions - Fady NOUN - L'Orient-Le Jour

L'état de déliquescence des institutions s'est aggravé un peu plus, après la prorogation par les députés de leur mandat jusqu'en 2017, constatent les observateurs. Et ce ne sont pas les cris de vierge effarouchée des aounistes qui peuvent donner le change. Au comble de l'indignation, le patriarche les a sommés hier de démissionner, s'ils sont tellement choqués par le vote de prorogation. Ce qu'ils ne feront pas, bien évidemment. Plus honorablement, mais tout aussi médiatiquement, les députés Robert Fadel et Samy Gemayel ont trouvé, eux, la solution à leur dilemme : ils remettront leur salaire de député – soit quelque 10 millions de livres par mois –, l'un au développement de Tripoli, l'autre à l'armée. Deux ans et sept mois de salaires – soit 31 mois, cela ferait normalement quelque chose comme 310 millions de livres par député. Pas négligeable !

(Lire aussi : « Tripoli ne fait pas partie des priorités du gouvernement... »)


Pour un constitutionnaliste, les députés ont vidé le pays de sa vie légale à coups d'entourloupes juridiques. Le Liban est désormais dans l'aventure constitutionnelle, et non plus dans l'ordre constitutionnel. Les premiers responsables de ce blocage sont les députés absentéistes qui empêchent le quorum d'être atteint à chaque session parlementaire consacrée à l'élection d'un nouveau président.

S'élevant implicitement contre l'aventurisme du Hezbollah et du CPL qui bloquent la présidentielle, le chef de l'Église maronite a comparé leur action à celle d'une meute de loups s'attaquant au pays et le déchirant à belles dents. Pour le patriarche, il est désormais plus logique de parler aux régimes auxquels les députés font allégeance qu'aux intéressés eux-mêmes.

(Lire aussi : Raï furieux contre la destruction de l'entité libanaise « par les loups »)


Vaille que vaille, toutefois, certaines institutions, et d'abord l'armée, continuent de tenir bon. On apprenait hier que l'affaire des otages fait des progrès, et que des trois propositions avancées par le Front al-Nosra, c'est la troisième qui a été retenue : libération de cinq islamistes libanais et de 50 détenues syriennes, pour chaque militaire libanais libéré. Selon les milieux cités, les autorités syriennes auraient fait preuve de « compréhension » sur ce plan. En outre, le médiateur qatari, paradoxalement de nationalité syrienne, serait de retour incessamment au Liban pour parachever sa médiation. Cet homme pourrait demander aux ravisseurs la libération d'un de leurs otages, comme signe de bonne foi. En outre, les parents de détenus auraient bon espoir de voir les otages en mesure de communiquer avec eux par « WhatsApp ».

Quoi qu'il en soit, l'ambassadeur de Syrie au Liban, Ali Abdelkarim Ali, a affirmé hier que son gouvernement est « prêt à se mettre en rapport avec le gouvernement libanais en ce qui concerne les déplacés ». Le diplomate l'a fait à partir de Rabieh, après avoir été reçu par le général Michel Aoun. Et d'ajouter que « c'est la politique de non-
alignement (distanciation) adoptée par le Liban qui lui vaut toutes les avanies qu'il connaît ».

(Lire aussi : Conférence sur la famille : les takfiristes sur les traces des sionistes)


De tout ce raisonnement, les observateurs ne veulent retenir qu'un fait : la Syrie souhaite que le Liban continue de traiter avec le régime du président Bachar el-Assad, comme s'il était toujours le représentant légitime du peuple syrien. Ce qui est de moins en moins vrai, du moins géographiquement, avec l'extension de la superficie contrôlée par les groupes extrémistes et les combats qui font rage aux quatre coins de la Syrie. Et dont témoignent les affrontements qui se sont déroulés ces derniers jours sur le versant oriental de l'Hermon, et qui ont affecté les villages druzes de la région. Ces incidents ont été commentés hier par Walid Joumblatt et Talal Arslane. Un Walid Joumblatt qui se trouve à Moscou et qui a été reçu hier par l'austère ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.

Mais il n'y a pas qu'en Syrie que les groupes extrémistes sont agissants. Au Liban aussi, loin de baisser les bras, les jihadistes demeurent actifs, comme le prouve un plan de déstabilisation de la région de Saïda mis en échec récemment par l'armée, en étroite coopération avec les autorités policières palestiniennes ; ou la destruction nocturne de caméras de surveillance installées par l'armée à Ersal, qui a entraîné l'augmentation par l'armée de son degré de vigilance dans cette bourgade sensible entre toutes. Les aveux des jihadistes arrêtés au Liban n'augurent pas d'un renoncement au plan visant à prendre le contrôle du pays.

Lire aussi
Pandémie, l'éditorial de Issa Goraieb

Chambre à part, l'article de Ziyad Makhoul

L'itinéraire d'un Français venu commettre un attentat au Liban



Envoyé de mon Ipad 

Raï furieux contre la destruction de l’entité libanaise « par les loups » - L'Orient-Le Jour

Raï furieux contre la destruction de l'entité libanaise « par les loups » - L'Orient-Le Jour

Raï furieux contre la destruction de l'entité libanaise « par les loups »

Raï a commencé par remercier l'évêque maronite Mgr Antoine Charbel Torbey qui a organisé les détails de cette visite. Il a aussi remercié tous ceux qui l'ont accompagné dans les nombreuses étapes de ce voyage, notamment les dignitaires religieux des différentes communautés, tous ceux qui ont contribué à son financement ainsi que les autorités australiennes et les membres de la communauté libanaise dans ce grand pays.
Le patriarche a salué les efforts des expatriés libanais et du monde arabe qui ont brillé en Australie et donné ainsi une belle image du Liban et du monde arabe. « Ces émigrés d'origine libanaise et arabe, a déclaré le patriarche, ont réussi à se faire respecter des autorités locales et des autres citoyens australiens. Mais ils ont aussi respecté les usages démocratiques, les lois et les règles de ce pays, ainsi que son État et ses institutions. Nous avons d'ailleurs été frappés par la pratique démocratique dans ce pays où opposants et loyalistes s'assoient côte à côte au Parlement et discutent ensemble, toujours sous le plafond de l'intérêt général. Chaque partie respecte l'autre et aucune ne cherche à entraîner le pays selon ses envies ou ses intérêts. Chaque ministre a d'ailleurs son équivalent de l'ombre au sein de l'opposition qui lui demande des comptes sur tout ce qui touche son ministère. C'est sans doute cela le secret de la réussite de l'Australie et le fait qu'elle attire autant de gens dans le monde. »
Après avoir remercié les autorités australiennes pour leur engagement au Moyen-Orient, notamment envers les réfugiés syriens et au sein de la coalition menée par les États-Unis, le patriarche Raï a ensuite lancé une violente diatribe contre les députés libanais qui ont d'abord maintenu la vacance à la tête de la République avant de laisser le pays atteindre le bord du gouffre sur le plan parlementaire. « Les députés se sont ainsi précipités comme de bons élèves, sur leurs sièges au Parlement, dans une affluence surprenante pour proroger leur propre mandat. Ils ont ainsi une fois de plus violé la Constitution et bafoué la volonté populaire, tout en foulant aux pieds le pacte national qui exige que les chrétiens soient représentés à la présidence de la République, les chiites à la tête du Parlement et les sunnites à la présidence du Conseil. La présidence est ainsi vacante alors que les deux autres fonctions sont occupées et actives. Est-ce le début d'un processus visant à mettre un terme à la formule libanaise ? Est-ce ainsi que les députés et les blocs parlementaires se préparent à célébrer le centenaire de la déclaration du Grand Liban dans six ans ? S'il y a des députés qui sont opposés à ce processus et qui écoutent la voix de leur conscience, qu'ils traduisent cette opposition en présentant leur démission de ce Parlement que le tribunal de la conscience et de l'histoire ne pourra que condamner ! »
Raï a encore assuré que l'Église continuera à condamner et dénoncer ces pratiques et cette destruction systématique de l'entité libanaise. « Nous resterons avec notre peuple, prêts à le protéger contre les loups », a déclaré le patriarche qui a été longuement ovationné et qui a conclu son allocution en demandant à la société civile et toutes les bonnes volontés de contribuer à la protection du Liban pour qu'il reste cet espace et ce modèle de démocratie, de diversité culturelle et religieuse, et de liberté en Orient.

Les décisions viennent de l'étranger...
Le patriarche maronite a ensuite répondu aux questions des présents. Il a ainsi précisé ne pas avoir abordé la question de la présidence avec le Premier ministre australien. Par contre, la conversation a porté sur l'armée, et M. Abbott a affirmé que son pays soutient l'armée libanaise.
À la question de savoir s'il compte recevoir à Bkerké les députés qui ont prorogé leur mandat, le patriarche a répondu qu'il ne veut pas aborder la question de la prorogation ni celle des élections législatives. Ce qui compte pour lui, c'est de commencer par le début, c'est-à-dire par l'élection d'un nouveau président de la République. Mais il a ajouté que la prorogation du mandat du Parlement est une erreur et une faute. Elle est illégale.
Au sujet du partage du pouvoir en trois tiers, le patriarche Raï a déclaré qu'il n'y croyait pas au début. Mais après avoir vu cette volonté systématique de discréditer les institutions ou de les paralyser par la vacance ou la prorogation, il commence à avoir des doutes. « Je n'ai plus aucune confiance dans le Parlement car ce qui se passe est inacceptable », a-t-il déclaré tout en répétant que ceux qui ne sont pas d'accord avec ce qui se passe devraient présenter leur démission. Raï a affirmé, en réponse à une question, qu'il parlera désormais avec les États étrangers de la présidence, car « il est clair, a-t-il dit, que les décisions viennent de l'étranger, même celle de la prorogation du mandat du Parlement ». Il a enfin assuré qu'avec toutes les bonnes volontés, il continuera à défendre le Liban, avec les dents s'il le faut, contre les appétits des loups...



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vendredi 7 novembre 2014

Mgr Petros Moshe : « Notre situation n’est ni bonne ni stable » | La-Croix.com

Mgr Petros Moshe : « Notre situation n'est ni bonne ni stable » | La-Croix.com
Mgr Petros Moshe : « Notre situation n'est ni bonne ni stable »

Archevêque syrien-catholique de Mossoul, réfugié depuis plusieurs années à Qaraqosh et désormais au Kurdistan irakien, Mgr Petros Moshe est de passage en France.

Il demande à la communauté internationale de tout faire pour aider les réfugiés « et pas seulement les gouvernements ».

« Notre situation n'est ni bonne ni stable. » De passage à Paris, après avoir passé une dizaine de jours à Londres, Mgr Petros Moshe, archevêque syrien-catholique de Mossoul (Irak), a témoigné, jeudi 6 novembre, lors d'une conférence organisée par l'association Fraternité en Irak, de la dure vie de ses diocésains, réfugiés pour la plupart au Kurdistan irakien.

Il est également l'invité, vendredi 7 novembre, d'un « dîner de charité » organisé par le diocèse de Nantes, auquel 400 personnes se sont inscrites, et célébrera une messe le lendemain à 18 heures à la basilique Saint-Nicolas à Nantes.

Familles relogées

Sur le plan matériel, la situation a commencé à s'améliorer, depuis l'arrivée dans la nuit du 6 au 7 août de 120 000 réfugiés de Mossoul et des villages chrétiens de la plaine de Ninive. « Avec l'aide des bienfaiteurs », la plupart ont pu être relogés dans des bâtiments en construction clos, des tentes équipées pour l'hiver ou des préfabriqués. D'autres ont loué des maisons, mais qu'il faut aider à payer leur loyer.

Il a fallu aussi procurer aux familles « des couvertures, des vêtements, un chauffage et nous protéger de l'hiver qui est très dur au Kurdistan », a témoigné Mgr Moshe. Un sac de 70 kg d'aliments de base est fourni chaque mois aux familles. Des dispensaires ont également été ouverts, avec l'aide de médecins eux-mêmes réfugiés.

Sans salaire, sans argent

Désormais, c'est la construction d'écoles et l'emploi qui font figure de nouveaux défis. Certains réfugiés, fonctionnaires de l'État irakien, perçoivent à nouveau un salaire « mais pas tous », constate l'archevêque, et sont donc « sans salaire et sans argent dans la poche ».

L'aide de 1 million de dinars irakien (686 €) promise par le gouvernement de Bagdad n'est pas parvenue à tous. « Nous devons trouver des offres de travail pour que nos jeunes s'attachent à leur terre et ne pensent plus à l'émigration », résume Mgr Moshe, qui voit chaque jour des fidèles quitter le pays « pour l'inconnu ».

Lui-même souhaiterait lancer la construction d'un village chrétien au Kurdistan, qui permettrait à la fois de fournir du travail et des logements aux réfugiés. Mais le projet nécessite de trouver « des fonds ».

Otages des djihadistes

La vie a donc repris – 150 mariages ont été célébrés ces trois derniers mois – mais une vie difficile, marquée par les privations, le désœuvrement et l'angoisse de savoir dans quel état se trouvent villages et maisons. « Malgré mes efforts, je n'ai pas pu sauver plusieurs jeunes femmes et jeunes filles prises en otage par les djihadistes, ni la petite fille enlevée à sa mère lors de leur fuite », déplore l'archevêque de Mossoul.

Les réfugiés attendent donc impatiemment la libération de la plaine de Ninive. À ses yeux, l'opération pourrait, selon lui, prendre « trois jours ou un an : tout dépend de la manière dont les États-Unis organiseront la bataille de Mossoul ».

Inlassablement, il adresse la même demande à ceux qui l'écoutent : « Faites pression par différents moyens sur les gouvernements pour les forcer à éloigner la bataille » de la plaine de Ninive, et pour que les réfugiés puissent regagner leurs maisons, « une fois que les djihadistes de Daech en auront été chassés ».



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Raï appelle les députés opposés à la prorogation à démissionner - L'Orient-Le Jour

Raï appelle les députés opposés à la prorogation à démissionner - L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com/article/894923/rai-appelle-les-deputes-opposes-a-la-prorogation-a-demissionner.html
Olj 7/11/2014-Raï appelle les députés opposés à la prorogation à démissionner

Liban

Le patriarche maronite Béchara Raï a appelé les députés libanais opposés à la prorogation de leur mandat à démissionner, rapporte vendredi la chaîne LBCI. "Les masques sont tombés", a-t-il déclaré.

Mgr Raï a comparé, depuis Sydney en Australie où il se trouve en tournée, les députés qui ont prorogé leur mandat à de "braves petites élèves" qui se précipitent pour sauvegarder leur place en classe.

Mercredi, le Parlement a prorogé à une large majorité son mandat de deux ans et sept mois, alors que le pays est sans président depuis le 25 mai. Une prochaine séance a été fixée au 19 novembre.

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jeudi 6 novembre 2014

Fwd: Alerte Google - Chrétiens d'Orient


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Chrétiens d'Orient
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Le sort des chrétiens d'Orient inquiète le prince Charles
Le prince Charles multiplie depuis l'an dernier les déclarations en faveur des chrétiens d'Orient, à l'image des responsables politiques du ...
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Colloque au CUM : Ne pas oublier les Chrétiens d'Orient
C'est à une passionnante et terrifiante table ronde que j'ai assisté, au CUM, sur l'avenir des Chrétiens d'Orient. Une communauté victime d'une ...
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Radio Vatican
Le Centre Saint-Louis à l'heure des chrétiens d'Orient
Une exposition consacrée aux chrétiens d'Orient vient d'être inaugurée au ... du gouvernement français pour la protection des chrétiens d'orient.
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Exposition à l'ambassade de France sur les chrétiens d'Orient
Rome, 5 novembre 2014 (apic) Le cardinal Leonardo Sandri, préfet de la Congrégation pour les Eglises orientales, a prévenu que «quelqu'un devrait ...
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L'Obs
Frigide Barjot : la nouvelle vie de la "Arlette Laguiller catho"
La catho déjantée se consacre en parallèle à la cause des chrétiens d'orient. Mi-août, elle lance une pétition signée par 12.500 personnes à ce jour.
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Comment la première guerre mondiale a transformé le Proche-Orient - Nationalisme arabe et ...
S'y croisent des commerçants chrétiens de différentes confessions, des Arméniens, des juifs, des druzes, des musulmans sunnites et chiites, des ...
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Sarthe Syriens, Claude et sa famille vivent désormais près de Sablé
Début 2014, Claude Serez, son épouse et leurs deux fils, chrétiens, ont fui Alep ... Pour aider les chrétiens d'Orient, s'adresser à Fraternité Chrétienne ...
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Le Centre Saint-Louis à l'heure des chrétiens d'Orient
2014-11-05 Radio Vatican. Une exposition consacrée aux chrétiens d'Orient vient d'être inaugurée au Centre Saint-Louis, à Rome, sous le ...
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Veillée de prière avec les chrétiens d'Orient
Le samedi 22 novembre à 20h30 se tiendra dans l'église Saint-Louis des Français une veillée de prière avec les chrétiens d'Orient. Nous aurons la ...
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[CONFERENCE] SOS Chrétiens d'Orient, à Angers le 6 novembre
Nous signalons à nos lecteurs angevins la tenue d'une conférence consacrée au sort tragique des Chrétiens d'Orient. Organisée conjointement par ...
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Rassemblement pour les chrétiens d'Orient à Toulon
PCD
Le samedi 8 novembre prochain de 15h à 16h, le diocèse de Fréjus-Toulon et plusieurs associations en faveur des chrétiens d'Orient (AED, Oeuvre ...
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Exposition à l'ambassade de France sur les chrétiens d'Orient
Persécution des chrétiens : «Quelqu'un devra rendre compte devant le tribunal de Dieu», dit le cardinal Sandri. Exposition à l'ambassade de France ...
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Les chrétiens arabes d'Orient : présence et conditions d'avenir
Signalement de contenus des revues : Les chrétiens arabes d'Orient : présence et conditions d'avenir - Antoine Fleyfel.
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Colloque au CUM : Ne pas oublier les Chrétiens d'Orient
Colloque au CUM : Ne pas oublier les Chrétiens d'Orient, &'60;p&'62;Pendant deux jours, des experts ont discutés autour de ce thème qui surgit de ...
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Raï aux parlementaires : Je ne vous félicite pas - L'Orient-Le Jour 6/11/2014

Raï aux parlementaires : Je ne vous félicite pas - L'Orient-Le Jour

Raï aux parlementaires : Je ne vous félicite pas

De Sydney où il poursuit sa tournée auprès de la diaspora libanaise notamment, le patriarche maronite, qui ne ménage plus la classe politique depuis quelque temps, n'a pas mâché ses mots en commentant la prorogation du mandat des parlementaires.
« Je ne vous présente pas mes félicitations. Je ne vous dis pas "mabrouk" non plus. Je dis simplement que la prorogation est illégale et contraire à la Constitution et au pacte », a déclaré Mgr Béchara Raï, rapporte notre correspondante à Sydney, Hoda Chédid.
Au cours de son entretien avec les étudiants de l'université de Sydney, Mgr Raï a été interrogé par la Pr Eva Bou Abdallah Melhem, une Australienne d'origine libanaise, qui lui a demandé ce qu'il pense « de la prorogation par les parlementaires de leur propre mandat, qui est considéré comme un putsch constitutionnel ».
À cette question, Mgr Raï répond par une autre : « Si les députés que vous avez élus en Australie pour quatre ans devaient proroger leur mandat, que feriez-vous ? » « Nous leurs lancerons tomates et œufs à la figure », ont répondu les universitaires.
Auparavant, le patriarche maronite avait rencontré le Premier ministre australien, Tony Abbott, qu'il a remercié pour les opportunités « données aux Libanais afin qu'ils puissent se réaliser ».
Le patriarche a évoqué avec son interlocuteur la situation au Proche-Orient en proie à des guerres multiples, exhortant l'Australie de contribuer, au sein de la communauté internationale, à l'arrêt de ces conflits armés. Évoquant les organisations terroristes, il a affirmé qu'elles « s'opposent à toutes les religions, y compris l'islam ».
Le prélat maronite a en outre exprimé son souhait de voir ceux qui soutiennent ces groupes financièrement et politiquement en leur fournissant des armes renoncent à cette politique. Il a aussi souhaité que l'Australie puisse jouer « un plus grand rôle au plan de l'aide à apporter aux réfugiés en provenance d'Irak et de Syrie, en vue d'alléger le fardeau qui pèse lourdement sur le Liban ».
« Nous sommes attachés à la présence des chrétiens, enracinés au Proche-Orient d'où ils sont originaires, une présence qui est extrêmement importante du fait qu'ils incitent au dialogue et à la modération tout en défendant les valeurs démocratiques et les libertés », a ajouté Mgr Raï. Et de rappeler que les communautés chrétiennes au Proche-Orient « ont édifié aux côtés des musulmans toute une histoire commune qui s'est traduite dans la vie de tous les jours ainsi qu'au niveau du gouvernement et de l'administration ». « Le Liban, a-t-il dit, constitue un modèle pour cette vie en commun. »



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mercredi 5 novembre 2014

En Égypte, Al-Azhar prépare une conférence islamo-chrétienne pour « contrer l’extrémisme » | La-Croix.com

En Égypte, Al-Azhar prépare une conférence islamo-chrétienne pour « contrer l'extrémisme » | La-Croix.com
En Égypte, Al-Azhar prépare une conférence islamo-chrétienne pour « contrer l'extrémisme »

Le grand imam d'Al-Azhar, principale institution de l'islam sunnite basée au Caire (Égypte), prépare une conférence islamo-chrétienne qui se tiendra du 3 au 5 décembre au Caire pour « contrer le discours extrémiste ».

« Les musulmans sont critiqués parce qu'ils ne s'expriment pas assez contre le terrorisme. La rencontre portera sur la littérature, le discours extrémistes », a expliqué mardi 4 novembre le secrétaire général du Comité pour le dialogue islamo-chrétien (au Liban), Mohammad Samak, de passage à Paris, mardi 4 novembre, pour un colloque sur « Le monde arabe en mouvement » organisé par la commission Paris-Beyrouth de l'Ordre des avocats.

Sunnites et chiites

Environ 150 personnes devraient être invitées : côté musulman, « tous les pays de l'Indonésie jusqu'au Maroc » devraient être représentés, et seront présents des responsables sunnites comme chiites. Côté chrétien, des responsables des Églises orientales, du Vatican et du Conseil œcuménique des Églises à Genève ont été conviés.

Le premier jour sera consacré à l'actualité et aux violences commises, au nom de l'islam, par les combattants de l'organisation Daech. « Nous ne nous contenterons pas de condamner. Nous expliquerons pourquoi et comment contrer le terrorisme en théologie musulmane », a indiqué Mohammad Samak.

État civil, citoyenneté et égalité des droits

Le deuxième jour, la conférence traitera des relations islamo-chrétiennes, « avec la participation des Églises orientales ». Et enfin, le dernier jour abordera les thèmes de « l'État civil » (expression utilisée dans le monde musulman comme synonyme d'État laïc), « de la citoyenneté et de l'égalité des droits », en s'inspirant des trois documents publiés en 2010 et 2011 par Al-Azhar dans le cadre de la Maison de la famille égyptienne.

Cette initiative fait suite à la lettre écrite fin septembre par plus de 120 savants musulmans du monde entier au calife auto-proclamé du prétendu État islamique, Abu Bakr Al Baghdadi. Initiée par le prince jordanien Ghazi bin Muhammad bin Talal, elle exposait, point par point, les fautes commises par le chef autoproclamé du « califat » au regard du droit et des sciences islamiques.



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Le sort des chrétiens d’Orient inquiète le prince Charles | La-Croix.com

Le sort des chrétiens d'Orient inquiète le prince Charles | La-Croix.com

Le prince Charles lors de son message vidéo.

Le Prince Charles s'inquiète des menaces pesant sur les chrétiens au Proche-Orient, qu'il a qualifiées de « tragédie », dans une vidéo diffusée mardi 4 novembre au soir sur le site du journal The Telegraph.

« C'est une tragédie indescriptible de voir aujourd'hui la menace qui pèse sur le christianisme au Proche-Orient, une région où les chrétiens vivent depuis 2000 ans (…) avec des gens de différentes croyances vivant en paix depuis des siècles », déclare l'héritier du trône britannique dans cette courte déclaration.

Évoquant sa propre foi chrétienne, qui lui « permet de parler et d'écouter des personnes d'autres traditions, incluant l'islam », il a appelé les responsables des différentes religions à ne « pas rester silencieux » et à « s'assurer que les personnes de leur tradition religieuse respectent celles suivant d'autres traditions religieuses ».

Un discours récurrent chez le Prince Charles

Il a également appelé « les gouvernements à assurer le droit des gens à pratiquer leur religion », un droit qui est « souvent remis en cause, y compris à l'ouest ».

Ce n'est pas la première fois que l'héritier de la couronne britannique prend publiquement la parole à ce sujet. En décembre 2013, à l'occasion de l'Avent, le prince Charles avait prononcé une longue allocution devant des responsables religieux orientaux, chrétiens et musulmans.

« Je suis, depuis un certain temps déjà, profondément troublé par les problèmes croissants qui menacent les communautés chrétiennes dans diverses parties du Moyen-Orient. Il me semble que nous ne pouvons pas ignorer le fait que les chrétiens de cette région du monde sont volontairement visés par des militants islamistes fondamentalistes. Les chrétiens sont, littéralement, nés au Moyen-Orient et leurs communautés ecclésiastiques nous relient directement à l'Église originelle. »

Ces propos font écho au rapport rendu public, mardi 4 novembre, par l'association catholique Aide à l'Église en Détresse (AED), relevant que la liberté religieuse est en net recul depuis deux ans.

Tout en affirmant que les chrétiens sont la communauté qui souffre de la persécution la plus largement répandue, au Proche-Orient, en Afrique, en Asie, le rapport souligne aussi que les musulmans subissent de « graves » menaces.

Une préoccupation croissante Outre-Manche

Outre-Manche, la liberté religieuse et le sort des chrétiens au Proche-Orient font l'objet d'une préoccupation accrue ces dernières années. De Sayeeda Warsi, une ministre musulmane qui avait pris publiquement la défense des chrétiens persécutés au Proche-Orient en novembre 2013, jusqu'au premier ministre David Cameron, nombre de leaders politiques ont multiplié les prises de parole à ce sujet.

« De plus en plus souvent, la religion est utilisée comme un moyen de division, de ségrégation, de discrimination et de persécution. Partout dans le monde, les gens sont pris pour cible et chassés simplement pour la foi qu'ils suivent ou leurs convictions. Bahaïs, chiites, sunnites et alaouites… Mais aussi hindous, sikhs, les athées. Mais aujourd'hui, je veux me concentrer sur une religion qui souffre particulièrement à la suite des bouleversements que vit le Moyen-Orient : le christianisme », avait déclaré Sayeeda Warsi, alors ministre britannique chargé des religions et numéro 2 du ministère des affaires étrangères, devant l'Université de Georgetown, à Washington, en novembre 2013.

« C'est un fait : les chrétiens constituent désormais le groupe religieux le plus persécuté dans le monde, avait déclaré de son côté David Cameron le jour de Pâques 2014. Nous devons réagir contre la persécution des chrétiens et d'autres groupes religieux, partout et chaque fois que nous le pouvons. »



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