Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

vendredi 4 janvier 2013

Réfugiés syriens: le Liban demande de l'aide à la communauté internationale | Dernières Infos | L'Orient-Le Jour

Le gouvernement libanais, divisé sur le conflit syrien, a indiqué avoir décidé de faire appel aux pays arabes et amis pour alléger le fardeau, notamment financier, que représente l'accueil de 125.000 réfugiés syriens sur son sol.
Réuni jeudi, le Conseil des ministres a pris une série de mesures pour aider les réfugiés syriens.
Il s'est engagé à "appeler les pays donateurs à verser les financements promis au Liban et à lancer une campagne diplomatique (...) pour inciter les pays arabes et amis à partager avec le Liban le fardeau en termes financiers et logistiques", selon un communiqué publié tard jeudi.
"Le gouvernement a décidé d'appeler la Ligue arabe et les organisations internationales à se réunir d'urgence pour leur expliquer la situation des réfugiés", poursuit le communiqué.
Le Liban, qui a été pendant trois décennies sous la tutelle politique et militaire de Damas, reste profondément divisé au sujet de la crise en Syrie et ces divisions sont apparues au grand jour lors de cette réunion.
Des membres du gouvernement ont réclamé la fermeture de la frontière, assurant que le flux de réfugiés avait un impact négatif sur l'économie et le fragile équilibre politique libanais, mais cette proposition a été fermement refusée par certains de leurs collègues.
Les ministres représentant le Courant patriotique libre (CPL) de Michel Aoun, dirigeant chrétien allié du Hezbollah libanais, lui-même proche de Damas, ont refusé le plan adopté par le gouvernement, affirmant que le Liban n'avait pas la capacité d'accueil nécessaire.
"Nous n'avons plus de place. Nous ne refusons aucun réfugié (...) mais si nous étions capables de porter 100 kg sur nos épaules, comment pourrions-nous maintenant supporter une tonne?", avait affirmé leur leader auparavant.
Le ministre de l'Information Waël Abou Faour a affirmé à la presse à l'issue de cette réunion que le débat entre ministres avait été intense sur la question de la fermeture de la frontière.
Il a toutefois estimé que cette décision "n'est pas applicable, au-delà des considérations humanitaires, de fraternité et de nationalisme, car je ne pense pas qu'un responsable à la frontière pourrait dire à une famille syrienne fuyant la mort: "je vous empêche d'entrer au Liban".
Il a ajouté que "fermer la frontière signifierait encourager la contrebande".
Selon l'ONU, quelque 125.000 syriens ont trouvé refuge au Liban depuis le début du conflit meurtrier il y a 21 mois, les autorités libanaises évoquant le chiffre de 200.000.
Le gouvernement, dominé par le Hezbollah et ses alliés pro-syriens, appelle régulièrement à "se dissocier" de la crise syrienne pour ne pas diviser encore plus le pays et éviter un débordement du conflit.

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Liban : la couverture médiatique des fêtes de Noël

Analyse du P. Paul Karam pour Fides

ROME, 4 janvier 2013 (Zenit.org) - Au Liban, la couverture médiatique des fêtes de Noël par les moyens de communication liés à la formation politique chiite du Hezbollah, est assez singulière, fait observer l'agence vaticane Fides : par exemple, le 25 décembre, Radio Al-Nour, a rendu hommage à la naissance du Christ à travers une sélection de chants religieux.

La principale chaîne de télévision, précise l'organe d'information des œuvres pontificales missionnaires, a ponctué ses programmes de vœux de Noël aux chrétiens alors que les Journaux d'information ont réservé un vaste espace aux célébrations de Noël, insistant sur la participation de représentants du Hezbollah aux cérémonies officielles, et soulignant le titre de « prophète » reconnu par l'islam qui était donné à « Jésus, le fils de Marie ».

« La sollicitude de nombreux medias musulmans à parler et louer les célébrations de Noël  – commente pour l'Agence Fides le Père Paul Karam, Directeur national des œuvres pontificales missionnaires (OPM) au Liban – , renvoie à la spécificité traditionnelle de la vie libanaise, où les chrétiens et les musulmans partagent une certaine socialité y compris au niveau des fêtes religieuses ».

 « Quand j'étais petit, avant la guerre, je me souviens que mes parents allaient chez nos voisins musulmans à l'occasion du ramadan et d'autres festivités islamiques alors qu'eux venaient chez nous durant le temps de Noël et pour Pâques. Ces jours-là, de nombreux enfants des vingt familles de réfugiés syriens musulmans accueillies dans le quartier sont venus à la Paroisse pour prendre de petits cadeaux de Noël, comme l'ont fait les enfants des réfugiés chrétiens », a-t-il raconté. 

En revanche l'attitude n'a pas été la même chez les Salafistes qui ont fait pression sur la municipalité de Tripoli pour « réduire au strict minimum les décorations de Noël dans les rues, sur les places, considérées comme blasphèmes et contraires aux enseignements islamiques ».

Toujours au Liban, le responsable salafiste Omar Bakri Fostock  (connu sous le nom d'Ayatollah de Tottenham pour le rôle clef qu'il a joué dans les cellules islamistes de Londres au cours de son séjour au Royaume-Uni) avait intimé aux musulmans de ne pas prendre part aux célébrations chrétiennes en compagnie de leurs compatriotes baptisés, qualifiant cette habitude partagée par de nombreux musulmans comme une forme d'hérésie contraire au véritable islam.

Fwd: [ZF130104] Le monde vu de Rome


Profanation de la « tombe du Roi David » à Jérusalem
Protestation du Patriarcat latin

ROME, 4 janvier 2013 (Zenit.org) - « Pour la seconde fois en dix jours à Jérusalem, le lieu dit « tombe du Roi David » qui se trouve sous le Cénacle sur le Mont Sion a été profané dans la nuit du 2 au 3 janvier 2013 », déplore le Patriarcat latin de Jérusalem.

Le patriarcat « proteste énergiquement contre cet acte de vandalisme qui blesse  tous les croyants, juifs, chrétiens et musulmans », ajoute le communiqué.

« Encore une fois, le Patriarcat latin de Jérusalem exprime son vif désir de voir les coupables arrêtés », insiste le site en ligne.

La « tombe du roi David » sur le mont de Sion, dans la vieille ville de Jérusalem, est vénéré comme le tombeau du roi biblique David qui a régné de 1000 à 961 avant J.-C. sur Israël et la Judée. C´est un lieu saint important du judaïsme.

L'histoire de David est rapportée dans l'Ancien Testament surtout dans les livres de Samuel, des Rois et des Chroniques. Il est honoré par les juifs, les chrétiens et aussi dans le Coran.

Terre Sainte : sollicitude pour les personnes souffrantes et vulnérables

Coordination pour la Terre Sainte à Bethléem (5-10 janvier)

ROME, 4 janvier 2013 (Zenit.org) - Une délégation d'évêques d'Europe et d'Amérique du Nord, accompagnés par un certain nombre d'experts, se réuniront du 5 au 10 Janvier à Bethléem pour célébrer la rencontre annuelle de la Coordination pour la Terre Sainte à un moment où les incertitudes sévissent et où les changements politiques et sociaux caractérisent le Moyen Orient, indique un communiqué du Conseil des conférences épiscopales européennes, ce 4 décembre.

La rencontre est organisée par la Coordination des Conférences épiscopales en faveur de l'Eglise de Terre Sainte et par l'Assemblée des évêques catholiques de Terre Sainte.

Le site du Patriarcat latin de Jérusalem publie le programme à cette adresse :

http://fr.lpj.org/2013/01/04/coordination-terre-sainte-2013-le-programme/

A l'occasion de l'année de la foi, le thème central de la rencontre sera l'attention que l'Eglise catholique adresse aux personnes souffrantes et vulnérables en Terre Sainte. L'Eglise catholique prête toujours une très grande attention aux situations humaines et sociales particulièrement difficiles, notamment celle de la Terre, appelée Sainte par plusieurs traditions religieuses et qui interpelle tous les chrétiens afin qu'ils restent sensibles et vigilants par rapport à ce qui se passe en ces lieux.

Au début de leur rencontre, dimanche 6 et lundi 7 Janvier, la délégation se rendra en Jordanie pour rencontrer les réfugiés irakiens et syriens. Dans les jours qui suivront, les participants seront informés de la situation actuelle en Terre Sainte de la part de Sa Béatitude le Patriarche Fouad Twal, Patriarche latin de Jérusalem e du Nonce Apostolique Mons. Giuseppe Lazzarotto. Ensuite, après avoir abordé le thème central de la rencontre par le biais des apports fournis par les représentants des différentes organisations chrétiennes, les participants se pencheront plus particulièrement sur la situation des réfugiés africains, des travailleurs des Philippines et chrétiens en prison.

Don Michel Remery, Vice-Secrétaire Général du CCEE, ainsi que Mr. Thierry Bonaventura, attaché de presse du CCEE, représenteront le Conseil des Conférences Épiscopales d'Europe pour témoigner la proximité de l'Église en Europe aux chrétiens de la terre qui a vu la naissance, la mort et la résurrection de Jésus.

Les journées seront caractérisées par des nombreux moments de prière, par la célébration quotidienne de l'Eucharistie, par la rencontre avec les communautés locales, avec les prélats catholiques de différents rites, avec les étudiants de la Bethlehem University ainsi qu'avec les autorités locales.

La visite s'achèvera le vendredi 10 Janvier à Jérusalem par une célébration auprès du Saint-Sépulcre et par une conférence de presse à 10h00 dans les locaux du Patriarcat Latin.

Un communiqué de presse sera émis à la fin des travaux.

Les origines de cette Coordination si spéciale remontent aux années '90 du siècle dernier, lorsque la Conférence épiscopale des Etats-Unis travaillait en collaboration très étroite avec l'Eglise en Terre Sainte pour aborder les thèmes concernant le futur de Jérusalem.

En 1997, la Conférence épiscopale des Etats-Unis demanda aux Conférences épiscopales européennes de partager son engagement visant à soutenir l'Eglise en Terre Sainte. C'est ainsi qu'est née la Coordination qui, depuis 1998, rend chaque année une visite de solidarité. Actuellement, le secrétariat de la Coordination est confié à David Ryall de la Conférence épiscopale d'Angleterre et du Pays de Galles.

Parmi les 28 participants, cette année les évêques suivants prendront part à la Coordination pour la Terre Sainte:

Archevêque Richard Smith – Canada

Archevêque Joan-Enric Vives – Espagne

Evêque Gerald Kicanas – USA

Evêque Stephan Ackermann – Allemagne

Evêque Michel Dubost – France

Evêque William Kenney – Angleterre et Pays de Galles

Evêque Peter Bürcher – Islande

Evêque Declan Lang – Angleterre et Pays de Galles

Joumblatt annonce depuis Bkerké la fin des empiétements sur les terres des chrétiens à Brih | À La Une | L'Orient-Le Jour


Joumblatt annonce depuis Bkerké la fin des empiétements sur les terres des chrétiens à Brih - L'Orient-Le Jour- 4/1/2013

Le chef du Parti socialiste progressiste (PSP) Walid Joumblatt a rencontré vendredi le patriarche maronite Béchara Raï à Bkerké dans le cadre de la réconciliation entre druzes et maronites au Liban.

"Lorsque le patriarche Raï nous a rendu visite dans le Chouf l'été dernier, nous lui avons promis de cicatriser les blessures de la guerre de la Montagne (entre druzes et maronites, ndlr). Hier, les habitants du village de Brih (dans le Chouf) ont pris l'initiative de mettre fin à toutes les violations concernant les terres appartenant à des chrétiens. De cette façon, nous cicatrisons toutes les plaies de cette guerre", a affirmé M. Joumblatt.
Et d'ajouter : "Nous allons organiser une cérémonie officielle pour annoncer la réconciliation en présence du président de la République Michel Sleiman et du patriarche Raï".
"Nous espérons que toutes les parties libanaises comprennent que le dialogue et le rapprochement sont inévitables", a-t-il encore dit.

Peu après cette annonce, la chaîne de télévision LBC rapportait toutefois que l'ambiance était tendue à Brih, certains résidents druzes refusant la démolition d'une des maisons du village.

Le 10 septembre dernier, Mgr Raï s'était rendu dans le Chouf où il avait rencontré M. Joumblatt à Moukhtara, dans le cadre du "parachèvement de la réconciliation de la Montagne".

Il s'agissait de la deuxième visite du patriarche au Chouf environ 11 ans après la tournée que son prédécesseur, le cardinal Nasrallah Sfeir, avait effectuée dans cette région, les 3 et 4 août 2001, pour y sceller la réconciliation nationale avec le chef du PSP.

La Montagne avait été le théâtre de conflits inter-communautaires entre druzes et chrétiens durant la guerre civile libanaise (1975-1990).

http://www.lorientlejour.com/category/%C3%80+La+Une/article/794793/Joumblatt_annonce_depuis_Bkerke_la_fin_des_empietements_sur_les_terres_des_chretiens_a_Brih.html

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