Arabes du Christ
" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
mercredi 17 octobre 2012
لقاء بطاركة الشرق الكاثوليك مع قداسة البابا في روما
روما، الاثنين 15 أكتوبر 2012 (ZENIT.org). – عند الساعة العاشرة والنصف من قبل ظهر اليوم الاثنين 15 تشرين الثاني 2012، استقبل قداسة الحبر الاعظم البابا بندكتوس السادس عشر وفد مجلس بطاركة الشرق الكاثوليك برئاسة غبطة البطريرك مار بشارة بطرس الراعي، يرافقه اصحاب الغبطة البطاركة غريغوريوس الثالث لحام، يوسف الثالث يونان، نرسيس بيدروس التاسع عشر، والمطران كيرللس وليم ممثلاً البطريرك انطونيوس نجيب، والمطران لويس ساكو ممثلاً البطريرك دللي، وذلك لشكر قداسته على زيارة لبنان في شهر ايلول الماضي وعلى اعلان الارشاد الرسولي الى الشرق الاوسط.
بعد اللقاء اوضح البطريرك الراعي ان قداسة البابا بادر الى شكر كل اللبنانيين مسيحيين ومسلمين وعلى رأسهم فخامة رئيس الجمهورية، مقدرًا جهوده الكبيرة من اجل تحضير هذه الزيارة مع كل السلطات المدنية والروحية والعسكرية، مستذكرًا محطات الزيارة التي تركت في نفسه اطيب الاثر. واضاف غبطته: لقد عبّر الحبر الاعظم عن فرحه الكبير بالزيارة، ولم يخف دهشته مما رآه في لبنان من محبة وحرارة ودينامية على الرغم مما يعانيه هذا الشعب من صعوبات ومشاكل. وتوقف قداسته بشكل خاص عند لقاء الشبيبة في بكركي وقال: "ان الشباب هم مستقبل لبنان وقد قرأت هذا المستقبل في كل ما قدّموه خلال اللقاء"، وعن القداس في وسط بيروت عبّر البابا عن تقديره لكل اللبنانيين، وقال: "بالرغم من كل صعوباته يبقى الشعب اللبناني أكبر من مشاكله، ولقد رأيت في استقبال هذا الشعب الحار والمحبّ ما يجعلني اطمئن ان اللبنانيين قادرون دائمًا على ايجاد حلول لمشاكلهم."
بعد ذلك جرى حوار تحدّث فيه كل بطريرك بدوره معبرًا عن شكره لقداسة البابا الذي بادل بالدعاء مشددًا على حضور الكنيسة واهميته في الشرق الاوسط ومؤكدًا انه يحمل كل الشرق في قلبه وتمنياته وصلاته.
من جهته عبّر البطريرك الراعي لقداسة البابا عن محبة كل اللبنانيين مسلمين ومسيحيين ناقلاً اليه تطلعات وتمنيات ورغبات المرجعيات الروحية الاسلامية والمسيحية التي عبّرت عنها خلال القمة الروحية الاخيرة في بكركي، كما وضع قداسته في اجواء مؤتمر بطاركة واساقفة الشرق الكاثوليك الذي سيعقد في شهر كانون الاول المقبل والذي سوف يخصّص لدراسة تطبيق الارشاد الرسولي طالبًا صلاة قداسته من أجل نجاح اعمال هذا المؤتمر.
Fwd: [ZF121017] Le monde vu de Rome
Réaction de l'archevêque d'Alep des Arméniens catholiques
ROME, mercredi 17 octobre 2012 (ZENIT.org) – Pour l'archevêque d'Alep des Arméniens catholiques, la prochaine visite d'une Délégation du synode constitue un « motif d'espérance pour les chrétiens et pour tous les habitants de la Syrie », indique l'agence vaticane Fides qui a recueilli ses réactions.
« La nouvelle qu'une délégation du synode des évêques en cours à Rome viendra en Syrie est un motif d'espérance pour les chrétiens et pour tous les habitants de la Syrie », estime Mgr Boutros Marayati.
« Nous souhaitons tous que la visite prenne la forme d'une véritable mission de paix, pour demander la réconciliation entre les parties qui se combattent », précise-t-il.
« Dans la ville martyre, depuis des mois au centre des bombardements et des affrontements entre l'armée syrienne et les milices rebelles, l'éventualité de la visite d'une Délégation composée de cardinaux et d'évêques venant de Rome représente déjà en soi un puissant signal », commente Fides.
« La visite annoncée fait comprendre, explique Mgr Marayati, combien le Saint-Siège et les Evêques du monde ont à coeur le sort de tous les peuples du Moyen-Orient. Il serait beau qu'ils viennent à Alep. Nous les attendons. S'ils viennent nous trouver, nous en serons heureux ».
Selon le chef de la communauté arménienne catholique d'Alep, cette mission des pasteurs catholiques en Syrie peut de manière réaliste ouvrir une voie inédite à la résolution du conflit syrien, en vertu de son profil et évoque l'exemple de la réconciliation des nations européennes au lendemain de la seconde guerre mondiale: « Jusqu'à présent, dit-il, on a enregistré des pertes terribles pour tous. Morts, destructions, déplacés, vies en fuite. L'histoire nous apprend que parfois les ennemis peuvent trouver une entente et se réconcilier avec le temps. En Europe, les peuples se sont faits la guerre et maintenant, ils sont amis et collaborent dans la paix. Mais ceci requiert un intermédiaire qui sache parler également au coeur blessé des personnes et non pas en utilisant seulement le langage du calcul politique ».
« La Délégation du Synode peut avoir cette fonction diplomatique, au sens humain, estime l'archevêque. En témoignant de la passion pour la dignité humaine partagée par les musulmans, les juifs et les chrétiens, nous pouvons essayer de sauver les hommes, les femmes e t les enfants qui souffrent et attendent le salut dans une situation qui semble être dans l'impasse ».
En ce qui concerne les motifs qui alimentent le conflit, Mgr Boutros Marayati invite à éviter les lectures superficielles et trompeuses : « Les Evêques connaissent bien la situation. Désormais, il n'est plus seulement question de réformes démocratiques demandées ou entravées. Dans cette situation désastreuse, tout s'est introduit. La situation est compliquée et, entre autres choses, ce qui préoccupe, est l'émergence du fanatisme religieux. Lorsque la religion devient violente et que l'on combat au nom de Dieu, l'entente avec nos frères des autres religions que nous avons partagé ici pendant longtemps est mise en danger. J'attends également pour cela avec espoir l'arrivée ici, en Syrie, des cardinaux et des évêques venant de Rome. Tout ce qui bouge en faveur du peuple syrien sera béni par le Seigneur d'où que cela vienne ».
mardi 16 octobre 2012
Les patriarches orientaux, conduits par Raï, reçus par Benoît XVI
Envoyé de mon iPad jtk
jeudi 11 octobre 2012
Dossier de l'Orient -le jour sur la visite papale au Liban
Et sur le site du Vatican:
http://www.eglise.catholique.fr/actualites-et-evenements/dossiers/benoit-xvi-au-liban/
mercredi 10 octobre 2012
Fwd: [ZF121010] Le monde vu de Rome
« Le pape prie pour toutes les personnes de langue arabe »
Une première à l'audience du mercredi
ROME, mercredi 10 octobre 2012 (ZENIT.org) – Pour la première fois lors d'une audience générale, Benoît XVI a salué les chrétiens de langue arabe, comme annoncé par Mgr Rino Fisichella lors d'une rencontre avec la presse, le 9 octobre.
Le message du pape en arabe était : « Le pape prie pour toutes les personnes de langue arabe. Dieu vous bénisse tous ».
Cette initiative d'intégrer l'arabe dans les langues qui accueillent les pèlerins présents aux audience hebdomadaires s'inscrit dans el sillage du synode pour le Moyen-Orient et du voyage de Benoît XVI au Liban (14-16 septembre 2012).
Elle exprime la sollicitude du pape pour les chrétiens de langue arabe, a souligné le P. Federico Lombardi, le 9 octobre.
Auparavant, le pape utilisait l'arabe seulement pour les messages de Noël et de Pâques.
Pour le texte des catéchèses de Benoît XVI en arabe, les angélus, et autres documents, on peut consulter le site de Zenit dans cette langue.
L'Eglise maronite en France
Envoyé de mon iPad jtk
Intervenir ou non en Syrie? Reponse usa
OLJ-10-10-2012
Par Harold Brown, ancien secrétaire à la Défense sous la présidence de Jimmy Carter | 10/10/2012
Plus que tout autre événement du printemps arabe, les troubles en Syrie présentent de grandes difficultés pour les décideurs politiques occidentaux.
La Syrie, dont la société est plus complexe que celle des autres pays arabes qui font l'expérience d'une transition politique, a également des relations extérieures plus complexes.
Toute tentative d'intervention militaire décisive serait donc non seulement difficile, mais également très risquée.
Le rôle prépondérant de la Syrie au Liban, même après le retrait de ses forces d'occupation, n'est que l'un de ces facteurs. Un autre est que le pouvoir est détenu par une minorité alaouite, dans un pays à majorité sunnite, ce qui en fait un intermédiaire de l'Iran chiite dans le monde arabe sunnite.
D'autres groupes minoritaires syriens – les chiites non alaouites, les chrétiens orthodoxes et catholiques, et les druzes – sont liés aux pays voisins et aux acteurs régionaux, donnant lieu à des jeux d'intérêtes externes intenses, voire à un soutien actif.
La Turquie, l'Arabie saoudite et la Russie ont des intérêts stratégiques et des connexions avec les diverses factions syriennes.
Les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN préféreraient bien sûr voir émerger en Syrie un régime démocratique, favorable à l'Occident.
Mais compte tenu de la complexité de la société syrienne et de ses relations extérieures, les pays occidentaux devraient être prêts à accepter un régime stable qui ne soit pas contrôlé par la Russie ou l'Iran, ou engagé dans un conflit avec ses voisins, dont Israël.
Quelle serait donc la meilleure politique à suivre pour les États-Unis et les pays occidentaux ?
Une fin négociée à la guerre civile actuelle pourrait laisser le régime de Bachar el-Assad en place, avec une autre personne à sa tête.
Une telle issue représenterait toutefois le triomphe de la dictature, de la négation des droits humains, et une victoire de l'Iran et de la Russie.
Elle devient également de moins en moins plausible au fur et à mesure que les violences s'intensifient. L'alternative est de soutenir les rebelles, mais lesquels et comment ?
Un autre facteur s'opposant à une intervention est que les États-Unis ne disposent plus que d'une influence et d'informations limitées à la suite de la redistribution du pouvoir induite par le printemps arabe.
Les États-Unis et les pays occidentaux ne peuvent pourtant pas laisser cette question entièrement aux mains de tierces parties ou limiter leurs efforts au cadre des Nations unies, où la Russie et la Chine peuvent bloquer toute action effective.
Que faire? À mon avis, les États-Unis pourraient coopérer avec la Turquie, l'Arabie saoudite (en prenant soin de ne pas soutenir les extrémistes islamiques) et leurs alliés de l'OTAN, en particulier la France et la Grande-Bretagne, pour créer un gouvernement de succession en Syrie, et armer sa composante militaire.
Ce gouvernement devrait être représentatif et cohérent. Et les pouvoirs occidentaux devraient être sûrs que les armes fournies ne tombent pas aux mains d'ennemis potentiels.
Le fait que l'Iran arme le régime d'Assad plaide en faveur de mesures compensatoires.
Un rôle militaire plus actif des États-Unis, dont l'application d'une zone d'exclusion aérienne, a été évoqué et est une éventualité qui n'est pas à exclure. Mais les Britanniques et les Français, qui avaient défendu cette approche en Libye, n'ont rien proposé de la sorte pour la Syrie.
L'une des raisons est que la Syrie dispose d'un système de défense aérienne performant qui devrait être anéanti par une campagne de bombardements qui feraient de nombreuses victimes civiles et pourraient entraîner la perte d'avions et d'équipages.
Avant de suivre cette voie, les États-Unis devraient être certains qu'une intervention militaire ne les obligerait pas à stationner des troupes en Syrie.
Ils devraient également être certains de la nature du gouvernement de succession (ce qui est impossible à ce stade).
Pour répondre à ces critères, il serait nécessaire de réunir les parties intéressées pour mieux comprendre les implications internes et régionales d'une intervention militaire en Syrie.
L'attention portée à la question syrienne lors du récent sommet des non-alignés à Téhéran n'a été qu'une parodie de cette approche.
Organiser une telle conférence est plus facile à dire qu'à faire. Rien que finaliser la liste des participants serait un succès diplomatique majeur.
La Turquie, l'Égypte, l'Arabie saoudite et l'Irak devraient bien sûr être invités. Mais négliger un pays voisin comme Israël, un pays client de la Syrie comme le Liban et un pays protecteur comme l'Iran serait bizarre – et les inviter tous serait une invitation au chaos.
La rébellion en Syrie, le plus violent des soulèvements populaires du printemps arabe, n'en finit pas et fait toujours plus de victimes. Les dizaines de milliers de morts depuis le début de la rébellion il y a un an et demi peuvent correspondre au nombre de personnes tuées à Hama en 1982 en quelques jours par le père du président actuel, Hafez el-Assad.
Sa politique de la terre brûlée, qui lui a permis de raffermir son emprise sur le pouvoir, n'a pourtant donné lieu qu'à des condamnations rhétoriques de la part de la communauté internationale.
Les répercussions de la chute du régime, qui interviendra tôt ou tard, n'en seront que plus dévastatrices. Les Assad, comme les autres dirigeants autoritaires arabes, ont réprimé les violences internes et les aspirations de leurs citoyens. Mais l'extrême complexité des forces en jeu en Syrie signifie que la chute du régime pourrait déboucher sur une transition très différente de celles qu'ont connues d'autres pays durant le printemps arabe, à la fois au plan intérieur et au plan de ses répercussions dans la région.
Les diplomates font carrière en trouvant des solutions procédurales à des dilemmes insolubles ; il existe sûrement, espèrent-ils, une table de négociation qui se conforme à une configuration stratégique donnée. Jusqu'à présent, les États-Unis ont su faire face aux diverses transitions politiques du printemps arabe sans maladresses préjudiciables. La Syrie présente clairement le défi le plus sérieux à ce jour.
© Project Syndicate, 2012. Traduit de l'anglais par Julia Gallin.
Envoyé de mon iPad jtk
mardi 9 octobre 2012
هل تواجه الدامور خطر التهجير الثاني ? la ville de Damour fait-elle l'objet d'un deuxieme exode forcé
Envoyé de mon iPad jtk
dimanche 7 octobre 2012
Fwd: Alerte Google - patriarche maronite
Objet: Alerte Google - patriarche maronite
Actualités 1 nouveau résultat pour patriarche maronite Mgr Maroun Nasser Gemayel, premier évêque maronite en France
L'Orient-Le Jour
La messe a été présidée par Mgr Camille Zeidan, évêque maronite d'Antélias, représentant SB le patriarche Béchara Boutros Raï, avec la participation de Mgr Samir Mazloum, visiteur apostolique émérite, et de Mgr Saïd Saïd, et en présence de six évêques ...
Afficher tous les articles sur ce sujet »
samedi 6 octobre 2012
Raï arrivé à Rome : « Nous sommes tous responsables »
Raï arrivé à Rome : « Nous sommes tous responsables »...
Le patriarche Raï s'est ensuite rendu à l'église Saint-Maron de l'école maronite, où il a été reçu par nombre d'ecclésiastiques et de Libanais vivant à Rome. Après la prière de remerciement, Mgr Raï s'est attardé sur la visite du pape à Beyrouth, « qui aura valorisé la vérité du Liban-message et sa place de marque parmi tous les pays ». « Nous sommes tous responsables de la protection de la période actuelle, étant donné l'importance de notre message et la multitude des défis », a-t-il affirmé.
Envoyé de mon iPad jtk
vendredi 5 octobre 2012
Mgr Maroun Nasser Gemayel, premier évêque maronite en France
04/10/201
Une foule nombreuse était présente à la cathédrale Notre-Dame du Liban.
COMMUNAUTÉS PARIS, spécial « L'Orient-Le Jour »
L'Église maronite a célébré avec faste, dimanche, l'événement historique de la création d'une éparchie en France. L'installation du premier évêque maronite de l'éparchie N-D du Liban à Paris, Mgr Maroun Nasser Gemayel (également nommé visiteur apostolique des maronites en Europe occidentale et septentrionale), a eu lieu au cours d'une messe solennelle à laquelle ont assisté l'ambassadeur du Liban, M. Boutros Assaker, entouré du personnel de notre chancellerie à Paris, l'ambassadeur de la Ligue arabe, M. Nassif Hitti, les députés-maires des 5e, 6e et 15e arrondissements de Paris (M. Jean-Philippe Goujon), le conseiller du ministère de l'Intérieur pour les affaires religieuses, M. Roland Dubertrand, dans une église pleine à craquer.
La messe a été présidée par Mgr Camille Zeidan, évêque maronite d'Antélias, représentant SB le patriarche Béchara Boutros Raï, avec la participation de Mgr Samir Mazloum, visiteur apostolique émérite, et de Mgr Saïd Saïd, et en présence de six évêques dont ceux de Beyrouth, de Damas et du Batroun. Présence également aux côtés des prélats libanais d'un représentant du nonce apostolique en France, du vicaire général de l'ordinariat pour les catholiques de rite oriental en France, Mgr Claude Bressolette, des évêques grec-orthodoxe et grec-catholique de Paris, du directeur de L'Œuvre d'Orient, le RP Pascal Gollnisch, du vice-recteur de l'USEK et d'un grand nombre de prêtres.
Siégeant à côté du nouvel évêque, Mgr Antoine Chahine a été lui aussi installé en tant que nouveau vicaire patriarcal après avoir été en charge, pendant vingt ans, de la paroisse N-D du Liban et du Foyer franco-libanais à Marseille, et des paroisses de la Côte d'Azur.
Ce fut une messe somptueuse chantée par la chorale de N-D du Liban avec la participation de sœur Marie Keyrouz qui a interprété de sa voix sublime les plus beaux chants de la liturgie maronite.
Avant les discours qui ont précédé la messe, lecture a été donnée de la bulle pontificale de Benoît XVI, instituant l'éparchie maronite en France et en Europe occidentale, évoquant les qualités et mérites de Mgr Gemayel.
Un message du patriarche maronite devait être lu ensuite par Mgr Camille Zeidan, faisant l'historique de la création de N-D du Liban à Paris et rappelant qu'auparavant, la chapelle du palais du Luxembourg avait été mise à la disposition de cette communauté aussitôt que le gouvernement français l'a reconnue en 1892.
Le patriarche a rappelé l'action des prédécesseurs de Mgr Saïd à la tête de N-D du Liban et a exprimé la joie de l'Église maronite de voir aboutir son action persévérante auprès des maronites de France, dans le cadre de l'amitié séculaire qui relie l'Église maronite au gouvernement français. Il a remercié Mgr Saïd pour ses efforts déployés pendant douze ans au Foyer franco-libanais et à la paroisse de N-D du Liban.
Mgr Mazloum devait ensuite prendre la parole pour présenter son action en tant que vicaire apostolique en Europe et rendre hommage aux vicaires patriarcaux qui se sont succédé à N-D du Liban.
« Je vois dans la création d'une éparchie maronite en France, a dit Mgr Mazloum, la réalisation de la vision prophétique du grand patriarche Élias Hoyek qui, à peine nommé vicaire patriarcal en 1880, a commencé à négocier avec le Saint-Siège la construction du Collège maronite à Rome et, avec le gouvernement français, la mise à la disposition du patriarcat d'un lieu de culte où les familles maronites installées à Paris ont pu pratiquer leur foi selon leur liturgie propre. »
Enfin, Mgr Gemayel a pris la parole, au cours de l'homélie, pour expliciter la devise qu'il s'est choisie : « Authenticité et mission », visant à poursuivre le rassemblement des maronites de France et leur participation au développement de leur pays d'accueil. Mgr Gemayel a exprimé son intention d'être à l'écoute des maronites de France et à leur service, de leur rendre visite pour mieux les connaître, soulignant en même temps l'importance de préserver le patrimoine maronite basé sur les valeurs de la famille, de la culture, de l'ouverture aux autres.
Mge Gemayel a ajouté : « Avec la fondation de l'éparchie maronite de N-D de Paris, la relation séculaire de l'Église maronite et de l'Église de France, et, du fait même, de l'État français prend une nouvelle envergure puisqu'elle s'articule sur un moment historique, dans lequel nos deux Églises affrontent des défis multiples, portant malgré tout la même foi, fondée sur le même rocher qui est Jésus-Christ. »
Au cours de la messe, Mgr Camille Zeidan devait remettre au nouvel évêque la crosse épiscopale, au nom du patriarche maronite.
Envoyé de mon iPad jtk
Instrumetum laboris pour reunir les maronites- anahar - 5/10/2012
جريدة النهار- le patriarche maronite- de Budapest a Paris
Envoyé de mon iPad jtk
جريدة النهارannahar , synode antiochien cloture de la 49 eme session
Envoyé de mon iPad jtk
jeudi 4 octobre 2012
Fin de la double visite officielle et pastorale de Raï en Hongrie | Politique Liban | L'Orient-Le Jour
Envoyé de mon iPad jtk
ZENIT - Syrie : appel en faveur du patrimoine culturel et religieux
SYRIE : APPEL EN FAVEUR DU PATRIMOINE CULTUREL ET RELIGIEUX
Les chrétiens en appellent à l'Unesco et à la communauté internationale
ROME, 2 octobre 2012 (ZENIT.org) – Avec un appel pressant à exclure du conflit les civils innocents, les Eglises chrétiennes de Syrie lancent un nouveau message en faveur du patrimoine culturel du pays. Un appel relayé à Rome par l'agence vaticane Fides.
« Nous unissons nos voix à celles des institutions internationales pour la sauvegarde du patrimoine mondial de l'humanité et des trésors culturels de la Syrie. Il faut urgemment sauver le patrimoine religieux, historique et culturel du pays ! », indique cet appel lancé au lendemain de la destruction du fameux souk d'Alep.
Les responsables chrétiens de toutes les confessions et communautés ont adressé cet appel à l'UNESCO ainsi qu'à la Congrégation pour les Eglises orientales et au Conseil pontifical de la culture.
« Les combats ont frappé des zones culturellement importantes telles que Palmyre, Apamée, des centres villes d'antiques cités, des musées, et mettent en danger ces biens précieux », dit la déclaration.
Ils protestent contre l'utilisation « des édifices religieux (synagogues, églises, mosquées, monastères et sanctuaires) » qui « continuent à être utilisés à des fins militaires, ce qui provoque leur progressive destruction ».
Les évêques, souligne Fides, mettent en garde contre ceux qui « profitent de la situation de chaos pour saccager ou vandaliser des édifices historiques ».
« Nous supplions les belligérants, conclut le message, d'épargner les zones protégées et de pas les utiliser à des fins militaires. Nous prions afin que le conflit syrien soit résolu dans la sagesse et la justice au travers de la réconciliation ».
Fwd: ZA120927
زيارة بندكتس السادس عشر إلى لبنان
استقبال "طريق الموعوظين الجديد" لقداسة البابا في لبنان
زيارة البابا للبنان: وجهة نظر أرثوذكسية وسورية (2)
Fwd: Alerte Google - Liban
> L'Orient-Le Jour
> Selon le rapport hebdomadaire du Haut Comité pour les Nations unies (HCR),
> 56 947 refugiés syriens au Liban sont enregistrés auprès de
> l'organisation onusienne et 23 535 nouveaux demandent à être aidés. «
> L'entrée au Liban présente encore beaucoup ...
> <http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/781134/80+400_refugies_syriens_au_Liban__a_ce_jour.html>
> Afficher tous les articles sur ce sujet:
> <http://news.google.fr/news/story?ncl=http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/781134/80%2B400_refugies_syriens_au_Liban__a_ce_jour.html&hl=fr&geo=fr>