Date: 26 novembre 2015 16:02:20 UTC+2
Objet: patriarche maronite
La Fondation maronite dans le monde exhorte les émigrés à réclamer la nationalité libanaise Raï reçu par le président du Mexique Le patriarche maronite d'Antioche .... sur l'Islam
" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
Date: 26 novembre 2015 16:02:20 UTC+2
Objet: patriarche maronite
La Fondation maronite dans le monde exhorte les émigrés à réclamer la nationalité libanaise Raï reçu par le président du Mexique Le patriarche maronite d'Antioche .... sur l'Islam
Cette visite au Liban est « une première œcuménique qui ne devrait pas être la dernière », ont souligné Mgr Markus Büchel, évêque de Saint-Gall, et le pasteur Gottfried Locher, à la tête de délégations catholique et protestante, au cours d'une conférence de presse qui s'est tenue le 26 novembre à Beyrouth.
Ce voyage à la découverte de la pluralité sociale et religieuse du Liban – qui comprenait notamment des rencontres avec les chefs des différentes communautés religieuses chrétiennes, sunnite, druze et chiite – a permis également aux représentants des deux principales confessions chrétiennes de Suisse de toucher de près la réalité tragique des réfugiés.
« Les leaders chrétiens libanais également ont souhaité que les Européens soient plus vigilants en accueillant en masse les réfugiés musulmans en provenance de Syrie ou d'Irak, en procédant aux contrôles de sécurité requis », ont indiqué les responsables de la délégation œcuménique, alors que cette question fait débat en Europe. Ils mettent en garde contre « l'infiltration d'éléments djihadistes, comme c'est déjà le cas au Liban, en particulier dans la région d'Ersal, dans la Békaa Nord, à la frontière syrienne, ou dans la ville de Tripoli ».
La délégation, composée de huit personnes, a rendu visite à des projets d'œuvres d'entraide catholiques et réformées, comme une école évangélique arménienne à Beyrouth, qui accueille des enfants syriens réfugiés, grâce au soutien de l'œuvre d'entraide protestante « Action Chrétienne en Orient » (ACO). Elle s'est également rendue à Zahlé, dans la plaine de la Bekaa, où l'Église grecque-catholique melkite locale accompagne des familles de réfugiés avec le soutien de l'œuvre d'entraide catholique « Aide à l'Église en détresse » (AED).
Plaidant dans sa déclaration commune sur la liberté de religion et le pluralisme religieux, condition de la paix, la délégation œcuménique a souligné qu'« aucune véritable société humaine ne peut se construire sans respect de la liberté d'exercer sa foi et sa religion, individuellement ou en communauté ».
« C'est pourquoi la liberté religieuse est une ressource indispensable pour l'avenir d'une société multiculturelle, que ce soit en Suisse, en Europe, en Orient ou ailleurs dans le monde », peut-on ainsi lire dans le document commun signé par le pasteur Gottfried Locher et Mgr Markus Büchel.
M.M avec ApicCette visite, la première de la part du chef de l'Église égyptienne dans la Ville sainte depuis des décennies, a été qualifiée « d'exceptionnelle » par son porte-parole.
C'est la première fois depuis des décennies qu'un patriarche copte se rend à Jérusalem. Le pape Tawadros II, leader de l'Église copte, effectue avec sa délégation une visite de quelques jours, au cours de laquelle il présidera, le 28 novembre, les funérailles d'Anba Abraham, archevêque métropolitain de Jérusalem mort quatre jours plus tôt.
Après les accords de Camp David en 1978, le pape Chenouda III, décédé en 2012 après avoir dirigé l'Église copte orthodoxe durant près de 40 ans, avait prononcé une interdiction pour les fidèles égyptiens de se rendre en Terre Sainte. Mais il se pourrait que le dernier pape copte à s'y être rendu soit Peter VII, qui visita Jérusalem en 1832, il y a presque deux siècles, à l'invitation d'Ibrahim Pasha, Grand vizir de l'empire ottoman.
Le pape copte Tawadros II « se rendra à Jérusalem pour les funérailles et rien d'autre », a toutefois tenu souligné le porte-parole, qualifiant cette visite « d'exceptionnelle » et écartant d'emblée toute implication politique. « La position de l'Église demeure inchangée », a-t-il ajouté.
Cette mesure du pape Chenouda III avait pour objectif de s'aligner sur les fatwas au contenu similaire édictées par les musulmans pour empêcher la visite des Égyptiens dans la Ville sainte, « tant que la Palestine ne serait pas libérée de l'occupation israélienne », et ce malgré la signature de la paix entre l'Égypte et Israël. Outre ces exigences religieuses, les autorités égyptiennes ne délivrent que difficilement des autorisations de sortie du territoire à ceux qui souhaiteraient se rendre en Israël.
Mais en dépit de ces interdictions et restrictions, plusieurs milliers de pèlerins coptes se rendent chaque année à Jérusalem, notamment à l'occasion de la fête de Pâques, période où les visas sont accordés plus facilement.
« Il est probable que ce patriarche soit plus ouvert sur cette question, mais il doit composer avec d'autres, estime-t-on à Jérusalem, peut-être que les choses vont lentement évoluer ».
Plus tôt dans le mois, le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, avait rendu visite au patriarche dans sa résidence au Caire. La cause palestinienne reste « en tête » des priorités arabes, lui avait alors rappelé Tawadros II, soulignant que le « dialogue » était le meilleur moyen d'arriver à une résolution du conflit. Le président avait invité le pape copte à visiter Jérusalem, un « grand pas en soutien au peuple palestinien ».
La visite de Tawadros II n'est pas sans rappeler celle du cardinal Béchara Raï, patriarche de l'Église maronite, qui avait effectué une visite de quelques jours en Terre Sainte à l'occasion du voyage du pape François, en mai 2014. Il en avait profité pour aller à la rencontre des maronites locaux, devenant le premier leader religieux libanais à se rendre en Israël.
Cette démarche avait été très critiquée par certains au Liban, qui l'avaient accusé de « normaliser les relations avec l'État hébreu ». Le patriarche s'était toutefois gardé de toute rencontre officielle avec des représentants israéliens.
Marie Malzac (avec AFP)Le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, en visite depuis jeudi à Mexico à l'occasion de la tenue du 4e Congrès des archevêchés maronites dans la capitale mexicaine, a appelé à l'aménagement de secteurs sûrs pour héberger les réfugiés syriens sur « les terres vastes de la Syrie ».
Le patriarche s'est exprimé alors qu'il présidait l'ouverture du 4e Congrès des archevêchés et des ordres des moines maronites des pays de la diaspora, qui se prolongera jusqu'à demain mercredi. Il a soulevé à cette occasion la question de l'afflux des réfugiés syriens « auxquels s'ajoutent 500 000 réfugiés palestiniens, soit 2 millions d'étrangers, l'équivalent de la moitié de la population libanaise », a-t-il relevé. Déplorant les retombées politiques, économiques, sécuritaires et sociales qui en découlent, Mgr Raï s'est demandé « pourquoi le Liban doit supporter le poids de ces guerres orchestrées par les "grands" qui satisfont ainsi leurs intérêts politiques, économiques et stratégiques ».
Le patriarche maronite a également évoqué la menace qui pèse sur le principe du respect des religions, illustré « à travers les lois libanaises du statut personnel ». Il a exprimé dans le même ordre d'idées son appréhension face au danger qui pèse sur « la participation égalitaire et l'équilibre islamo-chrétien au niveau du pouvoir et de l'administration », affirmant que le Liban-message est un havre « de rencontre et de dialogue entre toutes les religions, les cultures et les civilisations ». Le prélat a estimé que la menace provient des conflits en Syrie, en Irak et au Yémen, pays « où sévissent les divisions entre sunnites et chiites, et entre modérés et terroristes », indiquant que « ce sont ces clivages, reflétés au Liban, qui ont provoqué le vide présidentiel et le blocage institutionnel au niveau du Parlement et du gouvernement ».
« Nous resterons en Orient »
Le patriarche maronite a par ailleurs célébré, samedi soir, une messe à la cathédrale maronite Notre-Dame de Valvanera au centre de Mexico, en présence du consul du Liban, Rudy Azzi, et d'un grand nombre de Libanais de la diaspora. Dans son homélie, il a assuré qu'« en dépit de toutes les guerres et de toutes les intimidations terroristes, nous resterons en Orient ».
Dimanche, au Club libanais de Mexico, le patriarche maronite a également dit une messe au cours de laquelle il a exprimé sa « tristesse » et son « sentiment de honte » à l'égard d'« une célébration de l'indépendance, pour la 2e année consécutive, sans président de la République ».
Dans son homélie, Mgr Raï a déploré cette lacune institutionnelle, ainsi que le blocage des actions du Parlement et du gouvernement. Il n'a pas manqué en outre de dénoncer la propagation de la corruption dans les administrations publiques, déplorant dans la foulée « la crise économique oppressante, la multiplication des cas de pauvreté, l'accroissement de la dette publique et l'accroissement de l'émigration ». « Il s'est de nouveau penché sur la présence d'un million et demi de réfugiés syriens », exhortant la communauté internationale et arabe à « faire cesser la guerre en Syrie, en Irak, au Yémen et en Palestine, pour que tous les déplacés, réfugiés et otages retournent dans leurs pays et récupèrent leurs maisons et leurs biens ».
Le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, prend aujourd'hui l'avion pour le Mexique, où il doit présider la 4e conférence des évêques et supérieurs généraux de la diaspora. Une délégation de la Fondation maronite dans le monde sera également du voyage. Composée de Rose Choueiri, Rita Ghosn et Hyam Boustany, ainsi que de MM. Fadi Romanos et Youssef Doueyhi, la délégation s'absentera du Liban du 19 au 27 novembre.
À Mexico, la Fondation maronite dans le monde inaugurera l'un de ses principaux bureaux du sous-continent, au cours d'une cérémonie prévue pour l'anniversaire de l'indépendance, le 22 novembre. Elle s'efforcera aussi d'établir les contacts nécessaires à la formation de permanences dans les grandes villes du Mexique où sont concentrés les descendants des émigrés maronites. Avec la chancellerie libanaise à Mexico, la Fondation mettra en route la préparation des dossiers requis pour le recouvrement de la nationalité libanaise, selon les dispositions de la nouvelle loi que vient de voter le Parlement, en date du 12 novembre.
Cette loi, rappelle-t-on, donne droit à la nationalité libanaise aux descendants de Libanais dont les noms figurent, comme résidents ou émigrés, sur les registres de l'état-civil établis après la proclamation du Grand Liban (1920) et avant la date de l'indépendance, en 1943.
Le Caire (Agence Fides) – Koogi TV : tel est le nom de la chaîne dédiée aux enfants inaugurée hier, 19 novembre, voulue par l'Eglise copte orthodoxe. Au cours de la présentation, les porte-parole de l'Eglise copte orthodoxe ont indiqué que les programmes de la nouvelle chaîne viseront à favoriser et à soutenir les parcours éducatifs pour l'enfance, apportant un soin particulier à favoriser les liens familiaux, l'altruisme, le patriotisme et la consolidation de la foi. La nouvelle chaîne a été lancée après avoir reçu l'autorisation du Conseil national de l'Information. (GV) (Agence Fides 20/11/2015)
Le site de L'Oeuvre d'Orient a publié un certain nombre de messages de la part de responsables de communautés catholiques orientales. Ces derniers se sont exprimés à la suite des attentats parisiens du 13 novembre 2015. Nous mesurons la sollicitude et le soutien de ces responsables dont les fidèles ont parfois été confrontés au terrorisme et aux exactions des mouvements islamistes. Nous reproduisons le message du patriarche Grégoire III Laham:
Le monde entier a été foudroyé en assistant à ce déferlement criminel barbare qui s'est abattu hier sur Paris et sa proche banlieue. Et c'est avec une émotion profonde que nous avons appris cette indicible horreur.
Une fois de plus nous voilà dans la spirale de cette violence aveugle qui semble aspirer notre monde, et tout particulièrement le monde arabe depuis 5 ans, nous rappelant les paroles de Saint Paul : « Car le mystère d'iniquité s'opère déjà… » dans ce monde éloigné de Dieu alors que résonnent en nous celles de Notre-Seigneur Jésus-Christ : « … si vous ne vous repentez pas, vous périrez tous de même » Luc, 13,3.
Nous nous joignons avec notre Saint-Synode, avec nos éparchies et nos paroisses de France, Saint-Julien-le-Pauvre à Paris, Saint-Nicolas de Myre à Marseille et nos moniales d'Aubazine en Corrèze à la prière des Eglises de France et appelons à faire célébrer la Divine Liturgie dans toutes nos paroisses grecques-melkites catholiques aux intentions des victimes et de leurs familles et à l'intention de la Paix.
Pour que chacun entende la voix de la Foi et de ses saints commandements :Va ne tue pas mais aime ton prochain comme toi-même pour que règne le mystère de la Résurrection et non celui de l'iniquité !
Nous exhortons la communauté internationale en appelant tous les croyants de toutes les religions à nous solidariser pour la paix, la foi, l'espérance et la charité. Car c'est aimer Dieu que de garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, parce que tout ce qui est né de Dieu remporte la victoire sur le monde; et la victoire qui a vaincu le monde, c'est notre foi. (1, Jean, 5, 3-4).
Expéditeur: Fides News Fr <fidesnews-fr@fides.org>
Date: 17 novembre 2015 13:56:51 UTC+2
ASIE/IRAQ - Début du processus de modification de la loi sur l'islamisation des mineurs
Bagdad (Agence Fides) – Le Parlement irakien a voté ce jour une résolution disposant la modification de la loi portant sur l'islamisation des mineurs, le texte fortement contesté par les minorités religieuses irakiennes qui, de facto, imposait le passage automatique à l'islam des mineurs lorsque au moins l'un de ses parents se convertissait à l'islam. La résolution en question a bénéficié de l'appui de140 parlementaires sur un total de 206. Le vote représente une inversion totale de tendance par rapport aux orientations manifestées par cette même assemblée représentative le 27 octobre denier, lorsqu'elle avait rejeté à une large majorité la proposition de modification du texte avancée par les représentants chrétiens et soutenue par des parlementaires appartenant à différentes coalitions. Dans cette proposition, était demandé l'ajout au paragraphe concernant les mineurs d'une phrase dans le but d'affirmer qu'en cas de conversion à l'islam d'un seul de leurs parents, les mineurs demeuraient dans la religion originaire d'appartenance jusqu'à leurs 18 ans pour choisir ensuite en pleine liberté de conscience leur religion d'appartenance (voir Fides 28/10/2015).
Un rôle décisif dans le retournement a été joué par le Président du Parlement irakien, Salim al-Juburi, qui a accueilli les instances contre la loi exprimées avec véhémence par les membres des communautés irakiennes non musulmanes, à commencer par l'Eglise chaldéenne. Salim al-Juburi, dans son intervention, avait réaffirmé l'intention de la Présidence du Parlement de modifier la loi, afin de garantir aux membres des communautés irakiennes non musulmanes les droits de pleine égalité entre les citoyens protégés par la Constitution.
Le 10 novembre, à Bagdad, une manifestation de protestation contre les contenus discriminatoires présents dans la loi avait été convoquée par le Patriarche de Babylone des Chaldéens, S.B. Louis Raphaël I Sako, devant l'église Saint Georges et vu la participation massive de chrétiens et de membres d'autres communautés religieuses irakiennes non musulmanes. (GV) (Agence Fides 17/11/2015)
ASIE/SYRIE - Appel de Pax Christi International en faveur de la fin des soutiens aux groupes djihadistes
Vienne (Agence Fides) – La nouvelle session de colloques internationaux visant à rechercher une solution au conflit syrien, qui a débuté immédiatement après les massacres terroristes de Beyrouth et de Paris, semble avoir lancé un processus politique sous l'égide de l'ONU qui, pour parvenir à des résultats concrets, devra forcément impliquer dans les négociations le plus grand nombre possible des parties en cause, si la communauté internationale veut éviter d'assister à un nouvel échec cuisant. Tel est l'appel diffusé par Pax Christi International en ce qui concerne le direction que doivent prendre les contacts en cours dans la capitale autrichienne auxquels prennent part les représentants de 17 nations y compris l'Iran et l'Arabie Saoudite. « Pour être un succès – peut-on lire dans le communiqué parvenu à l'Agence Fides – toutes les parties intéressées doivent être présentes autour de la table » des négociations parce que seul l'engagement des différents acteurs impliq ués dans le conflit pourra faire espérer en la fin de l'escalade militaire et en une solution politique négociée. « Pax Christi International – peut-on encore lire dans le texte – est convaincue qu'une action militaire ne peut amener la paix en Syrie » et que la priorité doit être de « protéger tous les civils » présents dans les différentes zones de contrôle, à commencer par les plus vulnérables, en évitant de perpétuer les sièges ou de bombarder les zones résidentielles. En outre, selon Pax Christi International, « les pays étrangers ne doivent pas être impliqués dans des opérations militaires en territoire syrien » toujours contre-productives. Par ailleurs, il faut mettre fin au soutien extérieur aux groupes djihadistes du prétendu « Etat islamique » et aux autres groupes extrémistes. (GV) (Agence Fides 17/11/2015)