Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

samedi 6 juillet 2013

مصر: المسيحيون يقعون ضحايا الانقلاب


الأصولييون يزرعون حالة من الذعر في قلوب الأقباط

بقلم ألين كنعان

القاهرة, 5 يوليو 2013 (زينيت) - بينما يحتفل المصرييون بانتصار الجيش على خلع الرئيس المصري محمد مرسي من منصبه، أفادت وكالة فيدس أنّ مجموعات من "الإسلاميين المتعصبين" قد اعتدت على الرعية الكاثوليكية القبطية. يُعتبر هذا الاعتداء من بين أشرس الاعتداءات أبدًا حيث أغلق الأصوليون الطرقات عند مداخل القرى وهددوا المسيحيين بتدمير كلّ ما تطاله أيديهم وباقتحام الكنائس. كما أفادت وكالة فيدس أنّ الاعتداءات والتهديدات قد طالت مناطق عديدة من مصر.

Une délégation d’évêques maronites à Saïda en signe de solidarité | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

Une délégation d'évêques maronites à Saïda en signe de solidarité
Dépêchée par Bkerké, une délégation d'évêques maronites s'est rendue hier à Saïda pour exprimer sa solidarité avec la ville, pour s'entretenir avec les notables et s'enquérir de la situation des habitants sinistrés, après avoir été forcés d'abandonner leurs domiciles à la suite des combats qui ont opposé les partisans du prédicateur de la mosquée Bilal ben Rabah, cheikh Ahmad el-Assir, à l'armée libanaise.
La délégation, formée des évêques Boulos Sayyah, Boulos Mattar et Élias Nassar, a effectué une tournée dans la capitale du Liban-Sud avant de se rendre auprès de l'ancien chef de gouvernement, Fouad Siniora.

À l'issue de la rencontre, Mgr Sayyah a précisé que la visite, initiée par le patriarche Béchara Raï et effectuée en son nom, est une occasion « pour venir dire aux forces actives de Saïda que ce qui s'est passé ne reflète pas les desiderata des gens de la ville ni l'esprit qui y prévaut ».

« Nous nous sommes déplacés pour venir dire aux gens qui ont souffert des suites des incidents que nous nous tenons à leurs côtés », a ajouté le prélat maronite, qui a indiqué que leur tournée dans la ville a englobé une visite à l'armée, à laquelle la délégation a présenté ses condoléances, le mohafez, les présidents de municipalité et les dignitaires religieux.
Mgr Sayyah a exprimé sa satisfaction de voir un « grand chantier s'installer » à Saïda affirmant toutefois que « ce qui compte le plus, c'est le retour de l'esprit de fraternité ». Le prélat maronite à tenu à rappeler que les problèmes ne peuvent se résoudre par les armes, mais uniquement grâce au dialogue.
Interrogé sur le fait que la visite n'a pas englobé le périmètre où résidait cheikh el-Assir, l'évêque a répondu que la délégation n'avait pas prévu de visite sur ces lieux, « tout d'abord en signe de respect aux fidèles qui effectuent leur prière du vendredi. Ensuite parce que nous n'aurions pas eu l'opportunité de voir les gens sur place, la raison pour laquelle nous étions venus en premier lieu ».
Prenant la parole à son tour, M. Siniora, qui a salué cette initiative, a fait remarquer que cette visite exprime avant tout « la coexistence et l'appel à la modération, qui est la caractéristique principale de la ville qui, de tout temps, n'a cessé d'incarner la convivialité ».
L'ancien chef de gouvernement, qui a salué au passage le dernier communiqué des évêques maronites qui évoque le pluralisme libanais, a indiqué qu'il y a aujourd'hui chez l'ensemble des Libanais un besoin pressant de voir l'État s'imposer avec ses institutions sécuritaires et militaires qui ont pour mission de protéger les citoyens et de préserver la sécurité.
« Le citoyen n'a personne d'autre que l'État pour le protéger. C'est ce que démontrent les expériences des années précédentes », a martelé l'ancien Premier ministre.
« Les armes illégales engendrent d'autres armes illégales, tout comme l'extrémisme est contré par un autre type d'extrémisme », a-t-il ajouté, en allusion aux armes du Hezbollah, avant de rappeler que « seul l'État détient le monopole des armes ».
La délégation s'est également rendue auprès de la députée Bahia Hariri à Majdelyoun, qui, saluant le geste symbolique de Bkerké, a rappelé qu'après chaque tragédie, les Libanais, musulmans et chrétiens, se rassemblent de nouveau pour panser leurs blessures.
La délégation a également été accueillie par le chef de l'organisation populaire nassérienne, Oussama Saad, qui a mis l'accent à son tour sur la diversité politique et religieuse de la ville de Saïda, un atout que la ville devrait préserver à tout prix, a-t-il dit. Les évêques ont enfin rencontré l'ancien président de la municipalité de la ville, Abdel Rahman el-Bizri.

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vendredi 5 juillet 2013

Fwd: News - Agence Fides








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News - Agence Fides



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Aides emirates aux déplacés chrétiens syriens

5/6/20-13-Brèves | Politique Liban | L'Orient-Le Jour
Réfugiés syriens

L'association émiratie Khalaf Ahmad Habtour a poursuivi ses distributions d'aides humanitaires aux réfugiés syriens. À Batroun, elle a remis, sous la supervision du comité de secours du Mouvement des nassériens libres et en coopération avec le comité des affaires sociales au sein des Forces libanaises, des vivres aux réfugiés syriens chrétiens.
L'Association Khalaf Ahmad Habtour a distribué 500 caisses alimentaires et 500 kits de médicaments à ces déplacés syriens chrétiens.

Ziad Ajouz, du Mouvement des nassériens libres, a souligné que « ce n'est pas la première fois que M. Habtour remet des aides humanitaires aux réfugiés syriens chrétiens, et ce ne sera pas la dernière ».

De son côté, Angélique Khalil, des Forces libanaises, a noté que « l'initiative de M. Habtour est presque la seule qui touche les réfugiés syriens chrétiens, qui sont plusieurs milliers aux Liban et qui se répartissent dans diverses régions du Liban, et non seulement à Batroun ».
Simon Mansour a de son côté indiqué au nom du groupe Habtour que « les œuvres de bienfaisance ne font pas la différence entre les communautés religieuses et les nationalités. L'Association Khalaf Habtour est en train d'aider les réfugiés syriens sur tout le territoire libanais ».

Coopération
Délégation vénézuélienne à Cana et Tyr
Le président vénézuélien de la commission parlementaire des Affaires étrangères, Saolo Oliva Campos, actuellement en visite au Liban, s'est rendu en compagnie de l'ambassadrice du Venezuela à Beyrouth, Souad Karam Doueihi, à Tyr et à Cana, et cela à l'invitation du mouvement Amal.
M. Campos a souligné que « la diaspora libanaise au Venezuela est une composante importante de la société vénézuélienne, notamment sur les plans économique et politique ».

Régions
Réconciliation intercommunautaire à Deir el-Ahmar
Une réunion de réconciliation a été tenue hier à l'évêché maronite de Baalbeck et de la Békaa- Nord, à Deir el-Ahmar. Elle a regroupé des musulmans et des chrétiens de la région. Au cours de cette réunion, un comité de suivi a été formé afin de coordonner avec l'armée au cas où des problèmes éclateraient dans la zone.
Ont pris part à la réunion l'évêque maronite Semaan Atallah, cheikh Abbas Charif, le chef des services de renseignements pour la région, le commandant Melhem Hadchiti, ainsi que des moukhtars, des présidents de conseils municipaux et des représentants de tribu.
Les personnes réunies ont mis l'accent sur la convivialité et sur le rôle de l'armée dans la préservation et la consolidation de la sécurité. Ils ont dénoncé les enlèvements qui ont touché des habitants chrétiens de la région, notamment celui de Imad Boutros de Deir el-Ahmar, enlevé et relâché en mai dernier.

Sinistres
L'armée maîtrise des incendies dans diverses régions
L'armée a éteint des incendies mercredi et jeudi dans diverses régions du Liban, notamment à Alma, Zghorta, Mtiré, Khardali, Deyour, Abba, Barich, Dhaira, Yaroun, Arzay, Wadi el-Fakkis et Bhersaf.
Le feu a dévoré en tout environ 795 dounoms d'herbes sèches et d'arbres.

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ASIE/SYRIE - Un prêtre catholique belge et un monastère pris de mire par les djihadistes - Agence Fides

ASIE/SYRIE - Un prêtre catholique belge et un monastère pris de mire par les djihadistes
Qara (Agence Fides) – Le Père Daniel Maes, O. Praem, originaire de Belgique, se trouve pris pour cible par les groupes djihadistes qui entendent l'éliminer et envahir le monastère Saint Jacques le mutilé de Qara, à 90 Km au nord de Damas. Le monastère, qui appartient au Diocèse gréco-catholique d'Homs, se trouve dans une zone de frontière entre les groupes belligérants et pourrait être occupé afin de devenir une base logistique militaire des rebelles. Après la mort du Père François Mourad, la communauté chrétienne de Syrie est fortement préoccupée. Toutes les lignes de communication avec le monastère sont interrompues. L'alarme est parvenue à l'Agence Fides par l'intermédiaire d'un certain nombre de responsables catholiques syriens et de parents des moines résidant au Monastère Saint Jacques, qui sont de neuf nationalités différentes, y compris européennes.
Le Père Maes a enseigné la Théologie morale en Belgique pendant 20 ans et réside au monastère Saint Jacques depuis 2010, où il est directeur du Séminaire. Le monastère Saint Jacques de Qara est une structure antique remontant au V° siècle après JC. Y réside une communauté monastique féminine, placée sous la conduite d'une religieuse palestinienne, Sœur Agnès Mariam de la Croix, qui s'est enrichie au fil du temps d'une communauté religieuse masculine et de familles de laïcs chrétiens, sunnites et alaouites. Au cours de ces derniers mois, le monastère s'est trouvé au centre d'affrontements violents et a été touché et endommagé par des bombardements effectués par des hélicoptères de l'armée régulière qui, probablement, entendaient frapper des dépôts d'armes se trouvant dans les galeries et les fossés proches du monastère, utilisés à l'époque byzantine pour accumuler des provisions d'eau.
Ces derniers temps, le monastère accueille et assiste des familles d'évacués, indépendamment de leur appartenance religieuse. Le Père Maes a des contacts étroits avec des groupes de syriens se trouvant en France, en Belgique et aux Pays-Bas qui, au travers d'associations de bénévolat, envoient des aides humanitaires destinées aux évacués.
Le prêtre a dénoncé le « nettoyage ethnique » perpétré à l'encontre des chrétiens à Qusayr, lorsque la petite ville a été prise par les rebelles et les groupes djihadistes. « Les villages chrétiens environnants ont été détruits et tous les fidèles qui pouvaient être capturés ont été tués suivant une logique de haine sectaire », a-t-il écrit au cours de ces dernières semaines à l'Agence Fides. « Pendant des décennies, chrétiens et musulmans ont vécu en paix en Syrie. Si des bandes criminelles peuvent cavalcader et terroriser les civils, ceci n'est-il pas contraire aux lois internationales ? Qui protégera les innocents et pourra garantir l'avenir de ce pays ? » affirme le prêtre. Le Père Maes décrit ainsi la situation sociale actuelle en Syrie : « Les jeunes sont déçus parce que les puissances étrangères leur dictent les priorités. Les musulmans modérés sont préoccupés parce que les salafistes et les fondamentalistes veulent imposer une dictature totalitaire de type religieux. Les citoyens sont terrorisés parce qu'ils sont les victimes innocentes de bandes armées ». Selon lui, « le régime syrien avait depuis longtemps perdu toute crédibilité. Aujourd'hui, il est urgent de faire survivre la Syrie. Le peuple syrien lui-même doit réformer le pays, selon un processus de vraie démocratie : un peuple qui, de manière autonome, garantit l'égalité de traitement à tous ». (PA) (Agence Fides 04/07/2013)


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AFRIQUE/EGYPTE - Représailles contre les chrétiens après la déposition de Morsi - Agence Fides

AFRIQUE/EGYPTE - Représailles contre les chrétiens après la déposition de Morsi

Dépêches- 2013-07-04

Minya (Agence Fides) – Parmi les épisodes de violence qui se succèdent en Egypte après la déposition du Président Morsi figure également l'assaut contre la Paroisse copte catholique Saint Georges du village de Delgia, à 60 Km de Minya. Dans la soirée du mercredi 3 juillet, des groupes de fanatiques islamistes ont d'abord saccagé puis incendié le Presbytère et les locaux des groupes paroissiaux. « Grâce à Dieu, il n'y a ni victimes ni blessés – raconte à l'Agence Fides l'Evêque copte catholique de Minya, S.Exc. Mgr Botros Fahim Awad Hanna – mais l'alarme demeure. Les intégristes ont fermé la route d'accès au village. Hurlant des slogans contre les chrétiens, ils disent vouloir tout détruire et actuellement, ils tentent à nouveau de prendre l'église d'assaut. La police locale est impuissante. J'ai appelé le Caire pour demander l'intervention de l'armée ».
L'assaut contre la Paroisse Saint Georges est l'épisode de violence le plus grave à l'encontre des chrétiens enregistré au cours de ces heures dramatiques pour le pays. Mais des menaces et des intimidations visant les communautés chrétiennes ont également été enregistrées dans d'autres localités égyptiennes. (GV) (Agence Fides 04/07/2013)



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L’ABL et L’USJ annoncent la création de l’Institut Supérieur d’Études Bancaires (ISEB) - News & Events, ABL - Association of banks in lebanon

http://www.abl.org.lb/fr/NewsDetails.aspx?pageid=1767
3/7/2013-L'ABL et L'USJ annoncent la création de l'Institut Supérieur d'Études Bancaires (ISEB) -  News & Events, ABL - Association of banks in lebanon

Le président de l'Association des Banques du Liban (ABL), Dr. Joseph Torbey, et le recteur de l'Université Saint-Joseph (USJ), Père Salim Daccache, ont annoncé hier au cours d'une conférence,  la création de l'Institut Supérieur d'Études Bancaires (ISEB) et le début des inscriptions en juillet pour l'année 2013-2014.

« Le secteur bancaire joue un rôle essentiel dans l'économie libanaise et il est de notre devoir de faire profiter les nouvelles générations de cette dynamique positive », a indiqué M. Torbey. « L'ABL a depuis longtemps prôné le rapprochement entre les secteurs professionnels et universitaires, afin de former les jeunes étudiants à la réalité du marché de l'emploi », a poursuivi le président de l'ABL, qui a souligné que beaucoup d'universités dans le monde adoptaient une telle coopération. Selon lui, toutes les parties en ressortent gagnantes, l'université, les étudiants et le secteur professionnel. « Le programme de formation de ce nouvel institut a été mis en place selon les besoins du secteur bancaire », a ajouté M. Torbey.  L'ISEB ouvrira ses portes à la première promotion le 1er septembre prochain.

Quant au Père Daccache, il a estimé que: « ce projet est un projet pilote à plusieurs niveaux, le Centre d'Études Bancaires ayant  reçu, durant quarante trois (43) années, les employés de toutes les banques opérantes au Liban qui ont poursuivi les programmes d'enseignement du 1er Cycle d'études ou du Cycle Supérieur. Le Centre leur a fourni les connaissances et l'éducation de haut niveau ».


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Mgr Twal : « Je ne suis pour personne, je suis pour la paix » - Église Catholique en France

Mgr Twal : « Je ne suis pour personne, je suis pour la paix »


Du 30 juin au 4 juillet 2013, le Patriarche latin de Jérusalem, Mgr Fouad Twal, était en visite officielle en France. Le 3 juillet, il est venu à la Maison de laConférence des évêques de France pour parler des chrétiens d'Orient et de la situation politique au Moyen-Orient. 
 

« Si la paix est pour tout le monde, les chrétiens en profiteront aussi », a souligné Mgr Fouad Twal, Patriarche latin de Jérusalem. Ce diocèse couvre quatre Etats : Israël, l'Autorité Palestinienne, la Jordanie et Chypre. Le passage de Mgr Twal à Paris lui a permis de sensibiliser l'opinion française au problème des chrétiens d'Orient dans le contexte syrien actuel et des réfugiés qui affluent en Jordanie. « Nous n'avons pas le droit de nous taire avec 92 000 morts en Syrie ! Nous ne souhaitons pas que les chrétiens partent », a-t-il dit. Il était aussi question de la situation en Israël et en Palestine, du "processus de paix" et du quotidien des chrétiens en Terre Sainte. Le Patriarche a pu s'entretenir avec le Président du Conseil français du culte musulman. 

Mgr Twal, accompagné de Mgr Maroun Lahham, évêque de Jordanie, a célébré la messe à Notre-Dame de Paris et s'est rendu chez le nonce apostolique en France, Mgr Luigi Ventura. Il a également rencontré, le cardinal Vingt-Trois, archevêque de Paris et Mgr Pontier, le nouveau président de la Conférence des Evêques de France. « Je remercie l'Eglise en France pour sa bonne collaboration. La présence française à Jérusalem au niveau social et éducatif est importante. Plusieurs congrégations sont sous la protection du consulat français de Jérusalem. J'invite les pèlerins français à venir pour montrer aux chrétiens à Jérusalem qu'ils ne sont pas abandonnés », a déclaré Mgr Twad.

Lors de son séjour en France, Mgr Twad a rencontré le ministre de l'intérieur et des cultes, Manuel Valls, et son homologue pour les affaires étrangères, Laurent Fabius. « Nous avons toujours souhaité que l'occident nous écoute avant de prendre une décision. Nous souhaitons une aide politique en plus d'un soutien matériel », a affirmé Mgr Twal. Le ministre des affaires étrangères lui a remis les insignes de Grand Officier de la Légion d'honneur.
 

Rencontre entre les responsables d'associations et Mgr Fouad Twal
La visite aux instances française liées aux Eglises d'Orient

Mgr Twad a rencontré le Secours catholique-Caritas France, l'Œuvre d'Orient, le Réseau Barnabé, le CCFD - Terre Solidaire, l'AED, l'association des Œuvres du Saint Sépulchre en France, l'ordre du Saint Sépulchre de Jérusalem, l'association « Chrétiens de la Méditerranée », Justice et Paix, Fidesco, la DCC et la Corref.

Il a également visité l'exposition des 250 chefs-d'œuvre de la Basilique du Saint-Sépulcre, au château de Versailles organisée par la Custodie de Terre Sainte. 
http://www.eglise.catholique.fr/actualites-et-evenements/actualites/mgr-twal-je-ne-suis-pour-personne-je-suis-pour-la-paix--16816.html


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jeudi 4 juillet 2013

Père François Mourad, moine martyr syrien, et confesseur de la foi...


Le Veilleur de Ninive


J'ai bien connu le Père François Mourad, moine martyr syrien, et confesseur de la foi...

Posted: 03 Jul 2013 02:02 PM PDT


Depuis les années 80, je connais le Père François Mourad, martyr et confesseur de la foi du XXIè siècle. 
Dès sa jeunesse il rêvait de revivre l'ascétisme de Saint Siméon le Stylite l'ancien et pour réaliser son rêve il contacte un jour des kurdes qui étaient installés à 500 m. du monastère de Saint Stylite ; il cherchait alors à acheter un terrain pour y construire un petit monastère qui avait pour vocation la méditation, la prière et le jeûne. Son désir était de laisser le monde d'ici-bas, pour se tourner résolument vers Dieu.



Dès le début de sa démarche, il est mal compris par la hiérarchie de l'Eglise qui considère son rêve comme utopique et irréalisable. Après qu'il eut acheté le terrain qui convenait, près de la Basilique Saint Siméon, les autorités civiles et le kurdes de part et d'autre , inquiets de son projet, se mettent à voir en lui le retour des croisés. Tous deux firent leur possible pour empêcher la réalisation de son rêve. 
Le Père François Mourad effectue alors une tournée en Europe, puis en Orient, afin de récolter des dons qui lui permettent de construire un monastère dédié à Saint Siméon, dans la région de Ghassanieh. Pour se couvrir, il rattache son couvent à l'Archevêché syrien catholique de la ville de Hassakeh.
De son couvent il aura aidé des dizaines des familles de toutes confessions, surtout récemment. Il collabore alors avec les pères franciscains pour servir les fideles. C'était vraiment un homme de Dieu aimant, servant et témoignant de Jésus-Christ, en dépit de l'incompréhension de la hiérarchie de l'Eglise.
Pourquoi lui est-il arrivé de mourrir ainsi martyr, la tête tranché ? Il a tout simplement refusé d'obtempérer aux menaces du Front al-Nosra qui lui ordonnait de quitter le village...Le Père Françis Mourad est un martyr, confesseur de la foi chrétienne. 
Un témoin, proche du Père François, ayant demandé l'anonymat.

Publié par la Fraternité Chrétienne Sarthe-Orient

Le Patriarche latin de Jérusalem défend l'identité chrétienne du Moyen-Orient

Le Patriarche latin de Jérusalem défend l'identité chrétienne du Moyen-Orient

Accueil > Eglise > dernière mise à jour: 2013-07-03 15:34:39




En visite officielle, ces jours-ci à Paris, le patriarche latin de Jérusalem, Monseigneur Fouad Twal a fait part de ses préoccupations face à l'escalade du conflit syrien et ses implications sur les pays limitrophes : « Plus vous livrez d'armes, plus vous aurez des victimes » – a-t-il lancé en plaidant pour une solution politique. Mardi au Quai d'Orsay, le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, lui a remis les insignes de grand officier de la Légion d'honneur. Selon le Patriarcat latin de Jérusalem, l'objectif principal de ce voyage est de sensibiliser l'opinion française au problème des chrétiens d'Orient dans le contexte actuel de la Syrie et des réfugiés qui affluent en Jordanie.

Le Patriarche Fouad Twal tient à rappeler que les chrétiens de la Terre Sainte font partie intégrante de son identité et de son terroir. Depuis Paris, il a accepté de parler de son déplacement dans la capitale française RealAudioMP3


           
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L'observatoire de la Christianophobie | Syrie : l’abominable calvaire d’une jeune chrétienne de 15 ans

Syrie : l'abominable calvaire d'une jeune chrétienne de 15 ans

L'article qui suit se suffit à lui-même. Mes commentaires sont inutiles. Prions pour cette martyre. Et efforçons-nous de prier pour ses tortionnaires.

Elle s'appelait Mariam. C'était une chrétienne de 15 ans de [Al] Qusayr, ville du gouvernorat d'Homs située à 35 km au sud du chef-lieu. La ville, qui était devenue une place forte des rebelles syriens, fut reprise par l'armée régulière au début du mois de juin. L'histoire de Mariam – qui a été racontée à Fides par deux prêtres catholiques – est le signe de la brutalité du conflit et de l'extrême vulnérabilité des minorités religieuses. La famille de Mariam était dans la ville lorsque des miliciens liés au groupe djihadiste Jabhat al-Nusra l'ont enlevée et occupée. Alors que sa famille parvint à s'enfuir, Mariam fut prise et contrainte à un mariage islamique.
Des sources de Fides rappellent qu'au travers des réseaux sociaux, a été diffusée en Syrie la fatwa de Yasir al-Ajlawni – un sheikh salafiste d'origine jordanienne résidant à Damas – qui déclare licite pour les opposants au régime de Bashar al-Assad le viol perpétré sur « toute femme syrienne non sunnite ». Selon la fatwa, capturer et violer des femmes alaouites ou chrétiennes ne serait pas contraire aux préceptes de l'islam.
Le commandant du « bataillon Jabhat al-Nusra » à Qusayr a pris Mariam, l'a épousée puis violée avant de la répudier. Le lendemain, la jeune fille a été forcée de contracter de nouvelles noces islamiques avec un autre militant, qui l'a lui aussi violée puis répudiée. Ceci s'est répété pendant 15 jours et Mariam a donc été violée par 15 hommes différents. Ce qui l'a déstabilisée psychologiquement et l'a rendue folle. Jusqu'à la pousser au suicide.
« Ces atrocités ne sont racontées par aucune Commission internationale » déclarent à Fides les Pères Issam et Elias, prêtres gréco-catholiques depuis peu revenus en ville. Ils recueillent actuellement les pleurs et les plaintes de nombreuses familles. « Qui fera quelque chose pour protéger les civils, les plus vulnérables », se demandent-ils, éplorés. Comme cela a été indiqué à Fides, les deux prêtres viennent de célébrer une Messe afin de consacrer à nouveau l'église catholique Saint Elie de Qusayr. L'église avait en effet été saccagée et profanée par les miliciens et était devenue une base logistique et résidentielle pour des groupes de rebelles.

Des membres tchétchènes de Jabhat al-Nusra

Source : Agence Fides

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mercredi 3 juillet 2013

تأثير سوريا على لبنان غير المستقر | Oasis الاب سليم دكاش رئيس جامعة القديس يوسف في بيروت - لبنان

L'impact  de la Syrie sur le Liban , par le père Salim Daccache

تأثير سوريا على لبنان غير المستقر | Oasis

يتابع الخبراء والمهتمّون بالوضع السياسي والاجتماعي اللبناني خطوةً خطوة الأحداث السياسيّة والأمنيّة في البلاد. فالتأثيرات والعواقب المترتّبة على الصراع السوري تُلقي بثقلها حاليًّا على عدّة مستويات: تدفّق مستمر للاّجئين، وضع اقتصادي واجتماعي صعب في بعض القطاعات، حظر مفروض على السياح العرب الآتين من الخليج، أزمة سياسيّة لنظام الحكم بأكمله، أمن غير مستقر في بعض مناطق البلاد، مشاركة وتدخّل من بعض الأحزاب اللبنانيّة في الصراع السوري بما فيها قوات حزب الله، انقسامات ما بين المسلمين السنّة والشيعة، انشقاقات في صفوف المسيحيّين، كنيسة سجينة الخطاب النظري، تفاقم الهجرة...باختصار إنّ التوقّعات حول تطوّر الأحداث هي سلبيّة.

1. إنّ النظام الذي نشأ عن اتّفاق الطائف عام 1991 – والذي أُلحق بأحكام الدستور، فأعاد رسم السلطات، ناقلا بعض صلاحيّات رئيس الجمهوريّة لرئيسَي الحكومة ومجلس النوّاب وجاعلاً من مجلس الوزراء إدارةً جماعيّة للدولة – قد أصبح في حالة متقدِّمة من التحلّل. إنّ الفراغ شامل لجميع المؤسّسات تقريبًا حاليًّا، حيث لم يعد مجلس الوزراء فعّالاً، في حين أنّ البرلمان، الذي وصل إلى نهاية ولايته وهو غير قادر على إصلاح القانون الانتخابي، مدّد ولايته لعام ونصف؛ وقدّم رئيس الجمهورية، ضدّ هذه الخطوة، طعنًا إلى المجلس الدستوري، وكذلك فعل العماد ميشال عون الذي ناشد المجلس نفسه اتّخاذ قرار ضدّ البرلمان. لكنّ المجلس الدستوري لم يقدر أن يجمع أعضائه ليصل إلى النصاب القانوني المطلوب لعقد الجلسة. في الواقع، كلّ النظام الديمقراطي اللبناني في أزمة بسبب التفكّك الطائفي سواء في الجانب المسلم أو المسيحي؛ فكلّ فريق سياسي يمثِّل طائفته أو جزءًا منها مسيطرًا على قرارها.

هناك من يؤكِّد أنّه من بين العواقب المترتّبة عن حالة الحرب في سوريا والانضمام لصالح أحد طرفي الصراع هو جمود سير المؤسّسات اللبنانيّة لفترة طويلة، ممّا يرمي الديموقراطيّة اللبنانيّة في حالة نزاع. وهو نزاع يسبِّب صعوبات للجيش ولقوى الأمن اللتين تسيطران بصعوبة بالغة على التجاوزات التي تحدث من وقتٍ إلى آخر. ففي طرابلس، تعيّن القيام بتدخّل حاسم من جانب الجيش. فقد تسبّبت الاشتباكات بالأسلحة الثقيلة بين السنّة المناصرين للثورة السوريّة والعلويّين الموالين للنظام السوري، في سقوط عشرات القتلى والجرحى، وذلك بدعم واضح من القوى السياسيّة في المدينة وتهديد السنّة للأقليّة العلويّة. ويزعم البعض أنّ هناك قوى سياسيّة وإقليمية تسعى وراء الانهيار والفراغ السياسي لكي تتمكّن من التوصّل إلى الاعتراف بأنّ اتّفاق الطائف قد أصبح غير فعّال وغير ملائم، من أجل تمهيد الطريق أمام اتّفاق وميثاق وطني جديد يكون مؤاتيًا للأقوى ممّا يسمح لهم بالاستيلاء على كلّ السلطة السياسيّة.

2. وبشكل مرتبط بهذا الوضع السياسي المتدهور، نشهد من دون أيّ قدرة تفاقم العداوات بين السنّة والشيعة وكذلك بين المسيحيّين، الذين يبدون أكثر فأكثر انقسامًا بين الفصيلين المسلمين. وهذا ما تؤكّده رغبة البطريرك الماروني في اتفاق الأطراف المسيحيّة على قانون انتخابي من شأنه أن يُعيد إلى المسيحيّين استقلاليّتهم في تعيين نوّابهم في البرلمان. فلانتخاب حوالي ثلاثين من أصل 64 نائبًا مسيحيًا في البرلمان تبدو أصوات المسلمين حاسمة حاليًّا، بموجب القانون المعروف باسم 1960.ومع ذلك، فإنّ تحالف 8 آذار/مارس (بين الشيعة والمسيحيّين بقيادة الجنرال عون) وتحالف 14 آذار/مارس (جزء كبير من السنّة مع مناصري القوّات اللبنانيّة) قد بيّنا حدود النفوذ الذي يمكن للبطريرك أن يمارسه على سياسيّي طائفته، الذين يدّعون تمثيلها. على أرض الواقع يعيد هذا التنافس طرح ما يجري في سائر أنحاء المنطقة والذي أدّى إلى تدخّل بعض السنّة في سوريا إلى جانب الثوّار في حين دعم الشيعة من أنصار حزب الله القوى الموالية لبشّار الأسد. يتساءل المرء كيف يعقل أن يكون الوضع لم يتدهور بعد في بلاد الأرز في أعقاب ما يجري في سوريا. تبدو إجابة بعض الخبراء العسكريّين مقنعة، فمن ناحية، لقد اختبر اللبنانيّون الحرب الأهليّة التي ما جلبت إلا الدمار وحلا وسط سياسيًّا بعد عشرين عامًا من النزاع المسلّح. ومن شأن صراع جديد أن يؤدّي فقط إلى اتّفاق مماثل لاتّفاق الطائف.

في حين يؤكِّد آخرون أنّ قوّة حزب الله قد تضاعفت لدرجة أنّ مَن يرغب في الشروع في مواجهة مسلّحة تزعزع الاستقرار سيتمّ تحييده عن طريقها، وذلك باعتبار أنّ القوّات المسلّحة اللبنانيّة – التي تمثِّل جميع الطوائف - لا يمكنها أن تتدخّل في صراع من هذا النوع. ثالثًا، تسعى كلّ القوى السياسيّة للحدّ من أيّ ترجمة لهذا التنافس على الأرض لأنّ مثل هذا الخيار سيضرّ في المقام الأول وبشكل خطير بالبعد السياسي كأداة لإدارة الشأن العامّ. في الواقع، سيجد السياسيّون أنفسهم في مثل هذه الحالة وقد تمّ تجاوزهم من قبل القوى الأكثر راديكاليّة خاصّةً السنيّة منها، والتي لا تخفي توقها لخوض المعركة.

3. ثمّة جانب آخر يُقلق اللبنانيّين ويثقل على الوضع السياسي والاجتماعي، وهو مشكلة اللاجئين السوريّين. أتت عدّة منظّمات دوليّة للمساعدة وأنفق لبنان من موارده لاستضافتهم ومنحهم بعض العزاء. هذا وقد استُخدمت العديد من المدارس الرسميّة لتعليم أبناء اللاجئين السوريّين وفقًا للبرامج السوريّة. لكنّ إقامة اللاجئين لم تكن منظّمة بطريقة منهجيّة من خلال إقامة مخيّمات كما حدث في الأردن وتركيا. وبالتالي، فهم يتواجدون في كلّ مكان، ولا يخضعون للرقابة ولا يمكن مراقبتهم، ممّا يسبِّب مشاكل مع السكّان وتجاوزات من كلّ نوع. كذلك يصبح اللاجئون رهينة للأحزاب السياسيّة، الذين يستغلونهم ويتلاعبون بهم. يستضيف لبنان حاليًّا أكثر من 600 ألف لاجئ سوري، ما يقرب من 20 بالمئة من عدد سكّانه، وهو عدد يجب إضافته إلى 500 ألف سوريّ آخر يعملون في لبنان. على المدى المتوسِّط والطويل هناك خطر أن يزعزع هذا الأمر التوازن السياسي والاقتصادي الهشّ للواقع اللبناني.

4. يظنّ البعض، وبغضّ النظر عن نيّة بعض الأطراف السياسيّة اللبنانيّة تغيير ملامح الدستور اللبناني الصادر عام 1990، أنّ الأحداث الحاليّة ستؤدّي إلى إعادة بناء جيوسياسيّة لبلدان المنطقة وفقًا لحدود جديدة على أساس الصفاء العرقي أو الديني وإعادة النظر في وضع الدول الحاليّة الناشئة عن اتفاقيّة سايكس بيكو في عامي 1915-1916. ومن بين الأمور الجديدة والمضنية التي سبّبتها الأزمة السوريّة هشاشة الحدود، التي أصبحت متشابكة لا تعكس البتّة الحدود بين الطوائف. ويستخدم النظام السوري وضع الحدود "المتروك على حاله"، فيستمرّ وفق بعض المراقبين في تسهيل مغادرة الأراضي السوريّة بهدف زيادة المشاكل في بلدان الوصول.

مع ذلك، يعتقد خبراء آخرون بأنّ الثورات العربيّة قد كرّست الحدود، لأنّ مطالبها كانت بالأحرى وطنيّة، تتأسَّس على مفهوم المواطنة كما هو الحال في مصر واليمن وتونس وليبيا. لكنّ كل هذا يصبح نسبيًّا حينما يتخِّذ التضامن الطائفي دورًا حاسمًا لإخافة الآخر وتعزيز الطائفة في مواجهة التهديدات والأخطار. هذا وقد عبّر رئيس الوزراء اللبناني المستقيل نجيب ميقاتي بوضوح عن شكوكه حول إمكانيّة التوصّل إلى حلّ قبل تقرير مستقبل سوريا وذلك في لقاء جمعه ببعض أساتذة الجامعات الذين أتوا للتحقّق من الواقع السياسي والضغط للخروج من حالة الفراغ المؤسّساتي. وفي رأي ميقاتي هناك ثلاثة أسئلة أساسيّة تؤثِّر الإجابة عليها على الواقع اللبناني: ماذا سيكون عليه مستقبل سوريا، طالما أنّ بشّار الأسد، حتّى ولو انتصر، لن يستطيع أن يكون كما كان؟ وفي حال نتج تغيير ما، ما هو شكل النظام الذي سينشأ في سوريا؟ وما هي العواقب المترتّبة على لبنان؟ أيًّا كانت نتيجة الصراع السوري، ستكون طبيعة النظام الاقتصادي الليبرالي في لبنان والاتّفاق الذي نتج عن الطائف على الأقلّ موضع نقاش.

في مواجهة هذه الأسئلة والمأزق السياسي من الممكن دائمًا العودة إلى طاولة الحوار لتحديد مسار العمل في المستقبل وتحديد بعض النقاط الاستراتيجيّة المشتركة القادرة على حماية رسالة هذا البلد الصغير.

ولكن هل النفوس على استعداد حقًّا للحوار السياسي؟ ليس هذا  أكيدًا. ينتظر البعض أن تتطوّر نسبة القوى لصالحهم قبل أن يحضروا إلى طاولة الحوار وعلى أيّ حال تتوقّع كلّ الأحزاب تغييرات على الساحة السوريّة الإيرانيّة. في غضون ذلك، تستمرّ الأزمة وتطول الاستراحة بين جولتي المباراة مع ما يشكّله ذلك من خطر التدهور إلى وضع لا يمكن لأحد السيطرة عليه


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Mgr Twal : « Je demande à la France d’avoir un rôle plus politique » | La-Croix.com

3/7/2013-Mgr Twal a reçu les insignes de grand officier de la Légion d'honneur

 Quel est le sens de votre visite en France ? 

 Mgr Fouad Twal : C'est ma première visite officielle en France que je remercie pour sa collaboration, sa présence au Moyen-Orient. Le consulat de Jérusalem fait beaucoup pour les chrétiens du Moyen-Orient. Historiquement, la France est la protectrice de ces chrétiens et, à Jérusalem, elle aide une quarantaine de congrégations religieuses. Je demande à la France d'avoir un rôle plus politique et pas seulement financier et matériel. La France aide l'Autorité palestinienne, elle nous aide en Jordanie pour les réfugiés syriens. Mais la question israélo-palestinienne est le monopole des États-Unis et d'Israël. Nous avons confiance en l'Europe et en la France et nous voudrions qu'elles s'engagent davantage. Les États-Unis et Israël les laisseront-ils faire ?

 Y a-t-il des avancées sur le dossier israélo-palestinien ? 

Je prie pour que cela avance. Le secrétaire d'État américain, John Kerry, fait beaucoup de va-et-vient au Proche-Orient. Mais tout cela dure beaucoup trop. L'occupation israélienne dure depuis soixante-cinq ans. Et malgré les visites, les promesses, sur le terrain, la situation s'aggrave à cause des constructions israéliennes dans les Territoires palestiniens qui empêchent toute continuité d'un futur État. Il y a des pays qui veulent gérer le conflit et non pas le résoudre. Je suis sûr qu'avec de la bonne volonté, on pourrait le résoudre une fois pour toutes.

 Que préconisez-vous pour parvenir à une solution ? 

Je ne voudrais pas que les États et les dirigeants politiques se contentent d'une victoire momentanée avec une vision à court terme, je voudrais qu'ils aient une vision à long terme et se demandent comment dans vingt, trente ans, ils pourront assurer la paix pour nos enfants. Il faut donner confiance à la population. Nous nous réunissons avec les rabbins d'Israël et tous les patriarches de Jérusalem au sein du conseil des institutions religieuses. Mais quand on revient à la vie quotidienne des Palestiniens, l'occupation et les check-points, la fermeture des portes de Jérusalem, ruinent notre dialogue avec nos amis juifs. J'aimerais qu'Israël fasse des gestes concrets pour gagner la sympathie des Palestiniens.

 Comment le printemps arabe rejaillit-il sur les chrétiens de Palestine ? 

Le printemps arabe a très bien commencé. Les manifestants réclamaient dignité, liberté, travail. Ce que nous avions demandé lors du Synode des évêques. Le printemps arabe était un mouvement sain et authentique qui a été détourné et récupéré par d'autres groupes, dont les Frères musulmans. Bien organisés, ils ont gagné les élections. En Syrie, le gouvernement de Bachar Al Assad doit faire des réformes, mais changer un régime au prix de 93 000 morts, ce n'est pas acceptable. Nous ne pouvons pas être indifférents devant tant de souffrances, de violence. Je préfère vivre avec un dictateur plutôt que payer ce prix. Quelle garantie avons-nous que celui qui remplacera le régime syrien sera meilleur ? N'avons-nous pas l'exemple de l'Irak ? Tous les extrémistes de Jordanie vont se battre en Syrie pour faire tomber le régime en collaboration avec la communauté internationale. Tous sont conscients qu'ils se sont engagés dans une aventure sans retour. On parle maintenant d'une solution politique, c'est un peu tard.

 Comment voyez-vous l'avenir des chrétiens au Proche-Orient ? 

Ils aspirent comme tout le monde à la liberté, ils doivent être intégrés à 100 % dans la vie politique et économique de leur pays et contribuer à son développement. En Jordanie, les chrétiens représentent 3-4 % de la population mais pèsent beaucoup plus dans la vie économique et politique. Les chrétiens ne doivent pas avoir le complexe de la minorité.

 À Gaza, une loi oblige à séparer garçons et filles dans les écoles du Patriarcat qui a protesté. Est-ce une menace pour la participation des chrétiens à la société palestinienne ? 

Nous avons trois écoles à Gaza qui accueillent des chrétiens et des enfants des responsables du Hamas et du Fatah. Nous avons déjà séparé les garçons des filles dans une même classe. On exige aujourd'hui des écoles séparées pour les garçons et les filles. Nous ne sommes pas d'accord sur le principe, mais nous ne fermerons jamais les écoles à cause de cela. Je vais aller en discuter à Gaza avec les responsables du Hamas.

 Concernant l'accord économique en passe d'être conclu entre Israël et le Saint-Siège, des communautés religieuses craignent pour leur avenir en Terre Sainte. Partagez-vous ces inquiétudes ? 

Les Ottomans, les Britanniques, la Jordanie et Israël, pendant vingt ans, ont respecté le statu quo exemptant de taxes les Églises. Aujourd'hui Israël veut les taxer. Depuis le premier accord de 1993, le Saint-Siège a fait tout ce qu'a demandé Israël, qui ne l'a, lui, jamais ratifié. Quel que soit l'accord signé, il y aura des réactions de la part de nos fidèles. Mais que l'on paye un peu plus ou un peu moins… ce n'est pas grave. Ce qui menace les communautés chrétiennes, c'est l'occupation militaire, le chômage, la peur de l'avenir.

 Vous avez rencontré le nouveau pape François. Le sentez-vous sensible à la question des chrétiens d'Orient ? 

Il est concerné et connaît la situation par les chrétiens qui ont quitté le Moyen-Orient pour l'Argentine et dont il a été l'ordinaire. C'est un homme d'écoute. Il a manifesté le désir de venir chez nous et nous l'avons invité. Je pense qu'il viendra, mais je ne sais pas quand.



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Raï rend hommage aux sacrifices de l’armée | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

3/7/2013-Raï rend hommage aux sacrifices de l'armée

Le patriarche maronite Béchara Raï a rencontré hier à Yarzé le général Jean Kahwagi, auquel il a présenté ses condoléances pour les soldats de l'armée tombés à Abra. Le patriarche a fait part de « sa solidarité avec l'armée », valorisant ses « sacrifices pour préserver la stabilité et la paix civile au Liban ». Il a de même appelé les Libanais « à se réunir autour de cette institution nationale qui garantit la sécurité du pays ».
Mgr Raï a en outre été reçu au palais présidentiel de Baabda par le président de la République Michel Sleiman, avec lequel il a évoqué des affaires d'ordre national. Le patriarche a présenté ses condoléances à M. Sleiman. Ce dernier s'est par ailleurs entretenu à Baabda avec l'ambassadeur du Koweït, Abdel Aal el-Kanaï, des relations bilatérales et des développements en cours dans le monde arabe.


Une délégation commune du Club d'Orient pour le dialogue des civilisations et de l'Union des jeunes démocrates du Kurdistan s'est ensuite rendue au palais présidentiel. Elle a mis Michel Sleiman au courant de la coopération bilatérale en cours, qui vise à renforcer le dialogue et la communication entre les jeunes.
Sur un autre plan, le bureau de presse de Baabda a annoncé hier dans un communiqué que le président palestinien Mahmoud Abbas entamera aujourd'hui une visite officielle au Liban, au cours de laquelle il se réunira avec le chef de l'État et d'autres responsables.

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mardi 2 juillet 2013

Rappel d'analyses portant sur les chretiens d'Orient

Rappel d'analyses portant sur les chretiens d'Orient 

Etudes, articles ,videos sur les chretiens d'Orient.
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France culture:

Mere agnes

Chretiens des pays perdus:


Syrie: les religieux décapités ne sont pas franciscains (mise au point du Vatican) : Observatoire de l'islamisation

Syrie: les religieux décapités ne sont pas franciscains (mise au point du Vatican)



Source: Radio Vatican du 28 juin

La custodie de Terre Sainte a démenti vendredi à la mi-journée la mort de trois moines en Syrie. RFI, Radio France internationale, avait annoncé quelques heures plus tôt que trois moines franciscains avaient été condamnés à mort et décapités dimanche 23 juin par des rebelles djihadistes du Front al-Nosra en Syrie, les trois hommes étant accusés d'entretenir des liens avec le régime de Bachar-al Assad. Toujours selon RFI, la vidéo de cette exécution macabre aurait été publiée sur internet. Des nouvelles sans fondement selon la Custodie de Terre Sainte.

La passivité de la communauté internationale dénoncée

(...) Selon le patriarche melkite de Damas, l'occident doit à tout prix éviter d'envoyer des armes à l'opposition : cela ne ferait qu'augmenter le nombre des veuves et des orphelinsLes Eglises de Syrie et du Liban ont lancé un appel à l'Union européenne lui demandant de ne pas armer les rebelles. .Lire la suite 

RFI a tenu compte de la mise au point de la custodie et évoque les  faits dans un article du 28 juin (extrait): 
"Nouvel épisode de la série macabre des exécutions de Syriens. Trois moines ont été tués dimanche 23 juin par le Front al-Nosra. La vidéo de leur assassinat vient d'être publiée sur internet. Parmi eux, le père François Mourad. Ce religieux, de nationalité syrienne, avait été enlevé dans son couvent à Ghassanieh, dans le nord de la Syrie.
Le tort du père François Mourad : avoir voulu fonder un ordre religieux à Ghassanieh.
Après avoir eu l'autorisation des autorités syriennes, ce moine franciscain s'installe dans la région. Furieux, des membres du Front al-Nosra débarquent dans son monastère ; ils dévastent les lieux, emportent tout sur leur passage. Ils enlèvent également le père François Mourad et deux autres religieux.
Quelques jours plus tard, le groupe terroriste improvise un tribunal en pleine nature. Les moines sont jugés. La sentence tombe : ils sont condamnés à mort." 
Les islamistes de Front al-Nosra, membres de l'"Armée Libre" de l'opposition reconnue par Paris, qui ont revendiqué le triple crime, indiquent que les trois suppliciés seraient des moines, mais  n'appartiennant donc pas à l'ordre franciscain.   
Le Washington Times parle d'un prêtre et de deux autres chrétiens
 Les grands médias français ne parlent de...rien ,comme à chaque massacre des rebelles islamistes, petits protégés du Quai d'Orsay. 
http://www.islamisation.fr/archive/2013/07/01/syrie-les-religieux-decapites-ne-sont-pas-franciscains-mise.html


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lundi 1 juillet 2013

Raï appelle les responsables politiques à la réconciliation | Politique Liban | L'Orient-Le Jour



Raï appelle les responsables politiques à la réconciliation

Le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, a exhorté les leaders et responsables politiques à s'engager sur la voie de la réconciliation par égard pour la population qui est confrontée à de multiples problèmes et crises à caractère politique et socio-économique.
Le cardinal Raï a tenu des propos en ce sens dans son homélie dominicale qu'il a prononcée au cours de la messe solennelle qu'il a présidée hier au siège patriarcal de Bkerké pour marquer la célébration de deux fêtes religieuses : la fête des Apôtres et la fête de saint Josémaria Escrivä, fondateur de l'Opus Dei.
Évoquant dans son homélie la conjoncture sur le double plan local et régional, le patriarche Raï a notamment déclaré : « Nous avons appelé les responsables politiques chez nous ainsi que les communautés en conflit à la réconciliation par égard pour une population qui ploie sous le poids des appréhensions portant sur l'avenir, qui ploie sous le poids de l'instabilité sécuritaire et de la crise socio-économique aiguë. Nous les invitons à la réconciliation, car tout est bloqué du fait de leurs conflits chroniques. Nous les appelons à la réconciliation du fait que les institutions constitutionnelles et la vie publique sont bloquées, sans compter les intérêts des citoyens qui sont négligés. »

Le patriarche Raï a, d'autre part, dénoncé « les débordements et les crimes qui sont couverts politiquement », stigmatisant aussi dans ce cadre « les violations de la loi et du pacte de vivre-ensemble de la part de factions qui tirent leur force du pouvoir, de l'argent et des armes ». 

Il a prôné sur ce plan « la réconciliation autour de la table de dialogue en vue de débattre en toute transparence de tous les sujets conflictuels ». 

Et le prélat maronite de conclure : « Les problèmes auxquels le Liban et le Moyen-Orient sont confrontés ne sauraient être résolus et leurs conséquences néfastes et destructrices ne sauraient être évitées sans un sursaut de conscience (...) de manière à suivre les exemples des douze apôtres et de saint Josémaria. »

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Syrie : les chrétiens sont « les plus vulnérables » des citoyens


Les chrétiens constituent en Syrie le groupe le plus vulnérable et le plus persécuté des citoyens de ce pays, confirme l'Agence Fides.

Alors que le nombre des vies humaines sacrifiées dans le cadre du conflit syrien atteint le seuil des 100 000, un rapport détaillé de 78 pages commandé et publié par Open Doors International (l'agence de secours aux chrétiens persécutés fondée par le missionnaire évangélique néerlandais Anne van der Bijl) et parvenu à l'Agence Fides indique au moyen de données objectives l'exposition particulière des communautés chrétiennes syriennes aux conséquences catastrophiques de la guerre civile. Le rapport, intitulé Vulnerability Assessment of Syria's Christians et rédigé sous la direction de l'analyste géopolitique Nicholas Heras, recueille et expose de manière rigoureuse les facteurs de « vulnérabilité » qui caractérisent la condition des chrétiens dans le scénario syrien actuel.
À la différence d'autres groupes minoritaires tels que les Alaouites et les Kurdes, qui se sont rangés contre les forces d'opposition – peut-on lire dans le rapport en question – la position des chrétiens par rapport aux forces en lutte apparaît plus complexe et plus nuancée.

Contrairement à ce qu'affirment certains secteurs de l'opposition, les chrétiens ne sont pas en bloc et par préjugé derrière Assad. Des intellectuels chrétiens tels que Michel Kilo, Faiz Sara et George Sabra (actuel président du cartel d'opposition Syrian National Coalition) ont, dès le début, exercé un rôle reconnu dans les milieux de la dissidence. De nombreux chrétiens ont également participé aux manifestations contre le régime visant à demander plus de liberté et de démocratie, avant que le conflit n'enflamme tout le pays. L'étude produite par Open Doors fait mention de chrétiens présents dans les milices de la Free Syrian Army, bras armé de l'opposition. De l'autre côté, de nombreux chrétiens auraient également été enrôlés au sein des Comités d'autodéfense populaire constitués pour défendre les villages et installations des raids des milices d'opposition.
Selon les analyses effectuées sous la responsabilité d'Heras, au cours de la première phase du conflit, aucune attaque visant des chrétiens en tant que tels n'était enregistrée. Avec le temps, la dérive sectaire progressive de la guerre civile a provoqué une augmentation du nombre des homicides, des enlèvements, des viols et des violences à l'encontre des chrétiens perpétrés par les groupes salafistes et djihadistes (telles que les intimidations infligées aux chrétiens d'Homs par le « bataillon al-Farouq » au travers de l'imposition de la « taxe de protection islamique ») contribuant à semer la panique parmi les baptisés syriens.
Le rapport d'Open Doors recueille de plusieurs sources les nouvelles d'épisodes de violence subis par les chrétiens et décrit dans le détail les facteurs objectifs qui font de la communauté chrétienne l'un des groupes les plus vulnérables dans le cadre de la guerre civile qui anéantit le pays, à commencer par le fait qu'ils se trouvent concentrés dans des zones stratégiques (Damas, Homs, Alep et les zones confinant avec le Liban et la Turquie) au centre des affrontements militaires. Les chrétiens – peut-on lire dans le rapport – paient le fait de « se trouver sous un feu croisé, subissant la violence des deux parties » au conflit. Ils constituent des cibles « faciles » pour tous les groupes criminels qui en profitent. Ils souffrent de la plus grande hostilité et de vexations dans les camps de réfugiés. Ils font l'objet d'attaques ciblées toujours plus fréquentes de la part de bandes islamistes. On compte proportionnellement plus de réfugiés et d'évacués parmi les populations chrétiennes que parmi les autres groupes ethniques et religieux. Leur vulnérabilité est accentuée par leur réticence à s'organiser en milices armées d'autodéfense. Ce qui constitue une série d'éléments qui assombrit les perspectives d'avenir des chrétiens en Syrie, préfigurées dans les dernières pages du rapport, et ce quel que soit l'issue de la guerre civile.

Source: Agence Fides


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samedi 29 juin 2013

Un attentat fait quatre morts devant la cathédrale grecque-orthodoxe de Damas | La-Croix.com

28/6/2013- « AIDEZ-NOUS À FAIRE LA PAIX, PAS LA GUERRE »

Un kamikaze s'est fait exploser jeudi 27 juin 2013, dans l'après-midi, devant la cathédrale grecque-orthodoxe de Bab Tuma, dans le centre historique de Damas. Le bilan provisoire fait état de quatre morts et au moins huit blessés. Cette nouvelle a été diffusée à la fois par des organismes gouvernementaux et par l'Observatoire syrien des droits de l'homme. Pour l'heure, aucun groupe n'a revendiqué cette attaque.


Selon les informations disponibles, l'assaillant se serait infiltré dans un groupe de personnes faisant la queue à l'extérieur du bâtiment pour obtenir de la nourriture et des produits de première nécessité fournis par les religieux. Selon des témoins, l'explosion aurait endommagé une grande partie de l'édifice. La cathédrale de Bab Tuma est l'une des plus anciennes églises de la capitale, et c'est aussi le siège de l'Église grecque orthodoxe d'Antioche.

Le patriarche melkite Grégoire III Laham a dénoncé « un acte barbare commis par des bandits et des criminels sans scrupule contre des innocents », évoquant la responsabilité de groupes échappant au contrôle de l'opposition. « Il y a des États qui veulent armer ces gangs et c'est très grave », déplore-t-il, alors que soixante jours se sont écoulés depuis l'enlèvement de deux évêques dans la région d'Alep, et dont aucune preuve de vie n'a été donnée.

« Nous demandons à la communauté internationale de s'engager pour leur libération », déclare Grégoire III, qui se fait insistant : « Nous disons au monde : vous fournissez des armes à des criminels et vous vous rendez à Genève pour aider les Syriens à faire la paix. Nous avons une grande tradition de coexistence et de dialogue et nous avons la capacité d'y parvenir nous-mêmes ».

« Aidez-nous à faire la paix, pas la guerre. Ceux qui combattent contre le régime Assad ne sont pas des Syriens, mais viennent de l'extérieur, poursuit le patriarche melkite. Ces atrocités n'appartiennent pas à notre tradition de respect et de tolérance. »

Par ailleurs, la custodie de Terre sainte a démenti les articles affirmant que trois religieux franciscains ont été tués en Syrie au cours des dernières 48 heures. Elle se tient aussi informée que possible des événements syriens et s'enquiert régulièrement de ses frères sur place. Ayant reçu des nouvelles le vendredi 28 Juin, à midi, la custodie « nie vigoureusement » ces allégations.



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