Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

dimanche 11 janvier 2015

Le "vivre ensemble" à la française est-il en danger ? - L'Orient-Le Jour

Le "vivre ensemble" à la française est-il en danger ? - L'Orient-Le Jour

Les attaques sanglantes menées par trois jihadistes à Paris, qui ont fait 17 morts, mettent à l'épreuve le "vivre ensemble" à la française, fondé sur un idéal d´intégration de toutes les composantes de la société, quelles que soient leurs origines, et sous la protection de la laïcité.

Les trois Français, issus de familles immigrées et convertis à l'islamisme radical, s'en sont pris aux "piliers de la République" que sont la liberté, l'égalité et la fraternité, a dénoncé samedi Moshe Lewin, porte-parole du grand rabbin de France Haïm Korsia, traduisant un sentiment largement partagé par une population traumatisée.
Les attaques ont pris pour cibles le journal satirique Charlie Hebdo, symbole de la liberté d'expression, des policiers et un supermarché casher.

"Ce ne sont plus des assassins téléguidés de l'étranger qui nous frappent au cœur", a relevé samedi le directeur de la rédaction du quotidien de gauche Libération Laurent Joffrin. "Les tueurs sont des gamins de France, ils ont été entraînés, endoctrinés, robotisés par des militants liés aux théâtre d'opération irakien ou syrien. Mais ils sont nés ici, ils ont grandi ici, ils ont été fanatisés ici".

(Analyse : Quand le terrorisme change de méthode et de visage)


La communauté juive, la plus importante d'Europe, est souvent la première visée par les violences, comme le 19 mars 2012 à Toulouse où Mohamed Merah, un enfant de la ville, avait tué trois enfants et un enseignant d'une école juive. Un sentiment d'insécurité se répand parmi ses 500 000 à 600 000 membres, poussant 7 000 d'entre eux à émigrer vers Israël en 2014, un record.

Chérif et Saïd Kouachi, qui ont assassiné mercredi douze personnes dans l'attaque du siège de Charlie Hebdo et dans leur fuite, sont nés en France de parents d'origine algérienne. Les parents d'Amedy Coulibaly, qui a tué une policière jeudi et quatre clients d'un supermarché casher vendredi, sont d'origine malienne. Mais lui aussi a été élevé en France. Les trois jihadistes ont été abattus par la police.

(Lire aussi : Anciens et nouveaux suspects jihadistes : les services français submergés)


Des centaines de milliers de personnes sont déjà descendues spontanément dans la rue pour exprimer leur indignation, et plus encore sont attendues à une "marche républicaine" organisée dimanche à Paris et dans les villes de province. Cette manifestation "doit montrer la puissance et la dignité du peuple français qui va crier son amour de la liberté et de la tolérance", a déclaré samedi le Premier ministre socialiste Manuel Valls, reprenant l'appel à "l'unité nationale" lancé par le président François Hollande.

Mais "l'impression d'unanimité" donnée par ces réactions à chaud peut être trompeuse. Des ressentiments à l'égard des musulmans, des juifs, de la classe politique ou de Charlie Hebdo, accusé de s'en être pris au sacré, se sont manifestés sur les réseaux sociaux. Et cette "unité nationale" circonstancielle "ne préjuge en rien" de la suite, estime Philippe Braud, spécialiste en sociologie politique. Ce professeur émérite à l'Institut de sciences politiques souligne "le risque de choc en retour" pour les cinq millions de musulmans en France qui risquent de pâtir de la dérive sanglante des adeptes du jihadisme. Plusieurs centaines sont partis en Syrie ou en Irak où ils sont "formés au terrorisme", selon les autorités.

(Lire aussi : "Le vrai musulman, c'est celui qui sous l'uniforme cherchait à protéger ses concitoyens")


"Destruction programmée du rêve français"
Depuis mercredi, près d'une vingtaines d'actes criminels ont visé des lieux de culte musulmans ou des établissements fréquentés par des musulmans dans toute la France.
Un sondage Ifop publié samedi révèle que l'islam "représente une menace" pour 29% des Français, même si 66% rejettent l'amalgame entre "les musulmans qui vivent paisiblement en France" et les islamistes radicaux.

"Nos compatriotes musulmans ont peur aujourd'hui", a reconnu vendredi Manuel Valls. "L'islam est une religion de tolérance", a-t-il martelé samedi, en soulignant que la France "n'est pas en guerre contre une religion" mais "contre le terrorisme, le jihadisme, l'islamisme radical".
La présidente du Front national (extrême droite) Marine Le Pen a affirmé vendredi être la seule à parler de guerre contre le "fondamentalisme islamique".

(Lire aussi : "Moi, je suis désolé, je ne suis pas Charlie", lance Jean-Marie Le Pen)


Les interrogations sur l'efficacité de l'intégration à la française sont également relancées.
L'intégration à la française, qui s'oppose au communautarisme, est une réussite pour la majorité des immigrés mais elle a aussi "ses failles", souligne Philippe Braud. Le "défi" qu'elle a toujours représenté est aujourd'hui compliqué par la mondialisation : avec la télévision et Internet, "les liens des diasporas avec les cultures d'origine sont plus faciles à maintenir et l'intégration peut en être retardée".

Cinq semaines avant l'attaque sanglante du supermarché casher, le grand rabbin de France avait déploré "la persistance de préjugés abjects" concernant les juifs en France et souligné que "racisme et antisémitisme sont synonymes de la destruction programmée du rêve français".
Vendredi, François Hollande a appelé les Français à être "implacables à l'égard du racisme et de l'antisémitisme".

Lire aussi
Prénoms Charlie, l'éditorial de Issa Goraïeb

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Envoyé de mon Ipad 

samedi 10 janvier 2015

Raï : Au nom de la liberté d’expression, on cherche à affaiblir l’Église maronite - Fady NOUN - L'Orient-Le Jour

Raï : Au nom de la liberté d'expression, on cherche à affaiblir l'Église maronite - Fady NOUN - L'Orient-Le Jour

Raï : Au nom de la liberté d'expression, on cherche à affaiblir l'Église maronite - Fady NOUN

Tout en s'engageant au maintien d'une transparence totale de la vie des institutions de l'Église maronite, et en se déclarant totalement favorable à ce que ses diverses institutions et commissions aient des comptes à rendre, le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, a défendu cette Église contre « certaines campagnes médiatiques contre les institutions de l'Église et la religion chrétienne ». « Des attaques infondées lancées dans l'intention expresse de nuire », a-t-il précisé.

Brandissant le code canon des Églises orientales, ainsi que les divers chartes, statuts et règlements gouvernant les institutions de l'Église maronite (tribunaux religieux, biens wakf, fondations à vocation économique et sociale, etc.), le patriarche a affirmé que si chacune d'entre elles répond de ses actions devant une instance d'Église et au patriarche, « personne d'autre n'a le droit de s'ériger en censeur de leur action » ou de se prononcer sur leur activité « sans s'être référé d'abord à l'instance légitime habilitée à le faire ». « Nous avons des règlements pour toutes nos institutions. Il n'y a pas un one-man-show à Bkerké. Je rends compte moi-même de mon action au synode des évêques », a précisé le chef de l'Église maronite.

Le patriarche a tenu ces propos lors d'une rencontre avec la presse hier, accusant certains programmes de télévision, des journalistes de la presse écrite et des blogs de « s'ériger en juges » des institutions de l'Église et « d'attenter à la dignité humaine, de semer le soupçon, de braver des interdits » en usant « du mensonge, de la diffamation et de la calomnie, dans l'intention explicite de nuire à l'Église et de la discréditer, soit pour des raisons personnelles suspectes comme celle de cacher leurs propres erreurs, soit par appât du gain, soit pour des raisons politiques, le tout se faisant au nom de la liberté d'expression ».

Le patriarche a dénoncé la vénalité de certains programmes dont les animateurs attaquent des institutions d'Église « pour attirer les annonceurs publicitaires et se construire une image sociale et politique au détriment des valeurs spirituelles, morales et culturelles ». Il a été jusqu'à comparer ces programmes aux jeux de cirque des trois premiers siècles de l'histoire du christianisme, quand les chrétiens étaient mis à mort pour amuser la foule sous l'Empire romain.
« Aujourd'hui, a-t-il dit, c'est le peuple de Dieu, le corps mystique du Christ, la dignité humaine, la sainteté de l'Église, le prestige de l'autorité spirituelle et la valeur des institutions d'Église qui le sont. »
« Il ne manque plus que le billet d'entrée », a-t-il réagi, sortant de son texte.

(Pour mémoire : Raï citant François : Face à la mondialisation de l'indifférence, la mondialisation de la solidarité)

Attaques concertées
Répondant aux questions des journalistes présents, le patriarche a répété qu'il tient pour certain que « ces attaques sont concertées et monnayées, qu'elles ont pour but d'affaiblir l'Église maronite et le christianisme, et qu'elles se poursuivront ».

Au sujet de deux dossiers soulevés par les médias ces derniers temps, les précisions suivantes ont été apportées.
Sur la résidence en construction de Walid Ghayad, un avocat responsable à l'information du patriarcat, dont un journaliste avait fait un article à sensation, l'économe de Bkerké, Mgr Joseph Bouéri, a précisé ce qui suit : au même titre que plus de 1 420 autres cas de location de biens-fonds wakf, dont environ 600 ont été utilisés pour être construits, M. Ghayad a loué un terrain situé sur le cadastre de Ghosta, et il y construit à ses propres frais une résidence pour sa famille ainsi que pour ses parents, déplacés du Chouf en 1983. Pour un homme engagé si totalement au service du patriarche, il n'y a là rien de plus normal, et des dispositions similaires ont déjà été prises pour des diacres engagés au service des prédécesseurs du patriarche Raï, a-t-il affirmé en substance.
C'est par malveillance que ce dossier a été soulevé, souligne-t-on dans les milieux de Bkerké, et le parfum de scandale qu'on a cherché à lui donner a fait un immense tort à la famille de M. Ghayad, au point que sa propre santé et celle de ses parents s'en sont ressenties.

Sur un programme télévisé à sensation qui a soulevé le dossier des tribunaux religieux maronites, c'est le patriarche lui-même qui a insisté sur la nécessité de distinguer entre les frais de tribunal, qui sont tarifés, et les frais d'avocat qui sont libres. Il a précisé que l'avocat peut prétendre que le juge doit être « incité » à juger pour soutirer plus d'argent à son client. Le chef de l'Église maronite a rappelé toutefois qu'il existe un fonds d'assistance judiciaire pour les demandeurs sans ressources et que près de 800 000 dollars d'aides ont été accordées en 2014 à ce titre. Et le patriarche Raï de demander avec insistance que tout cas douteux lui soit rapporté afin que les juges malhonnêtes soient radiés. Le patriarche a reconnu toutefois que les tribunaux sont engorgés (environ 450 dossiers par an), ce qui peut provoquer du retard.

(Pour mémoire : Raï aux tribunaux maronites : Ne laissez pas traîner les procès)


La présidence
En réponse aux journalistes qui ont soulevé le dossier de la présidentielle, le patriarche a précisé que « Bkerké n'a pas de candidats et n'oppose de veto à aucun candidat ». Et d'ajouter qu'il n'est pas hostile à un amendement de la Constitution, « en cas de grande nécessité », pour permettre l'élection d'une personnalité qui ne serait pas éligible autrement.
Le patriarche s'est par ailleurs défendu de « mettre à pied d'égalité » les députés qui assistent aux séances de vote et ceux qui s'en abstiennent, affirmant que s'il en donne l'impression, c'est parce qu'aucune initiative sérieuse n'est lancée pour dépasser ce blocage. Et de se demander pourquoi les députés du 14 Mars ne décrètent pas un sit-in à l'intérieur de l'hémicycle pour forcer la décision.
Le patriarche a par ailleurs rappelé qu'il dispose d'un sondage d'opinion sur les préférences présidentielles des Libanais.

(Lire aussi : La rencontre Aoun-Geagea, un grand événement, en dépit des apparences)


Réagissant à une réflexion prêtée au président syrien selon laquelle un président libanais ne peut être élu sans l'accord de la Syrie, le patriarche a répondu en situant un tel avis, « qu'il soit ou non du président syrien, dans le contexte de la rivalité qui se manifeste entre l'Arabie saoudite et l'Iran, et entre sunnites et chiites ». « Qu'on le veuille ou non, le Liban est prisonnier de cette équation », a-t-il ajouté.
« Nous sommes toujours en contact avec les ténors maronites loin de toute publicité, mais l'échéance présidentielle concerne tous les Libanais, pas seulement les chrétiens, a dit en substance le patriarche. Nous engageons les ambassadeurs accrédités au Liban à agir pour que l'échéance présidentielle soit dissociée de son contexte régional. »

Lire aussi
Le gouvernement à la peine, mais pas en danger

La « persécution » des chrétiens a augmenté en 2014



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vendredi 9 janvier 2015

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Raï dénonce les "lions du Colisée" qui existent au sein des médias - L'Orient-Le Jour

Raï dénonce les "lions du Colisée" qui existent au sein des médias - L'Orient-Le Jour
9/12015-Raï dénonce les "lions du Colisée" qui existent au sein des médias

Liban

Le patriarche maronite Béchara Raï a dénoncé vendredi les attaques menées par certains médias contre les chrétiens et l'Église.

Lors d'une conférence de presse en présence des journalistes accrédités auprès de Bkerké, Mgr Raï a dénoncé les "lions du Colisée" au sein des médias. "Au Colisée de Rome (sous l'empire romain), les lions dévoraient les martyrs chrétiens, tandis qu'au Colisée de certains programmes télévisés ou autres sites internet aujourd'hui, les âmes et la dignité des personnes et de l'Église sont dévorées", a-t-il estimé.

"Le patriarcat est une institution en bonne et due forme, a-t-il ajouté. Je vous prie donc de ne pas nous donner d'instructions, ou de vous comporter en tant que tuteurs du patriarche", a poursuivi Mgr Raï, en allusion à ses critiques. Il avait récemment dénoncé une campagne contre Bkerké.

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Envoyé de mon Ipad 

Les évêques maronites pour un dialogue inspiré des constantes nationales - L'Orient-Le Jour

Les évêques maronites pour un dialogue inspiré des constantes nationales - L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com/article/904545/les-eveques-maronites-pour-un-dialogue-inspire-des-constantes-nationales.html
8/1/2015-Les évêques maronites pour un dialogue inspiré des constantes nationales

L'Assemblée des évêques maronites a une fois de plus appelé hier les députés à élire un président de la République.
Réunie sous la présidence du patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, l'Assemblée a souhaité que la nouvelle année soit l'occasion de « souder de nouveau les liens nationaux et sortir du tunnel obscur dans lequel le pays a été plongé du fait du vide présidentiel ».
« Après l'échec de la 17e séance électorale, en raison du défaut de quorum et l'absence de toute initiative pratique des blocs politiques parlementaires, nous appelons une fois de plus la Chambre des députés à remplir son devoir constitutionnel en élisant un président de la République, sans lequel il ne saurait y avoir de redressement des institutions », a noté l'Assemblée dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion mensuelle à Bkerké.
« Plus le vide perdure et plus le Liban est exposé (aux dangers, NDLR) aux niveaux interne et externe, et plus les dossiers nationaux gagnent en complexité », ont poursuivi les évêques, appelant les responsables à « œuvrer dans l'esprit de l'intérêt national supérieur ».
L'Assemblée a par ailleurs salué le début du dialogue interne, estimant que « la prise de contact et l'établissement des liens sont à la base du régime pluraliste au Liban ». « Nous craignons cependant que ce dialogue se maintienne au niveau de la gestion de conflits bilatéraux, alors que ce dont nous avons vraiment besoin, c'est d'un dialogue global qui s'inspire des constantes libanaises qui se trouvent dans le pacte national et la Constitution, afin que ces dialogues aillent dans l'intérêt du Liban (...) et de tous les Libanais. Le Liban n'aura pas d'avenir prometteur s'il reste prisonnier des axes régionaux et internes, et otage des intérêts partiels et sectaires, ainsi que des calculs extérieurs. C'est pourquoi il faut trouver les mécanismes pour qu'il n'y ait plus de blocage de l'élection présidentielle à chaque échéance, ou de paralysie des autres institutions », ajoute le communiqué.
L'Assemblée a enfin réitéré son soutien à l'armée libanaise et appelé le gouvernement à libérer les militaires retenus en otage par les jihadistes.
Signalons par ailleurs que le patriarche Raï a reçu hier à Bkerké le député Talal Arslane et l'ancien ministre Marwan Kheireddine, ainsi que l'ancien ministre Abdel Rahim Mrad, ainsi qu'une délégation de la Ligue syriaque présidée par M. Habib Afram.



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jeudi 8 janvier 2015

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ASIE/LIBAN - Appel des Evêques maronites aux parlementaires en faveur de l’élection rapide d’un nouveau Chef de l’Etat



Envoyé de mon Ipad 

Début du message transféré :

Expéditeur: Fides News Fr <fidesnews-fr@fides.org>
Date: 8 janvier 2015 14:47:26 UTC+2
Destinataire: Agence International FIDES <fidesnews-fr@fides.org>
Objet: [Agence Fides] Fides News
Répondre à: no-reply@fides.org

ASIE/LIBAN - Appel des Evêques maronites aux parlementaires en faveur de l'élection rapide d'un nouveau Chef de l'Etat

Bkerkè (Agence Fides) – Les Evêques maronites, réunis hier dans le cadre de leur rencontre mensuelle présidée par le Patriarche d'Antioche des Maronites, S.Em. le Cardinal Bechara Boutros Rai, au siège patriarcal de Bkerkè, ont, encore une fois, exhorté les parlementaires à élire rapidement un nouveau Président de la République libanaise. Le début de la nouvelle année – peut-on lire dans le communiqué diffusé au terme de la réunion et parvenu à l'Agence Fides – doit représenter un moment favorable pour « renforcer de nouveaux liens nationaux et laisser derrière soi le tunnel sombre dans lequel le pays s'est enfoncé à cause de la vacation de la charge présidentielle ».
Après l'échec de 17 sessions parlementaires convoquées en vue de l'élection du Président suite à l'absence d'un accord entre les coalitions opposées qui dominent la scène politique du pays, les Evêques maronites réaffirment que la paralysie institutionnelle expose actuellement le Liban à de graves dangers – vus les conflits en cours dans l'ensemble du Proche-Orient – et invitent les membres des différentes factions à « œuvrer dans l'esprit de l'intérêt supérieur de la nation ».
L'Assemblée a en outre accueilli favorablement les contacts, en cours ou à mettre en place, entre responsables et groupes politiques jusqu'ici opposés, invitant entre temps toutes les forces à ne pas s'en tenir à des rencontres bilatérales et à ouvrir un dialogue global ayant comme référence le pacte constitutionnel et la Constitution. « Le Liban – peut-on lire dans le communiqué final de l'Assemblée épiscopale maronite – n'aura pas un avenir lumineux s'il demeure prisonnier des axes régionaux et internes, otage d'intérêts partiels ou sectaires. Dans ce but, il est nécessaire de trouver des mécanismes qui empêchent de bloquer les élections présidentielles à l'échéance de chaque mandat ou de provoquer la paralysie des autres institutions ». Les Evêques maronites ont également réaffirmé leur proximité et leur soutien à l'armée libanaise, invitant le gouvernement à faire tout ce qui est en son pouvoir pour favoriser la libération des militaires actuellement otages des miliciens djihadistes de Jabhat al Nusra. (GV) (Agence Fides 08/01/2015)

Le président égyptien a participé au Noël copte du Caire | La-Croix.com

Le président égyptien a participé au Noël copte du Caire | La-Croix.com


Le président Al-Sissi et le patriarche copte-orthodoxe Tawadros II lors de la veillée du Noël copte le 6 janvier 2014, en la cathédrale Saint-Marc du Caire.

Le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, a participé à la liturgie de la veillée du Noël copte célébrée le soir du mardi 6 janvier par le patriarche copte-orthodoxe Tawadros II en la cathédrale Saint-Marc du Caire. « La participation personnelle du président égyptien à la veillée du Noël copte constitue un événement nouveau dans l'histoire de l'Égypte », explique à l'agence de presse Fides Mgr Antonios Aziz Mina, évêque copte catholique de Gizeh.

Par le passé, les présidents se limitaient à envoyer des représentants. Certains présidents égyptiens – y compris Hosni Moubarak et l'islamiste Mohamed Morsi – présentaient leurs vœux de Noël au patriarche au travers d'appels téléphoniques de courtoisie, alors que d'autres – comme Gamal Abd el Nasser et l'ancien président par intérim Adli Mansour – avaient effectué des visites de courtoisie auprès du patriarche au cours des jours précédant le Noël copte ».

« Il est important que le monde nous voie comme'les Egyptiens'»

Au cours de la célébration, retransmise par la télévision d'État, le président al-Sissi a également prononcé un bref discours, aux côtés du patriarche Tawadros II. « Il est important que le monde nous voie comme'les Égyptiens', rapporte le correspondant de RFI. Et vous noterez que je ne dis que'les Égyptiens'. Il n'est pas acceptable que quelqu'un demande : tu es un Égyptien de quelle religion ? ».

Récemment, parlant aux hauts représentants et au corps enseignant de l'Université d'al-Azhar, le président égyptien avait sollicité des personnalités religieuses de l'islam de « sortir d'elles-mêmes » et de favoriser une « révolution religieuse » afin d'éradiquer le fanatisme et de le remplacer par « une vision plus illuminée du monde » s'ils ne voulaient pas prendre « devant Dieu » la responsabilité d'avoir conduit la communauté islamique sur le chemin de la ruine.

D'après le correspondant de RFI, cette visite du président égyptien est considérée comme une trahison aux yeux des islamistes, certains n'hésitant pas à traiter Abdel Fattah al-Sissi d'apostat sur les réseaux sociaux.



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Les Coptes de Minya fêtent Noël dans leurs églises encore en ruine | La-Croix.com

Les Coptes de Minya fêtent Noël dans leurs églises encore en ruine | La-Croix.com

Dans cette ville de Moyenne-Égypte, une dizaine d'églises avaient été brûlées en août 2013 par des manifestants islamistes.

L'armée tarde à remplir sa promesse de reconstruire les églises, mais les Coptes ont tenu à fêter Noël malgré tout sur les lieux.

Le P. Andrawes est encore sous le choc. Mardi 6 janvier au matin, quelques heures avant le Noël copte, il a été réveillé par un coup de téléphone. « Deux policiers qui gardaient mon église venaient d'être tués par des hommes armés. C'est la première fois qu'un tel accident arrive dans notre paroisse. »

Le prêtre copte-catholique de l'église Saint-Marc, à Minya, veut pourtant croire que l'attaque ne visait pas les chrétiens. « C'est le gouvernement et la police qu'ils ont voulu atteindre. Les paroissiens ne sont pas en danger. La messe de Noël aura bien lieu ce soir, même si toutes les festivités seront annulées par solidarité avec les deux policiers. Nous n'avons pas peur. »

En août 2013, une trentaine d'églises de la région avaient été attaquées par des partisans de l'ancien président Mohamed Morsi. Enragés par la violente répression de deux sit-in des Frères musulmans au Caire par l'armée, ils étaient parvenus à en brûler entièrement une dizaine, sans que la police n'intervienne. Un an et demi après ce traumatisme, les Coptes de Minya veulent croire que les choses ont changé.

« Pour la première fois depuis 2013, nous allons pouvoir fêter Noël à l'intérieur »

À quelques kilomètres de l'église Saint-Marc, la grande église Amir Tadros est pratiquement reconstruite. Ses deux tours, flanquées d'échafaudages, dominent le centre-ville. Sur place, Chérif Zekri, un pharmacien copte-orthodoxe, se réjouit. « Merci Dieu, merci l'armée, merci l'évêque Mgr Macarios. Pour la première fois depuis 2013, nous allons pouvoir fêter Noël à l'intérieur. » Seul le gros œuvre est terminé. Quelques décorations de fortune ont été installées au rez-de-chaussée pour égayer le béton encore nu, tandis que de simples bâches empêchent le vent d'entrer par les côtés.

L'ancienne église avait été totalement détruite, il a fallu la reconstruire entièrement. Mais c'est toute la rue qui avait aussi subi la rage des manifestants et la plupart des commerces, tenus par des chrétiens, avaient été attaqués. Aujourd'hui, les traces des destructions ont disparu. Seul trône, à quelques mètres de l'église Amir Tadros, un orphelinat toujours en ruine, dont les fenêtres noircies témoignent de la violence de l'incendie.

« L'armée a seulement promis de reconstruire les écoles et les églises brûlées »

Juste en face, John Gamal accueille des clients dans sa pharmacie refaite à neuf. « Le 14 août 2013, les manifestants avaient pillé et brûlé mon officine, se rappelle-t-il. Une fois partis, des voisins musulmans ont éteint le feu, qui a ravagé les lieux pendant 6 heures. » Grâce à ses économies, John Gamal a relancé son activité, sans aucune aide du gouvernement. « L'armée a seulement promis de reconstruire les écoles et les églises brûlées. »

La promesse, restée gravée dans les esprits, est encore loin d'être remplie. Même si l'église Amir Tadros, où l'armée a payé le ciment, et quelques écoles ont été reconstruites dans Minya, toutes les autres églises brûlées sont restées en l'état. Dans un quartier populaire à 5 minutes de taxi d'Amir Tadros, l'église Anba Moussa n'est qu'un squelette calciné gardé par quelques policiers armés. « Le gouvernement assure que la reconstruction débutera dès qu'Amir Tadros sera finie, indique Abanoub Safwat, un jeune étudiant qui vit à deux rues de là. Mais nous avons nettoyé le sous-sol, et nous ferons une messe ici ce soir, quoi qu'il arrive. »

« Ces hommes se font tuer pour nous protéger ! »

Les chrétiens de Minya, pour la plupart, font confiance au nouveau pouvoir, incarné par le désormais tout-puissant président Sissi. Mais, derrière le soutien affiché, certains expriment timidement leur inquiétude. « Selon moi, rien n'a changé au sein de la police depuis août 2013. D'ailleurs, si j'étais moi-même policier, je protesterais du manque de formation et d'équipement. Ces hommes se font tuer pour nous protéger ! », assure ainsi Mgr Boutros Fahim, l'évêque copte-catholique de Minya. Depuis la prise de pouvoir par l'armée, les forces de sécurité subissent des attaques quasi quotidiennes, attribuées généralement à des djihadistes.

Le président égyptien a participé au Noël copte du Caire 

Alors que la nuit tombe, les Coptes affluent dans les églises de la ville. Dans l'église Amir Tadros, de longues prières précédent la messe de plus de deux heures. Quelques dizaines de notables musulmans de la ville viennent congratuler le prêtre au cours de la soirée. « Nous sommes tous frères, chrétiens ou musulmans, explique Beha Fikry, un des musulmans de passage. » Dans la salle ouverte, au froid glacial, les chrétiens de la ville n'ont pas eu peur : l'église est pleine à craquer. Les hommes d'un côté, les femmes de l'autre, entonnent des chants en arabe et en copte. « Notre vieille église nous manque, raconte Mary, l'une des fidèles. Nous avions tant de souvenirs. Le plus important, c'est que nous avons à nouveau un endroit pour prier. »



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Les persécutions contre les chrétiens augmentent partout dans le monde | La-Croix.com

Les persécutions contre les chrétiens augmentent partout dans le monde | La-Croix.com

Les persécutions contre les chrétiens augmentent partout dans le monde

L'index mondial de persécution 2015 publié par l'ONG protestante Portes ouvertes met l'accent sur l'augmentation générale du niveau de violence dirigée contre les chrétiens.

La Corée du Nord, la Somalie et l'Irak sont en tête d'un classement où la montée de l'islam radical concerne 40 pays sur 50.

« Le niveau de persécution des chrétiens augmente partout dans le monde », a déclaré Michel Varton, directeur de l'ONG protestante Portes Ouvertes France qui a rendu publique, mercredi 7 janvier à Paris, son Index mondial de la persécution 2015.

Alors que le niveau global de violence s'est accru de manière globale, en particulier en Afrique, trois pays atteignent pour la première fois la « zone noire », cote d'alerte maximale de l'Index : la Corée du Nord, la Somalie et l'Irak. « Dans ces pays, si l'on découvre que vous êtes chrétien, vous êtes tués ou disparaissez dans des camps », souligne le directeur de l'ONG. L'Europe, en revanche, est absente de cet index où figurent 50 pays.

Violences physiques et discriminations

Autre constat : l'extrémisme islamique apparaît comme le principal mécanisme de persécution. Ce phénomène concerne 8 des 10 pays les plus concernés par les violences antichrétiennes  : Nigeria, Irak, Syrie, Centrafrique, Soudan, Pakistan, Égypte et Kenya. « Il s'agit aussi bien de violences physiques que de discriminations et d'oppressions au quotidien », commente Michel Varton.

L'année 2014 a par ailleurs été marquée par une importante augmentation du nombre de réfugiés : 40 % des 1,8 million de chrétiens syriens ont ainsi quitté leur pays, tandis que 140 000 chrétiens d'Irak ont été chassés de la plaine de Ninive vers le Kurdistan irakien par les combattants de l'État islamique. 5 000 familles ont par ailleurs quitté l'Irak.

En Afrique, « l'effet Boko Haram » a jeté des milliers de chrétiens sur les routes et en Érythrée, pays où sévit un régime militaire ultra-répressif, ils sont des milliers à quitter le pays pour échapper à la prison.

Continent plus inattendu, l'Amérique Latine figure elle aussi sur cet index : en Colombie et au Mexique, les guérillas et le crime organisé s'en prennent aux pasteurs qui s'opposent à leurs activités.

Inde et Chine sous surveillance

Outre ces grandes tendances, l'ONG attire l'attention sur les cas de l'Inde et de la Chine, où se concentre près de 40 % de la population mondiale. En Inde, l'arrivée au pouvoir du parti nationaliste hindou BJP se traduit par un durcissement des conditions de vie pour les chrétiens, avec le risque de voir s'instaurer une loi anti-conversion.

En Chine, où le christianisme évangélique connaît une poussée sans précédent, 258 églises ont été détruites en 2014, contre 27 en 2013. « Le gouvernement chinois va-t-il laisser croître le christianisme au grand jour ou va-t-il continuer à l'étouffer ? », s'interroge le directeur de Portes Ouvertes.

Difficile comptage des victimes

Quant au nombre de personnes tuées au nom de leur foi en 2014, Portes ouvertes avance le chiffre de 4 344 chrétiens assassinés en 2014, contre 2 123 l'an dernier et 1 201 l'année précédent.

La méthode et les chiffres avancés dans ce domaine varient toutefois énormément d'un organisme à l'autre, étant donné la difficulté à établir un tel comptage.

Fondée en 1955 par un pasteur hollandais, Ann van der Bijl, Portes Ouvertes intervient aujourd'hui dans 60 pays. Son rapport annuel, publié depuis 1997, est fondé sur un système de points attribués selon six critères  : vie privée, familiale, sociale, civile, ecclésiale, ainsi que les « violences physiques ».

L'ONG catholique Aide à l'Église en Détresse (AED) faisait état, dans son rapport 2014, d'un recul général de la liberté religieuse dans le monde.



Envoyé de mon Ipad 

mardi 6 janvier 2015

Pour en finir avec les parasites - Fady NOUN - L'Orient-Le Jour

Pour en finir avec les parasites - Fady NOUN - L'Orient-Le Jour

Pour en finir avec les parasites

Dans l'esprit de beaucoup de chrétiens libanais, le discours adressé cette année par le pape François à la curie romaine, à l'occasion de la fête de Noël, sert désormais de repère et de phare. Dans son discours, en parfaite harmonie avec une action pastorale qui émerveille toute l'Église, le pape, après s'être exprimé sur la joie de célébrer Noël, avait encouragé les membres de la curie à faire un véritable « examen de conscience » pour se préparer à la fête. À cette fin, il avait proposé un « catalogue » de ses principaux maladies et dysfonctionnements.


La curie, le gouvernement de l'Église, « est un corps complexe, composé de beaucoup de dicastères, de conseils, de bureaux, de tribunaux, de commissions et de nombreux éléments qui n'ont pas tous la même tâche, mais qui sont coordonnés pour un fonctionnement efficace, constructeur, discipliné », explique le pape
Cependant, enchaîne-t-il, « comme tout corps, comme tout corps humain, elle est exposée aussi aux maladies, aux dysfonctionnements, à l'infirmité ». Et de mentionner « certaines de ces probables maladies, habituelles », de la curie. Le « catalogue » qu'il en propose comporte quinze entrées :
1. La maladie de se sentir « indispensable » (...) de ceux qui se transforment en patrons et se sentent supérieurs à tous et non au service de tous.

2. La maladie d'une activité excessive ; ou de ceux qui se noient dans le travail (au point d'oublier repos et prière).

3. La maladie de « la pétrification » mentale et spirituelle de ceux qui se cachent sous les papiers, devenant « des machines à dossiers » et non plus des « hommes de Dieu » .

4. La maladie de la planification excessive et du fonctionnarisme.

5. La maladie de la mauvaise coordination. Quand les membres (...) ne collaborent pas et ne vivent pas l'esprit de communion et d'équipe.

6. La « maladie d'Alzheimer spirituelle » (...) chez ceux qui ont perdu la mémoire de leur rencontre avec le Seigneur (..) qui dépendent complètement de leur passions, caprices et manies.

7. La maladie de la rivalité et de la vanité, quand l'apparence, les couleurs des vêtements et les insignes de distinctions honorifiques deviennent l'objectif premier de la vie.

8. La maladie de la schizophrénie existentielle de ceux qui mènent une double vie, fruit de l'hypocrisie typique du médiocre et du vide spirituel progressif que diplômes et titres académiques ne peuvent combler.

9. La maladie du bavardage, du murmure et du commérage. (...) C'est la maladie des personnes lâches qui n'ont pas le courage de parler directement ; ils parlent par derrière.

10. La maladie de diviniser les chefs : c'est la maladie de ceux qui courtisent les supérieurs en espérant obtenir leur bienveillance. Ils sont victimes du carriérisme et de l'opportunisme, ils honorent les personnes et non Dieu (...) Cette maladie pourrait affecter aussi les supérieurs quand ils courtisent certains de leurs collaborateurs pour obtenir leur soumission, leur loyauté et leur dépendance psychologique, mais le résultat final est une véritable complicité.

11. La maladie de l'indifférence envers les autres. Quand chacun pense seulement à soi-même et perd la sincérité et la chaleur des relations humaines (...) quand, par jalousie ou par ruse, on éprouve de la joie en voyant l'autre tomber au lieu de le relever et de l'encourager.

12. La maladie du visage funèbre, de la tête d'enterrement, des personnes grincheuses et revêches.

13. La maladie de l'accumulation des biens matériels, non par nécessité, mais seulement pour se sentir en sécurité.

14. La maladie des cercles fermés où l'appartenance au groupe devient plus forte que celle au corps et, dans certaines situations, au Christ lui-même.

15. La maladie du profit mondain, des exhibitionnismes, quand l'apôtre transforme son service en pouvoir et son pouvoir en marchandise pour obtenir des profits mondains ou plus de pouvoirs. On peut obtenir le discours intégral du pape à la curie prononcé le 22 décembre sur le site du Vatican (taper Vatican et chercher dans « discours » ).

Les Églises orientales
La lecture de ce catalogue fut à la fois édifiante et renversante pour des millions de chrétiens suspendus aux paroles du pape. Et pour nous Libanais, il ne fut que trop facile d'identifier ces « maladies » au sein de nos Églises orientales en raison de leur structure cléricale prononcée. Et de soupirer après un « François » qui viendrait y mettre de l'ordre, oubliant que si ces « maladies » affectent surtout un corps constitué, un ordre religieux, une commission ou une assemblée, leurs symptômes peuvent très bien se manifester aussi dans la vie de tout fidèle.


Pour diverses raisons, notamment politiques, le patriarche maronite en personne est en ce moment la cible de nombreuses attaques, franches ou insidieuses. Il est critiqué aussi bien pour son style que pour ses orientations, aussi bien sur la forme que sur le fond, sachant que le siège patriarcal de Bkerké n'est pas une instance purement religieuse en Orient, mais aussi une instance nationale, et que le côté public de sa figure l'expose aux critiques.


Prenant le train en marche et impatients de voir enclencher un « examen de conscience » similaire au Liban, des voix – souvent maronites – commencent à s'élever pour le réclamer. Mais comme il est facile d'identifier les symptômes de ces diverses maladies chez telle ou telle figure religieuse, il est tout aussi facile de voir comment l'une d'entre elles en particulier, « la maladie du bavardage, du murmure et du commérage », est largement répandue non seulement parmi les clercs, mais partout au sein de l'Église maronite (à laquelle j'appartiens).


On peut concevoir que, scandalisés par l'une ou l'autre des affaires soulevées en public, ou dont ils ont connaissance, des intellectuels, des esprits qui se considèrent libres s'en indignent et réclament le changement. Des tribunes viennent d'être publiées dans la presse en ce sens. Elles suivent des révélations douteuses – et surtout malintentionnées –, publiées ailleurs, sur le népotisme qui corrompt certains cercles religieux, et les privilèges fonciers dont aurait bénéficié l'un des proches collaborateurs du patriarche. Mais de là à faire le jeu de ceux qui, de mauvaise foi, cherchent à affaiblir l'Église maronite pour des raisons politiques ou mêmes sectaires, il y a beaucoup. Ce pas ne devrait pas être franchi. Une chose est d'agir de façon constructive, une autre de chercher à affaiblir et à détruire un homme ou même une Église. Ces démarches ne sont pas du même ordre. Un « esprit » différent les habite.


La « mauvaise langue » qui se cache derrière certaines initiatives a détruit plus d'une grande famille, voire plus d'un village libanais, transformé en arbre mort, piqués par les vers du « commérage », de la mesquinerie, de la jalousie et de la « troisièmes langue ».
« J'ai déjà parlé de cette maladie de nombreuses fois, mais jamais assez, souligne le pape François. C'est une maladie grave, qui commence simplement, peut-être seulement par un peu de bavardage, et s'empare de la personne en la transformant en ''semeuse de zizanie'' (comme Satan), et dans beaucoup de cas, en ''homicide de sang-froid'' de la réputation des collègues et des confrères. »


L'initiative de François est salutaire. Pour réformer la curie, qui a failli venir à bout de Benoît XVI, le pape argentin s'est entouré d'une commission de huit cardinaux. C'est un bon exemple à suivre pour en finir avec les parasites qui, en Orient, sucent le suc de « l'arbre de vie » qu'est et sera toujours l'Église, et faire entrer par ses fenêtres ouvertes le vent frais de l'Esprit.



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lundi 5 janvier 2015

En 2014, la France a donné refuge à plus de 1 200 Irakiens | La-Croix.com

En 2014, la France a donné refuge à plus de 1 200 Irakiens | La-Croix.com
5/1/2015-En 2014, la France a donné refuge à plus de 1 200 Irakiens

La mobilisation de la France pour accueillir les réfugiés irakiens et syriens en France se poursuivra en 2015. C'est, en substance, le message envoyé par le gouvernement français, à l'occasion du premier conseil des ministres de l'année, lundi 5 janvier à l'Élysée. Devant leurs collègues, les ministres de l'intérieur et des affaires étrangères, Bernard Cazeneuve et Laurent Fabius, ont dressé un premier bilan de « l'accueil des minorités persécutées d'Orient et des réfugiés syriens et irakiens ».

En tout, ont-ils précisé, 4 500 Syriens ont été accueillis en France depuis 2011. Un effort spécial a été consenti l'an dernier  : 500 d'entre eux « se trouvant en situation d'extrême vulnérabilité dans des pays voisins de la Syrie » sont arrivés en France. Une opération qui sera « renouvelée » cette année, dans les mêmes proportions. Les chiffres correspondent aux objectifs fixés par François Hollande à l'automne 2013, en réponse à un appel émis quatre mois plus tôt par le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), afin de réinstaller en Europe 30 000 Syriens parmi les plus fragilisés.

« la crise humanitaire la plus dramatique auquel le monde est confronté depuis très longtemps »

De fait, l'exode massif des Syriens est pour le HCR « la crise humanitaire la plus dramatique auquel le monde est confronté depuis très longtemps ». La guerre civile en cours a déplacé près de la moitié des habitants du pays, contraints de fuir leurs foyers : environ 3,2 millions de personnes se sont réfugiées dans les pays voisins, comme la Turquie, le Liban et la Jordanie, et le nombre de personnes déplacées à l'intérieur du pays atteint désormais 7,6 millions.

Dans la même communication, les deux ministres ont également révélé le nombre d'Irakiens ayant trouvé refuge en France l'an dernier : depuis le 1er août, et après l'offensive éclair et meurtrière de l'organisation « Etat islamique » dans le Nord du pays, les autorités françaises ont accepté d'accueillir 1 277 personnes. Toutes sont « individuellement persécutées ou menacées du fait de leurs convictions religieuses », ont « des liens forts avec la France » ou sont placées « dans une situation de grande vulnérabilité », ont précisé les ministres. Parmi eux, 800 réfugiés ont déjà gagné le territoire national.

Plusieurs milliers de demandes encore instruites par le consulat d'Erbil

Le consulat d'Erbil, au Kurdistan irakien, instruit encore plusieurs milliers de demandes. L'afflux est tel qu'il a nécessité l'envoi d'agents de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides, dès le mois d'août, pour renforcer les équipes diplomatiques sur place. « Il semble que les services du consulat, qui traite la majorité des demandes d'Irakiens, examinent actuellement les dossiers qui leur ont été envoyés en septembre », décrypte Pascal Vigneron, qui coordonne l'accueil dans le diocèse de Tarbes et Lourdes. C'est par exemple le cas d'une dizaine de familles, que ce diocèse du Sud-ouest a proposé d'accueillir, et qui doivent être convoquées cette semaine. « Une fois ces entretiens passés, ils peuvent recevoir l'autorisation dans un délai d'une semaine. Mais il leur reste ensuite à acheter les billets d'avion », soit autour de 400 € par personne. Cinq familles ont déjà été accueillies dans les Hautes-Pyrénées, mais « nous sommes prêts à en accueillir 20 autres », assure le diocèse. Les autorités françaises se sont toujours refusées à fixer un objectif chiffré, tout en assurant, comme l'a fait François Hollande en visite en Irak en septembre, qu'il était souhaitable que « les chrétiens restent (y) vivre ».



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I love you !!!!!!!!!

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-L’exemple du monastère de Kilwa – kipa/apic- Les vestiges d’une présence chrétienne antique sont occultés

L'exemple du monastère de Kilwa – kipa/apic
Arabie Saoudite: Les vestiges d'une présence chrétienne antique sont occultés
Pèlerinage à La Mecque (Image: Geotourisme / http://geotourweb.com)

Balamand/Liban, 5 janvier 2015 (Apic) Aux origines de l'islam au début du VIIe siècle – une période caractérisée par la présence à La Mecque d'un panthéon d'idoles aux côtés de populations juives ou issues des différentes confessions chrétiennes-, la Péninsule arabique n'était pas peuplée que de tribus arabes restées polythéistes. Ces tribus, selon les savants musulmans, seraient restées païennes, dans un état d'ignorance appelée «jahilyya», avant que Mahomet ne leur apporte la lumière de la révélation coranique. Si les réalités chrétiennes arabes ont été détruites par l'islam, les traces archéologiques sont cependant bien là.

On connaît depuis longtemps l'existence d'évêchés chrétiens tout autour de la Péninsule arabique, mais les chrétiens étaient également présents au cœur de la Péninsule, comme le prouvent les vestiges chrétiens du monastère de Kilwa, dans le passé en Transjordanie, mais aujourd'hui en territoire saoudien. Les autorités saoudiennes ont classé le site comme un temple nabatéen et avaient rapidement fait recouvrir le monastère sorti des sables par des archéologues saoudiens. En février 2008, une mission archéologique sur le site de Kilwa était conduite par Saba Farès, de l'Université de Nancy.

Guy-Roger Conchon, qui enseigne à l'Académie Libanaise des Beaux-Arts de l'Université de Balamand (ALBA), a pris part à la mission archéologique de Kilwa au nord de l'Arabie Saoudite, où les fouilles ont révélé les vestiges d'un monastère datant du début de l'ère chrétienne. Dans une conférence sur «Le patrimoine religieux en Orient chrétien», donnée à l'ALBA, le chercheur français révèle que dans les années quarante déjà, un ensemble monastique avait été signalé à Kilwa par une expédition anglaise.

Une occupation chrétienne datant du Ier siècle de l'ère chrétienne

Les explorations menées par la mission archéologique de l'Université de Nancy 2, dirigée par Saba Farès, indiquent que Kilwa, située sur la route caravanière de la myrrhe et de l'encens, a fait l'objet d'une occupation chrétienne au Ier siècle de l'ère chrétienne, rapporte le quotidien libanais «L'Orient-Le Jour».

La communauté tirait profit d'une agriculture irriguée au moyen de systèmes hydrauliques ambitieux. Ces chrétiens ont également laissé de nombreux témoignages architecturaux, cellules isolées pour des moines, chapelle, église, cuisine, réfectoire, citernes d'eau, jardins, une quantité de croix marquées sur la pierre et des épigraphies commémorant les cultes, dont une inscription gravée sur le linteau de la porte d'une cellule.

«Le toponyme et l'architecture sont des détails qui indiquent une culture syrienne», souligne Guy-Roger Conchon. En effet, rapporte «L'Orient-Le Jour», le système constructif rappelle celui de la plaine de Hauran, en Syrie. «Les bâtiments collectifs, bien préservés, sont en pierres de très grande taille, avec un lien à base de chaux. Des pierres sèches sont employées pour la construction des cellules des moines, dont l'état de conservation est très mauvais. Les pierres tombales sont regroupées en nécropole évoquant un tumulus». Quant à l'église, il fait observer qu' «elle est construite sur le modèle des églises nestoriennes qu'on retrouve en Mésopotamie». Hormis une mission des archéologues spécialistes de la préhistoire, qui ont étudié la région, ce monastère n'a guère suscité l'intérêt des chercheurs, note Guy-Roger Conchon .(apic/orj/be)




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Une délégation d'imams français en visite au VaticanRadio Vatican

Une délégation d'imams français en visite au VaticanRadio Vatican

Des musulmans en prière au Parc des expositions de Marseille, lors de la fête de l'Aïd El-Fitr, le 28 juillet 2014. - AP

(RV) Une délégation de responsables musulmans français sera en visite à Rome cette semaine, du 6 au 8 janvier, dans le but d'encourager le dialogue islamo-chrétien. Ils seront accompagnés par les deux principaux responsables de ce dossier au sein de la Conférence des évêques de France : Mgr Michel Dubost, évêque d'Evry-Corbeil-Essonnes et président du Conseil pour les relations interreligieuses, et le père Christophe Roucou, directeur du Service pour les relations avec l'islam.

La délégation inclut quatre personnalités musulmanes connues pour leur désir d'une relation de confiance avec les catholiques : Tareq Oubrou, recteur de la Grande mosquée de Bordeaux, Mohammed Moussaoui, président de l'UMF (Union des Mosquées de France) et ancien président du CFCM (Conseil français du culte musulman), Djelloul Seddiki, directeur de l'institut Al-Ghazali de la Grande mosquée de Paris, et Azzedine Gaci, recteur de la mosquée Othman à Villeurbanne, et ancien responsable du CRCM (Conseil régional du culte musulman) de Rhône-Alpes.

Des efforts réciproques de compréhension

Le 1er octobre, Azzedine Gaci avait été à l'initiative de l'Appel des 110 avec le père Vincent Feroldi, délégué épiscopal pour les relations avec l'islam dans le diocèse de Lyon. Cet appel de 110 personnalités religieuses contre l'extrémisme avait donné lieu à une manifestation place Bellecour, au centre de Lyon, qui faisait suite à de nombreux signes de fraternité des musulmans de France à l'égard des minorités persécutées en Irak et en Syrie.

Début septembre, notamment, les principales organisations musulmanes de France avaient demandé qu'une prière soit lue dans toutes les mosquées de France le vendredi 12 septembre, « à la mémoire de nos frères chrétiens d'Orient victimes de l'intolérance et de la barbarie »Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, qui est aussi président du CFCM, avait alors déclaré vouloir « opposer la force de l'esprit à la force des armes ».

Ces prises de position donnaient une réponse positive à l'interpellation vigoureuse, à la fin de l'été, du cardinal Jean-Louis Tauran. Le président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux s'était étonné du manque de réactivité des autorités musulmanes face aux exactions commises en Irak et en Syrie par l'État islamique. Le cardinal Tauran rencontrera justement cette délégation islamo-chrétienne ce jeudi 8 janvier à midi.

Ils seront aussi reçus par l'ambassade de France auprès du Saint-Siège, et visiteront le centre historique de Rome avec le recteur de Saint-Louis-des-Français, Mgr François Bousquet, ainsi que les fouilles archéologiques sous la basilique Saint-Pierre. Mercredi, ils visiteront aussi le PISAI, l'Insitut pontifical pour les études islamiques et l'islamologie, après avoir participé à l'audience générale avec le Pape François place Saint-Pierre.

La soirée de mercredi sera consacré à un temps d'échanges avec leurs hôtes durant ces trois journées, les jeunes et les professeurs du Séminaire français de Rome. L'occasion de sensibiliser les générations de futurs prêtres à un esprit de fraternité essentiel pour la paix sociale en France.



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Au moins 20 chrétiens égyptiens enlevés par des islamistes à Syrte - L'Orient-Le Jour

Au moins 20 chrétiens égyptiens enlevés par des islamistes à Syrte - L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com/article/904005/au-moins-20-chretiens-egyptiens-enleves-par-des-islamistes-a-syrte.html
5/1/2015-Au moins 20 chrétiens égyptiens enlevés par des islamistes à Syrte

Au moins vingt chrétiens coptes égyptiens ont été enlevés ces derniers jours à Syrte, dans le centre la Libye, a-t-on appris samedi auprès d'une source proche du gouvernement reconnu par la communauté internationale, attribuant ces rapts à des miliciens islamistes. Treize d'entre eux ont été enlevés samedi et sept autres dans les jours précédents, a précisé cette source, mettant en cause la milice islamiste Ansar Asharia, classée organisation terroriste par l'Onu. Cela dit, les circonstances dans lesquelles ces 20 personnes ont été enlevées n'étaient pas claires dans l'immédiat, ni leur identité, mais la même source a assuré qu'il s'agissait de coptes, une minorité chrétienne qui constitue 10 % de la population de l'Égypte voisine. Plusieurs coptes égyptiens et d'autres étrangers de confession chrétienne ont déjà été victimes d'enlèvements et d'assassinats dans ce pays, où travaillent des dizaines de milliers d'Égyptiens notamment dans les secteurs de la construction et de l'artisanat. Ville côtière située à 500 km à l'est de la capitale Tripoli, Syrte est sous le contrôle de groupes armés, principalement les islamistes d'Ansar Asharia mais aussi la coalition Fajr Libya, qui regroupe notamment des milices islamistes et qui a pris Tripoli en août.
Par ailleurs, il y a une semaine, l'armée libyenne a mené pour la première fois des raids aériens contre des positions islamistes à Misrata, d'où sont originaires la plupart des miliciens de Fajr Libya. Cette ville a de nouveau été la cible de frappes aériennes samedi, selon des sources militaires qui n'ont pas fait état de victimes. Selon la source proche du gouvernement, 15 soldats libyens ont par ailleurs été tués par balles ou à l'arme blanche à Sokna, à 180 km au sud-est de Tripoli, par des hommes armés proches de l'organisation État islamique (EI). Plus à l'est, à Benghazi, la deuxième ville du pays, des habitants ont affirmé souffrir de pénuries d'électricité, d'eau et de carburant depuis mercredi. La dégradation de la situation sécuritaire en Libye inquiète ses voisins, dont l'Égypte, et plusieurs voix se sont récemment élevées pour dénoncer une situation qui pourrait avoir des conséquences au-delà des frontières libyennes.
Aussi, sur le plan diplomatique la Ligue arabe tient aujourd'hui une réunion « urgente » de ses représentants permanents pour discuter du « terrorisme » en Libye, a indiqué le numéro deux de l'organisation. « La réunion sera consacrée à l'étude des dangereux développements que connaît la Libye et l'accroissement de la violence et des actes de terrorisme », a indiqué à des journalistes Ahmad Ben Helli, le secrétaire général adjoint de l'organisation panarabe basée au Caire. Ces actes « ne visent plus seulement les individus (...) mais également les infrastructures économiques vitales qui représentent la richesse du peuple libyen, notamment les réservoirs de pétrole, » a-t-il poursuivi.
(Source : AFP)



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Raï réitère son appel à élire un président de la République - L'Orient-Le Jour

Raï réitère son appel à élire un président de la République - L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com/article/903907/rai-reitere-son-appel-a-elire-un-president-de-la-republique.html
4/1/2015-Raï réitère son appel à élire un président de la République

Le patriarche maronite Béchara Raï a réitéré lors de son homélie du dimanche son appel à élire un président de la République, rapporte l'Agence nationale d'information (Ani, officielle).

"Nous prions (...) pour que Dieu envoie à la famille libanaise un président de la République, garant de l'unité nationale et de la coexistence islamo-chrétienne dans l'égalité et l'entraide", a souligné le chef de l'Église maronite.

La présidence est vacante depuis le 25 mai, date de la fin du mandat de Michel Sleiman. Le chef du Législatif Nabih Berry avait convoqué les députés à une première séance plénière le mercredi 23 avril. Celle-ci n'avait pas débouché sur l'élection d'un nouveau président, aucun des candidats n'ayant obtenu le nombre de voix nécessaires. Tous les tours suivants ont tourné court, faute de quorum. La prochaine séance a été fixée au 7 janvier 2015.

Mgr Raï a en outre dénoncé, citant le pape François, les formes d'esclavage moderne, notamment celui subi par les travailleuses et travailleurs mineurs, par les victimes de trafics d'organes, et enfin l'esclavage des otages détenus par des terroristes.



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