27/8/2013-Raï au siège du CSC pour présenter ses condoléances après les attentats de Roueiss
Après sa visite dimanche, à Tripoli, pour exprimer sa sympathie et sa solidarité avec une ville blessée au plus profond d'elle-même, le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, s'est rendu hier au siège du Conseil supérieur chiite, pour présenter ses condoléances à son vice-président, cheikh Mohammad Abdel Amir Kabalan. Le CSC recevait les condoléances pour les victimes de Roueiss et de Tripoli.
Mgr Raï était accompagné des évêques Boulos Matar, Chucrallah Najib Hajj et Samir Mazloum. Dans l'allocution qu'il a prononcée pour la circonstance, le patriarche a souligné que le coup qui a été porté à Tripoli et à Roueiss affecte tout le Liban. « Nous voulons que cette visite soit pour les condoléances et l'espoir », a-t-il affirmé, en soulignant que si « le peuple était plus uni et si les hommes politiques avaient pu s'entendre et trouvé des initiatives pouvant sauver le pays de ses divisions et de ses crises, les attentats n'auraient pas eu lieu ». « Il ne faut pas que ces condoléances que nous présentons soient seulement l'expression de sentiments, même si ceux-ci sont nécessaires. Nous souhaitons que le sang versé favorisera l'unité, la réconciliation et l'entente politique », a-t-il dit, en insistant sur le fait que ce sont tous les Libanais qui paient les prix des divisions.
Avant de se rendre au siège du CSC, Mgr Raï avait pris contact avec le Premier ministre désigné, Tammam Salam, pour discuter avec lui du dossier gouvernemental. Il avait par ailleurs reçu à Dimane les anciens députés Samir Frangié, Salah Honein, qui étaient accompagnés de M. Bahjat Salamé. À la presse, M. Frangié a expliqué que la visite s'inscrit dans le cadre des concertations engagées pour empêcher une nouvelle guerre civile. Il a salué la visite du patriarche à Tripoli, en estimant qu'elle contribue à « panser les blessures et à réduire les tensions ». « Nous espérons que les concertations se poursuivront entre toutes les parties afin de parvenir à un dénouement de la crise », a poursuivi M. Frangié.
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Mgr Raï était accompagné des évêques Boulos Matar, Chucrallah Najib Hajj et Samir Mazloum. Dans l'allocution qu'il a prononcée pour la circonstance, le patriarche a souligné que le coup qui a été porté à Tripoli et à Roueiss affecte tout le Liban. « Nous voulons que cette visite soit pour les condoléances et l'espoir », a-t-il affirmé, en soulignant que si « le peuple était plus uni et si les hommes politiques avaient pu s'entendre et trouvé des initiatives pouvant sauver le pays de ses divisions et de ses crises, les attentats n'auraient pas eu lieu ». « Il ne faut pas que ces condoléances que nous présentons soient seulement l'expression de sentiments, même si ceux-ci sont nécessaires. Nous souhaitons que le sang versé favorisera l'unité, la réconciliation et l'entente politique », a-t-il dit, en insistant sur le fait que ce sont tous les Libanais qui paient les prix des divisions.
Avant de se rendre au siège du CSC, Mgr Raï avait pris contact avec le Premier ministre désigné, Tammam Salam, pour discuter avec lui du dossier gouvernemental. Il avait par ailleurs reçu à Dimane les anciens députés Samir Frangié, Salah Honein, qui étaient accompagnés de M. Bahjat Salamé. À la presse, M. Frangié a expliqué que la visite s'inscrit dans le cadre des concertations engagées pour empêcher une nouvelle guerre civile. Il a salué la visite du patriarche à Tripoli, en estimant qu'elle contribue à « panser les blessures et à réduire les tensions ». « Nous espérons que les concertations se poursuivront entre toutes les parties afin de parvenir à un dénouement de la crise », a poursuivi M. Frangié.
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