Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

vendredi 25 avril 2014

Raï se prononce, chez Berry, pour « un président accepté de tous » - L'Orient-Le Jour

Raï se prononce, chez Berry, pour « un président accepté de tous » - L'Orient-Le Jour

Raï se prononce, chez Berry, pour « un président accepté de tous »


Olj25/42014

Le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, a de nouveau appelé les députés à assurer le quorum mercredi prochain, au Parlement, pour élire un nouveau chef de l'État.
Le patriarche maronite a pris l'avion hier pour le Vatican où il doit assister dimanche à la canonisation des papes Jean-Paul II et Jean XXIII. Avant son voyage, le chef de l'Église maronite a fait un crochet par Aïn el-Tiné pour un entretien avec le président de la Chambre, Nabih Berry, au sujet de l'élection présidentielle et de la réunion électorale de mercredi, place de l'Étoile. Il était accompagné des évêques Youssef Sayyah et Salim Mazloum.


Répondant aux questions de la presse au terme de l'entretien, il a jugé nécessaire que les « séances électorales se poursuivent jusqu'à ce qu'il soit possible, après concertations et par voie de vote, à élire un nouveau président pour le Liban ».


Quant au profil du nouveau locataire de Baabda, il doit être, selon Mgr Raï, « accepté de tous, puisqu'il est le président de tous les Libanais ». « Cela ne veut pas dire comme le prétendent certains qu'il est faible. Sa force réside dans le fait qu'il soit accepté de tous étant donné que nous avons besoin, au Liban, de quelqu'un qui puisse réunifier les Libanais et qui puisse avoir une envergure arabe et internationale », a-t-il affirmé, avant d'ajouter : « Suite à la réunion de mercredi et à ses résultats et d'après ce que j'ai entendu à travers les médias, je répète que le Liban a besoin de charité et de communion parce qu'il n'est pas permis qu'à chaque événement, nous nous mettons à nous blesser et à nous insulter mutuellement. »

« L'élection, un devoir... »
Le patriarche a démenti des informations de presse selon lesquelles il envisage de convoquer un sommet spirituel pour exercer des pressions sur les députés afin qu'ils assurent le quorum à la deuxième séance. « La présence des parlementaires à la réunion électorale est un devoir que dicte la conscience de chaque député. Celui-ci est mandaté par le peuple pour accomplir un certain nombre de devoirs dont l'élection d'un chef de l'État. Il ne peut pas se servir de ce mandat comme d'une propriété privée. Pas besoin donc de les convoquer. Ils doivent se rendre d'eux-mêmes au Parlement et ne peuvent pas s'absenter ou provoquer un défaut de quorum », a insisté le patriarche.


Il devait reprendre les mêmes propos à l'aéroport de Beyrouth où il a pris l'avion pour l'Italie en compagnie de Mgr Mazloum, du directeur des relations publiques à la Banque de Beyrouth, Antoine Habib, et de son épouse, Claude, de Mme Marie-Claude Sfeir et du responsable de l'information à Bkerké, Walid Ghayad.
Mgr Raï a rejeté l'appellation « président d'entente ou consensuel », en expliquant que lorsqu'un chef de l'État est élu, que ce soit par les deux tiers des voix parlementaire ou par la majorité simple, « il restera celui que le Parlement aura choisi et qui sera donc le meilleur ». Il a affirmé avoir voulu que le Parlement passe directement mercredi, au deuxième tour, avant d'indiquer en réponse à une question, que M. Berry l'a informé qu'il compte continuer de convoquer la Chambre jusqu'à ce qu'elle élise un chef de l'État.

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À défaut de présidentielle purement libanaise, le vide ou le consensus externe...



Envoyé de mon Ipad 

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