Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

dimanche 6 janvier 2013

Obus sur un quartier chrétien et explosion d'une voiture piégée à Damas | Dernières Infos | L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com//news/article.php?id=794962- 5/1/2013
Obus sur un quartier chrétien et explosion d'une voiture piégée à Damas
Un obus a touché samedi un quartier chrétien de la Vieille ville de Damas et une voiture piégée a explosé dans le nord de la capitale, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), en faisant état de dizaines de morts dans les violences à travers le pays.

"Un obus a été tiré sur Bab Touma", a indiqué l'ONG qui s'appuie sur un large réseau de militants et de médecins à travers la Syrie, sans préciser l'origine du tir. Ce secteur, épargné par les combats, a été visé pour la première fois fin octobre par un attentat à la voiture piégée (13 morts).

Dans le quartier de Roukneddine, dans le nord de Damas, une bombe placée dans une voiture a explosé sans faire de victime, a ajouté l'OSDH.

Toujours à Damas, des tirs ont retenti près de l'aéroport militaire de Mazzé, proche de la banlieue sud-ouest où l'armée a progressé la veille.

Dans cette zone, les troupes ont pilonné durant la nuit Daraya, localité qu'elles tentent de prendre depuis plusieurs semaines.

Alors que le quotidien Al-Watan, proche du pouvoir, affirmait dans son édition de vendredi que la ceinture sud de Damas était désormais "sécurisée", de violents combats y ont eu lieu, faisant quatre morts parmi les rebelles.

Dans le Nord, des heurts sporadiques se poursuivaient aux abords de la brigade 80 chargée de la protection de l'aéroport d'Alep, fermé en début de semaine en raison d'une multiplication des attaques insurgées.

Il s'agit du premier aéroport international fermé depuis le début en mars 2011 de la révolte contre le régime devenue guerre civile.

Selon une source aéroportuaire, l'armée a quasiment chassé les rebelles des abords de l'aéroport. Un autre responsable de l'aéroport avait affirmé à l'AFP que le trafic allait reprendre samedi mais l'OSDH a rapporté qu'aucun avion n'y avait décollé.

Dans l'Est, des jihadistes ont attaqué un bâtiment militaire à Deir Ezzor, a poursuivi l'ONG en faisant état de la mort et de la capture de soldats dans les violents combats qui ont suivi.

Dans la province de Deraa (sud), en proie aux combats et bombardements, l'OSDH a rapporté que l'armée avait mené des représailles dans le village où le neveu du général Roustom Ghazalé, qui dirige l'un des services de renseignement syriens, a été tué vendredi dans une attaque rebelle.

Les soldats ont mené des perquisitions et brûlé au moins sept maisons, avant de menacer via les haut-parleurs des mosquées de tuer des prisonniers si un cousin du général, enlevé durant cette attaque, n'était pas libéré, a précisé l'ONG.

Selon un bilan provisoire de l'OSDH, 50 personnes ont été tuées samedi, alors que les violences dont des dizaines de morts tous les jours.

Selon l'ONU, le conflit a fait en 21 mois plus de 60.000 morts.


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La Maison Saint-Elie, une oasis dans l'enfer de la guerre à Alep | À La Une | L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com//news/article.php?id=794965
La Maison Saint-Elie, une oasis dans l'enfer de la guerre à Alep | À La Une | L'Orient-Le Jour-6/1/2013

La maison de retraite chrétienne Saint-Élie, au cœur de la Vieille ville d'Alep, n'a plus ni électricité ni téléphone depuis six mois mais reste un refuge privilégié dans une métropole dévastée par la guerre. Chaque jour, la communauté chrétienne de cette grande ville du nord de la Syrie, quelques riches mécènes et des rebelles fournissent à la dizaine de pensionnaires de quoi se nourrir et se soigner.

 Fondée en 1863, la Maison de repos Saint-Élie compte une vingtaine de pièces autour d'un cloître, derrière une porte noire en fer dans une ruelle jonchée de détritus et de douilles, à quelques encablures de la ligne de front entre l'armée et les rebelles qui mènent depuis l'été une guérilla urbaine.

"Nous accueillons ceux qui sont abandonnés et dans le besoin", explique Sœur Marie, 75 ans, alma mater rayonnante de cette institution. "C'est un lieu pour profiter de la vie", souligne-t-elle.

 "Si nous avons faim, il y a toujours quelque chose à manger", explique Evan Wehbé, 66 ans, arrivée il y a neuf ans car elle ne pouvait plus payer son loyer.

"Nous sommes une petite communauté mais nous faisons bloc et nous nous entraidons. Cela nous rend forts", explique Michael Oberi, 53 ans, qui s'est réfugié à Saint-Élie avec son épouse Sarbi Magarian quand leur maison a été touchée par un tir d'artillerie.

 Un docteur rend parfois visite aux résidents et "il y a un petit dispensaire tout près", explique Sœur Marie. "Et si nous avons besoin de médicaments ou d'analyses, tous les frais médicaux sont payés par la communauté chrétienne".

 Les pensionnaires se retrouvent souvent pour discuter autour d'un café dans les deux pièces communes, les seules du bâtiment chauffées par des poêles à bois.

Pourtant, le vacarme de la guerre n'est jamais loin. "Nous entendons des tirs et des explosions toutes les heures en temps normal. Le jour où nous n'entendons plus de tir, nous nous inquiétons", souligne Sœur Marie.

 "Nous avons très peur des bombes, des combats, parfois on les entend très près de la maison. Je n'en dors plus", renchérit M. Oberi, qui affirme ne sortir que pour chercher à manger. "Il y a quelques jours, je marchais dans la rue et la balle d'un tireur embusqué m'a frôlé le pied".

 La maison elle-même n'a pas échappé au conflit. Deux obus tombés sur l'immeuble voisin ont détruit les fenêtres et vrillé la porte d'entrée."Chaque jour, des gravats tombent dans la cour quand des bombes explosent à proximité", explique Sœur Marie, en regrettant de ne pas avoir de nouvelles de ce qui se passe dans le reste du pays. "Nous sommes isolés du monde", insiste-t-elle.

Malgré les dangers, cette ancienne professeur d'anglais veille avec énergie sur ses pensionnaires: "Quand je vais dans la rue, j'interpelle les tireurs embusqués en criant pour qu'ils ne me tirent pas dessus".

 Avant la guerre, les résidents recevaient des visites de leur famille, "mais avec les combats, ils ont peur de venir nous voir. Et nous ne pouvons pas changer d'endroit, car nous n'avons nulle part où aller. De toute façon, tout Alep est en guerre".

 Et si d'autres habitants d'Alep en veulent aux rebelles d'avoir apporté la guerre dans leur cité, les résidents ne tarissent pas d'éloges sur le commandant Hatab, chef local de l'Armée syrienne libre (ASL, insurgés), qui leur rend régulièrement visite.

"Tous les jours, des rebelles nous apportent du pain frais. Ils sont bons avec nous", souligne Sarbi Magarian. "Ils sont musulmans et nous chrétiens, mais notre religion ne doit pas être source de division. Nous sommes tous frères", assure-t-elle.

 "Chaque jour, nous prions pour la paix", souligne Sœur Marie. Et quand les bombes se rapprochent, "nous nous réfugions dans la chapelle car c'est la pièce la plus sûre de la maison".

Analyses

Le réduit alaouite, seule option pour Assad ?

 Reportages

Dans Alep dévastée, la vie reprend doucement son cours

Un touriste japonais tue l'ennui sur les lignes de front syriennes

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Drame de Tall Kalakh : Les familles des victimes bloquent l'accès au poste-frontière de Arida | Dernières Infos | L'Orient-Le Jour


Drame de Tall Kalakh : Les familles des victimes bloquent l'accès au poste-frontière de Arida
Liban-Syrie

Les familles des victimes de l'embuscade de Tall Kalakh, dans laquelle plusieurs jeunes sunnites libanais ont été tués par l'armée syrienne, ont observé dimanche matin un sit-in au poste-frontière de Arida, près de la frontière syrienne. Les manifestants ont bloqué la circulation, appelant les autorités à accélérer les démarches visant à faire la lumière sur le sort de leurs proches disparus à Tall Kalakh.

 Le porte-parole des familles des victimes, cheikh Mohammad Ibrahim, a appelé le gouvernement libanais à expulser l'ambassadeur de Syrie au Liban Ali Abdel Karim Ali. "Bientôt, aucun pouvoir au monde ne pourra plus te protéger, a-t-il lancé à l'adresse de l'ambassadeur. Tu finiras derrière les barreaux".

Le 30 novembre dernier une dizaine de jeunes sunnites de Tripoli, la capitale du nord du Liban, ont été tués à Tall Kalakh, une ville syrienne frontalière où ils étaient venus prêter main forte aux rebelles. Des informations contradictoires circulent sur le nombre exact des victimes. Selon les informations disponibles jusqu'à présent, 14 sont morts et trois arrêtés.

Au moins neuf corps ont été rapatriés depuis le drame, mais les familles des victimes ont accusé la Syrie de détenir un des jeunes sunnites du groupe et de retarder le rapatriement des autres dépouilles.

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Raï : Les Libanais ne méritent pas de vivre sous la menace des armes | Dernières Infos | L'Orient-Le Jour

http://www.lorientlejour.com//news/article.php?id=794992-6/1/2013
Raï : Les Libanais ne méritent pas de vivre sous la menace des armes

Le patriarche maronite libanais Mgr Béchara Raï a affirmé au cours de son homélie de dimanche que les "Libanais méritent de vivre en sécurité et non pas sous la menace des armes". "Les armes doivent être sous le contrôle des institutions militaires et sécuritaires constitutionnelles", a-t-il déclaré. Mgr Raï a également souligné l'importance du dialogue politique au niveau national. "Les Libanais méritent un gouvernement capable et actif", a-t-il conclu.

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Pour les Coptes d'Egypte, un premier Noël sous un pouvoir islamiste | À La Une | L'Orient-Le Jour

6/1/2013
Pour les Coptes d'Egypte, un premier Noël sous un pouvoir islamiste 

Les Coptes orthodoxes d'Egypte célèbrent lundi leur premier Noël sous un pouvoir issu des Frères musulmans, dans un climat d'inquiétude face à la montée en puissance de l'islam politique, en dépit des assurances des autorités."Je ne me sens pas vraiment en sécurité", assure Ayman Ramzi, résumant le sentiment grandissant dans cette communauté chrétienne, la plus nombreuse du Moyen-Orient et l'une des plus anciennes, qui se rassemblera dimanche soir pour la messe de minuit avant de célébrer Noël lundi. Ayman, 38 ans, évoque la multiplication des déclarations "hostiles" dans certains milieux islamistes radicaux, même si le chef de l'Etat, Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, a promis d'être "le président de tous les Egyptiens".

 Une fatwa diffusée depuis plusieurs jours sur des sites internet par une association proche des fondamentalistes salafistes, "le comité légitime pour les droits et la réforme", dont fait partie le numéro deux de la confrérie des Frères musulmans Khairat al-Chater, demande ainsi de ne pas adresser des voeux aux Coptes à l'occasion de leurs fêtes.Tout récemment, le journal indépendant al-Watan a donné la parole à un responsable salafiste, Hicham al-Achri, présenté comme le fondateur d'une "Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice".

Ce fondamentaliste souhaite aller à la rencontre des Coptes devant leurs églises pour les encourager à se convertir à l'islam et réclame que les chrétiennes portent le foulard islamique.

 "Je suis vraiment consternée par la multiplication de déclarations réactionnaires de ce genre", déclare Madonna Nagi, étudiante copte de 23 ans, qui s'indigne aussi de la multiplication des déclarations dans la presse ou de personnalités islamistes, pointant du doigt les chrétiens comme les instigateurs de la récente vague de contestation de M. Morsi.

Depuis son élection en juin, le président a promis à plusieurs reprises de garantir les droits et l'égalité de tous les citoyens, sans distinction de religion, et a adressé ses félicitations au nouveau patriarche copte, Tawadros II, intronisé en novembre.

 Mais ces propos n'ont pas suffi  à rassurer les Coptes, qui représentent 6 à 10% des quelque 83 millions d'Egyptiens.

 Beaucoup d'entre eux parlent désormais de l'exil, citant l'exemple de proches ou de voisins.

"Ma soeur a peur pour l'avenir et elle est partie aux Etats-Unis avec ses enfants, mais je ne veux pas quitter mon pays", affirme Raymond Faez, 38 ans. Cet employé d'une compagnie aérienne évoque toutefois un "malaise général" au sein de la communauté chrétienne.

 A Choubra, quartier populaire du Caire où vivent de nombreux chrétiens, des commerçants évoquent des lettres de menaces portant la signature d'islamistes radicaux adressées à la veille de Noël. "Ces lettres, nous en recevons depuis des années", affirme d'un air résigné Morkos Rouchdi, un boutiquier.

 Comme du temps de l'ex-président Hosni Moubarak, la charia reste la "source principale de la législation", et selon ses détracteurs, la nouvelle Constitution adoptée en décembre pourrait ouvrir la voie à des interprétations radicales de cette loi islamique.

 Les Coptes sont présents à travers tout le pays, avec des concentrations plus fortes en Moyenne-Egypte. On les trouve également dans toutes les catégories sociales, des pauvres éboueurs du Caire ("zabbaline") aux grandes familles patriciennes.

 Déjà très peu représentés dans les instances gouvernementales et la haute fonction publique, ils redoutent de se voir davantage marginalisés. Ils déplorent également une législation très contraignante pour l'édification des églises, alors que la construction de mosquées est plus libre.

 De nombreux affrontements, parfois meurtriers, entre chrétiens et musulmans ou avec les forces de l'ordre, ont jalonné la transition depuis la chute de Hosni Moubarak en février 2011.

 Mais la communauté n'était pas épargnée du temps de l'ancien président. Dans la nuit du 1er janvier 2011, un attentat non revendiqué a fait 23 morts à la sortie d'une église copte d'Alexandrie, après la messe du Nouvel An.


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L'opposition refuse la "solution politique" proposée par Bachar al-Assad | L'Orient-Le Jour

6/1/2013
L'opposition refuse la "solution politique" proposée par Bachar al-Assad
La Coalition de l'opposition syrienne a rejeté dimanche la "solution politique" proposée par Bachar al-Assad lors d'un rare discours du président, refusant toute initiative prévoyant le maintien en place de son régime.

"Nous avons dit lors de la formation de la Coalition que nous souhaitions une solution politique, mais l'objectif pour les Syriens est de le sortir (du pays) et ils ont déjà perdu pour cela plus de 60.000 martyrs (...) ils n'ont pas fait tous ces sacrifices pour permettre le maintien du régime tyrannique", a déclaré à l'AFP son porte-parole, Walid al-Bounni joint par téléphone.

Selon lui, le discours de M. Assad s'adresse principalement "à la communauté internationale car il est clair qu'il y a de véritables efforts (au niveau international) pour aboutir à une solution politique reprenant les exigences du peuple syrien (qui souhaite) la fin de la tyrannie et à sa tête le régime du clan Assad", a-t-il poursuivi.

M. Bounni a encore accusé M. Assad "d'écarter toute possibilité de dialogue avec les forces révolutionnaires (...) il veut dialoguer avec des interlocuteurs qu'il a choisis et refuse toute initiative reprenant les aspirations du peuple syrien et conduisant au final à son départ et au démantèlement de son régime".

Dans son premier discours public en sept mois, M. Assad a appelé à un "dialogue national" pour sortir de 21 mois de conflit, pour lequel il a affirmé ne pas avoir trouvé jusqu'à présent de "partenaire", refusant de négocier avec "des gangs qui prennent leurs ordres de l'étranger".

La Coalition a de son côté posé comme condition sine qua non à tout dialogue le départ du chef d'Etat contesté depuis près de deux ans.



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Le plan pour une "solution politique" proposé par Bachar al-Assad | L'Orient-Le Jour

Le plan pour une "solution politique" proposé par Bachar al-Assad
Le président Bachar al-Assad a présenté dimanche une "solution politique" pour mettre fin au conflit qui déchire la Syrie depuis plus de 21 mois et qui a fait, selon l'ONU, plus de 60.000 morts.
Ce plan prévoit trois étapes. En voici les principaux axes, qui devraient être prochainement présentés officiellement par le gouvernement afin d'être inscrits dans une "Charte nationale" qui sera rédigée par toutes les parties, avant d'être soumise à référendum:

Etape 1:

- Les pays armant les "terroristes" s'engagent à arrêter de les financer. Arrêt des opérations "terroristes" pour permettre le retour des réfugiés.

- L'armée syrienne met aussitôt fin à ses opérations, tout en conservant le droit de répliquer en cas de menace contre la sécurité nationale.

- Mise en place d'un mécanisme permettant de surveiller l'engagement des parties, notamment en ce qui concerne le contrôle des frontières.

Etape 2:

- Tenue, sous l'égide du gouvernement, d'une conférence de dialogue national auquel participeront toutes les forces.

- Rédaction d'une Charte nationale défendant la souveraineté de la Syrie, son unité et son intégrité territoriale, et rejetant l'ingérence, le terrorisme et la violence.

Cette charte doit ensuite être soumise à un référendum.

- Organisation d'élections législatives suivies de la formation d'un gouvernement élargi à toutes les composantes de la société, conformément à la Constitution, en charge de faire appliquer la Charte nationale (sans évoquer d'élection présidentielle).

Etape 3:

- Formation d'un gouvernement conformément à la Constitution.

- Tenue d'une conférence nationale de réconciliation et amnistie générale pour toutes les personnes détenues en raison des événements.

- Reconstruction des infrastructures.



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Tunisie: un prédicateur salafiste interdit aux musulmans de réveillonner - Monde - TF1 News

http://lci.tf1.fr/monde/afrique/tunisie-un-predicateur-salafiste-interdit-aux-musulmans-de-7747842.html
Tunisie: un prédicateur salafiste interdit aux musulmans de réveillonner
Tunis (Archives).

Les Tunisiens privés de réveillon ? Ce'est ce qu'aimerait le Cheikh Béchir Ben Hassine, prédicateur salafiste, qui appelle les Musulmans à ne pas célébrer le passage en 2013 dans un prêche diffusé sur sa page Facebook.
 
"Fêter Noël et le Nouvel an est une hérésie et ceux qui y sacrifient parmi les musulmans commettent un haram", a-t-il prévenu. "Les décorations et les bûches sont permises pour les catholiques mais les musulmans ne doivent pas les vendre", a-t-il insisté, mettant en garde contre des attaques éventuelles de commerces ou de pâtisseries par ses partisans. "Partager les fêtes des mécréants ou même leur adresser des voeux à l'occasion est un grand péché, voire un kofr (acte de mécréant)", a affirmé le prédicateur, dont la fatwa autorise cependant l'échange de voeux avec les non-musulmans pour les occasions sans connotation religieuse. Et pour finir : "Joyeux Noël et bonne année, c'est du haram", a-t-il répété, dénonçant "un honteux suivisme de l'occident" de la part des Tunisiens musulmans.

Cadeaux et pâtisseries
 
Béchir Ben Hassan est l'une des principales figures du salafisme dit "scientifique", une fraction non-violente de ce courant radical de l'islam sunnite, contrairement au "salafisme jihadiste" qui prône la violence. Lundi, des dépliants ont été distribués pour dissuader les Tunisiens de réveillonner, versets coraniques et hadiths (paroles de Mahomet) à l'appui.

Pourtant, si les décorations sont rares dans le centre de Tunis, les commerces ont été pris d'assaut pour l'achat de cadeaux et des pâtisseries traditionnelles, incontournables jusque dans les petits villages.



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بابا الاقباط: الفتوى بعدم معايدة الأقباط أمر يمثل "جرحا كبيرا لنا" La Fatwa interdisant de souhaiter la bonne fete aux chretiens est une grande blessure

بابا الاقباط: الفتوى بعدم معايدة الأقباط أمر يمثل "جرحا كبيرا لنا"

اعتبر البابا تواضروس الثاني، بابا الإسكندرية بطريرك الكرازة المرقصية، أن المجتمع يجب أن يقول لكل شخص يحرم معايدة الأقباط في عيد الميلاد المجيد "عيب"، مؤكدًا أن "الفتوى بعدم المعايدة على الأقباط هو أمر يمثل جرحا كبيرا لنا".

وأشار، خلال حوار تلفزيوني الى أن "المفروض أني لا أعير تلك الشريحة التي حرمت المعايدة أي اهتمام، لأن كلامهم سييء".

وعن الدستور، أوضح أنه "يجب عندما أضع دستورا في وطن أن أضعه على فكرة المواطنة، وانسحاب الكنيسة من التأسيسية كان بقرار جماعي".

وأشار إلى أن الانسحاب من الجمعية التأسيسية لم يأت فجأة، خاصًة عندما بدأ الأمر في "التأسيسية" يأخد مجرى بعيدا عن الروح المصرية، وبه شيء من الاستبعاد كان لابد من التوقف والانسحاب، بحسب قوله.

وعن بناء الكنائس، قال البابا تواضروس، إن إجراءات بناء الكنيسة من الممكن أن تأخذ 20 عامًا، مضيفًا: "الشيخ أحمد الطيب، شيخ الأزهر الشريف، قال لي من قبل إن مشكلة بناء الكنائس هي مشكلة مواطنة وشعور المواطنين بالتضييق على ممارسة عبادتهم".

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samedi 5 janvier 2013

Liban : Enième report du dialogue national | À La Une | L'Orient-Le Jour


Liban : Enième report du dialogue national

Le président libanais, Michel Sleiman, a reporté samedi sine die la session du dialogue national qui était prévue lundi, face au refus d'une partie de l'opposition d'y participer.

Selon un communiqué de la présidence, le chef de l'Etat a informé tous les participants au dialogue de sa décision de le reporter sans fixer une nouvelle date.

Le quotidien as-Safir paru samedi a indiqué que M. Sleiman avait pris cette décision à la suite d'un entretien vendredi soir avec le Premier ministre Nagib Mikati et le chef du Parti socialiste progressiste (PSP) Walid Joumblatt, considérés comme centristes.

 La plupart des partis de l'alliance du 14 Mars (opposition), hostile au régime de Damas, refusent en effet de participer au dialogue avant la démission du gouvernement, formé en majorité de partis proches du pouvoir syrien.

Le bloc des députés du Futur, pilier du 14 Mars, a réaffirmé jeudi son refus de retourner à la table de dialogue national avant la démission du gouvernement et l'acceptation par le Hezbollah de l'ordre du jour de ce dialogue.

Réuni sous l'égide de son chef, Fouad Siniora, le bloc a publié un communiqué dans lequel il souligne qu'il n'existe "pas d'alternative au dialogue, à condition qu'il s'agisse d'un dialogue fructueux et utile aux Libanais et pas d'une occasion médiatique que le Hezbollah exploite pour couvrir la poursuite de la mise en œuvre de son plan visant à imposer son contrôle sur l'État et la nation par les armes".

 Dans un entretien avec l'Orient Le-Jour, le chef du parti des Forces libanaises (FL, opposition), Samir Geagea, a également souligné samedi son rejet d'un dialogue national qui aurait pour finalité de "couvrir les attentats" politiques contre les leaders du 14 Mars.

 Le président de la République a récemment intensifié en vain ses efforts afin de ramener tous les partis politiques à la table du dialogue, depuis que le Liban est plongé dans une crise engendrée par l'assassinat le 19 octobre 2012 du chef des renseignements des Forces de sécurité intérieure (FSI) Wissam el-Hassan.

Lire aussi:

Des contacts discrets qui suscitent des interrogations..., l'article de Scarlett Haddad.


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Un quartier chrétien touché à Damas | La-Croix.com- 5/1/2013

Un quartier chrétien touché à Damas

Un obus a frappé un quartier chrétien de Damas, samedi 5 janvier, tandis qu'une bombe placée dans une voiture a explosé dans le nord de la capitale, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). 

L'obus aurait été tiré sur Bab Tourna, quartier chrétien de la Vieille ville. Ce secteur, épargné par les combats, avait été pour la première fois visé à la fin octobre par un attentat à la voiture piégée qui avait fait, de source officielle, 13 morts.

Alors que le quotidien Al-Watan (proche du pouvoir) affirmait dans son édition de vendredi que la ceinture sud de Damas était désormais « sécurisée », de violents combats y ont eu lieu dans la nuit, faisant quatre morts parmi les rebelles.

Selon un premier bilan provisoire de l'OSDH, 16 personnes ont été tuées samedi 5, au lendemain de la mort de 130 autres - dont près de la moitié à Damas et dans sa périphérie. Pour l'ONU, le conflit syrien a fait en 21 mois plus de 60 000 morts.


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Raï: "Ce n’est pas du Liban qu’on ouvre le feu sur le monde"


Raï: "Ce n'est pas du Liban qu'on ouvre le feu sur le monde"

Une délégation de Zahlé à Bkerké, à sa tête le député Nicolas FattoushLe patriarche maronite Mgr Béchara elRaï a estimé que « les Libanais sont face à un grand défi crucial, celui des élections parlementaires et d'une loi électorale convenable qui répond aux besoins des Libanais ».

Selon lui, « c'est une honte que l'autorité politique au Liban soit incapable de parvenir à une loi électorale qui convient aux aspirations du peuple libanais ». Depuis Bkerké, Raï a averti qu'on ne peut aucunement manipuler le sort du peuple et de l'Etat, et « on ne peut se contenter d'être une paille dans le vent dans ce monde bouillonnant. Le problème des déplacés syriens est le plus grand problème humanitaire, social, politique et national au Liban », a-t-il dit.

Et d'ajouter : « C'est une honte de ne pas réaliser ce qui se passe dans le monde, et c'est une honte que chacun de nous reste attaché à ses propres calculs. L'objectif de tout ce qui a lieu dans notre région est d'appauvrir le monde arabe, de le déchirer, de le détruire, et d'attiser les divisions confessionnelles et sectaires afin de mettre la main sur ses richesses et ses libres décisions ».

Le patriarche maronite a par ailleurs insisté sur une position neutre mais positive du Liban et de toutes ses composantes. « Nous ne pouvons faire partie d'aucun  axe régional ou international en conflits, et nous ne devons pas être influencés par une quelconque révolte ni par des réactions toutes azimuts. Nous devons comprendre que le Liban est un facteur de paix et stabilité. Il ne peut aucunement être un point de passage pour les guerres ni un dépôt d'armes. Ce n'est pas à partir du Liban qu'on ouvre le feu sur le monde. Ce n'est pas le Liban que nous connaissons », a-t-il enfin dit. 

Joumblatt finit avec Raï ce qu'il avait commencé avec Sfeir | À La Une | L'Orient-Le Jour


Joumblatt finit avec Raï ce qu'il avait commencé avec Sfeir

Le chef du Front de lutte nationale, le député Walid Joumblatt, s'est rendu hier à Bkerké afin d'annoncer la fin des empiètements druzes sur les terres des chrétiens du village de Brih. Jusque-là, les chrétiens de ce village avaient été les seuls à ne pas avoir bénéficié de la réconciliation entre les deux communautés, scellée en 2001 par l'ancien patriarche Nasrallah Sfeir. Poussés à l'exode pendant la guerre de la Montagne en 1983, ils n'avaient toujours pas récupéré leurs propriétés occupées par les druzes du village.


À l'issue de son entretien avec le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, le député Joumblatt a déclaré que « l'usurpation des terrains de chrétiens à Brih s'est achevée hier (jeudi) ». « Lorsque le patriarche nous a rendu visite au Chouf l'été dernier, nous lui avons promis de soigner la dernière blessure laissée par les incidents douloureux de la Montagne. C'est ce que nous avons entrepris hier à Brih. Désormais, nous tournons la page de la guerre de la Montagne et de ses afflictions », a ajouté le leader druze, souhaitant que « la réconciliation officielle s'effectue prochainement, sous le parrainage du patriarche Raï et du président de la République ».

« Le point le plus important de notre entretien a été de soigner la blessure de Brih », a insisté Walid Joumblatt, qui a par ailleurs été retenu à déjeuner par le patriarche Raï.

Parallèlement à cette visite, la destruction de la Maison druze du village se déroulait à Brih, dans une ambiance quelque peu tendue. L'édifice avait été construit en 1989 sur une colline appartenant à la famille chrétienne Adwane. Les travaux de construction de la nouvelle Maison druze viennent d'être achevés, sur un terrain appartenant à la communauté concernée. Cet arrangement n'est pas du goût des membres de cette communauté mais leur porte parole à indiqué lui aussi qu'« ils s'y sont pliés pour touner la page ».

La complexité du dossier du retour des déplacés chrétiens est liée non seulement aux montants des dédommagements à accorder aussi bien aux druzes qu'aux chrétiens lésés, mais surtout à la dimension humaine que ce retour implique.
Réagissant à la déclaration de Walid Joumblatt, le député Alain Aoun a estimé que « les chrétiens de Brih ont prouvé, par leur retour, que la volonté de la coexistence surpasse les douleurs du passé ».

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vendredi 4 janvier 2013

Réfugiés syriens: le Liban demande de l'aide à la communauté internationale | Dernières Infos | L'Orient-Le Jour

Le gouvernement libanais, divisé sur le conflit syrien, a indiqué avoir décidé de faire appel aux pays arabes et amis pour alléger le fardeau, notamment financier, que représente l'accueil de 125.000 réfugiés syriens sur son sol.
Réuni jeudi, le Conseil des ministres a pris une série de mesures pour aider les réfugiés syriens.
Il s'est engagé à "appeler les pays donateurs à verser les financements promis au Liban et à lancer une campagne diplomatique (...) pour inciter les pays arabes et amis à partager avec le Liban le fardeau en termes financiers et logistiques", selon un communiqué publié tard jeudi.
"Le gouvernement a décidé d'appeler la Ligue arabe et les organisations internationales à se réunir d'urgence pour leur expliquer la situation des réfugiés", poursuit le communiqué.
Le Liban, qui a été pendant trois décennies sous la tutelle politique et militaire de Damas, reste profondément divisé au sujet de la crise en Syrie et ces divisions sont apparues au grand jour lors de cette réunion.
Des membres du gouvernement ont réclamé la fermeture de la frontière, assurant que le flux de réfugiés avait un impact négatif sur l'économie et le fragile équilibre politique libanais, mais cette proposition a été fermement refusée par certains de leurs collègues.
Les ministres représentant le Courant patriotique libre (CPL) de Michel Aoun, dirigeant chrétien allié du Hezbollah libanais, lui-même proche de Damas, ont refusé le plan adopté par le gouvernement, affirmant que le Liban n'avait pas la capacité d'accueil nécessaire.
"Nous n'avons plus de place. Nous ne refusons aucun réfugié (...) mais si nous étions capables de porter 100 kg sur nos épaules, comment pourrions-nous maintenant supporter une tonne?", avait affirmé leur leader auparavant.
Le ministre de l'Information Waël Abou Faour a affirmé à la presse à l'issue de cette réunion que le débat entre ministres avait été intense sur la question de la fermeture de la frontière.
Il a toutefois estimé que cette décision "n'est pas applicable, au-delà des considérations humanitaires, de fraternité et de nationalisme, car je ne pense pas qu'un responsable à la frontière pourrait dire à une famille syrienne fuyant la mort: "je vous empêche d'entrer au Liban".
Il a ajouté que "fermer la frontière signifierait encourager la contrebande".
Selon l'ONU, quelque 125.000 syriens ont trouvé refuge au Liban depuis le début du conflit meurtrier il y a 21 mois, les autorités libanaises évoquant le chiffre de 200.000.
Le gouvernement, dominé par le Hezbollah et ses alliés pro-syriens, appelle régulièrement à "se dissocier" de la crise syrienne pour ne pas diviser encore plus le pays et éviter un débordement du conflit.

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Liban : la couverture médiatique des fêtes de Noël

Analyse du P. Paul Karam pour Fides

ROME, 4 janvier 2013 (Zenit.org) - Au Liban, la couverture médiatique des fêtes de Noël par les moyens de communication liés à la formation politique chiite du Hezbollah, est assez singulière, fait observer l'agence vaticane Fides : par exemple, le 25 décembre, Radio Al-Nour, a rendu hommage à la naissance du Christ à travers une sélection de chants religieux.

La principale chaîne de télévision, précise l'organe d'information des œuvres pontificales missionnaires, a ponctué ses programmes de vœux de Noël aux chrétiens alors que les Journaux d'information ont réservé un vaste espace aux célébrations de Noël, insistant sur la participation de représentants du Hezbollah aux cérémonies officielles, et soulignant le titre de « prophète » reconnu par l'islam qui était donné à « Jésus, le fils de Marie ».

« La sollicitude de nombreux medias musulmans à parler et louer les célébrations de Noël  – commente pour l'Agence Fides le Père Paul Karam, Directeur national des œuvres pontificales missionnaires (OPM) au Liban – , renvoie à la spécificité traditionnelle de la vie libanaise, où les chrétiens et les musulmans partagent une certaine socialité y compris au niveau des fêtes religieuses ».

 « Quand j'étais petit, avant la guerre, je me souviens que mes parents allaient chez nos voisins musulmans à l'occasion du ramadan et d'autres festivités islamiques alors qu'eux venaient chez nous durant le temps de Noël et pour Pâques. Ces jours-là, de nombreux enfants des vingt familles de réfugiés syriens musulmans accueillies dans le quartier sont venus à la Paroisse pour prendre de petits cadeaux de Noël, comme l'ont fait les enfants des réfugiés chrétiens », a-t-il raconté. 

En revanche l'attitude n'a pas été la même chez les Salafistes qui ont fait pression sur la municipalité de Tripoli pour « réduire au strict minimum les décorations de Noël dans les rues, sur les places, considérées comme blasphèmes et contraires aux enseignements islamiques ».

Toujours au Liban, le responsable salafiste Omar Bakri Fostock  (connu sous le nom d'Ayatollah de Tottenham pour le rôle clef qu'il a joué dans les cellules islamistes de Londres au cours de son séjour au Royaume-Uni) avait intimé aux musulmans de ne pas prendre part aux célébrations chrétiennes en compagnie de leurs compatriotes baptisés, qualifiant cette habitude partagée par de nombreux musulmans comme une forme d'hérésie contraire au véritable islam.

Fwd: [ZF130104] Le monde vu de Rome


Profanation de la « tombe du Roi David » à Jérusalem
Protestation du Patriarcat latin

ROME, 4 janvier 2013 (Zenit.org) - « Pour la seconde fois en dix jours à Jérusalem, le lieu dit « tombe du Roi David » qui se trouve sous le Cénacle sur le Mont Sion a été profané dans la nuit du 2 au 3 janvier 2013 », déplore le Patriarcat latin de Jérusalem.

Le patriarcat « proteste énergiquement contre cet acte de vandalisme qui blesse  tous les croyants, juifs, chrétiens et musulmans », ajoute le communiqué.

« Encore une fois, le Patriarcat latin de Jérusalem exprime son vif désir de voir les coupables arrêtés », insiste le site en ligne.

La « tombe du roi David » sur le mont de Sion, dans la vieille ville de Jérusalem, est vénéré comme le tombeau du roi biblique David qui a régné de 1000 à 961 avant J.-C. sur Israël et la Judée. C´est un lieu saint important du judaïsme.

L'histoire de David est rapportée dans l'Ancien Testament surtout dans les livres de Samuel, des Rois et des Chroniques. Il est honoré par les juifs, les chrétiens et aussi dans le Coran.

Terre Sainte : sollicitude pour les personnes souffrantes et vulnérables

Coordination pour la Terre Sainte à Bethléem (5-10 janvier)

ROME, 4 janvier 2013 (Zenit.org) - Une délégation d'évêques d'Europe et d'Amérique du Nord, accompagnés par un certain nombre d'experts, se réuniront du 5 au 10 Janvier à Bethléem pour célébrer la rencontre annuelle de la Coordination pour la Terre Sainte à un moment où les incertitudes sévissent et où les changements politiques et sociaux caractérisent le Moyen Orient, indique un communiqué du Conseil des conférences épiscopales européennes, ce 4 décembre.

La rencontre est organisée par la Coordination des Conférences épiscopales en faveur de l'Eglise de Terre Sainte et par l'Assemblée des évêques catholiques de Terre Sainte.

Le site du Patriarcat latin de Jérusalem publie le programme à cette adresse :

http://fr.lpj.org/2013/01/04/coordination-terre-sainte-2013-le-programme/

A l'occasion de l'année de la foi, le thème central de la rencontre sera l'attention que l'Eglise catholique adresse aux personnes souffrantes et vulnérables en Terre Sainte. L'Eglise catholique prête toujours une très grande attention aux situations humaines et sociales particulièrement difficiles, notamment celle de la Terre, appelée Sainte par plusieurs traditions religieuses et qui interpelle tous les chrétiens afin qu'ils restent sensibles et vigilants par rapport à ce qui se passe en ces lieux.

Au début de leur rencontre, dimanche 6 et lundi 7 Janvier, la délégation se rendra en Jordanie pour rencontrer les réfugiés irakiens et syriens. Dans les jours qui suivront, les participants seront informés de la situation actuelle en Terre Sainte de la part de Sa Béatitude le Patriarche Fouad Twal, Patriarche latin de Jérusalem e du Nonce Apostolique Mons. Giuseppe Lazzarotto. Ensuite, après avoir abordé le thème central de la rencontre par le biais des apports fournis par les représentants des différentes organisations chrétiennes, les participants se pencheront plus particulièrement sur la situation des réfugiés africains, des travailleurs des Philippines et chrétiens en prison.

Don Michel Remery, Vice-Secrétaire Général du CCEE, ainsi que Mr. Thierry Bonaventura, attaché de presse du CCEE, représenteront le Conseil des Conférences Épiscopales d'Europe pour témoigner la proximité de l'Église en Europe aux chrétiens de la terre qui a vu la naissance, la mort et la résurrection de Jésus.

Les journées seront caractérisées par des nombreux moments de prière, par la célébration quotidienne de l'Eucharistie, par la rencontre avec les communautés locales, avec les prélats catholiques de différents rites, avec les étudiants de la Bethlehem University ainsi qu'avec les autorités locales.

La visite s'achèvera le vendredi 10 Janvier à Jérusalem par une célébration auprès du Saint-Sépulcre et par une conférence de presse à 10h00 dans les locaux du Patriarcat Latin.

Un communiqué de presse sera émis à la fin des travaux.

Les origines de cette Coordination si spéciale remontent aux années '90 du siècle dernier, lorsque la Conférence épiscopale des Etats-Unis travaillait en collaboration très étroite avec l'Eglise en Terre Sainte pour aborder les thèmes concernant le futur de Jérusalem.

En 1997, la Conférence épiscopale des Etats-Unis demanda aux Conférences épiscopales européennes de partager son engagement visant à soutenir l'Eglise en Terre Sainte. C'est ainsi qu'est née la Coordination qui, depuis 1998, rend chaque année une visite de solidarité. Actuellement, le secrétariat de la Coordination est confié à David Ryall de la Conférence épiscopale d'Angleterre et du Pays de Galles.

Parmi les 28 participants, cette année les évêques suivants prendront part à la Coordination pour la Terre Sainte:

Archevêque Richard Smith – Canada

Archevêque Joan-Enric Vives – Espagne

Evêque Gerald Kicanas – USA

Evêque Stephan Ackermann – Allemagne

Evêque Michel Dubost – France

Evêque William Kenney – Angleterre et Pays de Galles

Evêque Peter Bürcher – Islande

Evêque Declan Lang – Angleterre et Pays de Galles

Joumblatt annonce depuis Bkerké la fin des empiétements sur les terres des chrétiens à Brih | À La Une | L'Orient-Le Jour


Joumblatt annonce depuis Bkerké la fin des empiétements sur les terres des chrétiens à Brih - L'Orient-Le Jour- 4/1/2013

Le chef du Parti socialiste progressiste (PSP) Walid Joumblatt a rencontré vendredi le patriarche maronite Béchara Raï à Bkerké dans le cadre de la réconciliation entre druzes et maronites au Liban.

"Lorsque le patriarche Raï nous a rendu visite dans le Chouf l'été dernier, nous lui avons promis de cicatriser les blessures de la guerre de la Montagne (entre druzes et maronites, ndlr). Hier, les habitants du village de Brih (dans le Chouf) ont pris l'initiative de mettre fin à toutes les violations concernant les terres appartenant à des chrétiens. De cette façon, nous cicatrisons toutes les plaies de cette guerre", a affirmé M. Joumblatt.
Et d'ajouter : "Nous allons organiser une cérémonie officielle pour annoncer la réconciliation en présence du président de la République Michel Sleiman et du patriarche Raï".
"Nous espérons que toutes les parties libanaises comprennent que le dialogue et le rapprochement sont inévitables", a-t-il encore dit.

Peu après cette annonce, la chaîne de télévision LBC rapportait toutefois que l'ambiance était tendue à Brih, certains résidents druzes refusant la démolition d'une des maisons du village.

Le 10 septembre dernier, Mgr Raï s'était rendu dans le Chouf où il avait rencontré M. Joumblatt à Moukhtara, dans le cadre du "parachèvement de la réconciliation de la Montagne".

Il s'agissait de la deuxième visite du patriarche au Chouf environ 11 ans après la tournée que son prédécesseur, le cardinal Nasrallah Sfeir, avait effectuée dans cette région, les 3 et 4 août 2001, pour y sceller la réconciliation nationale avec le chef du PSP.

La Montagne avait été le théâtre de conflits inter-communautaires entre druzes et chrétiens durant la guerre civile libanaise (1975-1990).

http://www.lorientlejour.com/category/%C3%80+La+Une/article/794793/Joumblatt_annonce_depuis_Bkerke_la_fin_des_empietements_sur_les_terres_des_chretiens_a_Brih.html

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jeudi 3 janvier 2013

ZENIT - Syrian Archbishop Appeals to UN and Iraqi Prime Minister for Aid

Syrian Catholic Archbishop Jacques Behnan Hindo of Hassaké-Nisibis  appealed to both the presidency of the United Nations Organization for Food and Agriculture (FAO) and to Iraqi Prime Minister Nuri al-Maliki, requesting immediate humanitarian aid to thousands of Syrian refugees in the region of Jazira in Upper Mesopotamia.

According to a report by Fides News Agency, Archbishop Hindo stated that "things are getting worse quickly and the situation could soon become catastrophic." In his appeal to the FAO, the Syrian prelate outlined the survival conditions of the population in the area. Among the problem areas he noted was the interruption of supply routes for over a month causing depletion of essential goods and soaring prices of commodities.

"The grain silos - refers in particular Archbishop Hindo - were looted and wheat was sold to Turkish traders who conveyed it in Turkey, under the gaze of the Turkish customs officers. Our wheat was sold at a very low price." The region of Jazira was renowned for the production of high quality wheat. Archbishop Hindo also noted that the lack of fuel in the region prevents the heating of homes and leads to a complete halt of all agricultural activities right at the beginning of planting season.

In addition to the grain plundered, Archbishop Hindo denounced the gradual disappearance of other vital products such as baby milk and medicines, starting from antibiotics. The only route connecting them to the outside world remains the international road to Iraq, which connects the Syrian Upper Mesopotamia to Mossul.

Appeal to Iraqi Prime Minister

In a letter sent to Prime Minister Nuri al-Maliki, Archbishop Hindo appealed to the Iraqi Premier for aid. "Please help us as quickly as possible, by sending 600 fuel tanks, 300 tanks of gasoline and some tons of flour.

Archbishop Hindo compared the suffering of the Syrian refugees to those of the Iraqi people who suffered under the imposition of past embargoes.

"The first victims were children. You experienced on your body, in your soul and in your children all the injustice that was caused by such behavior, because only the people are punished, not the government. The States therefore put their interests above the interests of men, and even above the rights that God has on what is His work."

The region of Jazira, with the urban centers of Kamishly and Hassake (main town in the governorate) had a million and a half inhabitants, who since the beginning of the civil war at least 400 thousand refugees from Aleppo, Homs, Deir- Ez-Zor and Damascus have been added. 

Reprinting ZENIT's articles requires written permission from the editor.



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Re: إلى شركاء الوطن - رسالة المطران الياس سليمان راعي أبرشية اللاذقية للموارنة في مناسبة عيد الميلاد المجيد

إلى كلّ شركاء Message  de Mgr Elias Sleiman ,eveque maronite de Lattaquieh - Syrie, a l'occasion des fetes, a tous ses concitoyens 

سوريّة وطننا جميعًا. إنّها مهد الحضارات. هذا ما ورثناه عن أجدادنا وما سوف نورّثه لأولادنا. مرّت على هذه الأرض الحبيبة حضارات توالت في الازدهار والتطوّر والإبداع، وكذلك في التّحارب والتّقاتل والصّراع، أيّها موضوع افتخارنا وحضارتنا؟ الأولى حضارة وانتصار، والثانية انحطاط واندثار. لقد اندثر الانحطاط وولّى... وتوالت الحضارات وسلّمت كلٌّ منها إلى التالية بعدها مشعل الكرامة والتّضامن والمحبّة في سبيل البناء. إنّ أقدم منطقة في التاريخ "مَوْسَمَت" الزّراعة و"دجَّنَت" المواشيهي سوريّة، أرضنا العريقة التي نفتخر بها، فهل هي تفتخر بنا؟

اندثرت حضارات بالحروب والتّناحر، وبزغت حضارات بالمحبّة والتّضامن. لا تُبنى الأوطان بالتّقاتل والتفكّك، وإنّما بالتّحالف والمنافسة في المحبّة والخدمة. فالتّحالف والمحبّة لا يعنيان التّماثل والتّشابه، وإنّما احترام الاختلاف والحفاظ على غنى المغايرة وقبول الآخر، والانفتاح على الحوار والنموّ والتطوّر من خلال الأمانة للتّراث والتّقاليد والسّير قدمًا في النموّ. تمتاز أرضنا بالتنوّع، مصدر الغنى الحضاري. ما هي مرجعيّتنا جميعًا نحن أبناء الوطن الواحد؟ وما هو هدفنا المشترك؟ أليس بناء الوطنمعًا؟ سوريّة وطننا وقد بذل الشّهداء دماءهم الذكيّة للحفاظ على أرضها ووحدتها وتشابك أيدي أبنائهافي التّعاون والبناء. سوريّة وطننا الذي يسكب في عروقنا الحياة أبيّة، فلا يحقّ لنا أن نقتله بأيّة ذريعة كانت. هو ليس بقرة نحلبها ثمّ نذبحها! من وطننا نعيش، وإياه نبني ونفدي بدمائنا! لماذا تسيل هذه الدّماء في وطننا؟ نستحلفكم باسم الله أنقذوا هذا الوطن الجريح، وهيّا نجلس جميعًا للحوار الحقيقي البنّاء والصّادق! جميعنا إخوة في المواطنة والإنسانيّة والأرض والانتماء، ويجب أن تجمعنا عبادة الله، ومن حق كلٍّ منّا أن يعبده بموجب انتمائه الدّيني العريق، وبموجب انتمائه إلى الجماعة التي ينتمي إليها، وبموجب حريّة الضّمير، إذ أنّه "لا إكراه في الدّين". يدعونا الله لأن نعيش مع بعضنا بالمحبّة، وعلى كلٍّ منّا أن يشهد عن جوهر إيمانه ومصداقيّته من خلال شهادة حياته. يدعونا الله إلى التآخي، فلا يحقّ لي أن أقتل أخي في الوطن باسمه. لنرفض الانغلاق ونقبل بعضنا بتنوّعنا. في التنوّع تحت لواء المحبّة والاحترام غنى.

هيّا أيّها الإخوة ننبذ العنف والكراهية والتّحريض ونتضامن بالمحبّة لنستطيع أن نقول كلمة الحقيقة. فالإنسان، كلّ إنسان، هو من أهلي وإخوتي وأخواتي. مع هذا الإنسان أبني وطني، لا بدونه أبدًا. أحترمه ليحترمني ونبني معًا الوطن لأولادنا ليعشوا فيه إخوة. فالوطن هو العائلة الكبرى، والعائلة هي الوطن الصغير. من هو الذي يقتل أهله وإخوته وأخواته وأولاده؟

هيّا يا أبناء الوطن الأم نطرح من أيدينا الخناجر لنتعانق قبل أن نتكلّم، وننبذ عنّا لغة التطرّف والتّحريض والتحدّي الذي لا يعبّر إلاّ عن ضعف صاحبه والذي يولّد العناد والإفناء المتبادل. من هو المستفيد من الفوضى والعنف والكراهية؟ الجميع خاسرون في الحرب، والجميع رابحون في السّلام والمحبّة وبناء الوطن. سوريّة بلد البحبوحة والازدهار والانفتاح، فهيّا نقلب البنادق مناجل للحصاد والمدافع معاول للبناء. أرضنا الخصبة بانتظار تضامننا للعمل.

هيّا يا أخي توقّف وصمَّ أذنيك وأغمض عينيك وادخل في أعماق ذاتك حيث ينتظرك الربّ ويقول لك "السّلام عليك!"، ويقول لنا "السلام عليكم"، "سلامي أعطيكم لا كما يعطيه العالم أعطيكم أنا". فسلام الربّ هو سلام الحبّ والتّضامن والتّعاون والتّحاور وقبول الآخر. أنظُر إلى الآخر نظرة أخ وصديق يصبح كذلك، وصافحه بمحبّة ترتاح وتبني جسور السّلام، وتعبران معًا نحو مستقبل زاهر لنبني سوريّة معًا جميلة مزدهرة وغنّاء لأولادنا. من حقّنا النموّ والتطوّر والإصلاح، ولكن في الحوار والتّفاهم والمحبّة وقبول الآخر المغاير. لا يأتي البناء من الدّمار وإنّما من التعاون والالتزام والحوار باحترام.

مدَّ يدك يا أخي لإخوتك وخذ يدي ليكتمل العناق ونجلس معًا نتحاور بالاحترام والكرامة والحقيقة ونبني سوريّة معًا، يدي ويدك وقلبي وقلبك، فنتساعد ونتحاور ونتعلّم أن نختلف بحضارة وحريّة واحترام وسلام لنبني وطنًا نفتخر به أمام الله وأبنائنا والتّاريخ.

سامحنا يا وطني الحبيب، وعلّمنا بدل أن نذرف دموع الحزن والانكسار أن نزفّ دموع الفرح والانتصار. إن كان لا بدّ من الاستشهاد، فهيّا نقدّم دماءنا لأجل بناء وحدتنا الوطنيّة متينة، وبناء الوطن على المحبّة والتّضامن. لنذرف جميعًا دموع التوبة والنّدامة طالبين من الله ومن سوريّة ومن بعضنا البعض الصفح والغفران.

نحتاج إلى ثلاثة لنستيقظ ونمدّ يد المصافحة لجميع إخوتنا شركاء الوطن: المحبّة والتّواضع والحقيقة. التواضع لنخرج من عنفوان التّحدّي العقيم سلاح الضّعفاء، والمحبّة لنتلاقى ونتصافح بشهامة وقوّة ومسؤوليّة، والحقيقة لتكون لنا مرجعيّة ثابتة نلتقي حولها، لأنّها الشمس التي لا يستطيع أن ينظر إليها سوى الأبطال. فالحقيقة بلا محبّة جارحة، لا تُقبَل، والمحبّة بلا حقيقة تغرق في المساومات والتّوافقيّة، والحقيقة والمحبّة بلا تواضع تضيع في التّحدّي. مِنَ المتواضع وحده نقبل الحقيقة بمحبّة.

ليس البطل والقوي من يواجه الآخرين، بل من يواجه نفسه ويدرّبها على السّير في نور الحقيقةمتغلّبًا على أهوائه حتى بلوغ النّضوج المحاوِر والوعي المصافِح. تحت نظر الربّ تبلغ المحبّة فينا ذروة قوّتها لنذهب إلى إخوتنا ونعانقهم ونبدأ الحوار البنّاء، لغة السّلام والعقل في ظلّ الإيمان بالله، القيمة المطلقة في السّماء، وبالإنسان، القيمة المطلقة على الأرض، لنستطيع أن نبني الوطن ونعيش فيه معًا بالقبول المتبادل والتّضامن والمحبّة.

 

المطران الياس سليمان

عيد ميلاد يسوع المسيح، نبع السّلام، في 25 كانون الأول  - <إلى شركاء الوطن




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information [DOSSIER] - Encyclopédie Larousse

information [DOSSIER]

Pour avoir une vue d'ensemble sur l'information, consultez en priorité les articles suivants du dossier en cliquant sur celui de votre choix :

  • Fonctionnement de l'Internet
  • Sponsoring, jeux Olympiques, 1996
  • Récepteur radio Philips
  • Télévision numérique
  • Écran plat
Fonctionnement de l'Internet
Fonctionnement de l'Internet

Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 définit dans son préambule un droit à l'information : « la libre circulation des pensées et des opinions » est un des droits les plus précieux ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. La liberté d'expression et le droit de recevoir des informations pluralistes sont des conditions essentielles qui définissent les États démocratiques. Ceux-ci précisent des conditions où cette liberté peut être encadrée si la sureté de l'État (secret défense)ou celle des citoyens (secret professionnel, secret de l'instruction, protection des mineurs) est en cause. En France, la législation garantit l'indépendance de la presse, le pluralisme des opinions et instaure un droit de réponse pour un citoyen qui s'estime diffamé par un média. L'information est la relation d'un événement ou d'un fait. Celui-ci peut être transmis par des témoins à un journal ou à une agence de presse. Le rôle des journalistes est de servir de relais entre ce fait et le public. Même si ceux-ci prennent toutes les précautions pour être objectifs, ils donnent un point de vue personnel ou celui d'une rédaction, qu'il incombe au lecteur de recevoir comme tel. Dans de nombreux pays, les journalistes doivent faire face à une censure ou à une répression exercées par le pouvoir politique, qui empêche l'exercice de ce que l'on appelle « le quatrième pouvoir ». En outre, par leur profession, les journalistes sont souvent exposés dans le cadre de reportage dans des zones de conflits ou sujettes à des troubles divers ou dans des conditions extrêmes.

http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/information/184354


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Raï, Audi et Bustros appellent à une citoyenneté pacifiste | L'Orient-Le Jour- 3/1/2013


Raï, Audi et Bustros appellent à une citoyenneté pacifiste

Le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, a présidé à Bkerké la messe du jour de l'An, consacré par le Vatican comme Journée mondiale de la paix. « L'aspiration à la paix se trouve à l'intérieur de chaque être humain, qui est créé à l'image de Dieu », a affirmé Mgr Raï dans son homélie. Reprenant en résumé la lettre adressée par le pape pour la nouvelle année, il a appelé chacun à assumer son rôle de « faiseur de paix ». « Celle-ci naît de la rencontre de l'homme avec Dieu. Elle est à la fois un don de Dieu et le fruit du labeur humain », a-t-il encore ajouté. En conséquence, « tout groupe, qu'il soit religieux ou laïc, pédagogique ou culturel, doit œuvrer pour la réalisation du bien à l'échelle de la société ». Le patriarche maronite a également mis l'accent sur « le respect de la vie humaine et des droits de l'homme comme base du travail pacifique », avant de dénoncer « les meurtres d'innocents incapables de se défendre, et l'impunité qui s'ensuit ». 

Repenser l'économie pour produire le bonheur
« Produire le bonheur est un apprentissage qui transcende toutes les appartenances communautaires », a-t-il précisé, rappelant que « les faiseurs de paix sont également ceux qui respectent la liberté de culte, ainsi que tous les droits civiques et politiques ». Il a appelé notamment à « la mise au point de politiques audacieuses et modernes pour accroître les opportunités de travail et défendre les droits des ouvriers ». Il a préconisé dans ce cadre « un modèle nouveau pour le développement et l'économie, fondé sur les valeurs spirituelles et morales ». Se désolant du « modèle de surconsommation et d'individualisme ayant prévalu au cours des dernières décennies », Mgr Raï a souhaité qu'un modèle nouveau se dégage de la crise économique actuelle, qui soit basé sur « le sens de l'initiative et des libéralités ». Il a enfin appelé à répandre la culture de la paix dans les familles, les établissements pédagogiques et au niveau des groupes religieux. « Que chacun œuvre pour surmonter les obstacles qui divisent et affermir les liens de l'amour », a-t-il conclu.
Par ailleurs, le patriarche maronite continuait de recevoir hier les délégations venues le féliciter pour les fêtes, parmi lesquelles les délégations respectives de l'école de Notre-Dame de Louaizé; de l'association La maison du Liban dans le monde, « Beyt Loubnan al-aalam » ; et de l'association islamique al-Ourfan. Il s'est également entretenu avec le ministre de l'Éducation Hassan Diab, qui a déclaré avoir résolu l'affaire des permis pour les écoles semi-gratuites « en un temps record », grâce notamment à l'appui du patriarche. Mgr Raï a également reçu respectivement la députée Bahia Hariri et le député Élie Aoun, les anciens ministres Roger Dib et Ziyad Baroud, ainsi que le président de la Fondation maronite dans le monde, l'ancien ministre Michel Eddé.

D'autre part, l'archevêque maronite de Beyrouth, Mgr Boulos Matar, ayant célébré la messe du jour de l'An en l'église Notre-Dame du Rosaire à Ras Beyrouth, a déclaré que « la paix imposée par les usurpateurs n'en est pas une. Les vainqueurs d'aujourd'hui sont les vaincus de demain ».

Audi : « Nous rêvons d'un État civil... »
De son côté, le métropolite grec-orthodoxe de Beyrouth et de ses dépendances, l'évêque Élias Audi, a rappelé la recommandation de l'apôtre saint Paul, dont la teneur est que « la réputation sociale, économique et surtout humaine de notre patrie ne sera rétablie que par les fils honorables de cette patrie ». Célébrant la messe dans la cathédrale Saint-Georges (place de l'Étoile), Mgr Audi a valorisé l'union en tant que principe de vie, « même si la politique, les intérêts et les exigences de quelque appartenance nous éloignent l'un de l'autre ». Il a tenu à saluer dans ce cadre « chaque responsable dans ce pays qui s'exprime selon sa conscience, sans souci de ménager personne ni excès de zèle intéressé ». Rappelant que tous les hommes sont égaux devant Dieu, il a évoqué « notre rêve pour un État civil où tous les citoyens sont égaux ». Seul ce modèle serait en effet susceptible « d'éliminer la corruption qui ronge le Liban et en éloigner tous les éléments susceptibles de nuire à son rôle ».

L'appel de Bustros aux politiques
Pour sa part, le métropolite grec-catholique de Beyrouth, de Jbeil et de ses dépendances, Mgr Kiryllos Salim Bustros, a présidé la messe hier dans la cathédrale Saint-Élie au centre-ville. Son sermon a transmis l'espoir « que tous les citoyens, en particulier les politiques, se conforment cette année aux préceptes de paix et cessent leurs discours de haine et d'hostilité, qui contribuent à l'émiettement du pays ». Reconnaissant « l'image obscure que laisse l'année écoulée, qui s'achève sur un absentéisme des responsables et une aggravation des conditions socio-économiques des Libanais », Mgr Bustros a rappelé en même temps que « le Liban est la patrie définitive de tous les Libanais, toutes appartenances communautaires et politiques confondues ». Réaffirmer ce principe, « c'est percevoir l'autre en tant que partenaire pour l'édification du pays et faire fi des acteurs étrangers », a-t-il conclu.

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Loi électorale : Raï critique sévèrement les politiciens libanais | L'Orient-Le Jour - 3/12/2013

Le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, a sévèrement critiqué mercredi les partis politiques libanais pour leur incapacité à s'entendre sur une nouvelle loi électorale, a rapporté l'Agence nationale d'information (ANI, officielle).

"C'est une honte que les politiciens ne soient pas parvenus à s'entendre sur une nouvelle loi", a déclaré Mgr Raï devant une délégation de la ville de Zahlé, dans l'est du Liban. "Les élections doivent avoir lieu cette année et le peuple libanais a besoin d'une loi qui réponde à ses aspirations", a-t-il ajouté.

 Abordant le conflit syrien, le patriarche a souligné que "le flux de réfugiés arrivant au Liban est le plus grand problème humanitaire, social et national du pays". "Le Liban devrait rester neutre et un point de rencontre entre musulmans et chrétiens", a-t-il dit, appelant à la reprise du dialogue national.

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