Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

mercredi 12 décembre 2012

L’USJ lance les cérémonies du centenaire de sa faculté de droit | Politique Liban | L'Orient-Le Jour

L'USJ lance les cérémonies du centenaire

 de sa faculté de droit 

12/12/2012- OLJ 

Le recteur Salim Daccache recouvrant de bonne terre le plant de cèdre, sous les yeux attentifs de Chucri Sader (à d.) et du doyen Fayez Hage Chahine. Photo Michel Sayegh
Le recteur Salim Daccache recouvrant de bonne terre le plant de cèdre, sous les yeux attentifs de Chucri Sader (à d.) et du doyen Fayez Hage Chahine.
 Photo Michel Sayegh
Un chèque de 36 000 dollars a été remis à Offre-Joie, au bénéfice des sinistrés d'Achrafieh.
L'Université Saint-Joseph a lancé vendredi dernier les cérémonies de commémoration du centenaire de la fondation de la faculté de droit (14 novembre 1913), par la plantation d'un cèdre sur le campus des sciences sociales, rue Huvelin. Ces cérémonies se poursuivront tout au long de l'année.
La commémoration a donné au Pr Salim Daccache s.j., recteur de l'USJ, l'occasion de remettre à Melhem Khalaf, professeur à l'USJ et fondateur de l'ONG Offre-Joie, un chèque de 36 000 dollars au bénéfice des habitants dont les logements ont été endommagés ou détruits par l'explosion d'Achrafieh.
Le chèque est un don des étudiants de l'USJ qui ont organisé le 25 novembre, soit quatre jours après l'attentat, une soirée musicale au profit de la population sinistrée. 
Dans un mot de circonstance, le président du Club de musique de l'USJ, Jack Haddad a affirmé : « Certains ont voulu politiser l'événement, en ternissant ainsi l'image d'une cause noble (...) (Mais) pendant une soirée, nous avons montré au Liban et au monde que nous sommes capables de nous unir pour une même cause, en mettant nos différences confessionnelles et politiques de côté. » À son tour, Melhem Khalaf a expliqué les différentes étapes par lesquelles sont passés les travaux de réparation, précisant que les habitants ont commencé à rentrer dans leurs foyers et que ce retour sera complet avant les fêtes de fin d'année. 
Ce petit miracle, a-t-il expliqué, a été rendu possible par l'armée de 897 bénévoles d'Offre-Joie venue de tout le Liban, qui s'est mise à l'œuvre et a travaillé nuit et jour, quatre semaines durant. Le chèque, a précisé M. Khalaf, servira à payer les factures accumulées lors des travaux.

Continuité, renouveau, excellence
La plantation du cèdre s'est déroulée, elle, en présence du ministre du Travail, Salim Jreissati, de l'ancien ministre Ibrahim Najjar, du recteur émérite Salim Abou, du président du Conseil d'État Chucri Sader et du doyen de la faculté de droit Fayez Hage Chahine. 
Dans une allocution aussi brève qu'éloquente, ce dernier a affirmé que le succès de cette faculté se résume en trois mots : continuité, renouveau et excellence. 
L'engagement au renouveau, à côté de l'enseignement du droit « selon la méthode et l'esprit du droit français », a conduit l'USJ à intégrer dans ses programmes, à partir de 1965, le droit libanais, puis à s'ouvrir au droit comparé, au droit des pays arabes ainsi qu'à la Common Law anglo-américaine, a précisé le doyen Fayez Hage Chahine. 
« Pour l'excellence, la réputation de l'USJ n'est plus à faire. Dans certains cercles universitaires en France, on considère qu'on est agrégé deux fois, quand on réussit au concours d'agrégation et quand on réussit en tant qu'enseignant à la faculté de droit de l'USJ », a encore lancé le Pr Hage Chahine. 
Dans le domaine politique comme dans la magistrature, dans le barreau comme dans la Fonction publique, toutes les personnalités de premier plan, sauf exceptions, sont des anciens de l'USJ, a conclu le doyen de la faculté de droit.
Explicitant le geste, le recteur de l'USJ a relevé que « le cèdre est un symbole de continuité et de résistance », et que le Liban, comme le cèdre, incarne dans l'histoire la résistance de ses habitants, résistance qui n'aurait pas été possible sans leur solidarité. 

http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/791886/L%27USJ_lance_les_ceremonies_du_centenaire_de_sa_faculte_de_droit.html

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