Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)

lundi 2 février 2015

- Témoignage de l’Archevêque syro-catholique d’Hassaké-Nisibi sur la situation des communautés chrétiennes dans la région du fleuve Khabur



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Expéditeur: Fides News Fr <fidesnews-fr@fides.org>
Date: 2 février 2015 14:22:43 UTC+2
ASIE/LIBAN - Pour le Patriarche d'Antioche des Maronites, la corruption est la cause de la misère libanaise

Bkerkè (Agence Fides) – La corruption et le manque de transparence ont réduit le Liban dans la condition misérable où il se trouve aujourd'hui et le déclin ne pourra être freiné que par le retour à un usage transparent des deniers publics tenant toujours compte des droits des travailleurs. C'est ainsi que s'est exprimé le Patriarche d'Antioche des Maronites, S. Em. le Cardinal Bechara Boutros Rai, indiquant la diffusion endémique de la corruption la principale cause de l'urgence sociale traversée par le pays. « Notre société libanaise – a-t-il déclaré au cours de l'homélie de la Messe dominicale célébrée au siège patriarcal de Bkerkè – connaît la misérable réalité d'aujourd'hui à cause du manque de transparence, de la sous-évaluation du gaspillage de deniers publics, de la violation des lois dans le cadre des contrats, de la priorité accordée aux intérêts privés ». Selon le Patriarche, « le temps est venu de rompre le cercle de la corruption pour sauvegarder les ressou rces de l'Etat et créer des postes de travail pour les jeunes ».
Les mots forts du Patriarche semblent liés également à la contestation de 191 salariés du Casino du Liban, licenciés avec effet immédiat la semaine passée. Une délégation des licenciés a été reçue hier à Bkerkè par un délégué du Patriarche. Le licenciement a pris l'allure d'un cas politique notamment parce que depuis toujours, le Casino recrutait des salariés selon des critères de répartition clientéliste, sur la base des demandes provenant des différents partis et appareils du pouvoir. (GV) (Agence Fides 02/02/2015)

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ASIE/SYRIE - Témoignage de l'Archevêque syro-catholique d'Hassaké-Nisibi sur la situation des communautés chrétiennes dans la région du fleuve Khabur

Hassakè (Agence Fides) – Les bandes armées djihadistes du prétendu « Etat islamique » ont fait irruption dans le village chrétien de Tel Hormuz, saccagé l'église et imposé aux habitants d'enlever ou de cacher les croix. C'est ce que confirme à l'Agence Fides S.Exc. Mgr Jacques Behnan Hindo, Archevêque syro-catholique d'Hassaké-Nisibi. « Vendredi dernier – indique-t-il – deux groupes de miliciens armés de l'Etat islamique sont descendus des montagnes où ils sont postés et sont entrés dans le village, où vivent encore quelques douzaines de familles chrétiennes. Les djihadistes ont emporté des objets précieux de l'église et ont intimé aux chrétiens d'enlever ou de cacher les croix ».
L'épisode allonge la liste des attaques et intimidations subies par les villages chrétiens situés dans la région traversée par le fleuve Khabur. « Dans cette zone, se trouvaient plus de 30 villages chrétiens, fondés dans les années 1930, qui avaient accueilli surtout les chrétiens assyriens et chaldéens provenant du nord de l'Irak, qui cherchaient à échapper aux massacres perpétrés alors par l'armée irakienne. Il s'agissait de villages florissants habités chacun par des milliers de personnes, qui comptaient des églises et des communautés très actives, lesquelles géraient également des écoles et des initiatives sociales. Mais, depuis le début de la guerre, ils se sont presque tous vidés et certains d'entre eux ressemblent maintenant à des villes fantômes. Dans l'un d'entre eux, il ne reste qu'un seul chrétien. Dans d'autres, les habitants sont réduits à quelques dizaines. A Tel Hormuz, demeure l'une des communautés assyriennes les plus consistantes. Mais maintenant, là aussi, (le nombre de chrétiens) ne dépasse pas les 300 alors que, par un temps, il était de plus de 4.000. Les autres ont tous fui à l'étranger et nombre d'entre eux ne reviendront plus ». (GV) (Agence Fides 02/02/2015)

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